Affichage des articles dont le libellé est EN MER. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est EN MER. Afficher tous les articles

vendredi 30 août 2019

La vidéo du jour.



Aujourd'hui le Cap' a 75 ans







Des dauphins s’éclatent en surf

Superbe séquence filmée en Australie. À la base, juste un surfeur en train de s’éclater dans un joli tube. Mais alors qu’on ne voit plus l’intéressé, des dauphins arrivent et décident à leur tour de surfer sur cette vague qui n’en finit pas. Ils s’en donnent à cœur joie, s’envolant dans les airs pour retomber plus bas dans l’eau…

vendredi 10 mai 2019

IMPRESSIONNANT...!





Une entrée de port mouvementée en 10 images incroyables !

Voici l'incroyable «film» de l'entrée d'un Océanis 46 dans le petit port de Zumaia, niché au fond du Golfe de Gascogne, sur la côte du Pays Basque espagnol. Cela s'est passé le 27 octobre 2008, en fin d'après-midi. Impressionnant…

Impressionnant, mais plus que limite en terme de sécurité : il fallait vraiment avoir une impérieuse raison de rentrer pour vivre une telle séquence... ??



Le <film> que vous allez voir se déroule le 27 octobre dernier, en fin d'après-midi, à Zumaia, Pays Basque espagnol, à une quinzaine de milles à l'Ouest de San Sébastien. La journée a été belle, mais un fond de houle lève assez rapidement. Un Océanis 46 se présente à l'entrée du port...

mardi 12 juin 2018

DISPARU IL Y A 20 ANS












on a tous en nous quelque chose de Tabarly

cette légende tellement française


Éric Tabarly : « Naviguer, c’est accepter les contraintes que l’on a choisies. C’est un privilège. La plupart des humains subissent les obligations que la vie leur a imposées. »
Éric Tabarly : « Naviguer, c’est accepter les contraintes que l’on a choisies
C’est un privilège. La plupart des humains subissent les  obligations 
que la vie leur a imposées. »

Il y a vingt ans, le marin disparaissait, dans la nuit du 12 au 13 juin 1998. En mer, et comme il avait vécu. En homme libre qui ne se harnachait pas. Ou rarement. Éric Tabarly a construit sa légende de son vivant, sa mort l’a fait entrer dans la mythologie. Pas que celle des marins. Celle d’un pays tout entier.


Sa parole publique était assez rare et légèrement zozotante, l’œil frisait souvent, le sourcil fronçait, aussi… Éric Tabarly aimait la compagnie des hommes qu’il choisissait et ne se répandait pas en palabres inutiles, préférant houle à foule et compagnonnage à bavardage. La petite histoire veut qu’il n’ait pas crié quand sa poitrine a été heurtée par un élément de gréement de son bateau fétiche qui l’a balancé par-dessus bord, dans un traître coup de roulis en cette nuit du 12 au 13 juin 1998. Lui qui en était avare, aurait prononcé des mots inaudibles dans le fracas tempétueux… Elle raconte aussi qu’il aurait sans doute tonné à gorge déployée une de ses chansons préférées du répertoire de Piaf une fois à bon port et attablé en camaraderie. L’instant de partage n’est jamais venu.
Un noir d’encre, le vent qui forcit sur une mer d’Irlande qui s’énerve pendant le convoyage de Pen Duick avec quelques amis vers l’Écosse, une manœuvre mille fois répétée qui tourne mal, et voilà le plus célèbre des marins français qui fait son trou dans l’eau comme le premier plaisancier venu…
Voilà le conseil qu’il donnait à son fidèle ami, le voilier Victor Tonnerre. Vingt ans après la disparition du marin d’exception Éric Tabarly, il ouvre la boîte à souvenirs. Tant et tant à dire…


jeudi 30 juin 2016

CHEZ POL

  On termine avec notre jeu du jour. Très prolifique en la matière quand elle était ministre, Marlène Schiappa va écrire un nouveau livre. S...