lundi 28 décembre 2020

HUMOUR

 John Wilhelm : un papa photographe qui


déborde d'imagination !

À l'heure où la période est plutôt à la morosité ambiante, voici des photos qui réjouissent l’âme et transcendent la famille. Un coup de cœur pour John Wilhem que je souhaitais partager avec vous....CLIC
















 https://www.johnwilhelm.ch/





 ENVIRONNEMENT

MAGAZINE

Voici les sept plus belles photos de l’année pour protéger l’océan et le monde marin

Par Julie-Solveig SAINT-GERMES

Défendre et protéger l’océan, en mettant en lumière les menaces qui pèsent sur le monde marin. Tel est le défi du tout nouveau concours Ocean Photography Awards. Après avoir reçu des milliers de candidatures de photographes du monde entier, le jury vient de dévoiler les sept grands gagnants.

Après plusieurs semaines de campagne et plus de 3 000 photos passées au crible, le concours des Ocean Photography Awards, créé cette année par le magazine britannique Oceanographic Magazine, a dévoilé le 19 novembre dernier son palmarès.

Véritable « célébration de notre belle planète bleue », les Ocean Photography Awards ont notamment pour vocation, à travers leurs multiples catégories, de « souligner les nombreuses difficultés auxquelles sont confrontés nos océans ». Voici donc les sept grands gagnants de ce concours.

Catégorie « photographe de l’année »

La grande gagnante de cette année, l’Américaine Nadia Aly, a séduit le jury avec son image montrant un impressionnant rassemblement de raies Mobula dans les eaux claires au large du Mexique (photo ci-dessus, en tête d’article).

« Les raies Mobula sont incroyablement sensibles au mouvement et au son, j’ai donc pris cette photo en apnée », a-t-elle notamment confié dans les colonnes d’Oceanographic Magazine.

Catégorie « conservation »

Triste spectacle : ce bernard-l’hermite a trouvé refuge dans un récipient en plastique. (Photo : Matt Sharp / Ocean Photography Awards)

Le Britannique Matt Sharp a remporté la catégorie « conservation » cette année grâce à sa photo d’un bernard-l’ermite ayant trouvé un abri dans une montagne de déchets sur une plage des Maldives, sur la petite île de Thanburudhoo. Comme le signale le magazine britannique, « Matt Sharp espère que son image va pouvoir communiquer l’impact direct de la pollution plastique sur le monde naturel ».

Catégorie « aventure »

Un apnéiste comme suspendu entre deux mondes, au fond d’un cénote (gouffre rempli d’eau) au Mexique. (Photo : Jason Gulley / Oceanphotographyawards)

Cette photo montrant un apnéiste attendant que son binôme de plongée remonte de la couche d’eau opaque formée par des bactéries, au fond d’un cénote (gouffre rempli d’eau) dans la péninsule du Yucatán, a remporté le premier prix de la catégorie « aventure ». Sur cette image, « le nuage microbien est si épais qu’il semble être un sol », a expliqué le photographe primé , l’Américain Jason Gulley.

Catégorie « exploration »

Il a fallu 50 heures de patience dans le froid et la neige au phographe pour saisir ce défilé de manchots, en Antarctique. (Photo : Ben Cranke / Ocean Photography Awards)

Le prix de la meilleure photo dans la catégorie « exploration » a été attribué au Sud-Africain et Londonien d’adoption Ben Cranke avec sa photo digne du film La Marche de l’empereur. On y voit des manchots se frayant un chemin à travers de fortes chutes de neige, en Antarctique. Le photographe est resté 50 heures au total à cet endroit lors d’une expédition de cinq jours. Il a capturé cette image le dernier jour de son expédition.

Catégorie « jeune photographe »

Un classique de la photo sous-marine, toujours du plus bel effet : un poisson-clown dans son anénome. (Photo : Cruz Erdmann / Ocean Photography Awards)

Le Néo-Zélandais Cruz Erdmann a été récompensé dans la catégorie « jeune photographe » en saisissant, dans le sud des Maldives, la couleur orange vif d’un poisson clown en symbiose parfaite avec son anémone de mer mauve, aux tentacules toxiques.

Catégorie « choix du public »

Ces deux manchots contemplant les lumières de Melbourne, en Australie, ont conquis le public. (Photo : Tobias Baumgaertner / Ocean Photography Awards)

Cette photo touchante a fait le tour des médias. Sur cette image réalisée par le photographe allemand Tobias Baumgaertner, on peut observer deux manchots pygmées ayant perdu leur partenaire respectif, et se réconfortant, blottis l’un contre l’autre, pendant des heures, en regardant les lumières de Melbourne. « Au départ, j’avais l’intention de saisir une image montrant la pression que les développements humains peuvent avoir sur les populations d’animaux sauvages. Mais cette image est bien plus. Elle transmet la solidarité et l’amour », a précisé le photographe.

Catégorie « portfolio collectif »

Les gros yeux d’une squille multicolore (crevette-mante) et ses œufs. (Photo : Nadia Aly / Ocean Photography Awards)

C’est une nouvelle fois Nadia Aly, déjà sacrée « photographe de l’année », qui remporte la catégorie « portfolio Collectif » des Ocean Photography Awards. À travers les dix photos de son portfolio, la photographe a indiqué « vouloir sensibiliser et susciter l’intérêt autour de la protection des océans et de leurs habitants ». Sur cette image prise en Indonésie, on peut observer une crevette-mante paon protégeant ses œufs.

POMPÉI

 

Une découverte exceptionnelle dans les ruines de Pompéi

Un thermopolium, « fast-food » de la Rome antique, a été mis au jour à Pompéi. Il est dans un état de conservation exceptionnel. (Photo : Luigi Spina / AFP)

L’ancienne cité romaine n’a pas encore livré tous ses secrets. Les archéologues ont mis au jour un extraordinaire thermopolium, l’ancêtre des échoppes de plats à emporter. L’ensemble intact (c’est une première) est orné de fresques polychromes magnifiquement conservées. À proximité de ce comptoir qui permettait de servir nour­ri­ture et bois­sons aux habi­tants de la ville, sur place ou à empor­ter, les archéologues ont également trouvé des restes alimentaires dans des pots en terre cuite.

Cette découverte devrait permettre d’en savoir plus sur les habitudes alimentaires des Romains il y a 2000 ans, indique le journal italien La Repubblica .

REVUE DE PRESSE PEOPLE ....

 Mais aussi, Mick Jagger se (re)marie; Harry et William se parlent à nouveau; Tahar Rahim et Leila Bekhti attendent un troisième enfant; et Eddy Mitchell ne désarme plus

Il est 18H30. Je porte une robe verte un peu brillante. Ma cuisine ressemble à une décharge dont on ne voit  plus le sol ou les plans de travail. Un premier coup de sonnette me fait sursauter, et je referme la porte du four d’un coup sec pour aller ouvrir. Bienvenue dans mon Réveillon imaginaire, où toute ressemblance avec des personnages existants est largement préméditée excepté qu’ils ne sont jamais venus chez moi.

C’est mon copain Tahar, Tahar Rahim qui est venu m’aider à ouvrir les huitres. Je lui donne un gant, un couteau, et lui propose un verre, qu’il accepte. Tout content, il m’annonce que sa femme, Leila (Bekhti) et lui attendent leur troisième bébé. « Déjà ? C’est super, Tahar ! Je suis ravie pour vous ! Leila est enceinte de combien ? 

- Cinq mois.

- Quoi ? et tu ne m’as rien dit avant ? Mais votre numéro 2 a quoi, 6 mois ?  Mais ce n’est pas un peu rapide quand même ? Ils auront moins de 2 ans d’écart ? Ça va être sport !

- Ecoute, peut-être, mais nous, on est vachement content ! On en voulait trois de toute façon."

​Il parait vexée, et je me sens idiote de porter des jugements d’un autre âge.

Vers 19H, tout le monde débarque d’un coup.

Ma mère, Brigitte (Macron), est super déprimée parce que son nouveau mari est malade et qu’elle n’a pas pu fêter son anniversaire. Elle était tellement triste le 21 Décembre qu’elle a failli aller le retrouver à la Lanterne, leur maison de campagne. Il y est tout seul, juste avec un médecin et deux collaborateurs. Eux qui sont si fusionels, ne se parlent qu’en visio, elle dépérit complètement ! Elle espère qu’elle pourra encore le retrouver ce soir s’il est testé négatif, mais les infos sont rares sur leur programme. C’est fou, depuis qu’ils sont ensemble, ils ne sont quasimment jamais quittés ! On dit même (dans Voici) qu’elle seule, réussit à lui faire faire des pauses, des moments hebdomadaires qu’il lui consacre, pendant lesquels il pose son téléphone. De là, à dire que s’ils ne se voient pas, il ne sait pas s’arrêter de travailler, il n’y a qu’un pas et elle stresse qu’il ne se remette pas rapidement.

Déjà assise dans le canapé, un coupe à la main, il y aussi ma tante, Jane (Birkin), so charming et volubile, je l’adore. Vous pouvez compter sur elle pour faire vivre les souvenirs, avec une nostalgie intelligente et douce. Elle est un peu trash parfois, mais à l’Anglaise, toutes ses paroles sont nimbées d’un chic naïf. Elle parle, elle parle, et elle se livre sans filtre. Elle m’apprend, par exemple, qu’elle n’a pas vu sa fille Charlotte pendant 6 ans après la mort de son ainée, Kate. Elle évoque son premier mari aussi, pour qui, selon elle, elle n’était qu’une ado hystérique qui se griffait jusqu’au sang, et pleurait des nuits entières en lui demandant « est-ce que tu m’aimeras encore dans 10 ans ? »… Une assiette de minis blinis passe de main en main, et elle part sur des souvenirs d’été, en Normandie - deux mois entiers qu’elle imposait à ses filles et à son Serge (Gainsbourg). Lui, il maugréait et allait noyer son ennui dans des cocktails au Grand Hôtel de Cabourg. Elle pourrait continuer des heures (ITW à lire dans Paris Match) mais une tornade la stoppe net : 

Ma belle soeur Charlène (de Monaco) vient d’arriver et son apparence punk tranche un peu avec le thème « Vert sapin et scintillance ». Un blouson rock, un masque à sequins noirs et une nouvelle coupe, hum, courte et asymétrique : mèche déstructurée à gauche et crâne rasé à droite. Elle a l’air sûre d’elle et un peu survoltée. L’assemblée a pensé sans le dire à haute voix qu’elle cherchait sûrement à se venger de son mari : une nouvelle requête de paternité vise (le Prince) Albert et le problème c’est que cette fois-ci, l’affaire aurait eu lieu alors qu’ils étaient déjà ensemble… Charlène est fumasse, et ça se voit.

Un peu après, pile à l’heure, je me suis levée pour accueillir mon oncle Tom. Il vient d’Amérique aussi mais la comparaison s’arrête là… Ce Tom (Cruise) là fait du cinéma, j’ai toujours eu un faible pour lui, mais il est un peu inquiétant au fond. Il est arrivé en trombe, une vraie boule de nerfs : en tournage à Londres, il a chopé deux de ses techniciens épaule contre épaule en train de regarder le même écran. « Tu comprends, on ne peut pas se permettre de stopper la production encore une fois ! Ils sont complètement irresponsables ces deux là ! Je te les ai atomisé ! ». Une soufflante dans les règles, l’enregistrement a fuité. Tom est un peu à cran, en ce moment. D’ailleurs, il porte deux masques superposés, un chirurgical et par dessus, un noir, pour le style sans doute. En revanche, c’est dommage, mais il n’a quasiment rien dit de sa nouvelle copine, Hailey Atwell, sa partenaire de tournage. Apparemment, ils se sont pas mal rapprochés ces derniers temps, passant des heures ensemble entre deux prises, se tenant par la main mais Tom ne veut rien officialisé. Il attend d’être sûr. De quoi ? Va savoir.

Après, ce sont mes cousins (les princes) Harry et William qui sont arrivés bras dessus, bras dessous, et juste derrière eux, on entendait leurs femmes qui gloussaient dans l’ascenseur. Et ça fait plaisir parce que cette année, ils étaient particulièrement en froid.  Apparemment, Harry s’est décidé à enterrer la hache de guerre, Meghan et lui ont envoyé un tas de cadeaux à leur neveux et nièce. Une attention qui a beaucoup touché William et qui réouvert le dialogue. Bonne ambiance en perspective.

Soudain, ce n’est pas la porte mais le téléphone qui sonne. Mon Grand-Père, Mick (Jagger), nous plante, il ne viendra pas finalement. A 77 ans, il a annoncé qu’il allait épouser la mère de son huitième enfant, Mélanie Hamrick. Et les femmes de la famille ont du mal à accepter la petite. Elle est sympa, mais 44 ans d’écart, ça fait beaucoup pour elles qui l’ont connu avec Bianca et Jerry, ses ex. Je les soupçonne d’être un peu jalouses aussi, parce que pour Noël, quand elles reçoivent un foulard, ou le dernier Goncourt, Mélanie, elle, vient de se faire offrir une villa en Floride. Ca peut agacer. Un peu. Non ?

Du coup, tout le monde est là, assis dans le salon. Un peu de champagne, un petit blinis, du tarama. L’absence de mon frère Bob Sinclar est largement commentée. Les réflexions sur ses drôles d’habitudes fusent : tout nu tout nu, c’est son crédo. Et quand il envoie des photos de lui à Saint Barth, c’est dans le plus simple appareil, en compagnie de sa nouvelle copine. Je ne la connais pas encore, mais ils travaillent ensemble depuis quelques temps déjà. Sur les photos (Public), elle a l’air d’avoir la même passion que lui pour l’A-poilisme ! L’histoire ne dit pas s’ils étaient seuls, ou bien si le couple avait choisi une plage naturiste, délibérément. Ma mère et sa soeur se disent outrées, mais en vrai, je pense qu’elles sont un peu amusées aussi.

Et puis, comme parfois dans les familles, quand on ne se voit pas suffisamment, les silences sont apparus au milieu de la conversation. Mais j’avais prévu le coup : tous les magazines People de la semaine étaient à portée de main, sur la table basse. Alors on s’est un peu collé, lisant à haute voix, et regardant les photos par dessus l’épaule ou se donnant des coups de coude complices, on a bien cancané :

Ma soeur a dit : « Y’a un tarif spécial pour aller à Saint Barth, cette année, ou bien ?  Tout le monde y va, ça devint d’un commun. Maintenant, c’est Alexandra Sublet, en une de Closer, sur la plage. Oh ! et en plus elle part en vacances avec ses deux enfants et son ex ! Mais au moins, elle, elle n’a pas oublié son maillot à Paris ! »

Les ados ont adoré la page de comparaison entre les couples Gims/Demdem et Kanye/Kim dans Public. Les pauses lascives sur des grosses cylindrées pour les filles, l’engagement politique pour les gars (mais c’est tellement moderne cette vision du couple !) ou les trajets en jet : les photos juxtaposées sont parlantes, j’admets. Mais il faudrait rajouter un zéro au nombre de followers des frenchies pour vraiment entrer dans la compétition. 

Et puis, en tournant les pages, Barth et Lucas ont demandé aussi qui était ce pépé qui descendait leurs idoles en flèche : « Fais voir ? » Oncle Tom a dit « ch’connais pas » et Jane a dit « Ben c’est Eddy ! » Eddy Mitchell, désormais véritable Tonton flingueur a décrété que la nouvelle génération, Clara Luciani, Vianney ou Kendji Girac, n’avait pas de coffre. Bang bang. 

Grâce à Public, ma cousine et moi avons fait un voyage dans le passé : deux doubles pages consacrées aux Boys Band. L’hebdo donne des nouvelles de ces pauvres garçons, ringards dès leurs débuts, qui fondaient des groupes uniquement sur leurs plastiques. Les 2B3, Worlds Apart, Take That, Alliage… Mais où avions-nous la tête ? Les filles hurlaient les paroles de leurs chansons. Aujourd’hui, certains sont restés beaux, d’autres ont mal vieilli, reconvertis dans la sécurité, ou dans la télé. Sur ces ribambelles de jolis coeurs, il ne reste a que deux stars d’envergure : Mat Pokora, et Robbie Williams. Evidemment, et en totale mauvaise fois, ma cousine m’assure que c’étaient ses préférés déjà à l’époque… 

Tom adore la photo de Sophie Turner avec une chèvre sur le dos. Apparement, l’actrice de Game of Thrones a essayé et adopté la nouvelle tendance du Yoga outre atlantique : exercer avec des chèvres naines autour de vous, qui sont libres de se déplacer où elles l’entendent (??). L’actrice en plein étirement, se retrouve donc avec un petit animal juché sur le dos. Mhh, l’effet thérapeutique, c’est dans le contact avec les sabots ou dans l’odeur ?? En parlant d’odeur, tu savais toi Tom, toi que Brad Pitt et Jason Priesley de Beverly Hills étaient colloc’ quand ils étaient jeunes ? Il parait qu’ils faisaient une compétition pour savoir lequel resterait le plus longtemps sans se laver, ni se raser ? Et bien, c’est Brad qui gagnait chaque fois. ça casse le mythe, hein ?

Et puis, tout en sirotant du champagne, on a dit du mal de Madonna, qui expose ses cicatrices et ses bleus post séance de ventouses, on a moqué tous les people en costumes de Noël ridicules, on a versé une larme en tombant sur la liste des disparus dans l’année, on a jalousé la taille de guêpe d’Amel Bent et les nouveaux biceps du chanteur Slimane en se goinfrant de fois gras, on a décrété que les cheveux bleus de Kylian Mbappé, c’est moche et qu’en revanche, les yeux bleus de la nouvelle Miss France, c’est beau, et puis on a félicité Céline Dion d’avoir si bien gagné sa vie cette année, malgré le confinement et les tournées annulées, et on l’a même un peu enviée intérieurement, au moment de tendre une crème pour les mains à Jane, et du chocolat Made in France à Tom…

dimanche 27 décembre 2020

CATA PLUME À SAINTE HÉLÈNE

 


Après avoir passé Noël  à Walvis Bay, Cata Plume part, direction Ste Hélène. Quelques photos de leur escale. Direction la Martinique car le passage vers la Méditerranée par la mer Rouge était trop risqué. Bonne navigation à eux.

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Walvis Bay : carte

Walvis Bay

Municipalité en Namibie

Description

Walvis Bay est une ville portuaire située sur la côte de la Namibie. Abritée par la pointe de sable de Pelican Point, sa lagune littorale accueille de nombreuses espèces d'oiseaux, dont des flamants roses, des pélicans et des sternes des baleiniers. Le port est rempli de bateaux de pêche et de cargos. Des dauphins, des baleines et des otaries à fourrure d'Afrique du Sud vivent dans les eaux de l'Atlantique autour du phare de Pelican Point. À l'est de la baie, les dunes de sable côtières comme Dune 7 marquent le début du désert du Namib.

🎅🤶👏💪😇🙏


Jamestown de l'échelle de Jacob, 699 marches, Sainte-Hélène, Mid-Atlantic, soit 40 étages ! Mais il y a un ascenseur !

L'échelle de Jacob (Jacob's Ladder) est un escalier classé Grade I à JamestownSainte-Hélène, sur le côté de la colline Ladder Hill pour accéder à Ladder Hill Fort.

Jamestown de l'échelle de Jacob, 699 marches, Sainte-Hélène, Mid-Atlantic


Au programme escale à Cap Town  puis navigation jusqu'en Martinique. Si cela est possible  escales en Namibie, Ste Hélène, Ascension. 





samedi 26 décembre 2020

CAP LEEUWIN

             À  la verticale du cap LEEUWIN...






Sous les actions actuelles conjointes d’un anticyclone bien mou et d’une ligne rouge bien dure, aujourd’hui 

LA VOILE POUR LES NULS

ABATTRE: le concurrent, ALLURE : l'avoir bonne après avoir fait l'acte précédent , AMURE : faute d'orthographe , on dit ARMURE , toujours pour ABATTRE le concurrent ,BABORD, comme le mot l'indique c'est le bord bas , donc sous la coque , BOUT: N.M ( Nom Masculin ) à chacun le sien , qu'importe la longueur et le diamètre pouvant, effectivement à servir à n'importe quoi, BORDER: tirer les draps à soi, CHOQUER: bin...l'être par des inepties pareilles , DESSALER : s'applique pour les marins Portugais , concernant la morue , EMPANNER : mettre en panne , LOFFER : péter un coup en silence , sinon on dit LOUFFER , TRIBORD : homme politique , VIRER : de la carafe, sa cutie, sa femme , c'est selon chacun .....................bon t'en veux encore ??? ..............MANILLE : ville des Philippines , TRINQUETTE: action de boire un verre pour les femmes, SAFRAN : célèbre épice, FOC: mammifère marin vivant aux Seychelles, sinon son cousin c'est le PHOQUE , GRAND LARGUE : action de parachutage à plusieurs , ANCRE: autrefois servait à écrire, SPINNAKER: pirate (non marin) informatique porté sur le sexe, GRAND VOILE : maintenant on dit burka , FOIL : terme anglais signifiant huile de coude , ( surtout pour les WINCH) , WINCH : demi ration sinon la ration complète c'est sandwinch, PROUE : inverse de peu , POUPE : mollusque marin de la famille des Octopodidae, auquel, il manque un tentacule, BOME : au coeur lorsque tu gagnes une régate, BASTAQUE : interjection Corse , mais prononcée par les Marseillais ...............mais là ça suffit sinon vous allez vous sentir OUTTRIGER ( outragé ) par mes propos ...............Allez, bon vent, perso, j'habite Lyon et je pige que dalle à la voile , sinon,.....................ça ce saurait !!! ( bateau Xyphias69004)🤣 🤣 🤣




Notons aussi que quelques semaines plus tard, l'antipathique anglais Matthew Flinders rencontra le sympathique français Nicolas Baudin, natif de l’île de Ré, qui explorait lui aussi la région, les deux sympathisant et prenant, dit-on, le thé ensemble, et le Français lui renversant à cette occasion un peu de thé brûlant sur la jambe... Et comme le Français naviguait sur un navire appelé « Naturaliste », c’est ce navire qui donna son nom à l’autre cap de la presqu’île australienne, les noms des deux vaisseaux étant réunis pour nommer aujourd’hui le « Leeuwin-Naturaliste National Park ».



la plus méconnue des péninsules.

Il délimite en son sud un parc national avec une faune très développée (oiseaux, kangourous, koalas...) et non loin des vignobles s'étendent à perte de vue. Les températures y sont clémentes et le soleil y cogne dur en été. Sur une planche de bois, dominée par un phare immaculé qui culmine à 56 mètres, on peut lire deux inscriptions : « Océan Indien » avec une flèche vers la droite et « Océan austral » indiquant la gauche. Contrairement aux deux autres péninsules mythiques (Bonne-- Espérance en Afrique du Sud et le Horn au Chili) entre lesquelles il est placé, sur la route des trois caps qu'emprunte le Vendée Globe, le Leeuwin (Australie) souffre d'un « manque de reconnaissance ». Peut-être parce qu'avec son paysage idyllique il n'a pas la réputation d'être un - cimetière à bateaux...

En franchissant en premier sa longitude tôt mardi matin, suivi quelques heures plus tard des autres concurrents qui forment le groupe de tête de la course autour du monde en solitaire sans escale ni assistance, Vincent Riou (PRB) n'a pas eu l'occasion d'observer ce promontoire qui symbolise la pointe sud-ouest de l'Australie. Situé par 34º 21' 30" de latitude sud et 115º 07' 64'' de longitude, le cap Leeuwin se trouve très au nord de la route empruntée par les concurrents qui ne le voient par conséquent jamais à moins d'une importante avarie les obligeant à faire route vers Perth, 250 kilomètres plus au nord. Ce cap ne représente pas la porte d'entrée, contrairement à ce qui est souvent dit, de l'océan Pacifique qui débute plus à l'est sous la Tasmanie, l'île placée au sud-est de l'Australie. À l'approche de la longitude de cette péninsule en pleins quarantièmes rugissants, les marins savent que le calvaire de l'Indien avec ses vagues abruptes et cassantes touche bientôt à sa fin pour laisser place quelques jours plus tard à la longue houle du Pacifique. « Les grains dépassent 60 noeuds, la mer est forte, sauvage, avec des lames qui se déplacent à plus de 30 noeuds. Le passage dans cette mer est presque impossible, c'est un incroyable casse-bateau », commentait en février 2003 Olivier de Kersauson dans sa quête du Trophée Jules-Verne à bord de son trimaran Geronimo alors qu'il croisait par 44° 25' sud et 102° 48' est.

Thomas Coville, qui a franchi sa longitude tant dans le Jules-Verne que le Vendée Globe, ne cache pas sa déception quand pour la première il a vu le Leeuwin lors d'un séjour en Australie : « C'est un cap de rien du tout. La pointe n'est même pas haute. Chez nous, en Bretagne, on a des caps d'homme. » Si sa réputation en termes de course au large n'est donc pas fameuse, son histoire vaut le détour. Le cap Leeuwin (la lionne, en flamand) doit son nom à un navire hollandais qui, croisant dans les environs en 1622, lui donne son nom, sans pourtant s'y arrêter, afin de cartographier cette terre australe inconnue. En l'an de grâce 1772, deux ans après le Britannique James Cook, premier Européen à débarquer sur cette île-continent, Louis de Saint-Allouarn, qui commande le Gros-Ventre, mouille dans une baie tout près de la fameuse péninsule. Il demande à l'enseigne Mingault de La Hage de mettre une chaloupe à la mer et de prendre possession de cette terre, qui n'est encore revendiquée par aucun pays, au nom du roi Louis XV. Comme le veut l'usage à l'époque, l'enseigne de vaisseau enterre une bouteille renfermant à l'intérieur un parchemin avec le sceau officiel du royaume de France.

Après une campagne sur les océans qui aura duré plus de trois ans, Saint-Allouarn, fatigué et malade, retrouve les côtes françaises à la fin de la même année. Le commandant et son second, épuisés, meurent presque aussitôt après avoir touché terre. Comment alors rendre compte des prises de possession effectuées des mois auparavant quand les deux principaux protagonistes sont morts ? Un officier, du Boisguehenneuc, se lance dans cette aventure sans réellement parvenir à intéresser le roi qui, à l'époque, a d'autres priorités et ne voit pas l'intérêt d'une terre aussi lointaine.

L'histoire ne s'arrête pas là. Deux cent vingt-six ans plus tard, en 1998, alors que personne n'a jamais réussi à trouver la bouteille qui prouverait que cette histoire ne sort pas de l'imagination de quelques historiens, un Français de Nouvelle-Calédonie, Philippe Godard, tombe sur un écu à l'effigie de Louis XV daté de 1766 alors qu'il se promène à la pointe de l'île de Dirk-Hartog. Quelques semaines plus tard, le 1er avril, la conservatrice du département d'archéologie du musée maritime de Freemantle, Myra Stanbury, découvre sous le sable une vieille bouteille qui, après des travaux de datation scientifique, se révèle être celle du Gros-Ventre. La preuve est donc faite que ce sont les Français qui se sont emparés les premiers de l'île que l'explorateur britannique Mathew Flinders nommera Australie en 1801 avant que les Anglais en prennent définitivement possession en 1829.