jeudi 31 décembre 2020

QUELQUES PÉPITES QUI DONNENT LA PÊCHE....

 






Et si nous nous  mettions au défi de nous convaincre qu'il n'y a pas eu que du mauvais en 2020. Osez dire, après lecture de ce post, que cette année a bien été ponctuée d'heureuses découvertes.

Comment nier les moments de grâce capturés par les reportages du Figaro Magazine, d'une chasse au trésor au Canada à une croisière au Laos, en passant par une virée dans le Lot et ses villages en pierres blondes. Difficile également de ne pas jubiler devant les joyeuses aventures promises par nos city guides. Impossible, enfin, de passer sous silence le charme des hôtels que nous avons testés avec le plus grand soin.

2020 a bien eu ses heures. Pour autant, difficile de ne pas se réjouir de voir le 1er janvier arriver !... Il s'agit maintenant d'entamer comme il se doit la nouvelle année. Pour cela quelques conseils pour bien préparer vos vacances.

À lire aussi : Pour finir 2020 en beauté, 10 superbes hôtels qui proposent des formules Nouvel An

Les plus beaux reportages du «Fig Mag»

 
La plage de l'île Vierge, sur la presqu'île de Crozon, le trident de la Bretagne. Stanislas Fautré
 

Dans une région recluse, à la fois rude et attachante, vertigineuse et secrète. Les rives du fleuve Sepik, sans route, électricité ni eau courante, au centre de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Sur une terre de granite et d'écume, aux lagons turquoise et aux dunes sauvages. Un bout du monde que l'on nomme Finistère. Dans un immense delta où la terre se divise en milliers d'îlots. En Argentine, où se rencontrent les fleuves Paraná et Uruguay, pour un récit inattendu. Laissez-vous transporter par ces beaux reportages de l'année.



En France ou au bout du monde : nos plus beaux reportages de l'année 2020

Du Canada au Brésil, en passant par la Papouasie-Nouvelle-Guinée, la rédaction a sélectionné les 10 reportages du Figaro Magazine qui ont fait 2020. De quoi clôturer cette année imprévisible en étant bien inspiré...

Le billard de prairies et de champs de colza des Grandes Plaines canadiennes se creuse de canyons sinueux gorgés de fossiles de dinosaures.
Le billard de prairies et de champs de colza des Grandes Plaines canadiennes se creuse de canyons sinueux gorgés de fossiles de dinosaures. Stanislas Fautré

Canada : chasse aux trésors dans l’Alberta sur les traces des ­dinosaures

À l’aube de la nouvelle année, le journaliste Christophe Migeon et le photographe Stanislas Fautré se sont envolés pour la région des Badlands, dans le Sud-Ouest canadien. Sur cette terre gercée, qui craque sous les semelles dans un crépitement de meringue écrasée, la caresse experte des pinceaux des paléontologues révèle les fossiles de ces drôles de reptiles qui hantent l'imaginaire. Pourtant, quand les premiers Français découvrent ces vastes étendues vides de castors, ils les baptisent « mauvaises terres ». Ils ignoraient qu’à défaut de fourrures, les Badlands abritaient l’une des plus fortes concentrations de fossiles de dinosaures du monde ! L’érosion rabotant chaque année d’un centimètre les pentes des collines, on ne cesse de trouver de nouvelles vertèbres, des côtelettes pétrifiées ou, pour les plus chanceux, des fragments de squelettes de T-rex…

» Découvrir ce reportage au Canada dans son intégralité

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Au nord du Laos, le charme d’une Asie que l’on croyait perdu

Le Mékong traverse l'ancienne cité royale de Luang Prabang , classée au patrimoine mondial de l'Unesco en 1995. Mazur Travel

C’est aux confins du Triangle d’or, au cœur de la jungle de Bokeo, que le journaliste Christophe Migeon et le photographe Stanislas Fautré ont débuté ce fascinant reportage. Là-bas, les frondaisons des grands arbres abritent des gibbons à crête noire, qu’il est possible d’observer grâce au travail obstiné d’un Français installé au Laos depuis vingt-cinq ans. Bouleversés par leur rencontre avec ces primates, dont il ne reste guère que 1 200 individus répartis entre le Laos, le Vietnam et la Chine, le binôme a ensuite longé les eaux caramel du Mékong, direction Luang Prabang. L’ancienne capitale des rois avec son charme suranné de sous-préfecture alanguie à l’ombre des kapokiers est l’endroit rêvé pour se remettre de ces émotions sylvestres. Langueur et nostalgie saisissent le voyageur sans crier gare. L’Indochine de Marguerite Duras n’est plus mais le Laos, lui, est toujours aussi lascif.

» Découvrir ce reportage au Laos dans son intégralité

Papouasie-Nouvelle-Guinée: le diamant brut de l’Océanie

L'immense baie de Rabaul en Nouvelle-Bretagne est dominée par le Tavurvur, un volcan aux colères redoutées. Greg Lecoeur

Ceux qui l’ont visitée sont unanimes : c’est un autre monde. Et ce n’est pas le binôme Jean-Bernard Carillet et Greg Lecoeur, partis en février, qui dira le contraire. Mal reliée au monde extérieur, presque recluse, la région du fleuve Sepik (au centre du pays) représente l’une des dernières frontières du voyage, à la fois rude et attachante, vertigineuse et secrète. Sans route, ni électricité ou eau courante, elle est une destination taillée sur mesure pour les visiteurs dotés d’un solide esprit d’aventure. Pour autant, l’«Amazonie de la Papouasie» n’est pas une diagonale du vide. Ce paradis ornithologique et sanctuaire marin sert d’écrin à une mosaïque de cultures tribales qui perpétuent leurs coutumes ancestrales, à l’instar du sing sing, un festival de danses et de chants rituels qui réunit des centaines de tribus en provenance de tout le pays. Les repères du monde moderne s’effacent, engloutis par l’immensité sauvage et la touffeur du climat.

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» Découvrir ce reportage en Papouasie-Nouvelle-Guinée dans son intégralité

Laponie suédoise : visite en avant-première de l’hôtel Arctic Bath

L'Arctic Bath et ses architectures flottantes, saisies par la glace. Visit Sweden

Il en faut de la détermination pour atteindre la bourgade de Harads, dans le nord de la Suède. Depuis la ville de Luleå, à une heure et demie de vol de Stockholm et 100 kilomètres au sud du cercle polaire, le journaliste Olivier Reneau et le photographe Éric Martin ont arpenté ce territoire nordique presque immaculé, longtemps peuplé en majorité par les Samis. Estimé à 30 000 individus en Suède, ce dernier peuple autochtone en Europe continue, parfois non sans difficulté, de faire perdurer des traditions qui émaillent l’art de vivre local. C’est au cœur de cette nature rude et entièrement recouverte d’un épais manteau neigeux que l’Arctic Bath se dévoile. Ce bijou architectural aux parois courbes abrite en son centre, à ciel ouvert, le fameux bain nordique, creusé dans la rivière où l’on s’initie aussi à la pêche sous glace. La nuit tombée, les lumières dansantes illuminent le ciel de nuances émeraude. La magie opère.

» Découvrir ce reportage en Laponie suédoise dans son intégralité

Delta du Paraná : l’Argentine au fil de l’eau

Entre le canal Honda et le río Paraná de las Palmas, où plus d'un navire s'est échoué. Eric Martin

À 25 kilomètres de Buenos Aires, la capitale la plus moderne d’Amérique du Sud, tout un monde vit au rythme d’un immense delta né de la rencontre des fleuves Paraná et Uruguay, qui se jettent dans l’immense estuaire de la Plata. Une toile d’araignée de 17.000 km², l’équivalent de 20 fois notre Camargue, dont les fils seraient des fleuves, des rivières et des canaux divisant la terre en milliers d’îlots. En mars, la journaliste Marie-Amal Bizalion et le photographe Éric Martin se sont immergés dans cet univers exempt de bitumes, livrant un récit inattendu de villes côtières en îles inaccessibles.

» Découvrir ce reportage en Argentine dans son intégralité

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Rocamadour, Padirac, Saint-Cirq-Lapopie... Vacances dans le Lot en toute liberté

Le site du château des Anglais, à Autoire, domine la vallée de la Dordogne. Eric Martin

Au lendemain du premier confinement, tandis que les frontières extérieures n’étaient pas encore ouvertes, c’est dans ce petit département du sud-ouest de la France que Philippe Viguié Desplaces et Éric Martin ont égrené, le long de routes sinueuses et pittoresques, des chapelets de villages en pierre blonde aux toitures rouges couvertes de tuiles romaines. Pays de grottes, de cirques et de gouffres (dont le plus célèbre est celui de Padirac), l’ancienne province royale du Quercy, abandonné aux moutons et aux brebis, est creusée par deux vallées fertiles : celle de la rivière Lot au sud, celle de la Dordogne au nord. Si Georges Pompidou et Françoise Sagan ont fait du Lot le symbole des étés insouciants de la campagne française, la douceur de vivre est aujourd’hui portée par une nouvelle génération d’artisans et de passionnés.

» Découvrir ce reportage dans le Lot dans son intégralité

Héritage industriel et dédale de canaux : Hambourg, de rouille et d’eau

L'Elbphilharmonie est devenue le nouveau symbole de la ville de Hambourg. Eric Martin

La mer du Nord a beau être à une centaine de kilomètres, elle est bien là, avec ses marées parfois grandioses et son horizon s’ouvrant sur l’infini. Pas de longue étendue de sable au loin, mais des grues portuaires qui s’agitent dans une chorégraphie bien rodée. Car si son passé marchand a laissé à Hambourg un fantastique héritage architectural et culturel, le port demeure inscrit dans l’ADN de la cité hanséatique, où les reporters Bérénice Debras et Éric Martin ont choisi de prolonger l’été. Dans ce vertige de briques et de canaux, on découvre une myriade de lieux tendances, cachés dans des méandres au confluent de l’Alster et de l’Elbe.

» Découvrir ce reportage à Hambourg dans son intégralité

Venise confidentielle, balade littéraire dans le labyrinthe de la Sérénissime

À Venise, seul le Campiello Barbaro se souvient du poète Henri de Régnier. Eric Martin

Submergée par les visiteurs, la Cité des doges, la vraie, n’existait qu’aux premières heures du jour, dans les souvenirs des uns, l’imaginaire des autres. Or, depuis quelques mois, à l’étrange faveur d’un drame sanitaire, elle a retrouvé l’éclat de son mythe. À ceux qui lui demandent « Pourquoi, encore Venise ? », le journaliste Adrien Gombeaud répond tout simplement qu’il est venu lire. Car Venise est une ville de lecteurs autant que d’écrivains. Dans l’objectif d’Eric Martin, le cœur de la cité bat moins piazza San Marco que dans les ruelles jalonnées de librairies où les bouquins s’entassent pêle-mêle dans des baignoires, des kayaks et, évidemment, des gondoles.

» Découvrir ce reportage à Venise dans son intégralité

Crozon, Ouessant, Morlaix... Le Finistère nord, on dirait le Sud

La plage de l'île Vierge, sur la presqu'île de Crozon, le trident de la Bretagne. Stanislas Fautré

Et si le bout du monde n’était qu’à trois heures de Paris ? Avec des baies de carte postale, des îlots de granit couronnés d’écume, des plages de sable fin baignées d’une eau cristalline, le Finistère nord déploie une des côtes les plus spectaculaires de France. On le dit austère et rugueux ? Le journaliste Vincent Noyoux et le photographe Stanislas Fautré, partis à sa découverte au mois de juillet, donnent à voir des paysages dignes des mers chaudes : la pointe de Perharidy, des criques de sable blanc à l’ombre de cyprès et de pins maritimes ; la plage des Amiets, des rochers ronds semés dans un lagon turquoise ; la dune sauvage de Keremma, une steppe d’oyats battus par les vents… Sans oublier la privilégiée île de Batz, à quelques minutes en bateau des quais de Roscoff, protégée des rigueurs de l’hiver par un microclimat insoupçonné.

» Découvrir ce reportage en Bretagne dans son intégralité

Carnet de voyage à Mata Atlantica, une jungle océanique aux portes de São Paulo

Tel un fjord tropical, Saco de Mamanguá, profonde vallée noyée par l'océan... Olivier Grunewald

Franchis la lisière de béton et l’entrelacs de lianes de métal que la ville de São Paulo a laissé pousser à l’infini, les reporters Bernadette Gilbertas et Olivier Grunewald ont embarqué vers le sud, direction la Mata atlântica. Loin d’avoir la notoriété de la forêt amazonienne, elle n’en reste pas moins le deuxième écosystème le plus riche au monde, avec près de 8 000 plantes (soit 40 % des espèces qui composent cette formation végétale) qui ne se développent qu’ici. Entre dômes de granite et plages alanguies, la route dévale montagnes et collines, trempe ses racines dans les eaux vertes de l’Atlantique et se réfugie sur plus de 400 îles pour venir se faufiler jusqu’aux pieds du Christ crucifié, sur les hauteurs de Rio de Janeiro.

» Découvrir ce reportage au Brésil dans son intégralité



En France ou au bout du monde : nos plus beaux reportages de l'année 2020

Du Canada au Brésil, en passant par la Papouasie-Nouvelle-Guinée, la rédaction a sélectionné les 10 reportages du Figaro Magazine qui ont fait 2020. De quoi clôturer cette année imprévisible en étant bien inspiré...

Le billard de prairies et de champs de colza des Grandes Plaines canadiennes se creuse de canyons sinueux gorgés de fossiles de dinosaures.
Le billard de prairies et de champs de colza des Grandes Plaines canadiennes se creuse de canyons sinueux gorgés de fossiles de dinosaures. Stanislas Fautré

Canada : chasse aux trésors dans l’Alberta sur les traces des ­dinosaures

À l’aube de la nouvelle année, le journaliste Christophe Migeon et le photographe Stanislas Fautré se sont envolés pour la région des Badlands, dans le Sud-Ouest canadien. Sur cette terre gercée, qui craque sous les semelles dans un crépitement de meringue écrasée, la caresse experte des pinceaux des paléontologues révèle les fossiles de ces drôles de reptiles qui hantent l'imaginaire. Pourtant, quand les premiers Français découvrent ces vastes étendues vides de castors, ils les baptisent « mauvaises terres ». Ils ignoraient qu’à défaut de fourrures, les Badlands abritaient l’une des plus fortes concentrations de fossiles de dinosaures du monde ! L’érosion rabotant chaque année d’un centimètre les pentes des collines, on ne cesse de trouver de nouvelles vertèbres, des côtelettes pétrifiées ou, pour les plus chanceux, des fragments de squelettes de T-rex…

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Au nord du Laos, le charme d’une Asie que l’on croyait perdu

Le Mékong traverse l'ancienne cité royale de Luang Prabang , classée au patrimoine mondial de l'Unesco en 1995. Mazur Travel

C’est aux confins du Triangle d’or, au cœur de la jungle de Bokeo, que le journaliste Christophe Migeon et le photographe Stanislas Fautré ont débuté ce fascinant reportage. Là-bas, les frondaisons des grands arbres abritent des gibbons à crête noire, qu’il est possible d’observer grâce au travail obstiné d’un Français installé au Laos depuis vingt-cinq ans. Bouleversés par leur rencontre avec ces primates, dont il ne reste guère que 1 200 individus répartis entre le Laos, le Vietnam et la Chine, le binôme a ensuite longé les eaux caramel du Mékong, direction Luang Prabang. L’ancienne capitale des rois avec son charme suranné de sous-préfecture alanguie à l’ombre des kapokiers est l’endroit rêvé pour se remettre de ces émotions sylvestres. Langueur et nostalgie saisissent le voyageur sans crier gare. L’Indochine de Marguerite Duras n’est plus mais le Laos, lui, est toujours aussi lascif.

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Papouasie-Nouvelle-Guinée: le diamant brut de l’Océanie

L'immense baie de Rabaul en Nouvelle-Bretagne est dominée par le Tavurvur, un volcan aux colères redoutées. Greg Lecoeur

Ceux qui l’ont visitée sont unanimes : c’est un autre monde. Et ce n’est pas le binôme Jean-Bernard Carillet et Greg Lecoeur, partis en février, qui dira le contraire. Mal reliée au monde extérieur, presque recluse, la région du fleuve Sepik (au centre du pays) représente l’une des dernières frontières du voyage, à la fois rude et attachante, vertigineuse et secrète. Sans route, ni électricité ou eau courante, elle est une destination taillée sur mesure pour les visiteurs dotés d’un solide esprit d’aventure. Pour autant, l’«Amazonie de la Papouasie» n’est pas une diagonale du vide. Ce paradis ornithologique et sanctuaire marin sert d’écrin à une mosaïque de cultures tribales qui perpétuent leurs coutumes ancestrales, à l’instar du sing sing, un festival de danses et de chants rituels qui réunit des centaines de tribus en provenance de tout le pays. Les repères du monde moderne s’effacent, engloutis par l’immensité sauvage et la touffeur du climat.

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Laponie suédoise : visite en avant-première de l’hôtel Arctic Bath

L'Arctic Bath et ses architectures flottantes, saisies par la glace. Visit Sweden

Il en faut de la détermination pour atteindre la bourgade de Harads, dans le nord de la Suède. Depuis la ville de Luleå, à une heure et demie de vol de Stockholm et 100 kilomètres au sud du cercle polaire, le journaliste Olivier Reneau et le photographe Éric Martin ont arpenté ce territoire nordique presque immaculé, longtemps peuplé en majorité par les Samis. Estimé à 30 000 individus en Suède, ce dernier peuple autochtone en Europe continue, parfois non sans difficulté, de faire perdurer des traditions qui émaillent l’art de vivre local. C’est au cœur de cette nature rude et entièrement recouverte d’un épais manteau neigeux que l’Arctic Bath se dévoile. Ce bijou architectural aux parois courbes abrite en son centre, à ciel ouvert, le fameux bain nordique, creusé dans la rivière où l’on s’initie aussi à la pêche sous glace. La nuit tombée, les lumières dansantes illuminent le ciel de nuances émeraude. La magie opère.

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Delta du Paraná : l’Argentine au fil de l’eau

Entre le canal Honda et le río Paraná de las Palmas, où plus d'un navire s'est échoué. Eric Martin

À 25 kilomètres de Buenos Aires, la capitale la plus moderne d’Amérique du Sud, tout un monde vit au rythme d’un immense delta né de la rencontre des fleuves Paraná et Uruguay, qui se jettent dans l’immense estuaire de la Plata. Une toile d’araignée de 17.000 km², l’équivalent de 20 fois notre Camargue, dont les fils seraient des fleuves, des rivières et des canaux divisant la terre en milliers d’îlots. En mars, la journaliste Marie-Amal Bizalion et le photographe Éric Martin se sont immergés dans cet univers exempt de bitumes, livrant un récit inattendu de villes côtières en îles inaccessibles.

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Le site du château des Anglais, à Autoire, domine la vallée de la Dordogne. Eric Martin

Au lendemain du premier confinement, tandis que les frontières extérieures n’étaient pas encore ouvertes, c’est dans ce petit département du sud-ouest de la France que Philippe Viguié Desplaces et Éric Martin ont égrené, le long de routes sinueuses et pittoresques, des chapelets de villages en pierre blonde aux toitures rouges couvertes de tuiles romaines. Pays de grottes, de cirques et de gouffres (dont le plus célèbre est celui de Padirac), l’ancienne province royale du Quercy, abandonné aux moutons et aux brebis, est creusée par deux vallées fertiles : celle de la rivière Lot au sud, celle de la Dordogne au nord. Si Georges Pompidou et Françoise Sagan ont fait du Lot le symbole des étés insouciants de la campagne française, la douceur de vivre est aujourd’hui portée par une nouvelle génération d’artisans et de passionnés.

» Découvrir ce reportage dans le Lot dans son intégralité

Héritage industriel et dédale de canaux : Hambourg, de rouille et d’eau

L'Elbphilharmonie est devenue le nouveau symbole de la ville de Hambourg. Eric Martin

La mer du Nord a beau être à une centaine de kilomètres, elle est bien là, avec ses marées parfois grandioses et son horizon s’ouvrant sur l’infini. Pas de longue étendue de sable au loin, mais des grues portuaires qui s’agitent dans une chorégraphie bien rodée. Car si son passé marchand a laissé à Hambourg un fantastique héritage architectural et culturel, le port demeure inscrit dans l’ADN de la cité hanséatique, où les reporters Bérénice Debras et Éric Martin ont choisi de prolonger l’été. Dans ce vertige de briques et de canaux, on découvre une myriade de lieux tendances, cachés dans des méandres au confluent de l’Alster et de l’Elbe.

» Découvrir ce reportage à Hambourg dans son intégralité

Venise confidentielle, balade littéraire dans le labyrinthe de la Sérénissime

À Venise, seul le Campiello Barbaro se souvient du poète Henri de Régnier. Eric Martin

Submergée par les visiteurs, la Cité des doges, la vraie, n’existait qu’aux premières heures du jour, dans les souvenirs des uns, l’imaginaire des autres. Or, depuis quelques mois, à l’étrange faveur d’un drame sanitaire, elle a retrouvé l’éclat de son mythe. À ceux qui lui demandent « Pourquoi, encore Venise ? », le journaliste Adrien Gombeaud répond tout simplement qu’il est venu lire. Car Venise est une ville de lecteurs autant que d’écrivains. Dans l’objectif d’Eric Martin, le cœur de la cité bat moins piazza San Marco que dans les ruelles jalonnées de librairies où les bouquins s’entassent pêle-mêle dans des baignoires, des kayaks et, évidemment, des gondoles.

» Découvrir ce reportage à Venise dans son intégralité

Crozon, Ouessant, Morlaix... Le Finistère nord, on dirait le Sud

La plage de l'île Vierge, sur la presqu'île de Crozon, le trident de la Bretagne. Stanislas Fautré

Et si le bout du monde n’était qu’à trois heures de Paris ? Avec des baies de carte postale, des îlots de granit couronnés d’écume, des plages de sable fin baignées d’une eau cristalline, le Finistère nord déploie une des côtes les plus spectaculaires de France. On le dit austère et rugueux ? Le journaliste Vincent Noyoux et le photographe Stanislas Fautré, partis à sa découverte au mois de juillet, donnent à voir des paysages dignes des mers chaudes : la pointe de Perharidy, des criques de sable blanc à l’ombre de cyprès et de pins maritimes ; la plage des Amiets, des rochers ronds semés dans un lagon turquoise ; la dune sauvage de Keremma, une steppe d’oyats battus par les vents… Sans oublier la privilégiée île de Batz, à quelques minutes en bateau des quais de Roscoff, protégée des rigueurs de l’hiver par un microclimat insoupçonné.

» Découvrir ce reportage en Bretagne dans son intégralité

Carnet de voyage à Mata Atlantica, une jungle océanique aux portes de São Paulo

Tel un fjord tropical, Saco de Mamanguá, profonde vallée noyée par l'océan... Olivier Grunewald

Franchis la lisière de béton et l’entrelacs de lianes de métal que la ville de São Paulo a laissé pousser à l’infini, les reporters Bernadette Gilbertas et Olivier Grunewald ont embarqué vers le sud, direction la Mata atlântica. Loin d’avoir la notoriété de la forêt amazonienne, elle n’en reste pas moins le deuxième écosystème le plus riche au monde, avec près de 8 000 plantes (soit 40 % des espèces qui composent cette formation végétale) qui ne se développent qu’ici. Entre dômes de granite et plages alanguies, la route dévale montagnes et collines, trempe ses racines dans les eaux vertes de l’Atlantique et se réfugie sur plus de 400 îles pour venir se faufiler jusqu’aux pieds du Christ crucifié, sur les hauteurs de Rio de Janeiro.

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LES BOUCANS DE LA BAIE 30 DÉCEMBRE 2020

 


Sans surprise, les boucans de la baie n'ont pas lieu en 2020


Ce n'était plus vraiment un secret. Les boucans de la baie, la grande fête populaire autour d'un spectacle pyrotechnique de la ville de Fort-de-France, n'ont pas eu lieu. Un rassemblement d'une telle ampleur est impensable. La ville a donc développé le concept proposé par une association.

Et avec les pluies diluviennes qui tombent ce mercredi soir on a moins de regret car les pétards auraient été mouillés...🧨🧨🧨

Sans surprise, les boucans de la baie n'auront pas lieu en 2020

Il n'y aura pas de grand show pyrotechnique à Fort-de-France pour clôturer cette année 2020. Au vu de la crise sanitaire qui touche actuellement la Martinique, la ville de Fort de France et l'office du tourisme du centre ont décidé de ne pas maintenir les Boucans de la baie.

🎇🎆🎇🎆✨✨🎇🎆

"Nous avons réalisé très tôt que nous n'aurions pas eu les moyens techniques de réaliser les Boucans de la baie tout en respectant les gestes barrières", admet Luc Jouye de Grandmaison, conseiller municipal de la ville de Fort-de-France.

En cette période de crise sanitaire, il faut donc oublier le grand rassemblement prévu sur le Bord de mer ou sur les hauteurs du chef lieu. mais un show musical diffusé en télévision le soir du 30 décembre.

La grande fêtes populaire sera remplacé par des concerts filmés aux 4 coins du territoire de la Cacem. Les collectivités ont suivi une proposition faite par une association qui en parallèle permet de soutenir les artistes.

"Il s'agira d'un spectacle télévisé de deux heures qui permettra de valoriser des sites touristiques du centre. Cela permettra aussi d'aider les artistes qui ont eu une année difficile par rapport au covid-19", ajoute l'élu.


Les boucans de la baie 2020 : L’évènement se vivra à la maison cette année !


Le 30 décembre 2020, pas de ciel illuminé par les feux d’artifice et leurs effets pyrotechniques comme c’est le cas depuis depuis plusieurs années maintenant à Fort de France. Compte tenu du contexte sanitaire, les responsables de la municipalité et de l’office de tourisme de la ville ont décidé d’annuler cet évènement pyromusical. Les traditionnels boucans de la baie prendront une autre forme.

S’inspirant et mettant en œuvre l’idée d’une association, ces autorités ont décidé de permettre à la Martinique de vivre cette manifestation différemment.

Un concert télévisé de deux heures est programmé pour le 30 décembre. Il va permettre de valoriser plusieurs sites du centre de la Martinique.

Cela fait plusieurs jours maintenant que l’office de tourisme de la ville avait prévenu qu’en raison de la situation sanitaire exceptionnelle de cette année 2020 due à l’épidémie de COVID-19, et des restrictions de circulation, la fête ne pourrait peut-être pas être organisée cette année.

mercredi 30 décembre 2020

SUS AUX CRUSTACÉS

 

C'est le jour du Marché à la Rade ! Profitez des produits locaux et de saison.








Le marché du centre-ville de Perros-Guirec se tiendra exceptionnellement jeudi 31 décembre au lieu de vendredi.


Retrouvez vos marchés hebdomadaires à Perros-Guirec cette semaine : Mercredi à la Rade | Jeudi au Centre-Ville | Dimanche à la Clarté.


http://ville.perros-guirec.com/ma-ville/vie-quotidienne/les-marches.html


TROP C'EST TROP...🤬😡😠 😷




TOUJOURS EN ABSURDISTAN 




 [ #Restrictions de circulation dès 22h à l’occasion du #réveillon du 31 décembre 2020 ]

Les dernières mesures prises pour lutter contre la propagation du virus en Martinique ont permis un ralentissement net du nombre de contaminations, les derniers chiffres ont montré que les taux de positivité et d’incidence restent en-dessous des seuils d’alerte pour la quatrième semaine consécutive.

Ces résultats ne doivent pas faire oublier que la circulation virale est toujours active sur l’ensemble du territoire. Une grande vigilance doit donc être maintenue pour le réveillon

de la Saint-Sylvestre.

Afin d’éviter un rebond de l’épidémie dû aux rassemblements festifs, le préfet de la Martinique a annoncé dès le lundi 28 décembre un couvre-feu interdisant les déplacements entre 1 heure et 6 heures du matin le vendredi 1er janvier 2021.

A la différence du week-end de Noël, qui a été familial et majoritairement dans le respect des règles de protection, des

risques avérés de festivités sans précaution pour le 31 décembre

nous conduisent à renforcer le couvre-feu déjà prévu.

Ces mesures seront donc complétées par une première phase dès 22h00. A partir de 22h, ne seront autorisés que les déplacements impérieux.


Seules les personnes qui présenteront une attestation de déplacement dérogatoire disponible sur le site de la préfecture pourront se déplacer durant la période d’interdiction pour les exceptions autorisées :

1) Déplacements entre le domicile et le lieu d'exercice de l'activité professionnelle ;

2) Déplacements pour des consultations et soins ne pouvant être assurés à distance et ne pouvant être différés ou pour l'achat urgent de produits de santé ;

3) Déplacements pour motif familial impérieux, pour l'assistance aux personnes vulnérables ou précaires ou pour la garde d'enfants ;

4) De 22h à 1h du matin : déplacement pour se rendre à son domicile depuis un ERP autorisé à accueillir du public.

Le préfet rappelle que les restrictions suivantes déjà en vigueur sont maintenues et seront appliquées le 31 décembre 2020 :

• protocole dans les restaurants

• interdiction d’accéder aux plages à partir de 19 heures ;

• fermeture à minuit des restaurants et respect du protocole sanitaire ;

• interdiction de la vente d’alcool à emporter et de la consommation d’alcool sur la voie publique à partir de20 heures ;

• interdiction de tout rassemblement de plus de 6 personnes sur la voie publique.


Le préfet appelle chacun au sens au sens des responsabilités pour ne pas fragiliser dans des comportements festifs inadaptés la situation sanitaire de la Martinique


COMMENTAIRES : Carrefour et LeaderPrice bondés encore ce soir ... 15 chariots par caisse !!! Pas de distanciation... et demain couvre feu !?!



[#Covid19] À l’occasion du réveillon du jour de l’An, la vigilance doit plus que jamais rester de mise. 

⏰Après avoir échangé avec les maires de l’archipel, les procureurs de la République et la directrice générale ARS Guadeloupe, et en cohérence avec les autres territoires ultra-marins concernés par la même mesure, le préfet de la Guadeloupe instaure un couvre-feu sur l’ensemble du département entre 22h et 5h du matin, dans la nuit du 31 décembre 2020 au 1er janvier 2021, selon les modalités citées dans l'infographie⤵️

📜Pour tout déplacement entre 22h et 5h, chacun devra se munir d’une attestation de déplacement dérogatoire avec les documents justificatifs (Exemple : facture du restaurant entre 22h et 1h) ou d’un justificatif de déplacement professionnel signé de l'employeur.

📥Les attestations sont téléchargeables sur le site de la préfecture ➡https://bit.ly/3nYVgug


🔴 Aucune tolérance ne sera accordée, ni pour les déplacements sans attestation dérogatoire entre 22h et 5h, ni pour les rassemblements spontanés sur la voie publique, ni pour les fêtes clandestines dont les organisateurs pourront s’exposer à des poursuites pénales.


📌La mesure de couvre-feu contribuent à limiter les brassages de population qui participent activement à la circulation du virus. Elles permettent également de diminuer une accidentalité routière trop élevée en Guadeloupe, qui concourt à l'engorgement des services d’urgence et limite la capacité des centres hospitaliers à prendre en charge les patients atteints de la COVID-19.


🔴 Le préfet de région rappelle que tous les feux d'artifices sont strictement interdits.


🔵 Ne gâchons pas les efforts consentis pendant l’année écoulée. Préservons notre archipel et protégeons nos proches.



HEUREUSEMENT IL Y A LA SOLUTION...



🔴💡POURQUOI ? POUR QUI ?💡🔴


Pourquoi (B)ill (G)ates a réuni ses copains en octobre 2019 pour simuler une pandémie de coronavirus dans le monde entier ?


Pourquoi le mari de Buzin est lié au laboratoire de Wuhan ?


Pourquoi un "couvre-feu" alors qu'il s'agit d'un virus ?


Pourquoi les conseillers scientifiques de Macron sont payés par Gilead, laboratoire qui vend le Remdesivir ?


Pourquoi on écoute davantage un informaticien milliardaire qu’un médecin de terrain ?


Pourquoi l’OMS est-elle financée en partie par (B)ill (G)ates ?


Pourquoi les autopsies ont été interdites sur les personnes au printemps ?


Pourquoi les antennes 5(G) ont été installées rapidement pendant le confinement ?


Pourquoi les médecins perçoivent plus d’argent lorsque le test C.o.v.i.d est positif ?


Pourquoi les médecins perçoivent plus d’argent lorsque le certificat mentionne comme cause de décès le C.o.v.i.d ?


Pourquoi les tests PCR ne sont-ils pas identiques sur tout le réseau national ?


Pourquoi change-t-on d’indicateurs constamment pour faire des statistiques ?


Pourquoi l’Etat n’a pas ouvert de nouveaux lits de réanimation après le printemps ?


Pourquoi l’Etat a gazé en 2019 les soignants qui demandaient plus de moyens ?


Pourquoi l’Etat n’utilise pas les lits des cliniques privées, en situation de tension ?


Pourquoi n’y-a-t-il pas de preuves de l’efficacité des masques ?


Pourquoi n’y-a-t-il pas de preuves de l’efficacité des confinements ?


Pourquoi a-t-on interdit la vente des masques aux pharmaciens ce printemps ?


Pourquoi ne dit-on pas que le taux de mortalité du C.o.v.i.d est identique à celui d’une mauvaise grippe ?


Pourquoi la grippe a disparu des statistiques des causes de décès cet hiver ?


Pourquoi une ballade seule en forêt est dangereuse tandis qu'un bus bondé pour emmener les esclaves au travail est autorisé ?


Pourquoi un livre vendu dans une petite librairie est-il plus dangereux qu’un livre vendu à la FNAC ?


Pourquoi n’y a-t-il pas eu d'explosions d'hospitalisations ou de décès en juin avec la fête de la musique, en juillet/août avec les manifestations, déplacements, rassemblements touristiques ?


Pourquoi connaissait-on la date du reconfinement (28 octobre) depuis cet été ?


Pourquoi Chevènement savait qu’un prof allait se faire décapiter la veille du fait avéré ?


Pourquoi ne parle-t-on pas de la vague de dépressions et suicides que cette situation cause ?


Pourquoi les médecins qui ont une approche alternative se font agresser sur les plateaux TV ?


Pourquoi le vocabulaire utilisé pour dépeindre cette situation sanitaire est celui de la guerre ? ( prononcé 13 fois par Macron lors de son intervention ) 


Pourquoi n’entend-t-on jamais parler de système immunitaire ?


Pourquoi Facebook, Twitter, YouTube ont augmenté de manière exponentielle la censure ces derniers mois ?


Pourquoi ne demande-t-on pas au peuple de quelle manière il souhaite être gouverné dans cette situation de crise ?


Pourquoi n’a-t-on pas fait tout un scandale en 2017 alors que la grippe a été un peu plus meurtrière cette année-là ?


Pourquoi ne dépense-t-on pas autant d'énergie et d'argent pour traiter de diminuer l'incidence de maladies dont le taux de mortalité est plus élevé (maladies cardio-vasculaires, cancer, diabète, tuberculose) ?


Pourquoi tous les médias ont la même approche de cette situation ?

Pourquoi ?

POUR QUI ?

Parce qu'il est l'heure de se réveiller...








mardi 29 décembre 2020

RECORDS DE CHALEUR