Le Prêcheur
Étirant ses maisons le long d’une plage de sable noir et laissant paisiblement le temps traverser la chevelure de ses cocotiers alanguis, le Prêcheur qui bénéficie d’un micro-climat des plus ensoleillés de la Martinique, occupe une place de choix parmi les bourgs les plus pittoresques de l’île.
Ultime agglomération de la côte Nord-Caraïbe, le Prêcheur n’est pas un lieu que l’on traverse, mais que l’on visite avec l’esprit curieux du chercheur d’insolite.
Le bourg a son clocher, le plus ancien de la Martinique, et sa célébrité : Madame De Maintenon, qu’épousera le Roi-Soleil et qui ici passa son enfance heureuse.
Au village Pomme Cannelle, il est possible de partir à la découverte des anses sauvages situées entre le Prêcheur et Grand-Rivière avec un bateau conduit par un authentique pêcheur. Amoureux de marche ou de plongée, chacun y trouve son compte.
En partant du village Pomme Cannelle découvrez la Grande Savane et touchez le ciel en haut de la Pelée. Entre le Prêcheur et Grand-Rivière, laissez-vous éclabousser de fraîcheur par la magnifique cascade qui vous fera penser que le paradis terrestre est à portée de mains.
L’HISTOIRE
Le Prêcheur est érigé en paroisse dans les année 1640-1644 sous la protection de Saint-Joseph. Son nom viendrait d’un rocher aujourd’hui immergé dont la forme curieuse dessinait au large un prédicateur en chaire.Avec Saint-Pierre, dont elle fut un quartier, le Prêcheur est la zone d’occupation de la Martinique. La paroisse fut érigée en commune en 1839.
Disputée par les Anglais qui tentèrent de débarquer, à plusieurs reprises et notamment à Fond Canonville en 1694, la côte du nord caraïbes brillait alors de l’activité de Saint-Pierre jusqu’à Grand-Rivière.
Le prêcheur, connu pour ses éditions tapageuses, fut le théâtre des troubles et agitations qui ont conduit à l’anticipation de l’abolition de l’esclavage… »victime » parfois oubliée de l’éruption de la Montagne Pelée, la commune aujourd’hui a pour principales activités la pêche, l’agriculture, et notamment le tourisme.
LA VILLE
Le prêcheur dont le nom seul évoque une légende, est le dernier village sur la côte nord caraïbes de la Martinique. Cette commune est l’une des plus ancienne paroisse de l’ile puisqu’elle date des années 1640 où l’histoire des caraïbes se mêle à celles des Colons et de l’esclavage et représente l’un des lieux d’origine des révoltes anti-esclavagistes.
Sur cette terre dotée d’une nature généreuse et d’une histoire riche, le développement se conçoit par la préservation de son environnement, la valorisation de son patrimoine historique et culturel, par la formation de sa population aux métiers liés au tourisme vert et bleu.
La population prêchotine, accueillante et chaleureuse, s’approprie cette démarche pour faire découvrir aux touristes, l’authenticité de sa Commune, les beautés de la nature terrestre et maritime, les richesses de son patrimoine historique et culturel.
Des professionnels de la restauration font apprécier une culture culinaire originale avec par exemple la fricassée de boyaux de thon. Des professionnels de la pêche proposent de faire découvrir les merveilleux paysages des anses du Nord du Prêcheur et de la perle, et les beautés sous-marines. Des professionnels de l’agriculture travaillent pour mieux vous accueillir des gîtes ou des chambres d’hôtes installés sur les flancs des mornes où pousse une importante production maraîchère naturelle.
L’éducation de la population est fondamentale pour la préservation de cet environnement qui est un véritable capital à pérenniser, et la formation des jeunes à l’initiative pour la création d’activités et de produits touristiques innovants et dont les potentialités sont nombreuses.
Le village du Prêcheur- Une Ballade à ne pas manque
Le PHARE
Le phare du Prêcheur mesure 11,85 m de hauteur et se situe à environ 23,40 m au dessus du niveau de la mer.
D’après JB DELAWARE le phare du Prêcheur se situe sur une plate forme formée par une coulée de boue jaillie de la Montagne Pelée le 30 août 1902.
D’après JB DELAWARE le phare du Prêcheur se situe sur une plate forme formée par une coulée de boue jaillie de la Montagne Pelée le 30 août 1902.
Installé depuis 1927, le phare du Prêcheur qui balise la partie nord caraïbe de la Martinique a fonctionné au pétrole jusqu’en 1936 date à laquelle il a été électrifié et depuis 1990, il est entièrement automatisé et contrôlé depuis Fort-de-France par les Phares et Balises (Services port et aéroport de la DDE).
En 1995, le système d’entraînement de l’optique a été changé.
En 1996, la salle optique, la structure métallique et le soubassement ont été rénovés, tous ces travaux étaient réalisés en régie par les agents des Phares et Balises.
En 1996, la salle optique, la structure métallique et le soubassement ont été rénovés, tous ces travaux étaient réalisés en régie par les agents des Phares et Balises.
Le phare a une portée de 18 miles (lampe de 150W- 220 V) soit 33 Km. Il dispose d’un feu de secours de 13 milles de portée (lampe de 90W- 24V).
En cas de panne de courant, le phare est secouru par une batterie d’accumulateurs de 4 jours d’autonomie.
Le phare n’est plus gardienné, mais la surveillance électronique ne suffit pas, les abords du phare, la structure métallique en cuivre sont entretenus durant toute l’année pour assurer un meilleur service aux navigateurs et à la beauté du site.
Au rez-de-chaussée côté mer, se trouve une porte haute de 2m20, large de 1m20 ouverte dans un mur d’un mètre d’épaisseur.
A l’étage, quatre baies, une sur chaque muraille. Elles mesurent 2m de haut sur 0m80 de large.
L’église
Il ne reste plus aucune trace de l’ancienne église du Prêcheur.
Un petit sanctuaire, fait de planches et de tôles, est édifié à la fin du XVIIème siècle ou au début du XVIIIème, agrandi en 1860, puis carrelé par l’abbé Bertaud en 1887-1888. L’éruption de 1902 ravage l’édifice qui est remplacé par une petite chapelle en bois dont la façade passait pour originale.
Un petit sanctuaire, fait de planches et de tôles, est édifié à la fin du XVIIème siècle ou au début du XVIIIème, agrandi en 1860, puis carrelé par l’abbé Bertaud en 1887-1888. L’éruption de 1902 ravage l’édifice qui est remplacé par une petite chapelle en bois dont la façade passait pour originale.
En 1930 l’église d’architecture byzantine dessinée par René Dantin est construite sous la municipalité d’Asthon TARDON. La fresque de Charles TRICLOT, peinte dans les années 1940 s’est détériorée, elle fût remplacée par celle du père Grasselly, curé de la paroisse de 1953 à 1954.
Aujourd’hui, la Paroisse Saint-Joseph est dirigée par le Père Christian AINE.
Les 3 cloches
La cloche du centre fut offerte par Louis XIV à la demande de Madame de Maintenon épouse morganatique, et fut fondue à Brest en 1712.
Inscriptions sur les cloches :
Inscriptions sur les cloches :
Antoine Joseph : un côté : « Léon Albert, maire chevalier de la légion d’honneur. Lucotte, président du conseil de fabrique. Létang, trésorier marguillier. Thouin, curé. Dubuisson gallois, fondeur à Paris ». L’autre côté : « Jésus Marie Joseph. Vive Pie IX pontifié roi. Paroisse de Saint-Joseph du Prêcheur – don des paroissiens 1870. Antoinette Joseph.
Le Bourbon : inscription autour de la cloche, avec des motifs d’angelots et des fleurs de lys, ainsi que la lettre R.
En haut : « Loy este faite pour Marguillier ». En bas : « Loi este fondue à Brest par Thomas le Sove en l’an 1712 ». Le médaillon, d’un homme à perruque et d’une femme.
En haut : « Loy este faite pour Marguillier ». En bas : « Loi este fondue à Brest par Thomas le Sove en l’an 1712 ». Le médaillon, d’un homme à perruque et d’une femme.
Léonie Adèle Pierre : les mêmes inscriptions qu’ Antoine Joseph, sauf le nom. Sur la jupe : un cavalier. Le Christ d’un côté et une vierge à l’enfant de l’autre.
F. d’Aubigné
Plaque à la mémoire de Madame de Maintenon
C’est à Grand-Case, à l’Anse Belleville que Françoise d’Aubigné, née à Niort (Deux-Sèvres) en 1635, petite fille d’Aggripa d’Aubigné, aurait passé une partie de son enfance.
Revenue en métropole, elle épouse le poète Scarron en 1652. Veuve, elle est chargée de l’éducation des enfants de Louis XIV et de Madame de Montespan.
Devenue l’épouse morganatique du Roi-Soleil en 1683, Madame de Maintenon exerce son influence dans le domaine religieux, en fondant notamment la maison de Saint-Cyr pour l’éducation des jeunes filles nobles, pauvres, comme elle le fut elle-même.
Elle meurt en 1719 à Saint-Cyr, où elle s’est retirée après la mort du roi.
Le Vieux cloché
Le plus vieux monument français de la Martinique, seul vestige de la première église du Prêcheur. Eglise où a officié le révérend Père Du Tertre, historien ainsi que le révérend Père Labat.
Clocher carré du XVIIe siècle, de style roman, il est construit sur le Morne Danty.
Les cloches étaient en août 1993 encore dans les combles dont la charpente est admirablement construite d’essences : on y trouve du balata, de l’acouma, du courbaril, de l’angelin.
Plusieurs poutres ont été noircies et entamées par un feu en 1927, (alors que l’on brûlait des « rasiers » sur l’habitation Préville le feu a gagné jusque là) ; on a dû réparer avec du bois du nord.
Ses murs épais, en moellons andésites ramassés dans la rivière voisine sont établis sur un plan carré de 6m de côté et n’ont d’ailleurs que 7m de hauteur, de sorte que l’édifice se rapproche plus d’un cube que d’une flèche et prend un aspect massif et fortifié.
D’une hauteur de 12m il dominait l’ancienne église du Prêcheur.
Inscrit à l’inventaire des monuments historiques depuis 1979, il est certainement le plus ancien monument français de la Martinique.
Inscrit à l’inventaire des monuments historiques depuis 1979, il est certainement le plus ancien monument français de la Martinique.
A cette époque en Martinique, le manque de connaissances techniques rendait difficile la construction des clochers au dessus du chœur ou du narthex d’une église.
Le Maître-Autel
Le maître-autel est unique. Fait en marbre d’un seul tenant, il est orné des sculptures à la manière du XVIIe siècle.Il se trouve aujourd’hui dans la nouvelle église du Prêcheur. C’est l’un des plus anciens de l’île avec Saint-Pierre et Case-Pilote.
le Prêcheur
A l’extrême nord-Ouest, le Prêcheur est le dernier village de la route caraïbe. Son nom viendrait d’un rocher aujourd’hui immergé dont la forme curieuse dessinait au large un prédicateur en chaire.
Avec Saint-Pierre, dont elle fut un quartier jusqu’en 1839, le Prêcheur est la première zone d’occupation de la Martinique, en 1635. La paroisse fut érigée en commune en 1839. La population du Prêcheur est de 1845 habitants, appelés Préchotins, pour une superficie de 13.4 Km².
Sur son territoire: le « Tombeau des Caraïbes » où si l’on croit la légende, s’est produit le suicide collectif de nombreux Caraïbes.
Le Prêcheur fut le théâtre des troubles et des agitations qui ont conduit à l’anticipation de l’abolition de l’esclavage. « Victime » parfois oubliée de l’éruption de la Montagne Pelée, la Commune aujourd’hui a pour principales activités la pêche, l’agriculture, et notamment le tourisme.
Dans le Bourg, une colonne érigée en 1875 rend hommage au gouverneur Du Parquet , premier pilier de la colonie de 1635 à 1658.
L’église à maintes fois détruite, par exemple par l’éruption de la Montagne Pelée en 1902, a conservé des premiers âges, le clocher carré du XVIIème siècle , construit à l’écart sur le Morne Danty. Françoise d’Aubigné vécut dans le quartier Grand Case, vers 1642, avec sa mère et ses frères. Elle ne pouvait imaginer, qu’elle serait connue quelques années plus tard, sous le nom de Madame de Maintenon, l’épouse du Roi Louis XIV.µ
CIRCUITS & DECOUVERTES > Nord Caraibes
SCHOELCHER
1ère commune traversée, elle porte le nom du député Victor SCHOELCHER qui obtint l’abolition de l’esclavage en 1848. Anciennement baptisée CASE NAVIRE, elle offre de nombreux mouillages et est classée « station voile ».
Site et curiosité
Le palais de congrès de Madiana : l’occasion de voir un film en cas de mauvais temps
Le casino BATELIERE
Le club nautique
Les plages
Anse collat
Plage de l’anse Madame (près du club nautique)
Les points de vue
Les quartiers LA DEMARCHE ou LA COLLINE sur les hauteurs de Schoelcher offrent de magnifiques points de vue sur la baie de Fort de France, les Trois-Ilets et l’île de Sainte Lucie.
CASE-PILOTE
Jolie petite commune typique dont le front de mer mérite une escale pour visiter son petit port de pêche.
Site et curiosité
Eglise du XVIIème siècle, la plus vieille de l’île
BELLEFONTAINE
Village de pêcheurs par excellence, Bellefontaine est la dernière commune de l’île à avoir été créée (1950). Vous aurez peut être la possibilité d’assister à la pêche traditionnelle (pêche à la senne) qui consiste à tirer un filet (préalablement jeté au large) depuis la plage.
Les points de vue
Quartier Verrier : à droite en sortant du bourg, empruntez cette petite route, tournez vous et profitez de la vue sur la mer des Caraïbes. A l’heure du coucher de soleil, la vue est tout simplement magnifique.
LE CARBET
Ce qui interpelle le plus au Carbet, c’est l’entrée dans le bourg avec cette grande ligne droite à gauche de laquelle vous découvrirez un alignement presque parfait de maisons en bois « pied dans l’eau ». Lieu de débarquement de Christophe COLOMB en 1502, le Carbet a été témoin de nombreuses batailles navales contre les anglais. C’est également au Carbet que s’installa le peintre Paul GAUGUIN lors de son séjour en Martinique.
Les sites et curiosités
Distillerie NEISSON
Habitation Anse Latouche
Galerie d’histoire et de la mer
Canal de Beauregard
Les plages
Plage de l’anse Turin : longue plage de sable volcanique au pied de la Montagne Pelée. Aménagée de douches, cette plage a le seul inconvénient de longer la route.
La grande plage du Coin : derrière les maisons en bois à l’en- trée du bourg.
SAINT-PIERRE
Ancienne capitale de la Martinique surnommée le « petit Paris des Antilles », la commune de Saint-Pierre fut complètement détruite en 1902 lors de l’éruption de la Montagne Pelée. L’histoire dit qu’une seule personne échappa aux nuées ardentes : Cyparis, un prisonnier qui fut protégé par les murs de la prison. Un arrêt à Saint Pierre est indispensable d’autant plus que la commune est très animée et possède une agréable promenade sur le front de mer.
Les sites et curiosités
Les ruines du théâtre et le cachot de Cyparis en écoutant le conteur du « petit train » : un vrai régal
Le centre de découvertes des sciences et de la Terre La distillerie DEPAZ : visite gratuite de la distillerie et du musée.
Le marché
LE PRECHEUR
Cette commune tient son nom d’un rocher en forme de « prédicateur en chaire » aujourd’hui immergé. C’est au Prêcheur que vécu Françoise d’Aubigné, future épouse du roi Louis XIV.
Quand vous êtes au Prêcheur, vous êtes au bout de l’île. Il est impossible de rejoindre la commune de Grand Rivière en voiture.
Vous pouvez visiter le Prêcheur par la mer à bord d’une yole et vous faire conter l’histoire de cette commune (demandez Jean-Guy).
Les sites et curiosités
Randonnée pédestre Le Prêcheur / Grand’Rivière (durée 6h00)
Ilet la Perle
Les plages
Anse Céron : plage aménagée
Anse Couleuvre
Les points de vue
Commencer la randonnée le temps d’arriver sur un point culminant où la vue est imprenable sur l’île de la Dominique.
Retour sur nos pas jusqu’à Saint Pierre. Prendre la direction du Morne Rouge pour un retour par la route de la Trace.
MORNE-ROUGE
Située à 450m d’altitude au pied de la Montagne Pelée, c’est la commune la plus élevée de Martinique.
Connue notamment pour son eau de source réputée (dont CHANFLOR) mise en bouteille sur place, le Morne-Rouge est le départ de plusieurs randonnées dont celle de la Montagne Pelée
Les sites et curiosités
Maison régionale des volcans
Plantation MC-INTOSH
Montagne Pelée
Le jardin de la Pelée
Les points de vue
Vue sur SAINT PIERRE
FONDS-SAINT-DENIS
Erigé en commune en 1888, Fonds-Saint-Denis est un village essentiellement agricole.
Les sites et curiosités
Canal de Beauregard ou canal des esclaves (déconseillé aux personnes sujettes au vertige)
Cascade du saut du Gendarme
Morne des cadets : où se trouve l’observatoire chargé de la surveillance de la Montagne Pelée.
Retour sur Fort de France pour clôturer cette journée.
Avec Saint-Pierre, dont elle fut un quartier jusqu’en 1839, le Prêcheur est la première zone d’occupation de la Martinique, en 1635. La paroisse fut érigée en commune en 1839. La population du Prêcheur est de 1845 habitants, appelés Préchotins, pour une superficie de 13.4 Km².
Sur son territoire: le « Tombeau des Caraïbes » où si l’on croit la légende, s’est produit le suicide collectif de nombreux Caraïbes.
Le Prêcheur fut le théâtre des troubles et des agitations qui ont conduit à l’anticipation de l’abolition de l’esclavage. « Victime » parfois oubliée de l’éruption de la Montagne Pelée, la Commune aujourd’hui a pour principales activités la pêche, l’agriculture, et notamment le tourisme.
Dans le Bourg, une colonne érigée en 1875 rend hommage au gouverneur Du Parquet , premier pilier de la colonie de 1635 à 1658.
L’église à maintes fois détruite, par exemple par l’éruption de la Montagne Pelée en 1902, a conservé des premiers âges, le clocher carré du XVIIème siècle , construit à l’écart sur le Morne Danty. Françoise d’Aubigné vécut dans le quartier Grand Case, vers 1642, avec sa mère et ses frères. Elle ne pouvait imaginer, qu’elle serait connue quelques années plus tard, sous le nom de Madame de Maintenon, l’épouse du Roi Louis XIV.µ
CIRCUITS & DECOUVERTES > Nord Caraibes
Très agréable escapade dans le nord caraïbe qui vous offre des points de vue exceptionnels sur des sites incontournables comme la Montagne Pelée. La route qui mène au prêcheur longe la côte et nous conduit vers SAINT PIERRE où l’escale est indispensable pour se remémorer l’époque fastueuse de cette commune avant l’éruption du volcan. Si vous êtes curieux des mystères des fonds sous marins, n’hésitez pas à plonger dans cet aquarium où gorgones, éponges et poissons tropicaux vous feront découvrir un monde merveilleux.
Sable noir et authenticitéSCHOELCHER
1ère commune traversée, elle porte le nom du député Victor SCHOELCHER qui obtint l’abolition de l’esclavage en 1848. Anciennement baptisée CASE NAVIRE, elle offre de nombreux mouillages et est classée « station voile ».
Site et curiosité
Le palais de congrès de Madiana : l’occasion de voir un film en cas de mauvais temps
Le casino BATELIERE
Le club nautique
Les plages
Anse collat
Plage de l’anse Madame (près du club nautique)
Les points de vue
Les quartiers LA DEMARCHE ou LA COLLINE sur les hauteurs de Schoelcher offrent de magnifiques points de vue sur la baie de Fort de France, les Trois-Ilets et l’île de Sainte Lucie.
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Jolie petite commune typique dont le front de mer mérite une escale pour visiter son petit port de pêche.
Site et curiosité
Eglise du XVIIème siècle, la plus vieille de l’île
BELLEFONTAINE
Village de pêcheurs par excellence, Bellefontaine est la dernière commune de l’île à avoir été créée (1950). Vous aurez peut être la possibilité d’assister à la pêche traditionnelle (pêche à la senne) qui consiste à tirer un filet (préalablement jeté au large) depuis la plage.
Les points de vue
Quartier Verrier : à droite en sortant du bourg, empruntez cette petite route, tournez vous et profitez de la vue sur la mer des Caraïbes. A l’heure du coucher de soleil, la vue est tout simplement magnifique.
LE CARBET
Ce qui interpelle le plus au Carbet, c’est l’entrée dans le bourg avec cette grande ligne droite à gauche de laquelle vous découvrirez un alignement presque parfait de maisons en bois « pied dans l’eau ». Lieu de débarquement de Christophe COLOMB en 1502, le Carbet a été témoin de nombreuses batailles navales contre les anglais. C’est également au Carbet que s’installa le peintre Paul GAUGUIN lors de son séjour en Martinique.
Les sites et curiosités
Distillerie NEISSON
Habitation Anse Latouche
Galerie d’histoire et de la mer
Canal de Beauregard
Les plages
Plage de l’anse Turin : longue plage de sable volcanique au pied de la Montagne Pelée. Aménagée de douches, cette plage a le seul inconvénient de longer la route.
La grande plage du Coin : derrière les maisons en bois à l’en- trée du bourg.
SAINT-PIERRE
Ancienne capitale de la Martinique surnommée le « petit Paris des Antilles », la commune de Saint-Pierre fut complètement détruite en 1902 lors de l’éruption de la Montagne Pelée. L’histoire dit qu’une seule personne échappa aux nuées ardentes : Cyparis, un prisonnier qui fut protégé par les murs de la prison. Un arrêt à Saint Pierre est indispensable d’autant plus que la commune est très animée et possède une agréable promenade sur le front de mer.
Les sites et curiosités
Les ruines du théâtre et le cachot de Cyparis en écoutant le conteur du « petit train » : un vrai régal
Le centre de découvertes des sciences et de la Terre La distillerie DEPAZ : visite gratuite de la distillerie et du musée.
Le marché
LE PRECHEUR
Cette commune tient son nom d’un rocher en forme de « prédicateur en chaire » aujourd’hui immergé. C’est au Prêcheur que vécu Françoise d’Aubigné, future épouse du roi Louis XIV.
Quand vous êtes au Prêcheur, vous êtes au bout de l’île. Il est impossible de rejoindre la commune de Grand Rivière en voiture.
Vous pouvez visiter le Prêcheur par la mer à bord d’une yole et vous faire conter l’histoire de cette commune (demandez Jean-Guy).
Les sites et curiosités
Randonnée pédestre Le Prêcheur / Grand’Rivière (durée 6h00)
Ilet la Perle
Les plages
Anse Céron : plage aménagée
Anse Couleuvre
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Commencer la randonnée le temps d’arriver sur un point culminant où la vue est imprenable sur l’île de la Dominique.
Retour sur nos pas jusqu’à Saint Pierre. Prendre la direction du Morne Rouge pour un retour par la route de la Trace.
MORNE-ROUGE
Située à 450m d’altitude au pied de la Montagne Pelée, c’est la commune la plus élevée de Martinique.
Connue notamment pour son eau de source réputée (dont CHANFLOR) mise en bouteille sur place, le Morne-Rouge est le départ de plusieurs randonnées dont celle de la Montagne Pelée
Les sites et curiosités
Maison régionale des volcans
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Montagne Pelée
Le jardin de la Pelée
Les points de vue
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FONDS-SAINT-DENIS
Erigé en commune en 1888, Fonds-Saint-Denis est un village essentiellement agricole.
Les sites et curiosités
Canal de Beauregard ou canal des esclaves (déconseillé aux personnes sujettes au vertige)
Cascade du saut du Gendarme
Morne des cadets : où se trouve l’observatoire chargé de la surveillance de la Montagne Pelée.
Retour sur Fort de France pour clôturer cette journée.