C'est à Puerto la Cruz que nous décidons d'aborder le continent
Puerto la Cruz est une grande ville moderne dont la zone résidentielle est bâtie en partie sur pilotis dans la lagune de El Morro. Ses maisons sont très colorées et le contraste est grand avec les villages indiens du delta de l'Orénoque ou de la Gran Sabana. Villages que nous découvrons grâce à un voyage à l’intérieur du Venezuela.
L’immensité de l’Orénoque et de son delta nous stupéfie. Tout nous paraît immense, gigantesque. La marée se fait sentir jusqu’à 150 km à l’intérieur des terres et la forêt vierge est omniprésente dans ce que nous avons pu voir. Les villages indiens que nous traversons sont bâtis au dessus de l’eau et leur organisation sociale est différente de ce que nous connaissons. C’est l’homme qui va habiter chez sa femme. La structure est matriarcale et l’atmosphère semble paisible, calme, sereine. Le moyen de locomotion est toujours la pirogue taillée dans un tronc d’arbre.
A l'opposé, la Gran Sabana présente un paysage de savane où les indiens habitent dans des maisons en torchis. C’est le royaume des cascades, des montagnes tabulaires appelées « Tepuyes », où le véhicule 4x4 est indispensable.
Nous poussons jusqu’au Brésil avant de revenir sur nos pas et prendre l’avion pour Canaima puis une pirogue pour remonter les rapides du Rio Churún, un affluent du Rio Carrao, vers le Salto Angel, la plus haute cascade du monde avec chute d’eau de 979 m, soit 15 fois la hauteur des chutes du Niagara !
Bien sûr il n’y a pas d’hôtels dans ces coins reculés et nous dormons en plein air dans des hamacs accrochés parfois sous des abris sommaires sans murs. La route est longue : 3000 km au compteur ! Nous rentrons fatigués mais enchantés
Puerto la Cruz est une grande ville moderne dont la zone résidentielle est bâtie en partie sur pilotis dans la lagune de El Morro. Ses maisons sont très colorées et le contraste est grand avec les villages indiens du delta de l'Orénoque ou de la Gran Sabana. Villages que nous découvrons grâce à un voyage à l’intérieur du Venezuela.
L’immensité de l’Orénoque et de son delta nous stupéfie. Tout nous paraît immense, gigantesque. La marée se fait sentir jusqu’à 150 km à l’intérieur des terres et la forêt vierge est omniprésente dans ce que nous avons pu voir. Les villages indiens que nous traversons sont bâtis au dessus de l’eau et leur organisation sociale est différente de ce que nous connaissons. C’est l’homme qui va habiter chez sa femme. La structure est matriarcale et l’atmosphère semble paisible, calme, sereine. Le moyen de locomotion est toujours la pirogue taillée dans un tronc d’arbre.
A l'opposé, la Gran Sabana présente un paysage de savane où les indiens habitent dans des maisons en torchis. C’est le royaume des cascades, des montagnes tabulaires appelées « Tepuyes », où le véhicule 4x4 est indispensable.
Nous poussons jusqu’au Brésil avant de revenir sur nos pas et prendre l’avion pour Canaima puis une pirogue pour remonter les rapides du Rio Churún, un affluent du Rio Carrao, vers le Salto Angel, la plus haute cascade du monde avec chute d’eau de 979 m, soit 15 fois la hauteur des chutes du Niagara !
Bien sûr il n’y a pas d’hôtels dans ces coins reculés et nous dormons en plein air dans des hamacs accrochés parfois sous des abris sommaires sans murs. La route est longue : 3000 km au compteur ! Nous rentrons fatigués mais enchantés