Nous partons donc en direction de Bonaire,




La richesse principale de l’île sont ses fonds marins. Pas question d’endommager le corail avec des ancres. Nous ne pouvons qu’approuver.
Bonaire est l’une des îles A, B, C dans les Antilles néerlandaises. On sort nos quelques mots de Néerlandais. Mais ici, 90% de la population parle le papamiento, mélange d’espagnol de néerlandais, de portugais, d’anglais et de français.
Bonaire, c’est le retour à la civilisation bien organisée, avec des supermarchés super achalandés, de belles voitures, de belles maisons, et une vie chère, très chère ! Nous profitons de la voiture louée par un bateau ami pour visiter l’île, sa très belle réserve naturelle et ses salines.





Bonaire offre aussi d’intéressants
sites géologiques. L’île s’est surélevée au fil
des millénaires, par poussées sismiques, et on voit sur les différentes couches
géologiques l’érosion causée par la mer et de nombreux fossiles.
Sur les côtes, la terre rocheuse est elle aussi
érodée et de grandes crevasses offrent le passage à des eaux tumultueuses qui
viennent se fracasser avec grand bruit.







Ici, comme dans la mère patrie hollandaise, les routes sont plates et j’en
profite pour sortir mon petit vélo pliant. Les voitures sont éduquées, elles ont
l’habitude de partager le bitume avec les deux roues. Je sillonne donc l’île en
pédalant. Quel plaisir (enfin, moins quand c’est contre le vent, fort puisqu’il
ne rencontre quasi pas d’obstacles) !
On fait la lessive, on se réapprovisionne en produits frais, on refait le plein d’eau, puis on songe à repartir.
La prochaine escale sera Curaçao.
On fait la lessive, on se réapprovisionne en produits frais, on refait le plein d’eau, puis on songe à repartir.
La prochaine escale sera Curaçao.
