ELLES SE PRENNENT DANS LES HéLICES
RéDUISANT LA VITESSE
UN GROS PAQUET QU'IL FAUT ENLEVER EN APNEE A L'ARRIVEE.......
MAIS D'Où VIENNENT ELLES ?????
Martinique: « Incursion Sargassum… » Catastrophe annoncée, l’invasion n’aura pas lieu (constat, gestion et prévisions).
Depuis quelques mois, population et autorités locales
se trouvent démunies et désarçonnées face à l’arrivée massive des algues
Sargasses poussées vers nos côtes par les courants marins.
EXPLICATIONS
Les sargasses (sargassum ou algues brunes) sont des plantes
flottantes qui se déplacent au gré des courants marins en provenance de
la Mer des Sargasses (Océan Atlantique) qui s’étend sur 3 millions de
km², ceinturée par le Gulf Stream à l’Ouest, la Dérive nord atlantique
au Nord et le Courant des Canaries à l’Est. Elles constituent un habitat
et un refuge pour un certain nombre d’invertébrés et de vertébrés
marins souvent uniques. Il s’agit d’espèces invasives.
Pour le Professeur Pascal SAFFACHE (Géographe) cette invasion est le résultat de phénomènes courantologiques anormaux découlant du dérèglement climatique. De vastes systèmes océaniques tourbillonnaires (gyres) perturbent le déplacement de la masse d’eau qui cerclent la Mer des Sargasses.
Cette mer était déjà décrite du XVe au XIXe siècles comme étant une masse imposante qui détruisait les navires et les ralentissait (récits de navigateurs et d’écrits de Christophe COLOMB).
Pour le Professeur Pascal SAFFACHE (Géographe) cette invasion est le résultat de phénomènes courantologiques anormaux découlant du dérèglement climatique. De vastes systèmes océaniques tourbillonnaires (gyres) perturbent le déplacement de la masse d’eau qui cerclent la Mer des Sargasses.
Cette mer était déjà décrite du XVe au XIXe siècles comme étant une masse imposante qui détruisait les navires et les ralentissait (récits de navigateurs et d’écrits de Christophe COLOMB).
LE PROBLEME
A raison minimum d’une marée par jour, depuis le mois de Mai et sans
discontinuer, on assiste (impuissant) à une arrivée importante d’algues
sargasses sur les côtes martiniquaises et à fortiori sur les plages de
l’île.
Cette arrivée n’est pas sans conséquences car les sargasses s’accumulent sur les plages et forment un amas visqueux et à la longue nauséabond. Un amas souvent tellement compact qu’il empêche d’accéder à la plage et de profiter de la mer, car en stagnation.
Cette arrivée n’est pas sans conséquences car les sargasses s’accumulent sur les plages et forment un amas visqueux et à la longue nauséabond. Un amas souvent tellement compact qu’il empêche d’accéder à la plage et de profiter de la mer, car en stagnation.
Ce sont les algues en décomposition qui sont un danger pour l’Homme
et autre espèce animale, car elles libèrent de l’hydrogène sulfuré.
C’est un gaz incolore toxique qui pénètre dans les voies respiratoires,
composant naturel du pétrole, à odeur caractéristique d’œufs pourris. Il
se dégage des matières organiques en décomposition. Ce gaz provoque:
des intoxications aiguës lors d’une exposition de
courte durée (troubles respiratoires, rhinites, enrouements, toux,
douleurs thoraciques, irritations oculaires, conjonctivites, gêne à la
lumière vive, vertiges, céphalées, œdème aigu du poumon, pertes de
connaissance, nausées), des intoxications chroniques
lors d’une exposition prolongée (bronchites irritatives, irritations
cutanées) et dans les cas les plus graves, une possibilité d’accident mortel très rapide en cas de fortes inhalations.
Partant de ce constat, l’Agence Régionale de Santé (ARS) de
Martinique recommande aux personnes asthmatiques, aux jeunes enfants et
aux femmes enceintes d’être particulièrement vigilants. Des mesures du
taux d’hydrogène sont réalisées dans les communes les plus touchées pour
connaitre les risques d’exposition.
Une pétition a aussi été adressée à l’ARS
car en plus des problèmes de santé découlant de ce phénomène, on
constate aussi un risque économique avec des pertes matérielles
(oxydation des appareils électroménagers, téléviseurs, ordinateurs,
téléphones, etc.)
Un risque économique avéré avec des professions en danger. En effet, nombre d’aquaculteurs exerçant dans ces zones se retrouvent sinistrés. Ils assistent impuissants à la perte de leurs élevages piscicoles (asphyxie des poissons par les algues en décomposition qui entraînent un réchauffement de l’eau et son appauvrissement en oxygène).
Un risque économique avéré avec des professions en danger. En effet, nombre d’aquaculteurs exerçant dans ces zones se retrouvent sinistrés. Ils assistent impuissants à la perte de leurs élevages piscicoles (asphyxie des poissons par les algues en décomposition qui entraînent un réchauffement de l’eau et son appauvrissement en oxygène).
Le Ministère de l’Ecologie a été interpellé sur les risques
écologiques en découlant (pourquoi ne pas créer un filet pour faire
barrage?) Je serai tentée en tant que citoyenne écoresponsable et
soucieuse de l’environnement, de rajouter un filet adapté ne
représentant pas un danger pour les espèces animales marines.
Les écosystèmes sont aussi en danger. Un danger croissant pour les Mangroves qui sont des zones de vie, de nurserie et de reproduction pour de nombreuses espèces.
Les écosystèmes sont aussi en danger. Un danger croissant pour les Mangroves qui sont des zones de vie, de nurserie et de reproduction pour de nombreuses espèces.
REACTIONS ET SOLUTIONS D’URGENCE
Le phénomène s’accroissant ces dernières semaines et partant de ce constat les autorités ont décidés de prendre le problème à bras le corps, en offrant les services de l’Etat.
Ainsi, la Préfecture et le Conseil Régional lors de réunions organisées en septembre, ont décidé de débloquer 350000€ pour le ramassage, le traitement et la valorisation de ces déchets organiques, d’autant plus que dans de nombreuses communes l’enlèvement manuel (employés municipaux et volontaires) ou mécanisé des algues se fait au gré des marées.
Ainsi, la Préfecture et le Conseil Régional lors de réunions organisées en septembre, ont décidé de débloquer 350000€ pour le ramassage, le traitement et la valorisation de ces déchets organiques, d’autant plus que dans de nombreuses communes l’enlèvement manuel (employés municipaux et volontaires) ou mécanisé des algues se fait au gré des marées.
[En Guadeloupe,
le ramassage et le traitement sont coordonnés par la Préfecture, la
DEAL (Direction de l'Environnement, l'Aménagement et du Logement) et
l'ARS. Ainsi un recensement des communes touchées a été effectué par
l'association des Maires. Les Services de l'Etat assurent le suivi de
ces communes, ainsi qu'une veille satellitaire afin de prévoir les
arrivées d'algues. Il est recommandé des faire sécher les algues. Le
traitement et l'élimination sont exécutés par une entreprise "Sita
Verde" qui est une plateforme de compostage pouvant traiter une à cinq
tonnes d'algues par jour.]
MANNE ECONOMIQUE SOUS-EXPLOITEE
Les années précédentes, la Martinique avait aussi été touchée par
cette invasion mais une invasion pondérée et ponctuelle qui n’avait pas
entrainée de telles situations complexes.
Cependant il est regrettable aux vues des expériences passées de ne pas avoir anticipé un tel phénomène et de ne pas avoir su créer toute une filière écologique et économique (certes ponctuelle: concept à étudier) qui aurait pu prévenir, traiter et valoriser ces déchets.
Cependant il est regrettable aux vues des expériences passées de ne pas avoir anticipé un tel phénomène et de ne pas avoir su créer toute une filière écologique et économique (certes ponctuelle: concept à étudier) qui aurait pu prévenir, traiter et valoriser ces déchets.
D’autres îles ont su tirer partie de cette manne inespérée. Par
exemple à la Dominique (île voisine de la Martinique), les sargasses
sont utilisées sous forme séchées pour être consommées comme légumes ou
en sirop, fort délicieux (expérience vécue sur le Marché de Roseau,
capitale de ce petit coin de paradis: recommandation pour les globe
trotteurs qui comptent y aller).
Il s’agit aussi d’un phytosanitaire biologique, que les anciens ou certains connaisseurs utilisent comme engrais naturel, comme compost
(une fois les algues lavées, dessalées et séchées: avant ont les
mettaient sur les arbres pour que la pluie les lavent et les dessalent
et quand elles tombaient à terre, elles étaient prêtes à l’emploi).
Une aubaine pour les agriculteurs martiniquais qui sont invités à les récupérer gracieusement avant que les algues ne soient évacuées vers les décharges où elles sont détruites et qui réalisent ainsi une économie substantielle sur leur budget mensuel d’engrais. Hormis le fait que les sargasses soient un engrais naturel, ce sont aussi un insecticide et un fongicide naturels.
Les algues fraîches sont aussi utilisées en phytothérapie et en cosmétologie (elles seraient bénéfiques pour la peau).
Une aubaine pour les agriculteurs martiniquais qui sont invités à les récupérer gracieusement avant que les algues ne soient évacuées vers les décharges où elles sont détruites et qui réalisent ainsi une économie substantielle sur leur budget mensuel d’engrais. Hormis le fait que les sargasses soient un engrais naturel, ce sont aussi un insecticide et un fongicide naturels.
Les algues fraîches sont aussi utilisées en phytothérapie et en cosmétologie (elles seraient bénéfiques pour la peau).
En définitive, il n’appartient qu’à notre population et à nos autorités (dans un futur, espérons proche) de faire émerger une nouvelle source d’emploi et de mise en valeur de l’environnement qui éviteraient à l’avenir une situation qui semble actuellement inextricable; s’aggravant au fil des jours qui s’écoulent comme les courant marins ramenant des algues invasives mais au final bénéfiques si des filières adéquates s’organisent.
sargasses en Martinique
et si on nous mentait ?
Algues échouées sur les côtes de la Martinique
D’où viennent ces algues ?
Ces
algues proviennent de la haute mer. Elles y vivent sous forme libre et
suivent des courants marins qui les dirigent actuellement sur les côtes
martiniquaises préférentiellement vers la zone atlantique mais aussi
parfois jusque sur la cote Caraïbe. Ce phénomène, exceptionnel, est la
conséquence d’une nouvelle organisation des courants marins parcourant
l’Atlantique dans l’hémisphère nord.
Quel problème posent-elles ?
Ces
algues ne sont pas toxiques en elles-mêmes, mais une fois échouées sur
les plages, elles meurent et les dépôts d'algues entraînent des
dégagements importants de gaz lors de leur putréfaction, notamment de
sulfure d’hydrogène (reconnaissable à son odeur d’œuf pourri), qui
peuvent être à l'origine de nuisances olfactives et de troubles
sanitaires pour les promeneurs et les riverains des plages.
Les dépôts d’algues sur les côtes martiniquaises se présentent sous trois formes :
- algues sèches en fond de plage : les algues sèches qui ne sont pas en cours de putréfaction ne semblent pas présenter de danger
- algues jaunes dans l’eau : les algues vivantes ne présentent pas de danger particulier en elles-mêmes, elles constituent néanmoins un habitat et un refuge pour la faune marine
- algues situées sur la zone de sable mouillé : ces algues s’amassent, forment des tas qui entrent dans un processus de putréfaction à l’origine de dégagement de gaz source de nuisances
Comment mieux connaître les conséquences sanitaires de ce nouveau phénomène ?
Des
dépôts d’algues vertes se sont produits ces dernières années en
Bretagne, et ont donné lieu à des rapports d’experts et recommandations.
Dans le cas de la Bretagne, les causes sont différentes et il ne s’agit
pas des mêmes algues. Néanmoins leur décomposition produit également
des gaz irritants, notamment de sulfure d’hydrogène (H2S) ce qui amène à
prendre en compte le retour d’expérience de cette région, et à
l’adapter au contexte Martiniquais.
Une campagne de mesure des quantités de sulfure d’hydrogène présentes dans l’air
a donc été entreprise sur les communes les plus touchées pour
quantifier les émanations provenant des dépôts d’algues. Ces mesures
sont ponctuelles et donnent une photographie de la situation à un
instant précis. Elles ont révélé des doses pouvant avoir pour effet une
irritation des yeux (conjonctivite, gène à la lumière vive) et des voies
respiratoires (rhinite, enrouement, toux, douleur thoracique). Les
personnes asthmatiques y sont particulièrement sensibles, ainsi que les
jeunes enfants et les femmes enceintes.
Il résulte de ces premières investigations que
certains dépôts d’algues en décomposition sont susceptibles de générer
des concentrations de sulfure d’hydrogène suffisantes pour occasionner
des risques pour la santé.
Dans le cas des algues vertes, des poches de gaz
peuvent se former sous la couche d’algue et être brusquement libérées si
cette couche est percée, provoquant des bouffées pouvant être à
l’origine d’accidents graves qui se sont produits notamment en 2009. Ce
phénomène n’a pas été observé sur nos côtes à ce jour.
Que faire pour limiter ces conséquences sanitaires ?
Les
municipalités concernées ont déjà pour la plupart entrepris des
opérations de nettoyage qui vont se poursuivre, les priorités étant
d’assainir les zones les plus proches des habitations et les plages les
plus fréquentées, et de déconseiller l’accès à celles qui ne seraient
pas libérées des algues en cours de putréfaction.
Il est ainsi déconseillé de fréquenter les plages
sur lesquelles persistent des tas d’algues en décomposition et à
fortiori de rester à proximité de ces algues, de manipuler sans
précautions les algues en cours de putréfaction, ou même de les piétiner
car cela serait susceptible de libérer des bouffées de sulfure
d’hydrogène particulièrement nocives. Lorsque les opérations de
ramassage seront en cours, pour des raisons de sécurité, des zones
interdites au public seront balisées et devront impérativement être
respectées.
Les recommandations peuvent évoluer en fonction des évolutions de la situation et des connaissances.
Les recommandations peuvent évoluer en fonction des évolutions de la situation et des connaissances.
Antilles françaises :
les sargasses envahissent le littoral
Depuis la mi-juin, Martinique et Guadeloupe font face à une
invasion de sargasses. Les algues gênent en mer comme à terre. Au large,
les pêcheurs ne peuvent plus exploiter leurs DCP ancrés (dispositifs de
concentration du poisson) et se rabattent sur les petites dorades
coryphènes se nourrissant de ces algues. Son abondance a entraîné une
chute des cours : ce week-end à Pointe-à-Pitre, elle se négociait à 6
euros le kg, contre 10 euros en temps normal. Les aquaculteurs sont
aussi gênés car la décomposition des sargasses appauvrit l’eau en
oxygène.
Sur le littoral, la décomposition des algues échouées pose un
problème d’odeur et de santé (par le sulfure d’hydrogène dégagé), au
point d’avoir fermé des écoles. Le 19 septembre, Serge Letchimy,
président de la région Martinique, a annoncé le déblocage de 350 000
euros pour aider les communes touchées à ramasser les algues et à les
transporter vers un centre de traitement.
En 2011, la Caraïbe avait été touchée par un phénomène similaire,
encore méconnu. Une hypothèse : des gyres (systèmes océaniques
tourbillonnaires) perturberaient le déplacement de l’eau ceinturant la
mer des Sargasses, dont de gros volumes seraient ponctuellement expulsés
et dériveraient vers l’ouest ou sud-ouest.
Voilà un courrier adressé aux professionnels de santé en Martinique…rien de bien rassurant. Pire…ça sent fort la non assistance à personnes en danger au cœur d’une #gouvernance qui manque sérieusement d’ingénierie.
Objet : Algues sargasses : Information aux professionnels de santé
Docteur, Madame, Monsieur
Comme vous le savez, des échouages d’algues sargasses sont signalés depuis quelques temps sur la côte atlantique. Depuis maintenant 10 jours, un nombre important de patients consultent leur médecin pour des symptômes probablement dus à l’H2S dégagé par les algues sargasses en décomposition. La plupart ont des maux de tête, des irritations oculaires et de la toux, mais plusieurs ont également présenté une crise d’asthme.
En Martinique, la première vague d’échouage a été observée en 2011, conduisant à de nombreuses plaintes de personnes fréquentant les plages ou habitant à proximité de celles-ci. Une surveillance environnementale, avec des mesures d’H2S et une surveillance sanitaire ont été réalisées et ont permis de décrire le phénomène (cf. article correspondant – BVS N°3 de mars 2012) :
- Sur plus les 878 mesures réalisées par le SDIS sur les plages, au niveau des tas d’algues en décomposition, 84 ont été supérieures au seuil de détection (1ppm) avec quelques pics à 5 et 6ppm constatés, au quartier Dostaly au François, à la Pointe Faula au Vauclin et sur certaines plages de Sainte-Anne.
- Les mesures faites dans les habitations ont montré qu’une exposition chronique était réelle dans certains quartiers.
- Des effets sanitaires modérés ont été observés et ceux-ci n’ont pas nécessité une consultation médicale systématique.
Dans son avis du 22 mars 2012 relatif à la gestion du risque sanitaire lié aux émissions toxiques d’algues brunes échouées sur les côtes de Martinique et #Guadeloupe, le Haut Conseil de Santé Publique (HCSP) rappelle que l’échouage des algues brunes ne devrait pas être un problème dès lors que le délai pour réaliser l’enlèvement n’est pas trop long. Il revient donc aux communes ou aux particuliers d’intervenir précocement avant que le processus de décomposition se mette en oeuvre et d’utiliser la filière de valorisation des déchets organiques.
Dès lors que l’odeur d’H2S est détectable, nous savons que la Valeur Toxique de Référence (VTR = 0,02ppm) est atteinte et que l’exposition chronique est réelle. Néanmoins, des mesures seront de nouveau réalisées, en fonction des signalements sanitaires transmis à l’ARS, dans les écoles et structures accueillant des publics fragiles.
La seule manière de gérer ce phénomène est de procéder à l’enlèvement des algues, de manière précoce et régulière. Les communes ont été sensibilisées à cela dès le mois d’août au cours d’une réunion d’information avec la préfecture et par courrier qui comportait également des recommandations quant au ramassage des algues. La Préfecture, en lien avec les communes, les services de l’Etat (DEAL, DM, DAAF, etc.), le Conseil Général, le Conseil régional et l’ARS, pilote la gestion de cet évènement.
Vous trouverez en liens ci-dessous les documents de référence relatifs à ce problème.
Fiche de recommandation ramassage algues sargasses
Bulletin de Veille Sanitaire – mars 2013
Avis Haut Conseil de la Santé Publique
Courriers aux maires
Votre contact :
Plateforme de Veille et Urgences Sanitaires
ARS Martinique
- Choléra : Epidémie en Haïti -
- Cooperation sanitaire régionale -
- Coordination Soins et efficience -
- DENGUE ET CHIKUNGUNYA : Même combat -
- Droits des patients -
- La dengue en Martinique -
- La grippe en Martinique -
- La leptospirose -
- La rougeole -
- Les algues sargasses en Martinique -
- Les grands discours du DGARS -
- Les implants Mammaires PIP -
- PAPS: Plate Forme d'Aide aux Professionnels de la Santé -
- Plan Cyclone -
- Plan handicap et personnes agées -
- Professions de santé -
- Prévention Veille et éducation pour la santé -
- Qualité des eaux en Martinique -
- Sécurité Sanitaire et Protection des milieux de vies
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