LE PARC DES SCULPTURES DE PLOUMANAC'H
la compagnie Azor se produit dans le parc des sculptures de Ploumanac'h à Perros-Guirec.
survolez l'image avec la souris pour savoir ce qu'elle représente
Situé au carrefour de Ploumanac'h Perros-Guirec, ce parc présente 12 sculptures monumentales dont 7 ont été réalisées par des sculpteurs internationaux lors du Symposium de sculptures monumentales sur granits qui s'est tenu à Ploumanac'h en 1998. Quelques années auparavant une manifestation identique avait eu lieu à Lanhélin en Ille-et-Vilaine (voir PP N° 35147_1 et 35147_2).
Si Lanhelin est le pays du granit bleu, Perros-Guirec avec le granit de La Clarté est le pays du granite rose.
Les artistes jouent avec ces couleurs. Ils ont un mérite particulier : le granit est, parmi les matériaux naturels, la matière la plus dure qui soit à travailler.
Nota : Ne soyez pas surpris de lire tantôt granit (roche grenue massive, non poreuse, imperméable et cohérente), terme de carrier ou marbrier et granite (roche plutonique grenue entièrement cristallisée dont la composition minéralogique est bien précise), terme de géologue.
Le Parc des sculptures Christian Gad est situé au carrefour entre la Clarté et Ploumanac'h (à l'entrée de cette dernière), ce parc contient de nombreuses sculptures en granit, dont celles de Pierre Székely qui a fait de nombreux séjours à Perros-Guirrec dans les années 1980-90 pour tailler le granit rose
Situé au coin Nord-Est du carrefour de Ploumanac'h,
le parc des sculptures Christian Gad - Daniel Chee renferme 19 sculptures monunentales sur granit. Toutes ces oeuvres ont été sculptés par des artistes de renom. On y trouve notamment:
«L'homme de Granit» (Pierre Székely) (granit rose de La Clarté)
«Madame et son chien»
«Nu primitif», de Pierre Székely
«Passage», de Jean-Yves Ménez (dans cette sculpture, des capteurs de présence restituent la mémoire sonore et visuelle du visiteur)
Jean-Yves Ménez, Le Passage (32 tonnes de granit rose de La Clarté)
Le Passage est né de la collaboration avec l’IUT de Lannion
Entre une sculpture pour s'asseoir et un totem...
Un peu plus loin
«Le sculpteur et sa création», de Shelomo Selinger
«L'Ankou», de François Breton. L'artiste éclate la pierre à la perforatrice et laisse l'ébauche en l'état. Il hachure à grands traits de broche une émergence de forme humaine représentant l'Ankou.
Ici, vous avez une belle représentation de l'Ankou, très célèbre en Bretagne.
Cette sculpture a été réalisé par François Breton, sculpteur français.
En Bretagne, l'Ankou est un personnage qui représente la personnification de la Mort.
Il ne représente pas la Mort en elle-même, mais son serviteur.
Son rôle est de collecter dans sa charrette grinçante, les âmes des défunts récents.
Dans les églises, lors des enterrements, on mettait deux ankous de chaque côté du cercueil.
Cette tradition s'est perpétuée jusqu'à ce qu'un enfant de choeur tombe dans les pommes!
C'est ce que dit la légende!
La balade se poursuit avec
«Menhir II», de Marc Simonet
«Anishnabe Manitoumaqua», sculpture réalisée par le Canadien J.Bisson, dit «Biscornet». Son totem représente la Grande Ourse, une constellation qui guidait les marins de Saint-Malo vers le nouveau Monde.
Le parc de sculptures Christian Gad - Daniel Chee compte également parmi ses oeuvres
«Distant view»
«La colline et la crique», de Tatsumi Sakaï, sculpteur japonais
«La vie au soleil», d'Hervé Quéré
Cette roue en granite rose de La Clarté représente la Vie au soleil de Hervé Quéré.
«Femme fleur», de Wattel.
«Femme fleur», de Wattel.
Wattel, Femme fleur ou femme enceinte (granit beige de Bignan)
Mais aussi
«Mère à l'enfant», de François Breton
«Le fauteuil », de David Puech (un endroit où s'asseoir pour admirer le parc des sculptures)
«Le repos du tailleur», de Patrice Le Guen
«La fragilité du dialogue, de l'infini à Rouzic », de Viorel Enache
«Éclosion», de Seenu
«He Aroma Nul»(le grand amour en maori).
Les visiteurs pourront terminer la visite par une balade sur le sentier des douaniers, à deux pas du site.
à voir, ussi et à faire alentour (distances à vol d'oiseau)
à voir, ussi et à faire alentour (distances à vol d'oiseau)
Wattel, Femme fleur ou femme enceinte (granit beige de Bignan)
Jean-Yves Ménez, Le Passage (32 tonnes de granit rose de La Clarté)
Le Passage est né de la collaboration avec l’IUT de Lannion
Shelomo Selinger, le Sculpteur et sa Création (en granit rose de La Clarté)
Marc Simon, Menhir II (granit bleu de Lanhélin)
en résumé
• “ L’Homme de Granit ” et “ Nu Primitif ” de Pierre Székely.
• “ Madame et son chien ” de Joseph Visy.
• “ Passage ”, de Jean-Yves Ménez.
Dans cette sculpture, des capteurs de présence restituent la mémoire sonore et visuelle du visiteur.
• “ Le Sculpteur et sa création ”, de Shelomo Selinger.
Cette sculpture n’est-elle pas, elle aussi, une sorte de combat de l’homme contre les forces supérieures de la nature ?
• “ L’Ankou ”, de François Breton.
Il éclate la pierre à la perforatrice et laisse l’ébauche en l’état. Il hachure à grands traits de broche une émergence de forme humaine et cela donne l’Ankou. Sans doute exprime-t-il une vision de la nature humaine: torturante et torturée.
• “ Menhir II ”, de Marc Simon.
• “ Anishnabe Manitoumaqua ”, du canadien J.‑Bisson dit “Biscornet“. Ce totem représente la Grande Ourse , une constellation qui a guidé les marins de Saint-Malo vers le nouveau Monde.
• “ Dahud ”, de Patrice Le Guen.
La légende de la ville d’Ys : la fille du roi Gradlon causa la perte de la ville en s’emparant des clefs de la cité pour les offrir à son amoureux malveillant.
• “ Distant view ” et “ La Colline et la Crique ”, de Tatsumi Sakaï, sculpteur japonais. Les deux faces de la sculpture évoquent la complémentarité étroite entre la mer et la terre.
• “ La Vie au Soleil ”, d’Hervé Quéré.
« Ce que je cherche à faire ici, c’est à montrer ce que peut représenter l’Adn dans l’évolution. »
• “ Femme Fleur ”, de Wattel.
• “ Mère à l’enfant ” de François Breton.
Une sculpture à la croisée des traditions et du temps présent.
• “ Le fauteuil ” de David Puech.
Un endroit où s’asseoir pour admirer le parc des sculptures.
• “ Le repos du tailleur ” de Patrice Le Guen.
C’est un hommage aux tailleurs des carrières de la Clarté.
• “ La fragilité du dialogue, de l’infini à Rouzic ” de Viorel Enache. C’est une colonne unique qui crée un espace entre deux volumes.
• “ Eclosion ” de Seenu.
• “ He Aroma Nui (le grand amour, en maori) ” de Renate Verbrugge.
C’est un couple, un homme et une femme qui se comprennent sans un mot. Un hommage à l’amour.
• “ Madame et son chien ” de Joseph Visy.
• “ Passage ”, de Jean-Yves Ménez.
Dans cette sculpture, des capteurs de présence restituent la mémoire sonore et visuelle du visiteur.
• “ Le Sculpteur et sa création ”, de Shelomo Selinger.
Cette sculpture n’est-elle pas, elle aussi, une sorte de combat de l’homme contre les forces supérieures de la nature ?
• “ L’Ankou ”, de François Breton.
Il éclate la pierre à la perforatrice et laisse l’ébauche en l’état. Il hachure à grands traits de broche une émergence de forme humaine et cela donne l’Ankou. Sans doute exprime-t-il une vision de la nature humaine: torturante et torturée.
• “ Menhir II ”, de Marc Simon.
• “ Anishnabe Manitoumaqua ”, du canadien J.‑Bisson dit “Biscornet“. Ce totem représente la Grande Ourse , une constellation qui a guidé les marins de Saint-Malo vers le nouveau Monde.
• “ Dahud ”, de Patrice Le Guen.
La légende de la ville d’Ys : la fille du roi Gradlon causa la perte de la ville en s’emparant des clefs de la cité pour les offrir à son amoureux malveillant.
• “ Distant view ” et “ La Colline et la Crique ”, de Tatsumi Sakaï, sculpteur japonais. Les deux faces de la sculpture évoquent la complémentarité étroite entre la mer et la terre.
• “ La Vie au Soleil ”, d’Hervé Quéré.
« Ce que je cherche à faire ici, c’est à montrer ce que peut représenter l’Adn dans l’évolution. »
• “ Femme Fleur ”, de Wattel.
• “ Mère à l’enfant ” de François Breton.
Une sculpture à la croisée des traditions et du temps présent.
• “ Le fauteuil ” de David Puech.
Un endroit où s’asseoir pour admirer le parc des sculptures.
• “ Le repos du tailleur ” de Patrice Le Guen.
C’est un hommage aux tailleurs des carrières de la Clarté.
• “ La fragilité du dialogue, de l’infini à Rouzic ” de Viorel Enache. C’est une colonne unique qui crée un espace entre deux volumes.
• “ Eclosion ” de Seenu.
• “ He Aroma Nui (le grand amour, en maori) ” de Renate Verbrugge.
C’est un couple, un homme et une femme qui se comprennent sans un mot. Un hommage à l’amour.
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