Depuis plusieurs années maintenant, les Martiniquais sont soumis à une très forte vague d’enfermement mémoriel. Les célébrations le 22 mai de l'abolition de l'esclavage sont devenues un rituel sans beaucoup de sens, un carnaval et un bal des hypocrites, un évènement de diversion. Comment exiger réparation d’un crime tout en restant copain-coquin avec l’auteur du crime, et aller entendre encore toutes ces belles paroles des autorités néocoloniales ?
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