le dîner d’État était aussi un défilé de savoirs faires nationaux. Arts de la table, ballet des serveurs, intermède musical, rien n’était laissé au hasard. « Il y avait quelque chose de très théâtral, tout était délicieux, reprend Yann Arthus-Bertrand. Le vin était un bordeaux de 2004, un Mouton Rothschild dont le roi avait lui-même fait le dessin il y a très longtemps. On ne peut pas faire plus ! »
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