POLEMIQUE
Et si cette séquence du spectacle des JO ne représentait pas la Cène, mais « Le festin des dieux » sur le mont Olympe. Un tableau de Jan Harmensz Van Bijlert. La référence aux dieux grecs (et pas au Christ) est évidente. Philippe Katerine représente Dionysos, dieu grec du vin et de l’ivresse.
Les dieux grecs vivent sur le Mont Olympe, comme "Jeux olympiques
la partie avec les Drag Queen ne parodie pas la Cène mais est une référence le festin des Dieux.
Les arguments :
- Le festin des Dieux fait référence à la Grèce antique comme les JO
- le tableau est dans un musée français alors que la Cène est à Milan
- Philippe Katerine en Dyonisos est cohérent avec le festin des Dieux mais n'aurait rien à voir avec la Cène.
REVUE DE PRESSE - Si les médias nationaux et internationaux sont nombreux à avoir reconnu le caractère grandiose de cette cérémonie sur la Seine, certains ont dénoncé un spectacle «décousu» et «presque sans intérêt».
Ce vendredi soir, Paris semble avoir changé de dimension. Sous le feu des projecteurs depuis quelques mois, la Ville Lumière a finalement scintillé malgré la pluie. La cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024 a ouvert le bal. Et quel bal... Une soirée magique écrivions-nous dans Le Figaro . Avant de titrer ce samedi matin : «Tous en Seine». L’événement tant attendu est lancé. Place au jeu.
Les médias nationaux et internationaux sont, ce samedi matin, quasi unanimes. En France, L’Équipe a titré «Imagine», avec une l’image forte de la vasque allumée sous un ballon géant. Les deux derniers relayeurs, Marie-José Pérec et Teddy Riner, formidables représentants de l’olympisme, y apparaissent en ombre devant la lumière. Le quotidien Le Parisien, plus sobre, s’est contenté d’un «époustouflant» quand Le Monde lui a préféré un «Magique». Plus enthousiastes encore, nos confrères de Libération - qui ont titré «Paris 2024, en trombes» - ont salué «une cérémonie grandiose qui a cassé tous les codes».
«L’une des plus spectaculaires de tous les temps»
À l’étranger aussi, l’événement est loin d’être passé inaperçu. «Paris a démontré qu'une pensée audacieuse pouvait redonner un certain éclat à un événement sportif mondial qui a vu sa popularité s'effondrer ces dernières années», a détaillé le journal américain The Washington Post. La BBC a pour sa part déclaré : «Brillamment frénétique». En Australie, The Daily Telegraph a écrit «Australie, Australie, Australie : oui, oui oui». Précisant également que la cérémonie d’ouverture fut «folle».
Aux États-Unis, le Los Angeles Time n'a pas non plus tari d'éloges. «Paris 2024 a commencé et les Français – ceux qui produisent le fromage le plus délicieux du monde, la haute couture la plus raffinée et d'innombrables autres créations exquises – ont organisé ce qui a certainement été la cérémonie d'ouverture la plus unique de l'histoire des Jeux olympiques. Il semblait que rien – pas même une violente pluie estivale – ne pouvait empêcher les Jeux olympiques de Paris de 2024 d'organiser l'une des cérémonies d'ouverture les plus spectaculaires de tous les temps». «Éblouissant», a abondé la chaîne de télévision américaine CNN.
En Espagne, «Grandeur olympique» titre la Vanguardia quand Marca a privilégié la formule «Paris, nous sommes là», avec la mention «une inauguration en apothéose et meilleure cérémonie de l'histoire». Le quotidien espagnol El País titre : «La France ouvre les jeux avec brio malgré le sabotage massif des trains». Une phrase en référence à l'attaque massive subie par la SNCF vendredi. «Les Jeux de Paris aiment Nadal», titre El Mundo. La star du tennis a en effet eu le privilège de porter la flamme, remise par une autre légende, Zinédine Zidane.
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Un spectacle «décousu»
Les festivités n’ont toutefois pas plu également à tout le monde. Le prestigieux journal anglais The Guardian a pour sa part parlé d’un «spectacle kitsch au bord de l’eau». «Une armada de bateaux transportant des athlètes sur la Seine, des danseurs suspendus et des drag-queens défilant – le tout sous une pluie torrentielle», a détaillé le journal anglais en préambule. Il déplore ainsi un spectacle «décousu» avec des choix «bizarres» en citant pêle-mêle un «porteur du flambeau, sans visage et encapuchonné» ou encore «un cabaret de berge de mauvaise qualité et de mauvais goût».
Le Daily mail, encore plus sévère, s’est moqué d’une «cérémonie désastreuse» qui a échoué «de manière spectaculaire». «Les Parisiens, les célébrités, les politiciens et les membres de la famille royale du monde entier ont été contraints de s'abriter d’une pluie horrible», ont poursuivi les journalistes. Le média anglais a également rappelé les polémiques nées autour de la parodie de la Cène, avec des drag-queen en lieu et place d’apôtres et une DJ en guise de Jésus Christ. Elon Musk a lui-même déploré un «spectacle extrêmement irrespectueux pour les Chrétiens», propos largement repris par la presse étrangère.
En Italie, La Repubblica a également tiré un bilan sévère : «Quatre heures boulimiques, presque sans intérêt, absolument pop et auto-célébrantes . Un miroir que l'immortelle Paris tournait vers elle, se découvrant tellement, trop et trempée».
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Courtois 94
le
La vache de la crèche à la place du Christ. Le maquillage en plus.
Albâtre
le
Sans la séquence kitch de Philippe Katerine, des drags Queen et la femme à barbe... aurait pu être évitée....on aurait eu une cérémonie parfaite.
Merco74
le
Céline Dion éternelle
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