Nous reviendrons en forme, olympique évidemment, le 26 août dès potron-minet pour une rentrée qui s'annonce trépidante, indécise et tout aussi imprévisible. On a hâte de vous raconter tout ça.
| #Délicatesse #Pompe #Moelle #Moule #Pince Chez Pol n°1326 |
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Bonjour, nous sommes le 26 juillet et c'est le bon jour pour jouer au seigneur des anneaux. |
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Macron face aux Français qu'il a compris
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C'est Caen le bonheur Être inconnue du grand public, quand on veut devenir Première ministre, ça a deux désavantages. Primo, personne ne vous connaît. Deuxio, la presse essore jusqu’à la moelle les trois mêmes photos de vous pour illustrer ses articles pendant des jours. Mais ça, ça ne concerne pas Lucie Castets, puisque, comme l’a révélé un confrère, elle occupait dès 2002 les colonnes de Ouest-France. Dans un portrait, la version ado de la candidate du NFP parle de ses premiers pas dans le grand monde : à 15 ans, elle a été sélectionnée comme ramasseuse de balles à Roland-Garros. L’occasion d’en découvrir un peu plus sur celle dont, en vain, on scanne depuis mardi les réseaux à la recherche d’une petite anecdote, d’un truc qui dépasse. Fan de tennis, donc, elle fait aussi du hand et de l’escalade. Et Ouest-France lui reconnaît «une application et un mental presque surprenants chez une jeune ado». C’est fou, elle devrait penser à faire de la politique. Certes, il serait malhonnête d’interpréter l’article à la lumière de l’actualité, 22 ans plus tard. Mais certains passages prêtent à sourire. On y apprend qu’elle a été la «seule» sélectionnée dans tout le Calvados, soit parmi 400 candidats, sans qu’elle-même «ne [sache] trop pourquoi». Clairvoyante, elle sait par contre que, parmi «les smatchs, les aces et les retournements de situation» promis par l’article, «une erreur peut [lui] être fatale et conduire à l’exclusion». Et la future candidate à Matignon de conclure : «Je n’y vais pas pour contempler… Je suis contente de ma sélection et ce qui compte, c’est que je fasse bien ce pourquoi j’ai été choisie.» | | C'est Caen le bonheur Être inconnue du grand public, quand on veut devenir Première ministre, ça a deux désavantages. Primo, personne ne vous connaît. Deuxio, la presse essore jusqu’à la moelle les trois mêmes photos de vous pour illustrer ses articles pendant des jours. Mais ça, ça ne concerne pas Lucie Castets, puisque, comme l’a révélé un confrère, elle occupait dès 2002 les colonnes de Ouest-France. Dans un portrait, la version ado de la candidate du NFP parle de ses premiers pas dans le grand monde : à 15 ans, elle a été sélectionnée comme ramasseuse de balles à Roland-Garros. L’occasion d’en découvrir un peu plus sur celle dont, en vain, on scanne depuis mardi les réseaux à la recherche d’une petite anecdote, d’un truc qui dépasse. Fan de tennis, donc, elle fait aussi du hand et de l’escalade. Et Ouest-France lui reconnaît «une application et un mental presque surprenants chez une jeune ado». C’est fou, elle devrait penser à faire de la politique. Certes, il serait malhonnête d’interpréter l’article à la lumière de l’actualité, 22 ans plus tard. Mais certains passages prêtent à sourire. On y apprend qu’elle a été la «seule» sélectionnée dans tout le Calvados, soit parmi 400 candidats, sans qu’elle-même «ne [sache] trop pourquoi». Clairvoyante, elle sait par contre que, parmi «les smatchs, les aces et les retournements de situation» promis par l’article, «une erreur peut [lui] être fatale et conduire à l’exclusion». Et la future candidate à Matignon de conclure : «Je n’y vais pas pour contempler… Je suis contente de ma sélection et ce qui compte, c’est que je fasse bien ce pourquoi j’ai été choisie.»
| | Les députés dans les starting-blocks Sans gouvernement, et donc sans questions au gouvernement. |
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