Un avion d'Air Caraïbes a fait demi-tour après une alerte à la bombe Air Caraïbes : alerte à la bombe sur le vol de Paris
Air Caraïbes : alerte à la bombe sur le vol de Paris
Un avion d'Air Caraïbes a fait demi-tour à cause d'une conversation entre des passagers
Alerte à la bombe sur un avion d'Air Caraïbes
Air Caraïbes porte plainte contre X
Mardi 17 Septembre 2013 - 11h32
Suite à l’incident rencontré sur le vol Air Caraïbes qui s’est révélé être une fausse alerte, la compagnie Air Caraïbes a porté plainte contre X « pour communication d’informations de nature à compromettre la sécurité d’un aéronef en vol ».
Ce dépôt de plainte contre X confirme la volonté de la compagnie, dans l’intérêt de ses passagers et équipages, d’avoir accès aux éléments du dossier d’enquête et ainsi de faire toute la lumière sur l’incident. Ce dépôt vise également à défendre les intérêts économiques et sociaux d’Air Caraïbes, en se constituant partie civile.
Pour rappel, le commandant de bord a jugé suffisamment sérieuses les informations fournies par une passagère pour décider d’interrompre le vol dans un souci de sécurité des passagers. Selon les premiers éléments, celle-ci aurait surpris une conversation en arabe et aurait craint pour la sécurité de l'appareil. D'après ce qu'elle aurait rapporté au personnel de bord, deux hommes en pleine discussion auraient fait état d'une bombe qui pourrait exploser.
A l'issue du vol quatre passagers, tous commerçants à Fort de France, ont été interpellés Ils ont été remis en liberté en fin d'après-midi. C'est la section anti-terroriste du parquet de Paris, saisie quelques heures après l'alerte à la bombe, qui a décidé de lever les garde à vue. Aucune charge n'aurait été retenue contre eux.
Ce dépôt de plainte contre X confirme la volonté de la compagnie, dans l’intérêt de ses passagers et équipages, d’avoir accès aux éléments du dossier d’enquête et ainsi de faire toute la lumière sur l’incident. Ce dépôt vise également à défendre les intérêts économiques et sociaux d’Air Caraïbes, en se constituant partie civile.
Pour rappel, le commandant de bord a jugé suffisamment sérieuses les informations fournies par une passagère pour décider d’interrompre le vol dans un souci de sécurité des passagers. Selon les premiers éléments, celle-ci aurait surpris une conversation en arabe et aurait craint pour la sécurité de l'appareil. D'après ce qu'elle aurait rapporté au personnel de bord, deux hommes en pleine discussion auraient fait état d'une bombe qui pourrait exploser.
A l'issue du vol quatre passagers, tous commerçants à Fort de France, ont été interpellés Ils ont été remis en liberté en fin d'après-midi. C'est la section anti-terroriste du parquet de Paris, saisie quelques heures après l'alerte à la bombe, qui a décidé de lever les garde à vue. Aucune charge n'aurait été retenue contre eux.