L’archipel de la Guadeloupe, un papillon dans l’océan
La plus grande des Petites Antilles (1 780 km2) est composée de sept îles, dont les deux principales, la Grande-Terre et la Basse-Terre sont accolées en forme de papillon. Les trois autres îles sont les Saintes, la Désirade et "l'île aux 110 moulins", Marie-Galante.
La richesse de l’archipel guadeloupéen se découvre à travers son histoire, sa population au milles visages, sa culture et son environnement. Ses premiers habitants, l'avaient nommée "l'île aux belles eaux". Elle est aussi appelée "l'île d'émeraude" ou l'île papillon car, vue du ciel, les deux principales îles se déploient telles les ailes d'un papillon.
la fleur que je préfère : la rose "porcelaine"
rose "porcelaine" |
Au centre (nord) et au sud de l'île, écrin de verdure et de vie, le Parc National de la Guadeloupe constitue un sanctuaire magnifique de 17 300 ha (soit 10% du territoire) qui abrite une des plus belles forêts des Petites Antilles.
Une flore exubérante s'y développe : plus de 300 espèces d'arbres et d'arbustes, 270 espèces de fougères, près de 100 espèces d'orchidées et un enchevêtrement de lianes agrippées aux arbres.
La faune est peu inquiétante, essentiellement limitée au "racoon", ancien emblème du parc, petit raton laveur très sympathique, et à une foule d'oiseaux dont les étonnants colibris et l'unique pic sédentaire des Petites Antilles : le pic noir de Guadeloupe.
Une flore exubérante s'y développe : plus de 300 espèces d'arbres et d'arbustes, 270 espèces de fougères, près de 100 espèces d'orchidées et un enchevêtrement de lianes agrippées aux arbres.
La faune est peu inquiétante, essentiellement limitée au "racoon", ancien emblème du parc, petit raton laveur très sympathique, et à une foule d'oiseaux dont les étonnants colibris et l'unique pic sédentaire des Petites Antilles : le pic noir de Guadeloupe.
La porte de l' enfer
La porte de l'Enfer ressemble plutôt à un petit coin de Paradis. Un endroit isolé avec un couloir d'eau qui s'enfonce profondément dans les terres. L'eau est calme et transparente. Au bout, l'Océan rugit de sa toute puissance...
Dans l’océan Atlantique, située dans la mer des Caraïbes, à 7200 km de la France métropolitaine, la Guadeloupe est un département d’outre-mer français (DOM) depuis 1946. C’est un archipel en forme de papillon dont l’aile droite, Grande-Terre, et celle de gauche, Basse-Terre sont séparées par la Rivière Salée.
Regarder sur Google la carte de la Guadeloupe en suivant le lien :
http://www.guadeloupe-antilles.com/html/carte-guadeloupe.htm
Regarder sur Google la carte de la Guadeloupe en suivant le lien :
http://www.guadeloupe-antilles.com/html/carte-guadeloupe.htm
La Grande Vigie
Au Nord de Grande Terre, spectacle impressionnant de falaises abruptes, hautes de 80 m, fouettées par une mer houleuse. L'accès est assez difficile car le chemin est très rocailleux.
Le cimetière classé de Morne à l' Eau
Le cimetière qui s'étage sur une colline au beau milieu de la ville près de la gendarmerie, donne l'impression d'un immense jeu de Dames (tombes à damier noir et blanc). Splendide quand on arrive par la nationale face à ce beau cimetière.
Située entre l'Equateur et le Tropique du Cancer, baignée à l'ouest par la mer des Caraïbes et à l'est par l'océan Atlantique, la Guadeloupe est un archipel de 1.780 km2 qui compte deux îles principales, Basse-Terre et Grande-Terre, séparées par un étroit chenal, la rivière Salée. Quatre autres îles en font partie : les Saintes, Marie-Galante, la Désirade.
Christophe Colomb l'aborde pour la première fois en 1493. Elle devient un Département d'outre-mer le 19 mars 1946, puis une Région en 1974.
Suite au référendum du 7 décembre 2003 relatif au changement de statut, les îles de Saint-Martin (partagée entre la France et les Pays Bas) et Saint-Barthélemy, anciennement rattachées à la Guadeloupe, sont devenues des Collectivités d'outre-mer à part entière.
Les deux îles principales
Sur le plan touristique, la Grande Terre semble poussée par une brise de prospérité. C’est que la plupart des grands hôtels et des gîtes y sont installés, que ce soit au Gosier, à Sainte-Anne ou à Saint-François - autant de stations balnéaires offrant au regard des panoramas splendides, des sites et des points de vue d’une admirable symétrie comme la Pointe des Châteaux, sans oublier les plages renommées, comme celles de la Caravelle, du Bois Jolan, des Raisins Clairs.
D’une superficie de 590 km2, la Grande Terre, dont la ville principale est Pointe-à-Pitre, offre un contraste saisissant entre la côte sud, où la beauté des plages et de la mer transparente éclatent au soleil, et la côte nord autour du Moule, d’Anse Bertrand et de Port-Louis, qui semblent plus chargés de travail humain avec les plantations et les industries. Selon leurs caractéristiques naturelles, l’une et l’autre côtes comprennent autant d’atouts et de variétés touristiques qu’il y a d’attentes à satisfaire : les baignades, la plongée, les randonnées, les visites artistiques de musées, la découverte des maisons coloniales, les parcs zoologiques, sans oublier les grandes manifestations culturelles
D’une superficie de 590 km2, la Grande Terre, dont la ville principale est Pointe-à-Pitre, offre un contraste saisissant entre la côte sud, où la beauté des plages et de la mer transparente éclatent au soleil, et la côte nord autour du Moule, d’Anse Bertrand et de Port-Louis, qui semblent plus chargés de travail humain avec les plantations et les industries. Selon leurs caractéristiques naturelles, l’une et l’autre côtes comprennent autant d’atouts et de variétés touristiques qu’il y a d’attentes à satisfaire : les baignades, la plongée, les randonnées, les visites artistiques de musées, la découverte des maisons coloniales, les parcs zoologiques, sans oublier les grandes manifestations culturelles
D'une superficie de 590 km2, l'aile droite du papillon, la Grande-Terre, est un plateau calcaire qui présente un paysage de plaines sèches dominées par des collines peu élevées (les "mornes"). Son sommet le plus haut n'est qu'à 177m.
Le Nord et l'Est sont des plaines prolongées par des falaises qui plongent dans l'Atlantique. Le Sud et l'Ouest sont formés par la plaine argileuse des Abymes recouverte en partie par une large zone marécageuse appelée mangrove.
Le littoral méridional offre des plages de sable fin et blanc aux eaux limpides protégées de récifs coralliens. C'est dans ce secteur que sont localisées les principales infrastructures touristiques.
L'activité agricole est essentiellement composée de la culture de la canne à sucre.
Dans la composition de la Guadeloupe, l’Ile Papillon, la nature physique lui a donné une aile montagneuse, couverte par une forêt tropicale de 17000 ha. En effet, la Basse Terre, d’une superficie de 848 km2, est dominée par le volcan de la Soufrière (1467 m), et presque partout envahie par une végétation luxuriante de plus de 3000 espèces d’arbres, abritant une faune exotique. C’est alors que sa propre beauté est le mieux révélée. Mais, belles aussi sont ses côtes atlantique et caraïbe, avec leurs plages de galets et de sable brun, et tous les îlets plantés ça et là dans des mers riches comme la vie.
Pourquoi les chutes, les cascades, les rivières, les bassins naturels, comblent-ils tant les touristes d’une plénitude d’émotion qui semble inépuisable ? Sinon, à cause des contrastes avec la Grande Terre, les lieux de la Basse Terre sont imprégnés de la beauté originale de la campagne avec, le long des côtes, à travers bois et massifs, ses champs de canne à sucre et ses bananeraies.
Les impressions produites sont celles de variété et de couleur, à mesure que l’on descend vers l’Atlantique. La ville de Basse Terre, capitale de la Guadeloupe, présente à tous les regards un patrimoine architectural magnifique, où se distinguent le fort Saint Charles et la Cathédrale.
Une ville, qui a traversé les âges depuis sa création en 1643, et qui, en plein épanouissement, plane sur les 16 autres communes de la Basse Terre, de Baie Mahault à Trois Rivières. A travers elle, brille une vie culturelle intense .
Une ville, qui a traversé les âges depuis sa création en 1643, et qui, en plein épanouissement, plane sur les 16 autres communes de la Basse Terre, de Baie Mahault à Trois Rivières. A travers elle, brille une vie culturelle intense .
D'une superficie de 848 km², la Basse-Terre s'impose avec son relief, les nombreuses rivières et ravines qui la traversent. La Grande Rivière à Goyave est la plus longue (32 km).
Son point culminant est le volcan actif de la Soufrière (1467 m et plus haut sommet des Petites Antilles). Son centre, recouvert en majorité de la forêt dense humide abrite le 7ème parc national français avec ses 17.300 ha.
La ville de Basse-Terre est également la capitale administrative.
Marie-Galante
Située à une quarantaine de kilomètres de la Guadeloupe, c'est avec ses 158 km2 la plus grande des quatre îles qui dépendent de la Guadeloupe.
Elle porte le nom de l'une des trois caravelles de Christophe Colomb (La Maria Galanta) qui l'a découvert. Elle est appelée la Grande Galette en raison de son relief et de sa forme plate. L'île aux cent moulins est réputée pour son rhum.
Elle regroupe trois communes : Grand-Bourg au sud-ouest, Saint-Louis à l'ouest et Capesterre au nord-est.
La Désirade
2 km de large sur 11 km de long, l'île doit l'origine de son nom à la joie de Christophe Colomb découvrant cette terre tant "désirée" après plusieurs mois en mer. Située à 8 km de la Pointe des châteaux, la Désirade apparaît comme un bateau renversé. Elle était autrefois une terre d'exil pour les corsaires et une terre d'accueil pour les lépreux.
Ses habitants, environ 2.000, vivent principalement de la pêche, de la petite agriculture et de l'élevage.
Les Saintes
Situées à 10 km au sud de la Basse-Terre, les Saintes sont composées de deux îles principales - Terre-de-Haut et Terre-de-Bas -, peuplées de quelques 3.000 habitants et entourées de six îlets inhabités. Christophe Colomb leur a donné ce nom en l'honneur semble-t-il de la fête de la Toussaint.
Terre-de-Haut est dotée d'une magnifique baie, classée parmi les 3 plus belles du monde, et de nombreuses plages.
L'économie des Saintes est basée sur le tourisme et la pêche traditionnelle réputée dans toute la Caraïbe avec notamment sa charpenterie marine célèbre pour ses bateaux appelés "saintoises".
Petite Terre
A 20 km de Saint-François, Petite Terre est un archipel composé de deux îlots, Terre de Haut et Terre de Bas. Petite Terre est inhabitée, à l'exception d'une colonie d'iguanes et de nombreuses variétés d'oiseaux. En 1994, les îlets furent classés en réserve naturelle, la chasse et la pêche y sont donc interdites.
Le climat
Il est de type tropical maritime, tempéré par les vents venant de l'océan Atlantique (les Alizés). La régularité des températures contraste avec la variation pluviométrique. Cette dernière est un facteur important dans le climat de la Guadeloupe, composé de deux saisons : le carême, saison sèche de janvier à juin et l'hivernage, et la saison des pluies de juillet à décembre correspondant également à la période cyclonique.
A toutes les formes d’intercommunication physiques et naturelles au sein de l’archipel, s’ajoutent aujourd’hui des infrastructures de communication inter-îles fortement développées. Outre les liaisons aériennes, il faut aussi mettre en évidence le rôle essentiel de la mer des Caraïbes, trait d’union par les navettes maritimes entre la Guadeloupe et ses sept îles.
L’île aux belles eaux, autrement dit Karukéra, comme l’appelaient les Caraïbes, au moment où Christophe Colomb l’aborde en novembre 1493, deviendra plus tard « La Guadeloupe », en souvenir d’une sainte d’Estrémadure en Espagne. Elle continue d’établir le rapport de toujours avec la mer des Caraïbes, et la beauté des rivages de la Riviéra de la Grande Terre, zone touristique par excellence.
Et que dire des spectacles offerts par la nature plus sauvage des mornes appelés « Grands Fonds », sans oublier l’autre sorte d’émotion qu’apporte la Soufrière, volcan en activité de la Basse-Terre ? Certes, on est séduit par la beauté si diverse des sites de la Guadeloupe, la mer, la montagne, la forêt, les parcs, les hauts lieux de l’histoire comme Matouba, où partout aussi la mesure de la modernité est présente.
L’île aux belles eaux, autrement dit Karukéra, comme l’appelaient les Caraïbes, au moment où Christophe Colomb l’aborde en novembre 1493, deviendra plus tard « La Guadeloupe », en souvenir d’une sainte d’Estrémadure en Espagne. Elle continue d’établir le rapport de toujours avec la mer des Caraïbes, et la beauté des rivages de la Riviéra de la Grande Terre, zone touristique par excellence.
Et que dire des spectacles offerts par la nature plus sauvage des mornes appelés « Grands Fonds », sans oublier l’autre sorte d’émotion qu’apporte la Soufrière, volcan en activité de la Basse-Terre ? Certes, on est séduit par la beauté si diverse des sites de la Guadeloupe, la mer, la montagne, la forêt, les parcs, les hauts lieux de l’histoire comme Matouba, où partout aussi la mesure de la modernité est présente.
Département d’Outre-Mer depuis le 19 Mars 1946, Région d’Outre-Mer depuis 1974, Région ultra périphérique de l’Europe, celui-ci trouvera partout, en plus du dépaysement, tout ce qui fait l’ornement et le confort de la vie humaine. Le plaisir des yeux et le plaisir de l’esprit en seront multipliés.