mercredi 30 mars 2016

MANIFESTE









PROFESSION DE FOI DE NOS CANDIDATS EN 2017 :  

La révolte gronde, des mails comme celui-ci circulent de plus en plus, c'est logique !

 

En 2017, il faut :

- Immigration zéro.

- Suppression de l'aide médicale d'état coûtant 1 milliard par an pour les réfugiés. (AME) + ATA + CMU + RSI etc etc

- Réduction du nombre des sénateurs, voir suppression du Sénat.

- Réduction de plus de la moitié des députés (202 suffisent) et réduction des élus des collectivités territoriales et des conseillers régionaux.

- Pointeuse à l'assemblée nationale afin que chaque député soit payé en fonction de sa présence !!!

- Idem au Sénat !!!

- Interdiction réelle et effective du cumul des mandats et du cumul des retraites des dits mandats sauf le dernier exercé. Comme dans toute profession : halte au pillage du pays par une certaine caste !!!  ( à un ouvrier on ne paie pas tous les échelons qu'il a franchi mais seulement le dernier)

- Réduction des parlementaires et des fonctionnaires européens qui ne servent à rien.
- Réduction du nombre des ministres et des secrétaires d'état.

- Suppression de la CMU à certaines catégories !!!

- Que l'on arrête de payer des retraites à l'étranger sans savoir si les gens sont toujours vivants (déjà dénoncé par la cours des comptes !!!)
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Suppression des retraites versées aux étrangers arrivant en France à 65 ans sans jamais avoir cotisé (1157 EUR) (comment peut-on oser, quand des français de souche se tuent parce qu'ils n'arrivent plus à payer leurs factures, après avoir cotisé 44 ans pour la plupart) !!!
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- Désendettement massif de la France par la réduction du train de vie de toutes les "élites" ... 

- Suppression des aides aux associations, véritables pompes pour assistés professionnels.

 

 - Comment expliquer qu'un salarié qui se lève chaque matin a du mal à finir le mois, ne parte presque jamais en vacances et ne peut se soigner correctement alors qu'une personne inactive est logée gratuitement avec APL, peut faire des grasses matinées, partir en vacances chaque année avec les bons vacances de la CAF et se faire soigner avec la CMU bien mieux qu'un salarié qui n'a droit à rien de tout ça !
> > - Alors, aidons plus les salariés pour une France qui avance et foutez les cas sociaux au boulot !


> > - Si vous voulez que cela continue, reconduisez ceux qui, depuis 40 ans votent des budgets en déficit pour acheter des électeurs...
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- Moi aussi, je fais suivre, car j'approuve sans la moindre réserve !

 

 

Continuez la chaîne, S.V.P

« Triste spectacle », « fiasco »... la gauche regrette l’abandon de la réforme constitutionnelle


Le Monde.fr | • Mis à jour le

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François Hollande à l'Elysée, mercredi 30 mars 2016, annonçant son renoncement à la réforme de la Constitution.

Mercredi 30 mars, à l’heure d’expliquer sa décision de renoncer à réviser la Constitution pour y inscrire l’état d’urgence et la déchéance de nationalité pour les auteurs d’acte terroriste, le président de la République, François Hollande, a pointé la responsabilité de la droite dans cet échec :

« Je constate qu’une partie de l’opposition est hostile à toute révision constitutionnelle ; qu’elle porte sur l’état d’urgence ou même l’indépendance de la magistrature. Je déplore profondément cette attitude, car nous devons tout faire dans les circonstances que nous connaissons pour limiter les divisions et écarter les surenchères. »
Une accusation relayée par une partie de la gauche, réagissant au discours du chef de l’Etat. Lors des questions au gouvernement à l’Assemblée, le premier ministre, Manuel Valls, a ainsi évoqué un « immense regret », accusant la droite sénatoriale d’avoir refusé un accord. « Nous avons raté cette réforme », a-t-il lancé dans l’hémicycle.
Bruno Le Roux, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, a, lui, fustigé une droite qui « n’a pas pu prendre en compte la situation du pays ».
« Je le regrette car nous avons fait des pas en direction de la droite, nous avons réussi à rassembler une majorité des trois cinquièmes à l’Assemblée. Ici, nous avons su dépasser les clivages politiques ; ce que le Sénat n’a pas été capable de faire. »
Le premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Jean-Christophe Cambadélis, a de son côté regretté le « triste spectacle » présenté aux Français.

EELV salue « une victoire pour la république et l’égalité »

Plus à gauche, le député frondeur Christian Paul dénonce un « fiasco politique », « quatre mois de controverse infernale ». « L’abandon du Congrès était prévisible. Cela fait un mois et demi que beaucoup d’entre nous disent que nous n’irons pas à Versailles. L’exécutif s’est mis dans la main de la droite, livrée, elle, a ses petits calculs politiques. Le pays en sort divisé, et la gauche, terriblement affaiblie. »
Pour le député Pouria Amirshahi, qui a annoncé en mars quitter le PS, « l’abandon de la réforme constitutionnelle est une belle victoire pour les amoureux de la démocratie, de l’Etat de droit et de nos principes républicains ».
Le parti écologiste Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui était opposé au projet, voit aussi en l’abandon de la réforme « une victoire pour la république et l’égalité ».
« Affirmer que tel ou tel camp serait responsable de l’échec de la révision constitutionnelle est une faute politique. On ne doit tout simplement pas réviser la Constitution — qui inscrit dans le marbre notre pacte républicain — dans l’urgence, sous le coup de l’émotion post-attentats. Le président de la République porte la responsabilité d’une fracturation du débat public et de cette hystérie collective qui aura conduit des députés de la nation à envisager la création d’apatrides. »
Pour Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste, ce renoncement signe « un échec cinglant d’un pouvoir de plus en plus isolé ». « C’est la preuve que d’autres reculs peuvent désormais lui être imposés » ajoute-t-il, espérant que le chef de l’Etat en fasse de même pour la loi travail.

« Hollande condamne le pays à l’immobilisme »

La droite sénatoriale, particulièrement pointée du doigt par la gauche pour avoir refusé l’article portant sur la déchéance de nationalité tel qu’il avait été rédigé par l’Assemblée nationale, récuse les accusations et se retourne vers la gauche parlementaire.
« Le président de la République a été mis en difficulté par les socialistes à l’Assemblée nationale », assure ainsi Jean-Pierre Raffarin, sénateur de la Vienne. « Nous sommes pour l’unité nationale. Il y a eu une manœuvre de la part des socialistes. L’autorité du président sur ses propres troupes est mise en cause. Nous avions proposé une solution, qui était de revenir à la proposition du président lors du Congrès de Versailles. (…) Cette position n’a pas été retenue par les socialistes. »