lundi 21 octobre 2019

LES GLORIEUSES



ACTUALITÉ

Sept images qui montrent à quoi ressemblent les Glorieuses, îles françaises où se rend Macron 

Emmanuel Macron se rend dans les îles Glorieuses la semaine prochaine. Cet archipel fait partie des îles Éparses, petits bouts de terre appartenant à la France dans l’océan Indien. Inhabités, méconnus, ces îlots suscitent beaucoup de convoitises. Visite guidée.




C’est un ensemble d’îlots méconnus et inhabités, dont la superficie terrestre cumulée ne dépasse pas les 43 km².
L’atoll de Bassas da India, les îles d’Europa, Juan de Nova, Tromelin, et l’archipel des Glorieuses : ces bouts de terre composent les îles Éparses, territoires français de l’océan Indien situés pour l’essentiel entre les côtes de Madagascar et de celles du Mozambique.
Emmanuel Macron s’y rendra la semaine prochaine. Dans le cadre d’un déplacement dans l’océan Indien, le président de la République va s’arrêter dans les Glorieuses, une première pour un chef d’État français.
Cette escale d’une heure est prévue mercredi. En amont de cette visite, voici à quoi ressemblent ces petites îles...


(Photo : Nasa / AFP)

L’archipel des Glorieuses ne compte qu’une île sableuse : la principale, Grande Glorieuse. Elle mesure 3 km de diamètre. Les autres sont des formations coralliennes.
Seule présence humaine, sur place : quinze militaires. Un gendarme et quatorze soldats du détachement de la Légion étrangère basé à Mayotte. Ils sont relevés tous les 45 jours, par voie aérienne.
L’accès par la mer est difficile, et seuls les avions militaires se posent sur une « piste d’aviation sommaire qui nécessite un entretien permanent », expliquait le ministère de la Défense en 2009, répondant à une question écrite du sénateur des Français établis hors de France Christian Cointat (UMP).
Le même dispositif militaire est en place sur les îles Juan da Nova et d’Europa.


(Photo : Richard Bouhet / AFP)

Comme le reste des îles Éparses, les Glorieuses font partie des Terres australes et antarctiques françaises et sont administrées par le préfet de la Réunion.
Selon le site de la collectivité, l’archipel aurait d’abord été découvert au Moyen-Âge, par des navigateurs venus de pays arabes.
Les Glorieuses tirent leur nom du navire Le Glorieux, dont l’équipage était venu relever la position des îles en 1751. Elles sont françaises depuis le 23 août 1892, quand un certain capitaine Richard a hissé le drapeau français sur Grande Glorieuse.


(Photo : Sophie Lautier / AFP)

Le déplacement d’Emmanuel Macron aura notamment pour thème l’environnement, fait savoir l’Élysée.
Les Glorieuses sont protégées. Le parc naturel marin du même nom s’étend sur 43 762 km² d’océan, autour des îles.
Dans ce parc, il y a notamment un complexe récifal qui s’étend sur 165 km². Le parc veut notamment permettre de préserver la riche biodiversité de la zone, et notamment des colonies d’oiseaux marins. Les îles sont aussi un site de ponte privilégié des tortues vertes.


(Photo : Sophie Lautier / AFP)

Si elles sont françaises, les îles Éparses sont aussi revendiquées par Madagascar depuis 1973, treize ans après l’indépendance. Au mois de juin, le président malgache, Andry Rajoelina, avait demandé à Emmanuel Macron de « trouver une solution pour la gestion ou la restitution des îles Éparses à Madagascar ».
Les deux dirigeants ont décidé de traiter la question en mettant en place une commission mixte, qui doit trouver une solution à ce problème d’ici juin 2020, selon l’Agence France-Presse (AFP).


(Photo : Lionel Rich / Wikimédia Commons / CC BY-SA 2.5)

Même si elles sont inhabitées, même si elles sont petites, les îles Éparses occupent une place stratégique : elles sont en majorité situées entre les côtes de Madagascar et du Mozambique, une importante route maritime. Et malgré leur superficie terrestre limitée, leur Zone économique exclusive (ZEE) est immense : 640 000 km² en prenant en compte celle de Mayotte.
La ZEE, c’est, pour schématiser, le territoire maritime qui s’étend à 370 kilomètres au large des côtes d’un État, et dont celui-ci peut exploiter les ressources… Celle de la France dans la région représente la moitié du canal du Mozambique.
La valeur scientifique et environnementale de ces îles préservées est également capitale.


(Photo : TAAF / Wikimédia Commons / CC BY-SA 3.0)

Si les Éparses attirent les regards et les convoitises, c’est aussi parce qu’elles seraient riches en hydrocarbures. En tout, entre 6 et 12 milliards de barils de pétrole, et entre 3 et 5 milliards de mètres cubes de gaz dormiraient dans le canal du Mozambique, selon plusieurs études scientifiques citées par l’AFP. Dont la moitié est donc couverte par la ZEE des îles Éparses…
Selon un rapport publié par l’Institut d’études géologiques des États-Unis, le canal du Mozambique serait « une prochaine mer du Nord en puissance », une référence aux immenses réserves pétrolières au large des côtes de l’Écosse ou de la Norvège.

mardi 15 octobre 2019

eolis3.afrodite@blogger.com 被黑了! 立即更改密码!

我问候你!

我有个坏消息。
15/06/2019 - 在这一天,我攻击了您的操作系统并完全访问了您的帐户 eolis3.afrodite@blogger.com。

就是这样。
在您当天连接的路由器的软件中,存在一个漏洞。
我首先攻击了这个路由器并将恶意代码放在上面。
当您通过Internet输入时,我的木马安装在您设备的操作系统上。

之后,我完成了你的磁盘转储(我有你所有的地址簿,查看网站的历史记录,所有文件,电话号码和所有联系人的地址)。

一个月前,我想锁定你的设备并要求少量资金解锁。
但我查看了您经常访问的网站。 你最喜欢的资源令我震惊。
我说的是成人网站。

我想说 - 你是个大变态者。你有一个令人眼花缭乱的幻想!

在那之后,我想到了一个想法。
我制作了你喜欢的成人网站的截图(你知道我的意思,是吗?)。
之后,我在浏览本网站时拍摄了你和你的娱乐照片(我使用了你设备的相机)。
结果很棒! 不要犹豫!

我深信您不想向您的亲戚,朋友或同事展示这些照片。
我认为781美元对于我的沉默是少量的。
此外,我花了很多时间在你身上!

我在比特币接受钱。
我的BTC钱包: 1FM76fWQ6rGyCvjWojshgsbbCK6R8rLWJS

您不知道如何补充比特币钱包?
在任何搜索引擎中写“如何补充btc钱包”。
这很简单。

对于付款,你有两天多一点(恰好50小时)。
别担心,计时器将在您打开此信件时开始。是的,是的..它已经开始了!

付款后,我的病毒和你的妥协自动毁灭。
如果我没有收到您指定的金额,您的设备将被屏蔽,您的所有联系人都会收到您娱乐的照片。

要谨慎!
- 不要试图找到并摧毁我的病毒! (您的所有数据都已上传到远程服务器)
- 不要试图联系我(这是不可能的,我通过您的帐户向您发送了此电子邮件)
- 各种安全服务对您没有帮助;格式化磁盘或销毁设备也无济于事,因为您的数据已经在远程服务器上。

附:我保证,付款后我不会打扰你,因为你不是我唯一的客户。
这是一个黑客的荣誉准则。

从现在开始,我建议你使用好的防病毒软件并定期更新(每天几次)!

不要生我的气,每个人都有自己的工作。
再见。

mardi 8 octobre 2019

MES CHANSONS
















Allo allo Monsieur là-haut
C'est France Gall à l'appareil
Je voudrais que vous me passiez
Le bureau du Père éternel

On me dit qu'il a conférence
Avec Charlemagne et Hitler
L'un veut allonger les vacances
L'autre veut supprimer la guerre

Allo allo Monsieur là-haut
C'est France Gall depuis la terre
Je voudrais si ce n'est pas trop
Dire un mot à ce cher Saint-Pierre

"Petite fille ici c'est l'enfer
Il y a erreur de numéro"
J'entends raccrocher le Père Lucifer
Qui me dit: "Peut-être à bientôt"

Allo allo Monsieur là-haut
Ne dérangez pas le ciel
Je voulais savoir comment va
La santé du Père éternel

Allo allo Monsieur là-haut
Répondez à ma prière
Est-ce qu'il est grand? 
Est-ce qu'il est beau?
Et quel visage a notre Père

Et soudain me chantent les anges
Pour toi et pour les gens qui s'aiment
Il a le sourire de ses grands nuages
Et les yeux bleus de son ciel




DÉCOUVERTE D'UNE ÉPAVE AUX PAYS-BAS

Pays-Bas. 

Une épave datant de 1540 découverte par hasard en mer du Nord


L’épave d’un navire du début du XVIe siècle a été découverte par hasard, en mer du Nord.
L’épave d’un navire du début du XVIe siècle a été découverte par hasard, en mer du Nord


Lors de recherches visant à localiser des conteneurs perdus en janvier en mer du Nord, une équipe de chercheurs néerlandais a découvert une épave d’un navire datant du XVIe siècle. Il aurait appartenu à une richissime famille qui détenait le monopole de la production du cuivre à cette époque. La ministre néerlandaise de la Culture a salué une « découverte spectaculaire » et un « enrichissement du patrimoine néerlandais ».
L’épave d’un navire du début du XVIe siècle a été découverte par hasard aux Pays-Bas lors d’une opération de localisation de conteneurs perdus en janvier en mer du Nord, près de l’île de Borkum à la frontière entre l’Allemagne et les Pays-Bas, a annoncé ce mercredi le ministère de l’Education, de la Culture et de la Science.
« Il s’agit de la plus ancienne épave jamais découverte dans les eaux néerlandaises », a précisé le ministère dans un communiqué.






Voir l'image sur TwitterVoir l'image sur Twitter




Lors de recherches visant à localiser des conteneurs perdus en janvier en mer du Nord, une équipe de chercheurs néerlandais a découvert une épave d’un navire datant du XVIe siècle. Il aurait appartenu à une richissime famille qui détenait le monopole de la production du cuivre à cette époque. La ministre néerlandaise de la Culture a salué une « découverte spectaculaire » et un « enrichissement du patrimoine néerlandais ».
L’épave d’un navire du début du XVIe siècle a été découverte par hasard aux Pays-Bas lors d’une opération de localisation de conteneurs perdus en janvier en mer du Nord, près de l’île de Borkum à la frontière entre l’Allemagne et les Pays-Bas, a annoncé ce mercredi le ministère de l’Education, de la Culture et de la Science.
« Il s’agit de la plus ancienne épave jamais découverte dans les eaux néerlandaises », a précisé le ministère dans un communiqué.



Voir l'image sur TwitterVoir l'image sur Twitter

Onderzoekers hebben n Nederlands uit begin 16e eeuw met lading koperplaten gevonden.
De oudste vondst van een zeevarend schip in Nederlandse wateren ooit. Minister Van Engelshoven maakte dit vandaag bekend op bij de RCE.http://bit.ly/2UeNpy2 

31 personnes parlent à ce sujet
L’épave a été découverte lors de recherches pour retrouver les conteneurs perdus par le MSC Zoe, l’un des plus grands porte-conteneurs au monde, dans la nuit du 1er au 2 janvier, au large des îles Wadden (nord). Près de 350 conteneurs étaient passés par-dessus bord. Des dizaines d’entre eux s’étaient échoués sur les plages mais la plupart avaient disparu en mer.

L'île de Borkum autour de laquelle se sont concentrées les recherches pour retrouver les conteneurs perdus, menant finalement à la découverte de l'inestimable épave | 

Un navire construit vers 1540 aux Pays-Bas

Lors des recherches dans les eaux de la mer du Nord, « des plaques de cuivre et des poutres en bois ont été découvertes, ce qui a immédiatement conduit à l’ouverture d’une enquête archéologique », a expliqué le ministère. Les chercheurs ont conclu que les poutres en bois provenaient d’un navire à coque lisse, probablement de 30 mètres de long, qui transportait des plaques de cuivre, a-t-il précisé.
Les études montrent que le bois a été coupé en 1536 et que le navire a été construit vers 1540 aux Pays-Bas actuels, qui faisaient à l’époque partie de l’empire de Charles Quint. Les plaques de cuivre sont datées autour de la même période.


Le bois a été coupé en 1536, quatre ans avant la mise à l'eau du navire

Le navire aurait appartenu à une famille à la fortune colossale

« La particularité est que les plaques portent des marques de la famille Fugger. Au XVIe siècle, la famille Fugger détenait le monopole de la production de cuivre. Cette découverte a une très grande valeur culturelle et archéologique », a souligné le ministère. Installés à Augsbourg, en Bavière, les Fugger étaient des marchands et banquiers à la fortune colossale, qui ont notamment joué un rôle clé dans l’élection en 1519 de Charles Quint comme Empereur, au détriment de François Ier.
La ministre de l’Éducation, de la Culture et de la Science, Ingrid van Engelshoven, a salué une « découverte spectaculaire » et un « enrichissement du patrimoine néerlandais »« Je suis très curieuse de savoir quelles informations supplémentaires remonteront à la surface », a-t-elle ajouté, citée dans le communiqué.

vendredi 4 octobre 2019

ATTENTION AU POISSON LION






La rascasse volante, aussi appelée poisson-lion, est une créature fascinante dotée d’une magnifique parure d’épines venimeuses, qui dérive lentement dans les récifs coralliens. Mais ce poisson dévaste et détruit la biodiversité qui l’entoure.

La rascasse volante est une espèce issue des eaux marines chaudes du Pacifique Sud et de l’océan Indien. Elle se nourrit d’une large variété de proies (plus de 100 espèces différentes), notamment les poissons plus petits, les mollusques et les invertébrés, soufflant parfois dans l’eau pour désorienter sa victime avant de la dévorer. 1 000 rascasses volantes peuvent ainsi dévorer en un an pas moins de 5 millions de proies.
Sa caractéristique la plus remarquable est la ligne d’épines qui parcourt toute la longueur de son corps, armes dont sont également dotées ses nageoires en éventail. Ces 18 épines aux rayures brunes et blanches, sont très vénéneuses, y compris pour les humains. Ce qui explique que la créature attire peu de prédateurs naturels, à l’exception des murènes et des requins.

La rascasse volante ou poisson-lion est une espèce issue des eaux marines chaudes du Pacifique Sud et de l’océan Indien. (Photo : Corinne Bourbeillon / Ouest-France)

Dans leur habitat naturel, les rascasses volantes, aussi appelées « poissons-lions », appartiennent à un écosystème marin qui a évolué pour interagir harmonieusement, chaque espèce y jouant un rôle vital. Mais comment cet animal est-il progressivement devenu responsable de ravages dans les océans ?
Une expansion fulgurante
Malheureusement, des populations de poissons-lions se sont établies au large de la côte sud-est des États-Unis, dans les Caraïbes et plus récemment en mer Méditerranée, attaquant avec voracité les espèces de poissons natives, augmentant leur population à une vitesse fulgurante, et se répandant ainsi sur de vastes zones. Sans compter que leur espérance de vie atteint les trente ans !

Le poisson-lion peut vivre une trentaine d'années. (Photo : Corinne Bourbeillon / Ouest-France)

Les premiers poissons-lions observés près de la Floride ont été remarqués en 1985. En 2001, ils étaient solidement établis sur le littoral est des États-Unis à des densités supérieures à 100 par hectare. Leur nombre dépasse désormais celui des poissons natifs sur de nombreux sites, et dans certaines zones de l’Atlantique ouest est quatre fois supérieur à leur nombre dans leur région native. 
On ignore comment les populations de rascasses volantes ont colonisé ces régions. Certaines théories suggèrent un lâcher intentionnel orchestré par le commerce aquatique, des déplacements de populations causés par l’ouragan Andrew, ou via des citernes de ballast de bateaux contenant accidentellement des spécimens.
À son arrivée dans une nouvelle zone marine, le poisson-lion se reproduit à un rythme aussi ahurissant qu’alarmant. Dès un an, il est capable de pondre tous les deux ou trois jours des milliers d’œufs, et ce, tout au long de l’année. Ses œufs sont lâchés en pleine mer où ils éclosent et dérivent aux côtés des planctons, avant d’élire domicile sur un récif.
Cela signifie que potentiellement des millions d’œufs occupent les courants océaniques, garantissant aux rascasses volantes un potentiel considérable pour se répandre rapidement et largement dans un plan d’eau en perpétuel mouvement.
Outre leur appétit vorace – la taille de leur estomac peut être multipliée par 30 – elles profitent de l’ignorance des proies locales, peu familières de ce nouveau prédateur qui jouit alors d’un terrain de chasse idéal. Indirectement, l’arrivée des poissons-lions restreint la quantité de proies pour les prédateurs natifs et provoque un déséquilibre important de l’écosystème.

Les épines des rascasses volantes sont venimeuses. (Photo : Corinne Bourbeillon / Ouest-France)

En dehors de son aire de répartition naturelle, la rascasse volante n’a en outre pas de prédateurs naturels connus qui pourraient maîtriser ses populations. Même les chasseurs d’œufs et de jeunes poissons-lions demeurent inconnus.
Les humains sont donc les seuls à ce jour à pouvoir les chasser – et le besoin de régulation devient une priorité urgente pour la conservation. Que ce soit pour la protection de la nature ou pour défendre des intérêts économiques, nombreux sont ceux qui appellent à l’abattage ciblé de cette espèce envahissante, afin de réduire leur nombre.
Chasser le chasseur
Il existe différentes manières de les chasser. Les plongeurs amateurs ont essayé de limiter leur nombre en en éliminant. Mais le caractère vénéneux des rascasses volantes requiert un entraînement spécial. Des initiatives telles que l’Ordre fraternel des tueurs de poissons-lions (FOOLS) en Floride, aux États-Unis, accompagnent les plongeurs qui aident à réduire la quantité de poissons-lions.
Certains plongeurs testent des pièges pour faciliter un abattage moins dangereux et plus rapide. Dans les Caraïbes, des chercheurs du Robots in Service of the Environment (RSE) ont développé un système dénommé « Lionfish Terminator ».
Cette télécommande robotique a été développée dans le but d’abattre les rascasses volantes à distance. Elle n’agit aujourd’hui que sur des zones restreintes, mais pourrait participer à rétablir l’équilibre naturel de l’écosystème.

Dans les Caraïbes, les plongeurs avec bouteilles sont autorisés à chasser les poissons-lions, qui prolifèrent. (Photo : Corinne Bourbeillon / Ouest-France)

C’est aussi dans l’assiette que se joue la régulation des poissons-lions. Ils deviennent rapidement un nouveau mets fin inscrit aux menus des restaurants, et ont même trouvé une place sur les étals des supermarchés.
Comme toutes les espèces invasives, le poisson-lion trouvera tôt ou tard sa niche fonctionnelle et l’équilibre de l’écosystème sera restauré. Mais l’invasion actuelle en Méditerranée a provoqué une onde de choc sur les dynamiques naturelles des prédateurs et des proies, avec des effets sérieux sur la pêche et le tourisme local.
Nous ne pouvons pas nous contenter d’attendre que l’équilibre soit restauré. Nous devons rétablir la santé des écosystèmes marins régionaux et éradiquer cette menace devant les graves destructions qu’elle engendre.
The Conversation

CHEZ POL

  Bonjour, nous sommes le  25 avril  et c'est le bon jour pour vendre du rêve. Un cabri : «L'Europe, l'Europe, l'Europe !!» ...