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dimanche 4 avril 2021

vendredi 2 avril 2021

VENDREDI SAINT

 

2021...

“La Passion selon saint Matthieu” par l’ensemble Pygmalion à voir sur Arte.tv


 À Raphaël Pichon et son ensemble Pygmalion, on devait déjà une mémorable Passion selon saint Matthieu, de Johann Sebastian Bach, empreinte de ferveur et de musicalité, filmée en 2016 à la Chapelle royale du château de Versailles, et régulièrement rediffusée par Mezzo. Cette nouvelle version ne saurait être une redite, et l’on va donc s’y précipiter. Si l’interminable pandémie de Covid-19 a mis à mal la tournée initialement prévue, elle n’a pu empêcher les musiciens de jouer en Espagne devant un « vrai » public, puis de donner cette Passion rescapée devant les caméras du Festival de Pâques, en l’église de la Madeleine d’Aix-en-Provence. Et de le faire à bonne date, car même les plus mécréants des mélomanes ne sauraient imaginer un Vendredi saint sans Passion baroque… » Voir la vidéo




prionseneglise.fr.




Les 14 stations du CHEMIN DE CROIX
















Ô Croix dressée sur le monde, Ô Croix de Jésus-Christ ! / Fleuve dont l’eau féconde du cœur ouvert a jailli / Par toi la vie surabonde, Ô Croix de Jésus-Christ !




dimanche 1 avril 2018

C'EST BEAU LA VIE AVEC JACQUELINE MAILLAN

MON POISSON D'AVRIL POUR VOUS





chanson






«C'Est Beau La Vie»

Le vent dans tes cheveux blonds                   
Le soleil à l'horizon
Quelques mots d'une chanson
Que c'est beau, c'est beau la vie
Un oiseau qui fait la roue
Sur un arbre déjà roux
Et son cri par dessus tout
Que c'est beau, c'est beau la vie.
Tout ce qui tremble et palpite
Tout ce qui lutte et se bat
Tout ce que j'ai cru trop vite
A jamais perdu pour moi
Pouvoir encore regarder
Pouvoir encore écouter
Et surtout pouvoir chanter
Que c'est beau, c'est beau la vie.
Le jazz ouvert dans la nuit
Sa trompette qui nous suit
Dans une rue de Paris
Que c'est beau, c'est beau la vie.
La rouge fleur éclatée
D'un néon qui fait trembler
Nos deux ombres étonnées
Que c'est beau, c'est beau la vie.
Tout ce que j'ai failli perdre
Tout ce qui m'est redonné
Aujourd'hui me monte aux lèvres
En cette fin de journée
Pouvoir encore partager
Ma jeunesse, mes idées
Avec l'amour retrouvé
Que c'est beau, c'est beau la vie.
Pouvoir encore te parler
Pouvoir encore t'embrasser
Te le dire et le chanter
Oui c'est beau, c'est beau la vie.

En savoir plus sur https://www.lacoccinelle.net/857517.html#1v0ZcfWkVUGzocrG.99





dimanche 16 avril 2017

COMMENT CALCULE -T -ON LA DATE DE PAQUES ?

Le comput ecclésiastique de l'horloge astronomique de Strasbourg
L'horloge astronomique de Strasbourg indique les éléments du comput ecclésiastique : Épacte, Lettre dominicale, Cycle solaire, Nombre d'or et Indiction romaine.


si vous faites attention vous vous apercevrez que le dimanche de Pâques suit la pleine Lune...est-ce vraiment un hasard ???






Calcul de la date de Pâques

 

Le calcul de la date de Pâques permet de déterminer non seulement le jour de Pâques mais aussi celui des nombreuses célébrations chrétiennes qui s'y réfèrent. De plus, le calendrier civil de plusieurs pays prend en compte certaines de ces célébrations religieuses en tant que jours fériés. Ce calcul, complexe, est donc important tout à la fois pour la vie religieuse des chrétiens et pour la vie civile des pays de tradition chrétienne.
La définition précise du jour de Pâques fut établie en 325 par le concile de Nicée. Les Pères de l'Église réunis par l'empereur Constantin la fixèrent ainsi :
« Pâques est le dimanche qui suit le 14e jour de la Lune qui atteint cet âge le 21 mars ou immédiatement après. »
Cette définition pose des problèmes redoutables de calcul astronomique et mathématique auxquels les savants s'attelèrent du IVe siècle au XXe siècle : il fallut attendre le VIe siècle pour qu'une méthode de calcul précise, élaborée, selon la tradition, par le moine byzantin Denys le Petit, soit progressivement adoptée par les Églises : cette méthode compliquée mit longtemps à se répandre dans le monde chrétien.
Elle dut être modifiée lors de l'adoption du calendrier grégorien en 1582 : non seulement il fallait répercuter sur le calcul de la date de Pâques les modifications introduites par la réforme grégorienne, mais, de plus, les astronomes attachés à Grégoire XIII, promoteur du changement, en profitèrent pour corriger certaines imperfections de la méthode de Denys le Petit, compliquant d'autant le mode de calcul.
Au XVIIIe siècle, les mathématiciens cherchèrent des procédés plus simples que les méthodes canoniques tout en respectant rigoureusement la définition du concile de Nicée. En 1800, Gauss publia la première méthode utilisant uniquement des divisions de nombres entiers. En 1814, Jean-Baptiste Joseph Delambre décrivit un procédé simple et exact pour le calendrier julien. En 1876, la revue scientifique britannique Nature publia une méthode générale pour le calendrier grégorien. De la fin du XIXe siècle jusqu'aux années 1980, des mathématiciens diffusèrent des méthodes simplifiées, présentant toutefois des limitations dans leur application.
Toutes les méthodes de calcul de la date de Pâques se fondent sur une Lune théorique et non sur la Lune réelle observée. De plus, les grandeurs astronomiques y sont supposées indéfiniment constantes. Or celles-ci (comme la durée du jour terrestre ou celle du mois lunaire) varient sur le long terme. Les extrapolations du calcul de la date de Pâques sur plusieurs milliers d'années sont donc purement théoriques.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Calcul_de_la_date_de_P%C3%A2ques

 

vendredi 14 avril 2017

VENDREDI SAINT


JOURNEE AUX CALVAIRES



Temps clé de la Semaine sainte, le Vendredi saint, est le jour emblématique pour le monde chrétien dans sa montée vers Pâques. Une journée empreinte d'une très grande piété dans notre diocèse, en cette année jubilaire dédiée à la miséricorde divine.
« Soyez miséricordieux, comme votre père est miséricordieux! » C'est l'exhortation que le pape François a mis en exergue pour décréter depuis le 8 décembre dernier une année sainte du jubilé de la miséricorde. Pour le Saint Père, il faut que le monde « fasse l'expérience de l'amour de Dieu qui console, pardonne et donne l'espérance » . Ainsi, le carême 2016 devait être un temps fort de ce jubilé, dans la mesure où chacun est invité « à poser des gestes concrets pour faire œuvre de miséricorde » , lui permettant de recevoir l'indulgence jubilaire. Un programme marqué du sceau de la grande proximité dont fait preuve le pape François depuis son élection il y a trois ans, et qui a reçu l'aval de tous les chrétiens, et tout particulièrement des fidèles martiniquais.
Aussi, après les quatre semaines « d'entraînement » du Carême, ils vont vivre intensément ce Vendredi saint, synonyme de l'amour suprême de Dieu pour sa création. En outre, le climat des attentats djihadistes de ces derniers jours est dans toutes les têtes, confortant les croyants dans l'absolue nécessité de se tourner vers la prière et la pratique religieuse pour trouver une issue favorable à la crise internationale. On pourrait penser que la trêve des fêtes de Pâques est en partie rompue, et que cette journée de vendredi traditionnellement consacrée à la pénitence, au jeûne et à la vénération de la croix, va revêtir un caractère encore plus dramatique. Pour les chrétiens, le combat spirituel entre l'ombre et la lumière, entre le mal et le bien, est plus que jamais d'actualité...
 
LA CROIX, SIGNE DE VICTOIRE
 
Malgré la folie meurtrière des derniers attentats en Belgique, les fidèles de notre diocèse vont se retrouver très nombreux sur les chemins de nos calvaires, pour faire mémoire de la douloureuse montée du Christ vers sa crucifixion.
Un parcours de pénitence, dit « Via Dolorosa » à Jérusalem, avec quatorze étapes ou stations, qui retracent les derniers moments de celui que la foule avait pourtant accueilli comme un roi quelques jours plus tôt. De son jugement et sa condamnation à mort au palais de Ponce Pilate, jusqu'à sa mise au tombeau au Golgotha, les participants vont revivre et méditer sur les chutes et les relèvements de Jésus, ses rencontres avec sa mère, avec les femmes de Jérusalem ou encore Simon de Cyrène qui l'aidera un temps à porter sa croix. Un souvenir ravivé depuis les premiers siècles de l'Eglise, mais véritablement codifié par l'ordre des Franciscains au XIVe siècle, et qui rappelons-le n'est pas un culte édité par les textes bibliques.
Après cette démarche de piété, viendra au cœur de l'après-midi l'office de la Passion, de l'Evangile selon saint Jean, qui n'est pas une messe puisque les hosties servies aux fidèles sont celles qui ont été bénies la veille lors de la célébration de la Cène du Jeudi saint. On priera ainsi aux grandes intentions de l'Église et du monde, avant la procession de la vénération de la croix, par une génuflexion ou un baiser posé sur le bois du supplice, devenu dorénavant symbole de la victoire de la vie sur la mort.
 
 


De longues processions seront de mise sur les calvaires de notre île, pour méditer le chemin de croix et les quatorze étapes de la crucifixion de Jésus.


 
 
 
Mgr Macaire à Fort-de-France
 
L'archevêque David Macaire donne rendez-vous aux fidèles, à 11 heures ce Vendredi saint, sur le parvis de la chapelle du Christ Roi à l'Asile, pour gravir les quatorze stations du calvaire de la capitale.
 
 
 

Vers une quinzième station ?
Depuis la mise en place en 1958 du chemin de croix, dans la montagne des Espélugues au-dessus des sanctuaires de Lourdes, on ajoute parfois une quinzième station à la méditation de la Passion du Christ. C'est celle de Marie veillant son fils devant le tombeau vide, qui présage déjà la lumière du matin de Pâques, laissant les pénitents dans l'espérance de la résurrection.
Ainsi le parcours de souffrances ne s'arrête pas au néant de la tombe, mais plutôt il invite au passage de la nuit à la lumière, du péché au pardon, tel qu'on peut le vivre lors de la vigie pascale du samedi soir.
Le véritable sens du chemin de croix ne consisterait pas à contempler la souffrance de Jésus jusqu'à sa mort, mais devrait être plutôt une source d'inspiration et de ressourcement de la foi des chrétiens.
Il s'agit de méditer le mystère de l'amour absolu du Christ, pour ressusciter avec lui...

dimanche 27 mars 2016

POUR FETER PÂQUES...




Qui a dit que le Moyen-Age n'avait pas de couleurs!?
AMIENS, la cathédrale en couleurs
A la tombée de la nuit la cathédrale Notre-Dame d’Amiens – l’un des fleurons de l’architecture gothique classique,
> > > inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO – revêt à nouveau les couleurs que lui avaient données les bâtisseurs
> > > à l'époque médiévale.
C’est ainsi que le spectateur, fasciné, assiste à un incroyable voyage dans le temps en percevant ce monument comme
> > > pouvaient le faire nos ancêtres six ou sept siècles en arrière grâce à ce fabuleux spectacle de polychromies qui
> > > reproduit une restitution fidèle des couleurs médiévales à l’aide des projections d’images numériques en haute
> > > définition. Neuf projecteurs des plus performants sont nécessaires pour réaliser chaque soir cette prouesse
> > > technologique.
Le résultat est tout à fait exceptionnel. Les sculptures et les éléments d’architecture se parent alors des plus belles
> > > couleurs, comme si les artistes avaient de nouveau appliqué les pigments au pinceau. Nous assistons à un moment
> > > d’émotion pure.
La nuit aidant, on s’imagine alors de retour au Moyen Âge lorsque des lampes à huile brûlaient pour prolonger
> > > l'illumination splendide de ces porches et pour soutenir par le spectacle de la lumière colorée, la dévotion des fidèles.

> > >
> > >
 
Grâce au laser

 Les historiens ont démontré qu’au Moyen Âge, le décor sculpté des églises, ainsi que des éléments d’architecture,
étaient peints de couleurs éclatantes. Les polychromies, retrouvées sur les portails de la cathédrale Notre-Dame
d’Amiens, révèlent ainsi l’utilisation dès le XIIIe siècle de couleurs vives sur l’ensemble des sculptures.
Le nettoyage au laser du portail sud a commencé en 1992. Testé durant plusieurs années au laboratoire de recherche
des monuments historiques, ce fut la première fois que le laser était utilisé en grandeur grâce à la mise en place d’un
laser mobile.
La technique du laser appelée aussi désincrustation photonique, consiste en des particules de lumières identiques
de faible intensité, émises à une forte puissance, suivant des impulsions très courtes. L’onde provoque ainsi une
micro-résonance dans la couche de salissure qui se détache par effritement. Agissant par effleurement, le laser
conserve à la surface de la pierre son intégrité.
Sur les parties nettoyées, tant au portail de la Mère-Dieu qu’à celui du Beau-Dieu, quelques traces de polychromie ont
été révélées sur les quadrilobes du soubassement et sur certaines statues colonnes, là où les intempéries et les
ravages du temps ont fait leur œuvre.
Par contre, à l’abri dans les ébrasements, les voussures et les tympans, les bleus, les verts, les rouges, les ocres,
les ors ressurgissent. Ces peintures furent réalisées au XIIIe siècle, même si certaines teintes ont changé au cours
des siècles en fonction de l’évolution du goût ou de la liturgie. Par cette révélation progressive des couleurs, la preuve
est donc apportée à Amiens que les cathédrales gothiques d’Europe avaient leurs façades peintes.

 
Les trois portails de la façade occidentale de Notre-Dame

Le portail de la Mère-Dieu
 
Le portail de droite, dit portail de la Mère-Dieu, est dédié à la Vierge Marie.
Le soubassement superpose deux rangs de quadrilobes figurant des épisodes de l’Ancien Testament rapportés
à la conception virginale de Marie et aux prophéties messianiques et des épisodes du Nouveau Testament relatifs
à l’enfance du Christ et de Saint Jean-Baptiste.
Les ébrasements présentent un ensemble de statues monumentales, dont les groupes représentent l’Annonciation,
la Visitation , la Présentation au Temple, la Visite de la Reine de Saba au Roi Salomon et la Visite des Mages à Hérode
et à la Vierge.
Aux angles, se tiennent deux des petits prophètes appartenant à la série des douze petits prophètes qui s’étend tout
le long de la façade.
La Vierge se dresse au centre, au trumeau. Sur le soubassement, Adam et Eve se trouvent représentés dans les
scènes de la Genèse relatives à la faute originelle, que Marie viendra annuler.
Au-dessus du linteau sur lequel sont assis six patriarches de l’Ancien Testament, le tympan représente sur deux
registres superposés la Dormition et l’Assomption, puis le couronnement de la Vierge.
Les trois cordons de voussures portent des anges et les ancêtres de la Vierge , les rois de Juda et les autres.
 
 
 
Le portail du Beau Dieu
 
Le portail central, dit portail du Beau-Dieu, est dédié au Sauveur. Le soubassement superpose deux rangs de
quadrilobes figurant les vices et les vertus. Les ébrasements présentent un ensemble exceptionnel de douze
statues monumentales, les apôtres, tandis que sur la face interne des contreforts sont placés les quatre grands
prophètes.
Aux angles sont campés de biais deux des douze petits prophètes de la façade.
Au même niveau, se dresse au trumeau le Beau Dieu d’Amiens.
Le tympan porte un ample jugement dernier sur quatre registres superposés : la résurrection, la séparation des élus
et des réprouvés, le souverain juge et l’apparition du fils de l’homme dans les nuées.
Les voussures et les nervures de la voûte portent quant à elles un cortège impressionnant de figures, de souverains
et d’anges.


Le portail de Saint-Firmin
 
Le portail de gauche est dédié à Saint-Firmin, considéré comme le premier évêque d’Amiens.
Le soubassement superpose deux rangs de quadrilobes figurant les signes du zodiaque et les activités des mois
correspondants. Les ébrasements présentent deux groupes de six statues, soit douze personnages, parmi lesquels
la tradition reconnaît des saints et saintes de la région, dont les reliques étaient conservées à la cathédrale.
Aux angles se tiennent deux autres des douze petits prophètes.
Au trumeau se dresse la statue de Saint-Firmin, représenté en évêque bénissant. Au-dessus du linteau sur lequel sont
assis six évêques, le tympan narre la translation des reliques de Saint-Firmin, ramenées du site de l’église de
Saint-Acheul à la cathédrale. Les voussures et les nervures de la voûte portent un cortège d’anges.
 

SAINTES PAQUES

 

 


dimanche 5 avril 2015

L'EGLISE CATHOLIQUE SAINT MARTIN DE TOURS A MARIGOT





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L’Église catholique Saint-Martin de Tours à Marigot. 

messe de Pâques

 

la particularité de cette messe c'est qu'elle est dite en quatre langues : 

français, créole, anglais et espagnol!


 


 


L’Église de Marigot







  L’Église de Marigot



Construite dans le quartier de Marigot sur le route du fort Saint-Louis, l'église a été bâtie à une époque où il n'existait à Saint-Martin ni presbytère, ni aucune sorte d'édifice religieux dédié à l’œuvre catholique. Il faut dire que du fait de la forte présence anglo-saxonne, en majorité protestante, les quelques Français de religion chrétienne n'avaient pas de lieu de culte.

Et ce n'est qu'en 1936 que le premier curé pris ses fonctions malgré l'absence de lieu de prière. En 1941, lorsque le père Wall s'installa à Saint-Martin, il entreprit de faire construire l'église de Marigot. Il fit également construire celle de Grand Case à peu près à la même époque et selon les mêmes techniques avec de la pierre et de la chaux.

En 1971, des extensions sont rajoutées à l'église de Marigot et aujourd'hui elle ressemble à celles des villages mexicains, sobre et toute de blanc revêtue. Alors que celle de Grand case doit sa réputation actuelle à son autel en bois d'une très grande valeur.






 l'église catholique de Marigot



eglise marigot 

Édifiée sur la route du Fort Louis, l'église a été bâtie en 1941.

eglise marigot

Tout récemment, et dans le cadre d'un chantier-école, la petite chapelle attenante au presbytère a été intégralement rénovée par des jeunes de Saint-Martin, encadrés par des Compagnons de France, suivant les techniques de fabrication du milieu de XX ème siècle.