lundi 4 juillet 2016

CAP SUR LA BLANQUILLA PUIS LES ROQUES

APERçU DES PREMIERS JOURS EN IMAGES

 










 L ILE DE LA BLANQUILLA

MOUILLAGE EL YAQUE
 




LES TRACASSERIES DE L ARRIVEE AVEC LES DOUANIERS


LES MARQUES DE SIGNLISATION

MOUILLAGE DE EL YAQUE

AU CAS OU ON VOUDRAIT IDENTIFIER LES CONSTELLATIONS...

QUELQUES PECHEURS


LA CARTE INCONTOURNABLE


ARRIVéS ! vue de AFRODITE depuis le plage
on n'est même pas tout seuls
 PROCHAINE DESTINANATION L ARCHIPEL DES ROUES, CAPITALE GRAN ROQUE

PROCHAINE ESCALES : LES ROQUES

AFRODITE A LA BLANQUILLA








Au Venezuela, les pélicans sont particulièrement bien implantés. Il leur a dédié une chanson, jamais je n'ai mieux entendu parler de "Nuestros amigos los pelicanos"... "Ces animaux plutôt pépères qui préfèrent à la guerre leur petit coin d'azur".

J'avoue avoir été fascinée par ces gros oiseaux qui n'ont pas leur pareil de désinvolture et d'ingéniosité à utiliser les airs pour servir leur appétit insatiable.

Voici un album photo en musique, qui date un peu, mais que je regarde toujours avec nostalgie... 




La musique et les paroles sont de "tonton jojo"

 



La Blanquilla est l'île de la Robinsonnade par excellence : elle a été investie par des lézards, des ânes, des iguanes, des perroquets, des pélicans, des fous bruns, une variété inouïe de passereaux ou d'espèces curieuses comme le frère du faucon : le caracara huppé. L'île est complètement à l'écart du monde. Les ânes n'y ont pas encore ouvert de cyber café et les perroquets rechignent à relayer les réseaux wifi. Par contre les pélicans y ont des coutumes cordiales et l'on se baigne avec eux !
Il n'y a aucun commerce, pas de bar, pas de restaurant et pas d'hôtel. Personne ne vit en permanence sur la Blanquilla. Un village de pêcheurs est établi au nord de l'île : celui-ci n'est qu'une aire de repos spartiate partagée entre pêcheurs lors de longues campagnes au large. Une base reculée de garde-côtes est installée au sud de l'île : elle ressemble plus à une colonie de vacances qu'à un camp militaire ! Les garde-côtes restent deux mois sur l'île avant d'être remplacés par la relève et il y a des équipes qui sont plus « cool » que d'autres au niveau des contrôles !…. Leur accueil est en général bienveillant, ils patrouillent régulièrement dans les mouillages et vérifient la validité des formalités douanières de chaque bateau. Ils viennent aussi en famille le dimanche et c'est l'occasion de voir des bambins grimper sur tous les ponts des bateaux et s'y exercer au plongeon qui éclabousse !
El Yaque (dit « le mouillage des trois palmiers », derrière lesquels se trouve un puits d'eau douce où l'on peut venir avec son seau pour rincer sa lessive …) est le mouillage le plus fréquenté de l'île (sur la côte ouest, sous le vent dominant). L'été est la période qui draine le plus de monde sur la Blanquilla, cependant, même au plus fort de la saison, on compte rarement plus d'une vingtaine de voiliers, de peňeros et de lanchas sur toute l'île! Les lanchas et les peneros sont des bateaux de pêche traditionnels. Les pêcheurs échangent volontiers avec les plaisanciers du poisson contre des produits qui améliorent leur quotidien. Jamais ils ne veulent d'argent... D'ailleurs qu'en feraient-ils sur la Blanquilla?


Autre mouilage de la Blanquilla, au vent : Playa el Americano (du nom de l'américain Mr Blankenship, qui y construisit une jolie villa à une époque où aucun touriste de la plaisance ne fréquentait l'île, plus une petite piste d'atterrissage pour son petit avion) : cest un couloir pas trés long, pas trés large, proportionné comme il faut pour loger deux bateaux...il se termine par deux petites plages, vierges et blanches, si blanches...Préservées de tout! Le soir les ânes viennent nous observer du haut de la falaise et lorsque le nuit vient nous mesurons l'absence totale de lumière, l'ampleur de notre solitude... C'est cela aussi ça la liberté, celle de vivre sans les lumières rassurantes des hommes... Sous les étoiles, en attendant que demain la vie et les couleurs étincelantes reviennent...







 

dimanche 3 juillet 2016

Quand l'orchestre derape

Bien pensé, vraiment à voir jusqu'au bout
 

     http://www.youtube.com/embed/8rZf87l02UU

 
 
 

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« Les dents de la mer » :

Mythe ou réalité ?

 

Ces photos effrayantes alimentent le mythe des « Dents de la mer »


- Chaque seconde qui passe l’homme cause la mort de trois requins sur les mers du globe.
- En 2012 les requins ont attaqués 78 personnes, ne sont répertoriés que les attaques non provoquées (pécheurs de requins). Ces agressions ont été fatales dans 8 cas, elles ont provoqué des blessures invalidantes dans 22 cas (le 6 mars à Melbourne un touriste a été mordu au visage en…. nourrissant des requins !!!!) et sans aucunes blessures dans 9 cas.
Lequel des deux prédateurs est le plus dangereux pour l’autre.

Cette remarque ne laisse aucun doute sur la dangerosité de l’homme pour le requin. Ce n’est pourtant pas une raison suffisante pour éluder le triste palmarès des requins tueurs d’homme et classer la mort d’Alexandre Rassiga à La Réunion le 23 juillet dernier comme un vulgaire fait divers.
Mais au delà notre tristesse légitime il est pourtant plus qu’indispensable de rappeler l’importance majeure de ce prédateur pour l’équilibre de la faune aquatique.
Si l’on devait s’attaquer aux animaux qui sont en cause dans le décès des humains il faudrait éradiquer, bien sur le moustique (2 à 3 millions de décès annuellement par la transmission de la malaria) et les serpents venimeux (90 000 décès annuellement) mais aussi nos amies les abeilles responsables de 400 décès par an et les gentils éléphants qui causent de 150 à 300 décès par an.


L’océan est un environnement qui peut à tout moment devenir dangereux si on ne la respecte pas.
Le requin est un de ces dangers. Parmi les nombreuses espèces de requins qui peuplent les océans, très peu peuvent vraiment être qualifiées de « dangereuses »
  • Le grand requin blanc
  • Le requin tigre
  • Le requin Longiman (ou océanique)
  • Le grand requin marteau
  • Le requin bouledogue

Le texte de Suzanne et Joseph vous prouvera que cette dangerosité n’est absolument pas celle décrite à travers le film « Les dents de la mer ».

Plongée en Egypte, parmi les requins

récit de Suzanne et Joseph
Samedi matin
La journée commence dans l'excitation : ce soir, c'est le départ pour l'Egypte, un des plus merveilleux endroits au monde pour plonger...
Nos sacs, avec leurs 25 Kg respectifs d'équipement de plongée et nos trois tee-shirts, sont prêts. Pourvu que les autres plongeurs du Club TPIF, emmenés par Denis, (son super Président à cette époque), soient aussi accueillants que la dernière fois où nous étions déjà partis ensemble et déjà en Egypte, pour des plongées peu profondes et faciles.
Cette fois, c'est une croisière. Nous partons pour faire «Le Triangle d'Or», avec les îles «Brothers, Daedalus et Elphins­tone» situées pour les deux premières en pleine mer Rouge. On nous a promis des «pélagiques», poissons qui vivent en haute mer. Plongeurs confirmés, niveau II minimum exigé. J'espère ne pas avoir peur. Que seront exactement les pélagiques en question ?

Dimanche matin
Après cinq heures d'avion, le soleil se lève sur la mer Rouge pendant que le car qui nous a accueillis à Hurghada nous conduit à Marsa Alam, plus au Sud, où nous attend un des bateaux de Dune, spécialiste français des plongées en mer Rouge.
En chemin, nous avons embarqué Gisèle et Hubert, les moniteurs qui nous guideront à la découverte des plus renommés des pélagiques, à savoir les requins...
Du coup, la première blague circule : que faut-il faire quand, en plongée, on voit arriver sur soi un requin affamé ? Réponse peu réjouissante, dans le fond je suis sûre qu'il y en a d'autres que moi qui n'en mènent pas large : nager plus vite que son binôme...

Dimanche midi
Quel superbe bateau ! L'équipage au complet nous accueille, ceux qui nous aide­ront pour les plongées, la manutention des bouteilles, les mises à l'eau, et les autres cuisinier, pilote, aides diverses...
Les sourires éclairent les visages, la gentillesse des égyptiens et leur bonne humeur sont communicatives.
Nous choisissons nos cabines. Qui sur le pont ? Qui en-dessous pour bénéficier de la climatisation ? Et vogue la galère... L'attente se lit dans les regards, nous sommes tous excités à l'idée des plongées à venir.
Dimanche soir
Première épreuve pour beaucoup d'entre nous. Au début, tout allait bien, mais très rapidement nous rencontrons une mer de force 6 sur l'échelle de Beaufort et ce, par un grand ciel bleu.
Certains ont disparu dans leur cabine, d'autres sont sur le pont du bateau et discutent, calant solidement les fauteuils d'osier contre les divers bastingages.
Nous apprécions le grand air et la sensation de liberté après ce début d'hiver parisien. Par contre, certains mettront longtemps à s'en remettre et ne pourront pas faire la première plongée.

Lundi matin
Ouf, ça va mieux ! Hubert nous a réveillés en tambourinant à la porte des cabines deux coups et «petit déjeuner, briefing !» Tout le monde n'est pas encore sur pied, mais les plus valides vont pouvoir découvrir «Little Brother» jumelée à «Big Brother» Ces îles au large ont été récemment ré ouvertes à la plongée après une longue interdiction par le gouvernement égyptien et sont classées Parc Marin.
Les «Brothers» sont véritablement deux sommets de montagnes sous-marines. Elles s'élèvent des profondeurs et le corail tapisse leurs flancs. C'est le lieu idéal pour découvrir des merveilles subaquatiques. En attendant, il nous faut affronter le transport jusqu'à la mise à l'eau, à la pointe du récif : nous devons descendre tous équipés dans l'annexe complètement instable, par mer toujours houleuse, ce qui est une prouesse d'équilibre.
Gare à celui qui ne « saute « pas au bon moment ! Heureusement les marins sont là pour nous recevoir et nous retenir. Hubert a formé les palanquées.
Les annexes nous larguent par groupes de 6 plongeurs maximum. Nous savons, grâce au briefing, où nous pouvons espérer le grand frisson : à nous d'essayer de nous installer au bon endroit pour découvrir ce qu'il y a à voir. Nous avons l'impression de vivre une chasse au trésor très particulière. Mais après 2Omn dans le grand bleu, face au courant qui percute l'île, il nous faut constater que nous sommes seuls et rentrer par une longue plongée dérivante le long du récif, ce qui constitue un spectacle grandiose.

Lundi fin d'après-midi
Nous avons déjà plongé trois fois. Les fonds sont toujours aussi beaux que dans mes souvenirs : les coraux multicolores, les poissons-papillons, les poissons-citrons, les girelles, les rascasses volantes qui semblent vouloir nous éblouir, toutes plumes dehors... Pas de requin pour l'instant. Le rythme des journées va vite s'installer : à partir de quatre heures du matin, trois plongées entrecoupées de repas et de siestes. Le soir, à la nuit tombée, nous nous réunissons tous pour prendre l'apéro. Chacun a apporté sa contribution liquide ou salée de France. C'est vraiment l'instant de grande amitié où nous racontons nos histoires de plongeurs...
Lundi soir
Et bien si, les requins sont là ! ... Ce soir, au coucher du soleil, les bateaux éclairent la mer - trois autres bateaux sont sur «Little Brother» en même temps que nous. Et brusquement, deux ou trois longimanes tournant autour de nous, éclairés de la surface, errent tranquillement entre les coques... C'est très excitant, mais vus d'ici, personne n'a vraiment envie de les rejoindre dans leur élément !
Nous resterons longtemps à les contempler de notre perchoir, pendant que Béatrice, qui a déjà plongé au milieu des requins, nous raconte des histoires à faire peur sur des attaques de longimanes. Elle jure que tant que ce requin-là sera sous le bateau, elle n'ira pas plonger !

Nous sommes toujours ancrés au même endroit, dernière plongée avant de répartir vers «Big Brother».
Plus de requins à l'horizon ! Presque arrivés au bateau, à quelques mètres de Jo qui prend ses dernières photos avant de remonter en surface, j'aperçois un requin à pointes blanches, à notre hauteur.

Il se promène, semble nous scruter d'un oeil serein, il ne modifie pas sa route pour autant et disparaît dans le bleu, en quelques dizaines de secondes.
Nous l'avons admiré, corps gris foncé, haut de la nageoire dorsale blanc, bout des caudales noir. Nous sommes émerveillés par cette sensation de calme et de force tranquille qui émane de lui. Je me demande maintenant pourquoi j'ai eu si peur d'avoir peur.
Le courant en mer Rouge peut être très dangereux : quand nous avons décidé de rentrer par la côte Est de «Little Brother», nous avons dû forcer longtemps pour atteindre des eaux plus calmes et finalement, larguer notre parachute de sécurité pour indiquer notre position aux annexes à notre recherche... Même les poissons étaient tous orientés nez à contre courant, grands ou petits, mais nous nous sommes sentis, nous autres pauvres humains, vraiment très... bourrins !

Mardi soir
Nous avons changé d'île, nous voilà maintenant sur «Big Brother». Là, un grand phare et ses quatre militaires et pourtant, c'est sur «Big Brother» que s'est échoué le Numibia, coulé le long de la plate forme, entre 25 et 80 mètres de fond, il y a plus d'un siècle.
C'est un véritable jardin de corail, abritant des milliers de poissons de différentes espèces et couleurs, dont ces merveilleux poissons-clowns vivant dans leurs anémones. Nous y plongerons deux fois, j'y chercherai désespérément mon photographe préféré qui est allé explorer les coursives, ce que je n'oserai sans doute jamais faire de peur d'y rester prisonnière. La mer s'approprie vite les bateaux engloutis : on devine l'ossature du Numibia, mais plus rien n'est vraiment visible, tant le corail s'y est installé.

Mercredi matin
Retour d'une merveilleuse plongée. Nous sommes partis cette fois-ci avec Gisèle et Hubert, largués loin de l'extrémité de l'île, en plein grand bleu. Eux deux doivent savoir ce à quoi nous pouvons nous atten­dre ! Le jour se lève à peine, l'eau paraît encore très sombre dès que nous nous laissons glisser dans les profondeurs.
Arrêt et stabilisation à 30 mètres nous a recommandé Hubert lors du briefing.
De toutes les façons, nous le suivons de près. Tout est très calme, nous voyons peu de poissons, nous sommes loin de tout.
Et brusquement, une ombre grise, en-dessous de nous, à 20 mètres, puis une autre, deux, quatre, très vite nous en voyons huit, qui tournent autour de nous...
Nos premiers requins-marteau !
C'est incroyable !... Nous distinguons bien la forme caractéristique de la tête, ils semblent nager sur le flanc pour nous observer. Nous descendons vers eux sans hâte, pour ne pas les faire fuir.
C'est merveilleux : ils viennent se nourrir, ici, à la pointe de «Big Brother» et nous partageons leur territoire et pouvons les admirer, si proches, dans leur élément naturel, sans les gêner... Impossible de ressentir le moindre début d'inquiétude : l'émotion devant une telle rencontre, l'admiration de ce que nous voyons prime sur tout autre sentiment.
Encore aujourd'hui, nous conservons un souvenir ébloui de ces requins magnifiques, si puissants et si libres.

Mercredi soir
Nous sommes repartis seuls, Jo et moi cette fois, pour tenter de les retrouver. Largage en annexe au même endroit, plongée dans le bleu, attente et espoir...
Nous tournerons et retournerons sur nous-mêmes, nous descendrons et remonterons. Nous aurons l'impression d'avoir fouillé la mer Rouge toute entière. Mais rien... Nous n'aurons rien vu ! Nous avons si peu vu, d'ailleurs, étant de surcroît partis sans boussole, que nous n'avons pas pu nous mettre d'accord sur la direction à prendre pour retrouver le récif ! Nous avons dû sortir de nouveau les parachutes pour que l'annexe nous récupère. Là, nous constatons avec surprise que nous sommes vraiment loin de l'île et que le courant est toujours très fort. La plongée de ce matin n'en restera que plus merveilleuse dans nos souvenirs. Après dîner, nous partons pour «Daedalus Reef», situé plus au sud. Nous y plongerons demain.
Jeudi
«Daedalus reef» Des tombants superbes, du corail éléphant à foison, des jardins d'enfants pour poissons-clowns.
Nous restons aussi longtemps que possible dans l'eau tant il y a de merveilles à voir. Nous replongerons ici aujourd'hui, sans aucune lassitude

EN IMAGES] Les 12 expressions préférées des français

 
 


 
Les 12 expressions préférées des français
 


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jeudi 30 juin 2016

ATLAS DES CITES PERDUES



Les villes sont mortelles comme les civilisations et peuvent disparaître de la carte du monde.
L'Atlas des Cités perdues relate les destins inattendus et pourtant bien réels de plus de quarante cités aujourd'hui disparues.
De la courte et délirante aventure de Sanshi à Taïwan, née de l'imagination de promoteurs passionnés de design futuriste, à la splendide cité sumérienne de Mari perdue au cœur de la Syrie, sans oublier Prypiat en Ukraine, désertée du jour au lendemain après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl ; chacune de ces villes abandonnées dévoile ses mystères.
Folie des hommes, catastrophe naturelle, événement historique, déclin économique… quelles que soient leurs causes, ces disparitions nous interrogent, nous fascinent et hantent nos mémoires.


 
L'Atlas des Cités perdues
Aude de Tocqueville et Karin Doering-Froger se sont mises sur la trace de 40 cités aujourd'hui disparues. Massada, Ankor, Prypiat, Tchernobyl ; chacune de ces villes abandonnées a eu un destin inattendu. Dans cet Atlas, c'est la disparation qui hante les cartes, des villes fantômes dans une géographie engloutie ...

Atlas des Cités perdues, aux éditions Arthaud de Aude de Tocqueville. Illustrations Karin Doering-Froger.

EN MER : 14°24.858 N/60°53.972 W

 
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CIEL DU JOUR "à JUIN 2016



 
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mercredi 29 juin 2016

Un peu d' humour......

allez, quelques blagues avant le grand saut cap à l'ouest
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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