je viens de finir pilleurs d'état et je suis abasourdi des énormités scandaleuses de nos politiques...
Philippe Pascot nous entraine à la découverte de ce que nos élus cachent sous le tapis de leur exemplarité affichée et de leur moralité élastique quand elle touche à leurs privilèges. Il démontre à travers des faits concrets que le système lui-même, dans son immobilisme calculé, ne peut donner naissance qu'à des dérives illicites ou légales mais toujours totalement immorales ! Si tous les élus ne sont pas pourris, beaucoup sont complices... Cet ouvrage recense tous les abus légaux dans lesquels se vautre sans vergogne la classe politique française : salaires exorbitants, exonération d'impôts, retraites douillettes, passe-droits et autres petits arrangements entre amis, le tout dans le cadre d'une loi faite sur mesure et qu'ils connaissent sur le bout des doigts. Des faits et des actes révoltants, mis à jour sans concession mais sans esprit partisan, dans le seul but du droit à l'information pour tous.
Philippe Pascot nous entraine à la découverte de ce que nos élus cachent sous le tapis de leur exemplarité affichée et de leur moralité élastique quand elle touche à leurs privilèges. Il démontre à travers des faits concrets que le système lui-même, dans son immobilisme calculé, ne peut donner naissance qu'à des dérives illicites ou légales mais toujours totalement immorales ! Si tous les élus ne sont pas pourris, beaucoup sont complices… Cet ouvrage recense tous les abus légaux dans lesquels se vautre sans vergogne la classe politique française : salaires exorbitants, exonération d'impôts, retraites douillettes, passe-droits et autres petits arrangements entre amis, le tout dans le cadre d'une loi faite sur mesure et qu'ils connaissent sur le bout des doigts. Des faits et des actes révoltants, mis à jour sans concession mais sans esprit partisan, dans le seul but du droit à l'information pour tous.
Du goudron et des plumes
Délits d'élus Tome 2Philippe Pascot (Auteur) Paru le 21 avril 2016
Dans un usage métaphorique l'expression "Du goudron et des plumes" évoque l'indignation ou provoque la vindicte publique. C'est sans nul doute ce qu'inspire le deuxième tome des Délits d'élus de Philippe Pascot.Condamnés pour trafic d'influence, impliqués dans des affaires de mœurs, pour avoir truqué des marchés publics ou confondu leur compte en banque avec celui de la collectivité qu'ils administrent... Le comportement des 600 élus concernés dans cette enquête exigeante, témoigne d'un coté sombre de notre vie citoyenne et nous alerte sur le manquement de plus en plus choquant d'une partie de nos élus, à incarner le devoir de probité et d'exemplarité indispensable à notre vie démocratique.Au delà de ce constat, Philippe Pascot propose des pistes pertinentes contre ce fléau et encourage chacun de nous à plus de vigilence.« Le bottin mondain des élus condamnés : un inventaire à la Prévert des déboires de la classe politique française. » LE POINT« Tous pourris nos élus? Une enquête qui vient contredire un certain nombre d'idées reçues sur la probité de nos élus locaux. » LE FIGARO« De quoi s'interroger sur le système politique français ; pour la plupart de ces condamnés, ils sont encore aux manettes ! » SLATE.FR« Une enquête particulièrement utile dans notre démocratie éléctive et remarquable d'exhaustivité ! » POLITIQUE MAGAZINEMaire adjoint d'Évry auprès de Manuel Valls puis conseiller municipal, ancien conseiller régional, Chevalier des Arts et des Lettres, Philippe Pascot a 25 ans de vie politique derrière lui et a fréquenté la plupart des élus politiques de premier plan. Il milite pour une transparence totale de l'exercice politique et est engagé dans de nombreux combats de société (gaz de schiste, dons d'organes, création d'un orchestre philarmonique dans la banlieue de Kinshasa).
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Treize à table pour le dernier repas du Christ: l'origine des croyances autour du chiffre 13? (La Cène, Leonard de Vinci).
OU....
Ah, le vendredi 13... il en fait couler de l'encre, et il augmente spectaculairement les paris sur les jeux de hasard, en particulier pour le Loto (trois fois plus de joueurs). Et s'il en est un que La Française des jeux ne doit pas rater, c'est bien celui de ce mois mai 2016, alors qu'elle fête ses 40 années d'existence. Alors, vendredi 13, date à bénir ou date à honnir? Signe de chance ou de malchance? Il faut faire appel à un bon génie, nommé «mathématiques», pour être en mesure d'apporter des éléments et tenter de clarifier cette question.Bordeaux - Difficile de dire si son nom lui a porté chance... ou pas: le "Vendredi 13", légendaire voilier de course, laissé à l'abandon pendant près de vingt ans à Bordeaux, reprend vie grâce à une poignée de passionnés bien décidés à lui faire regoûter la mer. Lorsque l'association bretonne "Rêve de sens" entame en septembre 2015 les travaux de rénovation du mythique bateau, abandonné depuis 1997 devant la base sous-marine de Bordeaux, il fait bien triste mine: il n'a plus ni mâts, ni quille, des souris y ont élu domicile, des déchets en tous genres l'encombrent et l'eau de pluie a inondé l'habitacle... Qu'elle semble loin l'époque flamboyante où le navire, construit en 1972 à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), faisait "la Une" des journaux. Il est alors le plus grand trois mâts (39,13 mètres) jamais construit pour une course en solitaire.
Le cinéaste Claude Lelouch, qui a participé au financement, veut d'ailleurs faire un film sur ce navire promis aux plus grandes victoires. Las! Lors de la Transat anglaise (Ostar) de 1972 le navigateur Jean-Yves Terlain, concepteur du navire, arrive en ... deuxième position derrière Alain Colas. En 1976, Yvon Fauconnier reprend la barre. Blessé, il doit abandonner... Mais dès 1975, une autre vie commence pour le voilier, qui contribuera à sa gloire. Pour payer le bateau, Terlain et son épouse le font aménager pour du "charter" (croisière pour riches touristes) aux Antilles.
Eddie Barclay, Johnny Halliday, Joe Dassin, Michel Sardou... Pendant quinze ans, le show-business se presse sur le pont, tout comme la crème des skippers, Eric Tabarly, Titouan Lamazou, Olivier de Kersauzon, Florence Arthaud... "Il était au départ de toutes les courses, les navigateurs s'y retrouvaient car il y avait de la place", raconte Bertrand Quentin, 56 ans, propriétaire d'un chantier naval à la Trinité-sur-Mer (Morbihan) et à la tête de la poignée de bénévoles, bretons pour la plupart, mobilisés sur le chantier. - Que la saga continue - Pourtant, comme une star déchue, le "Treize" a bien failli mourir sur un parking bordelais, d'autant que des "rumeurs mettent en doute l'authenticité du voilier. On parle de maquette, de moule...", explique Bertrand Quentin. En 1994, trop coûteux à entretenir pour ses propriétaires, le navire est offert au Conservatoire international de la plaisance de Bordeaux ouvert dans l'ancienne base sous-marine allemande de la Seconde guerre mondiale. Mais le musée ferme en 1997 et le bateau est livré à tous les vents. Seuls les mâts sont mis à l'abri. "C'est un bateau qui m'a toujours fait rêver", explique Bertrand Quentin, qui a déjà rénové en 2010 le "Côte d'Or II", dernier trimaran de Tabarly, pour justifier ce pari fou. Pour le récupérer, l'association a dû toutefois répondre à un appel d'offres de la mairie de Bordeaux, mais c'est finalement l'entrepreneur local et mécène Norbert Fradin qui remporte la mise -- au total une quarantaine de bateaux dont le "Vendredi 13" -- dans la perspective de l'ouverture en 2018 d'un Musée de la Mer et de la Marine entièrement financé sur fonds propres. "C'est un bateau mythique à plusieurs titres: il représente la démesure humaine et, en même temps, c'est le chant du cygne des très grands monocoques surpassés ensuite par les multicoques", explique Norbert Fradin. Une convention est finalement passée entre le promoteur, qui pré-finance pour l'heure les travaux -- estimés à 600.000 euros -- en attendant d'autres partenaires, et l'association qui prend en charge la rénovation et pourra faire naviguer le bateau pendant cinq ans. "Quand j'ai vu le bateau pour la première fois, j'étais partagé entre la joie de le voir de près et l'ampleur de la tâche", raconte Ivonig Le Touzo, bénévole de 24 ans, les cheveux pleins de poussière après des heures de ponçage dans le carré. Yvon Fauconnier, qui a sauvé le bateau de la destruction en 1994 lorsqu'une copie, le "Friday Star", a été construite, a accepté d'être le parrain de cette renaissance. "C'est bien que le bateau retrouve des gens qui ont envie que la saga continue", se réjouit le navigateur qui lance un appel aux "bénévoles et aux mécènes" pour faire revivre un bateau "qui parle encore aux gens".
Tout d'abord, le vendredi 13, en faisant abstraction des superstitions, est-il particulier? La réponse est oui. Car les mathématiques appliquées au calendrier indiquent que le 13 du mois tombe un tout petit peu plus fréquemment un vendredi que n'importe quel jour de la semaine. Sur 4000 ans, il y a 6880 vendredis 13 contre 6840 jeudis 13 (ou 6850 lundis ou mardis 13). Il est vrai que notre calendrier grégorien («lancé» en 1582 par le pape Grégoire XIII, tiens donc) réserve bien des surprises.
Un à trois par an
Ainsi, toujours grâce aux mathématiques, il a été possible de démontrer qu'il y avait forcément au moins un vendredi 13 par an, et qu'il ne pouvait pas y en avoir plus de trois. Et il y a en trois si et seulement si le premier jour de l'année est un jeudi pour une année non bissextile (comme 2009) et un dimanche pour une année bissextile.
Toujours grâce aux mathématiques, il a été calculé que les intervalles de jours entre deux vendredis 13 étaient codifiés. Ils sont de 27, 90, 181, 244, 272, 335 ou 426 jours. Donc deux vendredis 13 peuvent être séparés par une durée supérieure à une année. Ce qui s'était produit du 13 août 1999 au 13 octobre 2000.
D'autres jeux de calendrier sont possibles. On peut par exemple calculer le nombre de vendredis 13 qui sont aussi des Vendredis saints de l'Église catholique en un siècle. C'est-à-dire le nombre de fois où le dimanche de Pâques tombe un dimanche 15 avril. Car la date de Pâques est mobile et trouve sa place au plus tôt le 22 mars, au plus tard le 25 avril. La dernière année satisfaisant à la condition du 15 avril a été 2001. Et il faudra attendre bien longtemps avant que cela ne se reproduise. Car le prochain vendredi 13/Vendredi saint tombera en... 2063. Au XXe siècle, il y en a eu trois (1906, 1979 et 1990). Au XXIe siècle, il y en aura cinq (2001, 2063, 2074, 2085 et 2096).
Treize à la table du Christ
Le Vendredi saint, jour de la crucifixion de Jésus-Christ, est souvent cité comme étant à l'origine de la mauvaise réputation du vendredi. D'autant que, au dernier repas du Christ, ils étaient treize à table. Alors que notre culture adore le douze (douze mois, douze heures, etc.), le 13e est donc Judas. Bien d'autres raisons sont évoquées pour tenter d'expliquer cette «crispation» autour du vendredi 13. En Amérique latine, l'équivalent est le mardi 13. En Italie, le nombre 17 est associé à la malchance, tandis qu'en Chine c'est le nombre 4, dont la prononciation est très proche du mot signifiant «mort».
Pourtant, aucune donnée sérieuse ne peut faire pencher statistiquement la balance chance-malchance du vendredi 13 dans un sens ou dans l'autre. Alors, pourquoi jouer plus à des jeux de hasard ce jour-là? Parce que «l'espoir fait vivre»? Car les lois mathématiques sont dures, surtout la loi des grands nombres, et affirment que ces jeux sont «perdants». Mais il y a bien des gagnants, tout de même. Bien, bien moins que des perdants, en fait. Il y a une chance sur 14 millions de gagner au Loto. D'accord, cela fait peu. Mais cela laisse une chance... On a aussi une chance sur 14 millions de chances d'avoir 9 fois de suite un 6 en lançant un dé. Si l'on vous propose, moyennant 5 ou 10 euros, de lancer le dé, avec à la clé une grosse somme d'argent, si vous avez 9 fois de suite le 6, le ferez-vous? Et combien de fois? Même un vendredi 13...
Géant pour son époque, on le disait impossible à manœuvrer par un seul homme. De fait, au cours de la transat, Terlain rencontra des problèmes de gréement qui le privèrent de la victoire. Il arriva second, derrière Alain Colas sur Pen Duick IV.
Pour payer le bateau, Terlain, et sa compagne de l’époque Karin Desboeuf, décidèrent de l'armer pour le charter aux Antilles (c'est-à-dire d’emmener de riches touristes en croisière). Après avoir aménagé le bateau à cet effet à La Rochelle, ils obtinrent un contrat avec le Club Méditerranée et se basèrent à Sainte-Anne en Martinique. Vendredi 13 fut alors confié à Yvon Fauconnier qui recruta un équipage de marins hôteliers pour seconder son épouse Dany. Leur fille Karine Fauconnier, qui devait à son tour devenir une navigatrice célèbre, participa à ces croisières dès son plus jeune âge.
De nombreux marins ont alors croisé la route du Vendredi 13, appelé familièrement « Le Treize », et participé aux croisières de luxe vers les Grenadines : Kiki Hiessler, Alain Revel, Hugo Desmazières, Francis Domange, Pancho Mallego, Alain Chapoutot, Yvon Redier, Titouan Lamazou et bien d’autres.
En 1976, Yvon Fauconnier courut à son tour la Transat anglaise avec le trois-mâts, mais dut abandonner, blessé, face aux dépressions très creuses qui marquèrent cette course.
Le voilier continua ses navigations entre les Antilles et les États-Unis. Au début des années 1990 il connut cependant de graves problèmes de structure, qui s'avérèrent irréparables. Une copie du bateau fut alors réalisée, mais elle ne restitua jamais le caractère particulier de l’original. Ce sistership fut baptisé Friday Star[1].
Vendredi 13 fut alors offert au Musée de la plaisance qui ouvrit un temps dans l’ancienne base sous-marine de Bordeaux, où il fut exposé à terre, mâté mais sans sa quille.
Restauration
Après la fermeture définitive du musée, la coque, ouverte à tous vents, resta sur le terre-plein de la base sous-marine où elle se trouva jusqu'au 7 décembre 2015, date à laquelle elle est transportée dans un chantier proche afin d'être restaurée en vue de son exposition dans le futur Musée de la mer et de la marine[2].
Quelques photographies de Vendredi 13
La cabine
La mâture
En cale sèche - Fort de France - 1977
La coque du Vendredi 13, en 2006.
Vendredi 13 n'est pas qu'une date qui porte malchance ou chance ! c'est aussi le nom d'un bateau de course conçu par Jean-Yves Terlain pour la Transat anglaise de 1972
Le Vendredi 13 est un voiliertrois-mâts construit en 1972 sur plan de Dick Carter. Avec ses 35 tonnes et 39 m hors tout, il avait un plan de voilure comportant 3 génois bômés envergués sur 3 mâts. Construit en sandwich fibre de verre/mousse polyuréthane au chantier TECIMAR à Saint-Nazaire, c'est techniquement une goélette à voile d'étai. Jean-Yves Terlain avait conçu ce prototype spécialement pour la Transat anglaise (OSTAR), course à la voile en solitaire, courue entre Plymouth (Grande-Bretagne) et Newport (États-Unis
Le Vendredi 13 est un voilier géant de 39 mètres, reconnaissable à ses trois mâts. Ce plan Dick Carter est une goélette conçue en 1972 par Jean-Yves Terlain afin de parcourir la Transat anglaise, solitaire au départ de Plymouth (GB) et Newport (EU). Construit en sandwich fibre de verre/mousse polyuréthanne par les chantiers Tecimar à Saint-Nazaire, il est financé par le réalisateur, Claude Lelouch.
Ce voilier géant pour son époque – 39 m hors tout et 35 tonnes – était considéré comme impossible à manœuvrer par un seul homme. Pourtant, malgré les problèmes rencontrés lors de la Transat, Terlain se classe à la deuxième place, derrière, Alain Colas, sur Pen Duick IV. À cette époque des transats, le monde la course pense que tout ce qui est plus grand est plus rapide. Pourtant, cet énorme monocoque sera doublé par le multicoque d'Alain Colas.
Par la suite, Vendredi 13 est entièrement réaménagé pour le Charter aux Antilles. Yves Fauconnier prend donc le relai et organise des croisières où de riches clients viennent à bord du bateau. Sa fille, Karine Fauconnier, navigatrice professionnelle reconnue, participa à des croisières tout au long de son enfance. Vendredi 13 continua de naviguer entre les Antilles et les États-Unis et de nombreux marins participèrent aux croisières à l'image de Kiki Hiessler, Alain Revel, Hugo Desmazières, Pancho Mallego, Alain Chapoutot ou encore Titouan Lamazou.
Par la suite, le trois-mâts, en mauvais état, est donné au Musée de la plaisance de Bordeaux, dans l'ancienne base de sous-marins. Il était exposé à terre, mâté, mais sans sa quille.
À la fermeture du musée, la coque du Vendredi 13 est déplacée sur le parking de la base sous-marine, sans aucune indication ou pancarte. En mauvais état, le voilier, ou plutôt l'épave, est taguée et squatté. Elle a été mis en vente en novembre dernier par la ville de Bordeaux, avec d'autres bateaux ayant fait partie du Conservatoire international de plaisance local.
Un sistership du bateau a été conçu, le Friday Star.
Crédit photo 1 : « Le voilier de course "Vendredi 13" (1) » par Jean-Pierre Bazard Jpbazard — Travail personnel. Sous licence CC BY-SA 3.0 via Wikimedia Commons -
Après 21 ans d'inactivité dans sa cale des bassins à flot de Bordeaux, le trois-mâts "Vendredi 13" reprend vie. L'ancien voilier du réalisateur Claude Lelouch sera restauré durant un an par l'association "Rêve de sens".
C'est une belle histoire, celle d'un voilier aux multiples vies qui démarre une nouvelle vie. Le célèbre trois-mâts "Vendredi 13" va reprendre la mer. Sa coque était amarrée depuis plus de 20 ans à Bordeaux, presque abandonnée après avoir fait naviguer des générations de marins. Son nouveau propriétaire, lui, ne l'avait pas oubliée...
je viens aussi vous présenter mes meilleurs vœux pour 2017 : bonne santé et bon moral, pour profiter, réaliser et réussir vos souhaits les plus chers. Que, la chance, la providence, les dieux, (au choix) vous accompagne et vous épargne les trop nombreuses misères qui accablent cette terre...
La révolte gronde, des mails comme
celui-ci circulent de plus en plus, c'est logique
!
En 2017, il faut
:
- Immigration
zéro.
- Suppression de l'aide médicale
d'état coûtant 1 milliard par an pour les réfugiés. (AME) + ATA + CMU + RSI etc
etc
- Réduction du nombre des sénateurs,
voir suppression du Sénat.
- Réduction de plus de la moitié des
députés (202
suffisent) et réduction des élus des
collectivités territoriales et des conseillers
régionaux.
- Pointeuse à l'assemblée nationale afin
que chaque député soit payé en fonction de sa présence
!!!
- Idem au Sénat
!!!
- Interdiction réelle et effective du
cumul des mandats et du cumul des retraites des dits mandats sauf le dernier
exercé. Comme dans
toute profession : halte au pillage du pays par une certaine caste !!! ( à un
ouvrier on ne paie pas tous les échelons qu'il a franchi mais seulement le
dernier)
- Réduction des parlementaires et des fonctionnaires
européens qui ne servent à rien.
- Réduction du nombre des ministres et des secrétaires
d'état.
- Suppression de la CMU à certaines
catégories !!!
- Que
l'on arrête de payer des retraites à l'étranger sans savoir si les gens sont
toujours vivants (déjà dénoncé par la Cour
des Comptes ! )
Suppression des retraites versées aux étrangers
arrivant en France à 65 ans sans jamais avoir cotisé (1157
EUR) (comment peut-on oser, quand des français de souche se tuent
parce qu'ils n'arrivent plus à payer leurs factures, après avoir cotisé
44 ans pour la plupart) !!!
- Désendettement massif de la France par la réduction
du train de vie de toutes les "élites" ...
- Suppression des aides aux
associations, véritables pompes pour assistés
professionnels.
- Comment expliquer qu'un salarié qui
se lève chaque matin a du mal à finir le mois, ne parte presque jamais en
vacances et ne peut se soigner correctement alors qu'une personne inactive est logée gratuitement
avec APL,peut faire des
grasses matinées, partir en vacances chaque année avec les bons vacances de la
CAF et se faire soigner avec la CMU bien mieux qu'un salarié qui n'a droit à
rien de tout ça ! -
Alors, aidons plus les salariés pour une France qui avance et foutez les cas
sociaux au boulot !
- Si vous voulez que cela continue,
reconduisez ceux qui, depuis 40 ans votent des budgets en déficit pour acheter
des électeurs...