samedi 3 mars 2018

Il fait plus froid en Europe qu’au Pôle Nord !

ACTUALITÉ
Un phénomène météorologique inquiète les chercheurs. Pendant une semaine, les températures en Arctique vont dépasser le seuil de congélation, soit zéro degré. Alors que dans certains pays européens, les températures vont descendre jusqu’à -10 °C.
C’est comme si quelqu’un avait ouvert la porte du réfrigérateur de la planète. Dernière semaine de février, l’Europe a froid. Les Britanniques parlent de « Bête de l’Est », un air glacial qui vient de Pologne et de Sibérie vers l’Europe. La météo a d’ores et déjà averti les Anglais que du 26 février au 4 mars 2018, le thermomètre allait afficher - 8 °C. Les prévisionnistes ont également prédit que les régions de l’est et du sud-est de l’Angleterre pourraient être recouvertes par 10 cm de neige.
Dans l’Hexagone, Météo France a prévu - 10 °C en région Auvergne-Rhône-Alpes, près de Lyon, mercredi 28 février 2018. Deux jours plus tard, c’est toute la région Grand Est, entre Metz et Strasbourg, qui sera recouverte de neige. L’Allemagne ne sera pas non plus épargnée.
Des températures qui devraient presque passer inaperçues, en fin d’hiver. Sauf qu’au même moment en Arctique, le Pôle Nord se réchauffe. Si bien que les températures vont dépasser, pendant une semaine, la barre des zéros degrés. Du jamais vu pour les climatologues.
En Arctique, un vent très doux réchauffe la température et fait fondre la glace. (Photo : Mario Hoppman / AFP)
Pourquoi l’Arctique a si chaud ?
Si l’Arctique se réchauffe, c’est à cause du « vortex polaire », qui se déchire. « Le vortex polaire est un tourbillon de vent froid qui se forme au-dessus du pôle Nord », explique François Gourand, prévisionniste à Météo France, à France Info. La déchirure intervient quand ce vortex « se scinde en plusieurs morceaux, un phénomène qui fait remonter un air très doux et envahit la banquise. Cest une dépression daltitude », explique-t-il encore.
Sur ce graphique, la température a dépassé 0 °C entre le 9 et le 10 février 2018. Elle restera positive la dernière semaine de février. (Photo : Zack Labe / Twitter)
Ce phénomène est dû au réchauffement climatique. Le quotidien britannique The Independant explique que les températures, ces derniers mois, ont atteint un niveau record de -1 °C, soit environ 22 °C de plus que la moyenne annuelle.
« Dautres parties de la région polaire au large de la côte nord du Groenland ont connu des températures supérieures de 30 °C à la normale en février », explique encore le journal. Selon Zachary Labe, chercheur climatique à l’université de Californie, « la température du pôle Nord est en ce moment la plus haute jamais enregistrée en février depuis 1958 ».
L’Arctique se réchauffe deux fois plus vite
Sur le site de l’ONU, les chiffres ont de quoi affoler. En 2017, « lArctique a continué de se réchauffer à un rythme deux fois plus élevé que la température mondiale ». L’Organisation météorologique mondiale (OMM), rajoute : « Ce réchauffement a eu des impacts sur les humains, les océans et les écosystèmes ». Force est de penser que le Pôle Nord n’a pas fini de transpirer et nous de grelotter.

vendredi 2 mars 2018


(Photo : Samuel Blanc / Wikipédia)

La bonne nouvelle du jour

Des chercheurs ont découvert des colonies géantes rassemblant plus de 1,5 million de manchots Adélie dans un archipel isolé de l’Antarctique, selon une étude qui appelle à mettre en place des mesures pour les préserver. « Notre étude révèle que les Danger Islands abritent 751 527 couples de manchots Adélie », indique le texte publié dans la revue Scientific Reports, alors que de précédentes estimations évoquaient seulement quelque 300 000 couples sur un des îlots de cet archipel de la mer de Weddell, à l’est de la péninsule antarctique.

jeudi 1 mars 2018

INSOLITE

Ils étudient le stress du corail dans des îles de rêve

Comment les coraux s’adaptent-ils changement climatique ? Pour le savoir, une équipe de scientifiques a embarqué à bord du voilier océanographique Tara, en mission dans le Pacifique. Cap sur l’archipel des Palaos, où l’on trouve encore des fonds sous-marins préservés de l’impact humain.
Une équipe de chercheurs du Centre scientifique de Monaco, de l’Université Nice Sophia Antipolis et de l’Université de Liège a réalisé en janvier une mission spécifique de 10 jours à bord de la goélette océanographique Tara, dans l’État de Koror, aux Palaos. Leur but : étudier l’adaptation des coraux au changement climatique.
Ils n’ont pas choisi ce lointain archipel du Pacifique par hasard. Ce chapelet d’îles de rêve, relativement protégées de l’impact humain, leur offre les conditions idéales pour étudier les conséquences des changements environnementaux globaux sur les récifs coralliens. Entourées de sites sous-marins naturellement acidifiés, qui correspondent aux estimations d’acidification des océans en 2100, les petites îles de Palaos sont un véritable laboratoire à ciel ouvert.

lundi 26 février 2018

PERROS GUIREC EN QUELQUES MOTS...


quelques liens :



  •   Qui est ce macareux ?

    Perros-Guirec [pɛʁɔs giʁɛk] (Perroz-Gireg en breton) est une commune, chef-lieu de canton du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France. Elle se trouve à 78 km de Saint-Brieuc, 175 km de Rennes et 524 km de Paris.
    Perros-Guirec est située dans un site naturel protégé, au milieu d'un paysage insolite où la terre et la mer sont parsemées de rochers de granit rose aux formes découpées par le vent.
    La ville a deux emblèmes : le macareux, petit oiseau marin au bec coloré dont la plus grande colonie en France niche dans les Sept-Îles, et la fleur d'hortensia particulièrement présente dans la ville et les jardins des particuliers.
    Perros-Guirec vit essentiellement du tourisme. Durant l'été, la ville prend une autre dimension tant en activités (sportives, culturelles et économiques) qu'en population (qui se multiplie par 8 environ). Elle est connue comme station balnéaire à caractère familial grâce à quelques belles plages de sable fin (Trestraou et Trestrignel) et à sa côte composée en partie de blocs de granit rose aux formes impressionnantes (la côte de granit rose). En 2007, la ville a été élue meilleure station balnéaire de France dans une enquête réalisée par le magazine Le Nouvel Observateur[1].
    La commune est divisée en plusieurs bourgs (regroupements de maisons). En dehors de la ville elle-même, les deux plus importants sont Ploumanac'h et La Clarté.


    Le Sentier des douaniers, sur le site protégé des landes de Ploumanac'h, borde la célèbre côte de granit rose, érodée depuis près de 300 millions d'années, qui offre un paysage surnaturel de chaos granitiques aux formes insolites, s'étendant sur près de 9 km.
    La ville comprend trois plages principales. Celle de Trestraou est ensoleillée. S'y trouvent le casino et le Palais des congrès, où ont souvent lieu des expositions. C'est de cette plage qu'on embarque pour visiter les Sept-Îles qui l'environnent, parmi lesquelles « l'Île aux Oiseaux » (l'Île Rouzic), inhabitée, mais où résident goélands et fous de Bassan. La plage de Trestrignel est davantage battue par les vents. Assez sauvage, ce qui fait son charme, elle est comme encaissée au bas d'une côte, et est bordée par la pointe du Château, promontoire rocheux du haut duquel on peut profiter d'une vue panoramique sur les îles, notamment sur l'île Tomé (qui ne fait pas partie des Sept-Îles). La plage de Saint-Guirec se situe quant à elle dans le bourg de Ploumanac'h, le long du sentier des douaniers ; elle est donc une halte facile pour tout randonneur l'été. Face à elle sur la petite île de Costaérès se dresse le Château de Costaérès.
    Le port de la ville est doté d'un bassin à flot et accueille aussi bien les marins pêcheurs que les plaisanciers. Un bassin de rétention d'eau jouxtant le bassin à flot, le Linkin, anciennement bassin de chasse[2], a été transformé en aire d'activités nautiques (scolaire ou touristique, selon la saison).

    Histoire

    Étymologie et origines

    • « Perros » provient des mots bretons « Penn » (cap, bout, extrémité) et « roz » (coteau, colline descendant vers la mer) ;
    • « Guirec » (en français) ou « Gireg » (en breton) est le nom de saint Guirec, un moine venu d'Outre-Manche pour évangéliser les Bretons de l'époque et dont la légende dit qu'il a pris pied sur la plage de Saint-Guirec en Ploumanac'h. On retrouve le nom de ce saint dans le nom de la commune de Locquirec (lok Gireg).
    En breton, Perros-Guirec s'écrit « Perroz-Gireg » (prononciation assez identique à celle du français, mais avec l'accent bien plus prononcé sur le "o" et sur le "i": API [pɛˈroːz ˈgiːrɛk][3]). Localement on ne parle que de "Perroz".

    Héraldique

    BlasonBlasonnement :
    Écartelé d'or et d'azur, au chef d'azur chargé de trois coquilles Saint Jacques d'or.

    Moyen Âge

    Perros-Guirec fait partie du Trégor, mais jusqu'à la Révolution française la paroisse de Perros-Guirec, enclavée dans l'évêché de Tréguier faisait partie du doyenné de Lannion relevant de l'évêché de Dol et connue sous le vocable de Jacques le Mineur (voir l'église Saint-Jacques, principale église de la ville).

    Époque moderne

    Le XIXe siècle

    Le XXe siècle


    Voitures et wagons en gare de Perros-Guirec
    Entre le 11 août 1906 et le 15 avril 1949, la ville est desservie par le train à voie métrique des Chemins de fer des Côtes-du-Nord, de la ligne ligne de Lannion à Perros-Guirec. Cette ligne rejoignait la ligne Tréguier - Perros-Guirec à la gare de « Petit Camp »[4]. Dans Perros, la gare était située au niveau du port du Linkin.

    Contrairement aux autres communes du canton, Perros-Guirec a décidé de ne pas adhérer à la Lannion-Trégor Agglomération[5], composée des vingt communes qui entourent Lannion


    Statue de saint Guirec, qui donna son nom à la commune
    La commune héberge le cercle celtique ar Skewell (du nom d'un bloc rocheux remarquable entre Perros et Ploumanac'h) et un bagad, le bagad Sonerien Bro Dreger (en français : les Sonneurs du Trégor).
    Début août chaque année, a lieu le Festival des Hortensias, avec défilé des groupes et cercles invités, un concert d'un musicien ou d'un groupe connu (Dan Ar Braz, Alan Stivell, Tri Yann, Soldat Louis, Hugues Aufray, etc.) et l'incontournable fest-noz. Le festival se tient sur plusieurs scènes simultanément. L'ambiance est plutôt à la musique traditionnelle bretonne, mais on trouve aussi des groupes plus « électriques » et systématiquement une délégation folklorique d'une nation étrangère.
    En avril, la commune accueille aussi un festival de bandes dessinées.

    Une radio FM est basée à Perros-Guirec, Station Millénium qui diffuse sur 102,5 Mhz dans un rayon de 40 km[12].

    La ville héberge un club de tennis de table ("7 Îles Tennis de table") dont les premières équipes évoluent en championnat national.

    La ville est régulièrement le point de départ ou une étape de la course au large en solitaire du Figaro. Elle l'a été en juillet 2011, pour la 17ème fois.
    C'est également à Perros-Guirec qu'est basé le seul club de surf des Côtes-d'Armor, le Seven Islands Surf Club. Le club a une vocation pédagogique (initiation) mais aussi de compétition puisqu'il compte des champions de Bretagne et des compétiteurs en longboard de niveau national et international. Le Champion de France Open longboard 2008 est perrosien en la personne d'Alexy DENIEL. La pratique se fait sur la grande plage de Trestraou essentiellement de septembre à mai quand les dépressions s'enroulent sur la pointe Bretagne. En 2010, Alexis Deniel devient champion de france de Longboard pour la seconde fois.[
    Au niveau du football, la ville est en entente avec la commune de Louannec. Les séniors évoluent en promotion d'honneur, les moins de 18 ans évoluent également au niveau régional, en Promotion d'Honneur.

    Personnalités liées à la commune

    L'imitateur Thierry Le Luron, originaire de Ploumanac'h, repose au cimetière de La Clarté.(1952-1986)
    Les auteurs de bande dessinée Laurent Vicomte et Régis Loisel ont vécu plusieurs années à Perros-Guirec. En compagnie du dessinateur Jean-Charles Kraehn, lui aussi perrosien, ils ont fondé en 1994 le festival de la bande dessinée qui a lieu tous les ans au mois d'avril.

    Lieux et monuments


    Moulin de la Lande du Crach

    Bâtiments et lieux publics remarquables

    • La maison de Maurice Denis, peintre nabi et impressionniste au-dessus de la plage de Trestrignel
    • Le Grand Hôtel, à Trestraou, d'architecture Art déco typique du style balnéaire des années 1920
    • Sémaphore de La Clarté : Il surveille toute la navigation depuis l'île de Batz jusqu'à l'île de Bréhat 24h/24. On peut le visiter seulement lors des journées du patrimoine en septembre.
    • Moulin de la Lande du Crac'h :
    • Ce moulin à vent, datant de 1727, est situé à La Clarté, il est construit en moellons de granite rose, la charpente recouverte d'ardoises, s'oriente en fonction du vent. Il est inscrit aux monuments historiques depuis 1983. Il a été restauré en 1986 grâce à des fonds privés, mais la machinerie intérieure n'existe plus, il est propriété de la commune, mais ne se visite pas.
    • Parc des sculptures Christian Gad : situé entre la Clarté et Ploumanac'h (à l'entrée de cette dernière), ce parc contient de nombreuses sculptures en granit, dont celles de Pierre Székely qui a fait de nombreux séjours à Perros-Guirrec dans les années 1980-90 pour tailler le granit rose[13].

    Bâtiments religieux


    Notre-Dame de La Clarté
    • Église Saint-Jacques classée au titre des Monuments historiques[14]. L'église a été dédiée à Saint Jacques car la ville était un lieu de passage pour la route vers Saint-Jacques-de-Compostelle, pour des pèlerins en provenance de Grande-Bretagne ; on trouve d'ailleurs quelques coquilles Saint-Jacques gravées aux frontispices des portes. Le pardon de St-Jacques est célébré le dernier dimanche de juillet.
    • Chapelle Notre-Dame de La Clarté (Itron Varia ar Sklaerder en breton), classée au titre des Monuments historiques[15]. Cette chapelle a été construite en 1445 suite à un vœu fait par le marquis de Barac'h qui fut sauvé d'un naufrage. Sur le tertre attenant à cette chapelle, on célèbre chaque année une grand'messe en l'honneur de Notre-Dame de la Clarté le 15 août. Ce pardon est présidé par l'évêque du diocèse de Saint-Brieuc ou par d'autres évêques invités.
    Le Grand pardon de Notre Dame de la Clarté attire chaque année plusieurs milliers de personnes le 15 Août.
    • Chapelle Saint-Joseph, ou chapelle de la Rade. De construction récente (1960), elle est située dans le quartier de la Rade, à quelques centaines de mètres du port, posée sous le bois d'Amour.
    • Chapelle Saint-Guirec de Ploumanac'h. On y célèbre un pardon le mercredi soir avant le jeudi de l'Ascension et la messe chaque dimanche pendant les deux mois d'été. Cette messe en l'honneur de saint Guirec est suivie de la procession à l'oratoire sur la plage dont la tradition rapporte que c'est de cet endroit qu'il est arrivé pour évangéliser la région. Ce pardon est aujourd'hui remis en valeur par l'association de Ploumanac'h et attire plus d'une centaine de personnes.
    • Oratoire de Saint-Guirec, sur la plage du même nom à Ploumanac'h, est classé au titre des Monuments historiques[16]. Cet oratoire, accessible uniquement à marée basse, protège une statue du saint. Une coutume ancestrale consiste pour les jeunes filles à piquer une épingle dans le nez de la statue ; l'épingle qui tient est un bon présage de mariage. Cette coutume a mis à mal le nez de la statue originale en bois ; la statue actuelle est en granite, mais son nez a beaucoup souffert, moins à cause des jeunes filles que des touristes qui « perpétuent » la tradition.
    • Chapelle de Kernivinen, dédiée à Notre Dame de Pitié fut édifiée sur l'emplacement d'une autre chapelle dédiée à St Marc. On célèbre chaque année un pardon le deuxième dimanche après Pâques.

    Musées

    • Musée de l'histoire et des traditions de Basse-Bretagne (musée de cire) : ancienne Capitainerie du Port à Perros-Guirec, c'est en 1989, que ce Musée a été inauguré par Pierre-Jakez Hélias (célèbre écrivain breton, auteur du Cheval d'Orgueil).
    De Perros-Guirec à Lannion en passant par Tréguier, Moncontour, Morlaix, etc., de grands personnages et des événements marquants sont présentés et commentés dans les dix salles sur deux étages, au milieu des décors de Jean-Marie Le Prieur et des fresques de Véronique Chanteau.

    mentionnons aussi  :

    • Château de Costaérès, gros manoir sur une île privée, (sur la commune de Trégastel) accessible à très grandes marées basses et sur laquelle Henryk Sienkiewicz aurait écrit la version française de son livre « Quo vadis ? ». L'île est aujourd'hui propriété du comédien allemand Dieter Hallervorden (de) ;
    • Le Sentier des douaniers : chemin côtier entre le Ranolien et le port de Ploumanac'h, réservé aux piétons, permettant de faire une promenade en bord de mer au milieu des amas chaotiques, masses de rochers de granit rose dont certains ont des formes évocatrices : la Bouteille renversée, le Dé (sur la commune de Trégastel), le Chapeau de Napoléon (cité par Charles de Gaulle lors d'une diffusion de La France aux Français "le chapeau de napoléon est-il toujours à sa place?"), le lapin, le château du Diable etc. On y voit le phare de Men Ruz, reconstruit entièrement en granit rose après sa destruction durant la Seconde Guerre mondiale ;

    Landes et rochers de Ploumanac’h - Anse de Pors Kamor - abri de la vedette de sauvetage de la SNSM; Au fond, Les Sept-Îles
    • L'anse de Pors Kamor (photo ci-dessus) ; l'abri et le bateau de la SNSM Président Toutain (SNS 098)
    • Le port naturel de Ploumanac'h, un des plus protégés de la côte nord de Bretagne. Deux moulins à marée (un moulin à glace et un moulin à blé) séparent le port de la vallée des Traouïero.
    • La vallée des Traouïero , double vallée encaissée (le grand et le petit Traouïero) débouchant dans le port de Ploumanac'h et qui, dit-on, était si inaccessible qu'elle a servi de refuge à des brigands ;
    • Les plages : Trestraou, Trestrignel et Saint-Guirec ; la Bastille
    • Le port de Perros-Guirec, à la Rade (partie basse de la ville de Perros) ;
    • Les Sept-Îles, archipel de petites îles au large de Perros, la plus importante est l'Île aux Moines avec son phare et son fort ; l'île Riouzig (Rouzic) est une des plus grandes réserves ornithologiques de France d'oiseaux de mer (Réserve naturelle des Sept-Îles) ;
    • Les carrières de granit rose, près du petit bourg de La Clarté, d'où sont extraits les blocs de granit de couleur si particulière.

    Les carrières de granite rose et le bourg de La Clarté
    • Carrière de granit rose à La Clarté
    • Tourisme, nautisme
    • Centre de thalassothérapie à proximité de la grande plage de Trestraou.
    La ville profite aussi de sa proximité avec le pôle économique et universitaire de Lannion. Dans les années 1980, les télécommunications avec le Centre de télécommunication spatiale de Pleumeur-Bodou situé près de Perros-Guirec ont également influencé sur la réputation du Trégor.

     

    Notes

    1. Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002 , dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
    2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de cinq ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc., ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.

    Références

    1. Enquête sur les meilleures stations balnéaires de France en 2007, dans Le Nouvel Observateur [archive]
    2. Bassin en amont du port, dont le lâcher d'eau permettait de chasser le sable s'entassant dans le fond du port
    3. F. Favereau, Dictionnaire du breton contemporain p. 585
    4. Laurent Goulhen, « Lannion la ville aux trois gares », Revue d'histoire du Musée du Petit Train des Côtes-du-Nord, no 17, avril 2000, p. 14-22
    5. Le Télégramme, 6 mars 2008 [archive]
    6. Ouest-France, 3 septembre 2013 [archive]
    7. Le Télégramme, 11 mars 2008 [archive]
    8. (fr) Les maires de Perros-Guirec [archive]. Consulté le 3 avril 2012
    9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui [archive] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    10. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006 [archive], 2007 [archive], 2008 [archive], 2009 [archive], 2010 [archive]
    11. (fr) Association Française du Conseil des Communes et Régions d'Europe, « Annuaire des villes jumelées » [archive], sur www.afccre.org. Consulté le 10 avril 2012
    12. Legifrance [lire en ligne [archive]]
    13. Biographie de Pierre Székely [archive]
    14. Notice no PA00089383 [archive], base Mérimée, ministère français de la Culture
    15. Notice no PA00089380 [archive], base Mérimée, ministère français de la Culture
    16. Notice no PA00089386 [archive], base Mérimée, ministère français de la Culture