Superbe séquence filmée en Australie. À la base, juste un surfeur en train de s’éclater dans un joli tube. Mais alors qu’on ne voit plus l’intéressé, des dauphins arrivent et décident à leur tour de surfer sur cette vague qui n’en finit pas. Ils s’en donnent à cœur joie, s’envolant dans les airs pour retomber plus bas dans l’eau…
Ce drapeau est bleu et porte un triangle isocèle jaune en son centre, sous une tête de flèche noire, bordée de blanc sur ces deux côtés supérieurs.La couleur bleu représente le ciel et la mer; l'or est synonyme de soleil et de prospérité; le blanc et le noir symbolisent les composantes de la population de l'île. Les deux triangles principaux évoquent les Pitons jumeaux (Gros Piton et Petit Piton), en forme de cône volcanique, qui sont un symbole de l'île. - Symboles nationaux : les pitons jumeaux (pics volcaniques); le perroquet de Sainte-Lucie. Hymne national(adopté en 1967) : Sons and Daughters of St. Lucia. Paroles de Charles Jesse; musique de Leton Felix Thomas.
Ce drapeau est bleu et porte un triangle isocèle jaune en son centre, sous une tête de flèche noire, bordée de blanc sur ces deux côtés supérieurs.La couleur bleu représente le ciel et la mer; l'or est synonyme de soleil et de prospérité; le blanc et le noir symbolisent les composantes de la population de l'île. Les deux triangles principaux évoquent les Pitons jumeaux (Gros Piton et Petit Piton), en forme de cône volcanique, qui sont un symbole de l'île. - Symboles nationaux : les pitons jumeaux (pics volcaniques); le perroquet de Sainte-Lucie. Hymne national(adopté en 1967) : Sons and Daughters of St. Lucia. Paroles de Charles Jesse; musique de Leton Felix Thomas.
Nous sommes partis par une matinée ensoleillée, après une petite escale à Sainte-Anne. Un alizé polisson, légèrement apathique mais favorable nous fait glisser sur la mer bleue des Caraïbes …
Le soir même émergeaient encore derrière nous les contours de la Martinique tandis que nous longions les côtes de Saint-Vincent. L’île de la Martinique va se découper longtemps derrière nous tellement la visibilité est bonne et le ciel très clair. A la tombée du jour je contemplai longuement et sereinement les lumières du crépuscule qui coloraient vaguement en rose les ondulations de la mer en direction de l’ouest…Au loin les premières lumières à terre s’allumaient une à une.
Nous sommes bien et heureux, la vie est belle, et tout l’équipage a la tête et le cœur en parfaite harmonie avec son environnement maritime.
Dans ces bienheureuses dispositions, je constate une fois de plus que chaque être humain, qu’il en soit conscient ou non, illustre par l’accomplissement de sa propre destinée l’idée qu’il se fait de la vie en général…
Les noms relevés sur les cartes marines me font toujours rêver…La plus grande fantaisie règne en effet dans ces appellations laissées en héritage par nos intrépides ancêtres…Je ne peux m’empêcher de me demander quels drôles de farfelus avaient éparpillé ces toponymes bizarres, parfois fort savoureux, sur notre carte marine…Quels genres d’aventuriers, explorateurs, ou boucaniers illettrés avaient décidé du haut de leur dunette de jeter au vent de l’histoire cette nomenclature étonnante ? C’était un nom qui attendait une terre jusqu’au passage de Christophe Colomb, plutôt qu’une terre qui attendait un nom !...Mais devant la multiplicité de ces îles, notre découvreur des Amériques n’eut d’autres ressources que de les désigner toutes sous un nom collectif : les Caraïbes.
Accompagnés par des hordes de dauphins à l’entrain toujours aussi folâtre et démonstratif, nous atteignons à la nuit tombée la rade de Bequia et nous jetons l’ancre derrière leur poupe dans cinq mètres d’eau limpide. Peu après le silence nocturne ayant retrouvé tous ses droits une fois le moteur coupé, de la terre nous parviennent par intermittence des mélodies créoles sur fond de musique biguine…
Dans la douceur de cette nuit antillaise je hume avec délices les mille et une senteurs de cette nuit sereine, heureuse d’être enfin arrivée.
Auparavant nous avons longé Sainte-Lucie dont les pics étaient cachés par leur habituelle écharpe de nuages. Nous aperçûmes au loin Marigot Bay, ce fameux trou à cyclone qui étale ses photos dans toutes les bonnes publicités sur les Antilles. L’entrée en est assez confidentielle, la baie étant en effet très petite et toute en profondeur, et comme de bien entendu pleine à craquer la plupart du temps ! On a toujours du mal à se frayer un chemin là-dedans pour y trouver une place minuscule au milieu d’autres voiliers, mais il est vrai que décor de rêve compense ces désagréments. Là les collines environnantes de cet endroit très photogénique sont l’habitat d’une végétation fort luxuriante : rosiers du Bengale, bouquets de bambous géants, mahaganis, acajous, arbres du voyageur et bien sûr tous les fruitiers exotiques. Un véritable jardin d’Eden…
L’escale tout au bout aussi nous a laissé un bon souvenir autrefois : au lieu-dit les « Deux Pitons » : deux montagnes qui tombent à pic dans la mer, séparées par une minuscule baie bordée d’une jolie plage.. Une fabuleuse falaise verticale écrase le mouillage de sa masse vertigineuse se reflétant dans les eaux lisses de la mer, merveilleusement protégées des vents dominants.
le prix sur corps mort n'a pas changé :
- 54 dollars EC
- 23 €
- 20 dollars US
L’île suivante, Saint-Vincent, est moins propice aux escales car le bouche à oreille de « radio-cocotiers » fonctionne parfaitement et met en garde contreles vols , si bien que les plaisanciers filent directement sur les Grenadines qui étirent leur volée d’îles et d’îlots comme un chapelet sur cinquante milles jusqu’à l’île de Grenade.
Dans les ruines de la ville antique de Pompéi, en Italie, ensevelie par l’éruption du Vésuve en 79 après J.-C., des archéologues ont mis au jour un vrai « trésor de sorcier » : de la verroterie, des pierres semi-précieuses, des perles et des amulettes, ainsi que de menus objets porte-bonheur et symboles de fertilité, tous en très bon état.
La ville ensevelie de Pompéi, patrimoine mondial de l’Unesco, n’en finit pas de dévoiler ses secrets. L’agence de presse italienne ANSA a annoncé lundi, dans une dépêche, une nouvelle découverte faite par les archéologues : un ensemble de petits objets porte-bonheur et symboles de fertilité, que le directeur du site archéologique, Massimo Osanna, a qualifié de « trésor de sorcier ».
Les scientifiques sont tombés sur les vestiges d’une vieille boîte en bois, dont il ne restait plus que les charnières en bronze. Mais les cendres volcaniques qui ont recouvert Pompéi ont maintenu son contenu en parfait état de conservation durant des siècles.
Des amulettes et des symboles de fertilité
Les archéologues ont ainsi pu récupérer de menus objets, presque intacts, comme des perles et des pendentifs, des cristaux, de la céramique, des améthystes, de l’ambre…. Il y avait également des miroirs, en faïence et bronze. En plus de cela, ils ont également identifié des amulettes en forme de scarabées, qui pourraient provenir du Moyen-Orient.
Certains de ces objets sont des symboles de fertilité : les chercheurs ont identifié des pendentifs en forme de petits phallus, ou encore des morceaux d’os façonnés en forme d’oreilles, de crânes humains et de poings. Une pièce importante de la découverte serait une cornaline, une pierre précieuse sur laquelle a été gravée la tête de Bacchus, le dieu romain du vin et de la fertilité.
Les archéologues estiment qu’il s’agissait de talismans, d’objets auxquels on prêtait un pouvoir magique, qui pouvaient porter bonheur ou protéger du mal… Selon le directeur du site italien, des colliers ont pu être « portés durant des rituels, plutôt que comme parure ».
Ces explorations archéologiques se sont déroulées dans un nouveau secteur de Pompéi, Regio V, qui est situé au nord de la ville. Dans cette zone de 21 hectares, les chercheurs ont fouillé une domus, une maison typique de l’ère de Pompéi, dans laquelle ils avaient déjà découvert il y a quelques mois une inscription.
Des objets qui témoignent de la vie quotidienne des habitants de Pompéi
Cette dernière a remis en question la date de l’éruption du Vésuve, du 24 août au 24 octobre 79 après J-C. Selon le parc archéologique de Pompéi,« ces bijoux et petits objets liés à l’univers féminin de l’époque ont été trouvés dans l’une des pièces de la Casa del Giardino, [la Maison du jardin, NdlR] ».
Bien que la qualité de l’ambre laisse penser que cette maison était celle d’une personne haut placée, les archéologues pensent que ces objets auraient appartenu à une personne de rang inférieur, vraisemblablement une femme, peut-être une esclave. Le « trésor de sorcier » a en effet été retrouvé dans ce qui correspondant au quartier des serviteurs de l’époque. De plus, il ne contenait aucun bijou en or, métal très prisé des riches habitants de Pompéi.
Ces découvertes permettent d’en apprendre plus sur la ville de Pompéi et les récits qu’elle abrite. Selon le directeur Massimo Osanna, « ces objets du quotidien sont extraordinaires car ils racontent des micro-histoires, des biographies d’habitants de la ville qui ont essayé d’échapper à l’éruption ».
Dans cette même maison, l’équipe archéologique a réussi à identifier une pièce contenant six corps. Des enfants et des femmes, qui ont été figés à jamais par les cendres volcaniques. Avec des tests ADN, les chercheurs tentent d’établir un lien entre ces personnes et les objets retrouvés. Ces nouvelles découvertes seront bientôt exposées au cœur de la Palestra Grande, un édifice de Pompéi qui était utilisé comme gymnase.
Du 15 au 18 août 1969, à quelques centaines de kilomètres au nord de New-York, devant un demi- million de personnes, le simple concert en plein air devient un mythe planétaire.
Tout un symbole : le mythique Woodstock, qui fêtera en août ses 50 ans avec plusieurs inoxydables rock stars – Santana, John Fogerty, Canned Heat, pour ne citer qu’eux – a également fait appel à des têtes d’affiche d’horizons différents – Jay-Z, Halsey, Miley Cyrus… – afin d’attirer un public plus jeune
le « rock n’est pas seulement le rock » : c’est aussi une certaine idée de l’innovation qui survivra à ses pionniers.
« C’est douloureux de voir tant d’artistes nous quitter ou tomber malades, dit-elle. Nous craignons de perdre une partie de nous lorsqu’ils sont malades. Et quand ils meurent, nous pleurons la perte de leur musique, les concerts que nous ne pourrons plus aller voir. Cela nous rend aussi plus conscients de notre propre mortalité », poursuit cette sexagénaire, selon laquelle l’influence du rock sur les autres genres musicaux lui confère une sorte d’immortalité. « Il n’y aurait pas de métal, de punk ou de hip-hop sans le rock’n’roll, estime-t-elle. Le rock ne mourra jamais car c’est une branche large et solide sur un arbre très vieux et très robuste. »
le rock n’est « même pas un genre musical », c’est « un état d’esprit ».« Le rock, c’est ne pas se conformer à ce qui a été fait avant vous mais tracer sa propre voie dans la musique et dans la vie », a-t-il déclaré en 2016 lorsque le groupe de hip-hop a été intronisé au « Hall of Fame » du… rock’n’roll.