À partir du 15 septembre, des milliers de médecins, soignants et professionnels de santé, qui ont mis l’abnégation et la protection des autres au cœur de leur vie, seront mis à la porte, accusés d’égoïsme ou de complotisme par des technocrates et fanfarons de plateaux télé. Alors que beaucoup sont naturellement immunisés ayant eu le covid et que la vaccination n’empêche pas la transmission, cette chasse aux sorcières va se retourner contre l’hôpital, contre les patientèles de toute la France, notamment nos aînés, qui auront moins d’attentions et de soins, à cause d’une pénurie de personnel !
Je partage la colère et le sentiment d’injustice qui s’emparent de vous, chers soignants, chers patients. L’Histoire jugera sévèrement ceux qui, en pleine crise sanitaire, décidèrent de porter un nouveau coup de canif au système de santé, saigné à blanc depuis trente ans.
On devrait toujours faire les choses au moment où l’on a envie de les faire, sans tergiverser, sans vouloir être raisonnable, sans remettre à plus tard. Parce qu’on ne sait jamais s’il y aura un « plus tard », en réalité.
Et il suffit d’un minuscule grain de sable pour que le « plus tard » se transforme en « trop tard », pour que l’espoir se métamorphose en regrets... 😱😩😮😭.
La pire erreur que l’on puisse faire, dans la vie, c’est d’être raisonnable.
De temporiser, de douter, d’attendre.
Au lieu de se contenter de vivre...😇🥰😘
N'empêche, peut-être qu'un enterrement, le fait de pouvoir mettre Jean en terre, qu'il ait une sépulture, aurait contribué au processus de guérison...
Bien que je n’aime pas les cercueils ouverts pour des raisons évidentes. Contempler un cadavre embaumé, joliment habillé et maquillé, tel un personnage du musée de cire ou, pire, tellement « vivant » qu’on s’attend presque à ce qu’il respire ou se dresse sur son séant, franchement il y a de quoi flipper. Et puis, quelle image cela laisse-t-il aux proches ? Avais-je envie de le revoir éternellement couché, les yeux clos, dans cette boîte capitonnée – pourquoi les cercueils sont-ils toujours capitonnés d'ailleurs ? – et hermétiquement scellés...
Car alors malgré moi un espoir insensé aurait cogné à la porte de mon cœur. J'aurais regardé dans le cercueil et il serait - aurait été- vide, ou bien ce ne serait pas LUI. Voilà peut-être à quoi ça sert qu’un cercueil soit ouvert.
À marquer la fin.
On voit,
on accepte.
R.I.P.
QUOIQU'IL EN SOIT
C'EST LA DERNIÈRE FOIS QUE J'ÉCRIS À CE PROPOS...
Maudit 12 septembre 2019
C'est comme en mer...
...certaines vagues nous font plonger et accuser le coup, elles ralentissent l'allure ou stoppent le bateau net ! Mais il reprend sa route, il relève l'étrave prêt à passer la suivante, puis la suivante et il finit par arriver au port. Là il se requinque, bien à l'abri. Il se "répare", voire se "reconstruit", pour retrouver sa superbe et repartir fringant, plein d'énergie...
Lors d'épreuves, gardons confiance, même s'il faut du temps n'ayons pas peur d'essayer de nous en sortir, puis lorsque tout se calme, n'oublions jamais de nous ressourcer, afin d'être prêts à repartir...
On prend conscience du temps qui passe en se disant que si l’on vieillit un peu plus chaque année, c’est que l’on a la chance d’être encore là !
Et me voilà en cette année chère à Gainsbourg ...
Vos messages pour me souhaiter un joyeux anniversaire m'ont fait tellement plaisir que je vais essayer de tout faire pour vous obliger à recommencer l’an prochain ! D’ici là portez vous bien. Merci !
Je vous embrasse !
BEAU TEXTE DE ANDRÉ GIDE
Le temps s'est écoulé comme une rivière , je ne l'ai pas vu passer !
J'ai compté mes années
et j'ai découvert que j'ai moins de temps à vivre ici que je n'en ai déjà vécu.
Je n'ai désormais pas le temps pour des réunions interminables,
où on discute de statuts, de règles,
et de procédures,
sachant qu'il ne se combinera rien...
( certains se reconnaîtront...)
Je n'ai pas le temps de supporter
des gens absurdes qui,
en dépit de leur âge, n'ont pas grandi
Je n'ai pas le temps de négocier avec la médiocrité.
Je ne veux pas être dans des réunions où les gens et leur ego défilent.
Les gens ne discutent pas du contenu,
à peine des titres
Mon temps est trop faible pour discuter de titres.
Je veux vivre à côté de gens humains, très humains.
Qui savent sourire de leurs erreurs.
Qui ne se glorifient pas de victoires.
Qui défendent la dignité humaine
et qui ne souhaitent qu'être du côté
de la vérité et de l'honnêteté.
L'essentiel est ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue.
Je veux m'entourer de gens qui savent arriver au coeur des gens.
Des gens à qui les coups durs de la vie ont appris à grandir avec des caresses dans l'âme.
Oui... J'ai hâte... trop hâte
de vivre avec intensité, que seule la maturité peut me donner.
J'exige de ne pas gaspiller un bonbon de ce qu'il me reste...🍡
Je suis sûre qu'ils seront plus délicieux que ceux que j'ai mangé jusqu'à présent...
André Gide : "le temps qui passe".
Je suis aujourd'hui forte parce que je n’ai pas d’autre choix...
Parce que la vie ne m’a laissé
que ce choix...
Je suis forte parce que j’ai appris à survivre à la douleur.
Que malgré la tempête,
les tempêtes de la vie,
je cherche toujours le soleil !
Malgré les chutes,
j’ai encore envie de danser.
💃
Malgré les blessures, j’ai les yeux plein d’émerveillement.
Je fais encore des vœux aux étoiles !
Je crois que les rêves sont des
cerfs-volants à chasser...
Je cherche des arcs-en-ciel dans les flaques.
J’ai même serré les poings quand il fallait abandonner.
Je suis forte malgré mes faiblesses et toutes mes erreurs.
Parce que je ne peux pas abandonner,
et je continue de rêver !
À lutter,
À voler...
❤
Je me suis regardée dans le miroir et j'ai découvert que j'avais beaucoup de rides autour des yeux, de la bouche, du front.
J'ai des rides parce que j'ai eu des amis, et on a ri, on a ri souvent,
jusqu'aux larmes.
J'ai des rides parce que je me suis inquiétée et que j'ai pleuré.
J'ai pleuré pour les personnes que j'ai aimées et qui sont parties, pour un peu de temps ou pour toujours, ou sans savoir pourquoi.
J'ai veillé aussi, j'ai passé des heures sans sommeil pour des beaux projets pourtant pas toujours aboutis , pour les quarts de nuit, pour lire un livre,
j'ai veillé aussi pour la contemplation
J'ai vu des endroits magnifiques,
de nouveaux endroits qui ont eu tous mes sourires et mes étonnements, et j'ai revu également d'anciens endroits qui m'ont fait pleurer...
Dans chaque sillon sur mon visage, sur mon corps, se cache mon histoire, les émotions que j'ai vécues ..... et si je devais enlever tout ceci .... je m'effacerais moi-même...
Chaque ride est une anecdote de ma vie, un battement de coeur, c'est l'album photo de mes souvenirs les plus importants."
Aujourd'hui je n'ai plus peur de dire ce que je pense, ni des gens qui ne sont pas d'accord avec moi et avec mes idéaux…
Je me sens libre de pouvoir penser et dire ce que je veux sans avoir à répondre à personne...
Je suis devenue comme ça, un esprit libre, et on le sait souvent, la liberté a un coût, mais je le paie volontiers…
LIBERTÉ CHÉRIE Cela me fout les jetons, une société où on décide pour moi, d’où je vais vivre, quand je vais sortir, de ma liberté de circuler, de mes droits, de mon droit inaliénable à décider pour moi-même. Et cela parce que je suis née en 1952, alors que je suis parfaitement saine de corps et d’esprit. Enfin, autant qu’eux et vous, ni plus ni moins! Quand je pense que les photos qui suivent sont de mon époque...!
Et j'ai dansé sur....🎵🎶🎵🎶🎷🎸🎹🎺🎻🎤
VIEILLIR -
Agaçante, la catégorisation! On me dit, à quelques jours de mes 69 ans, qu’un calendrier vaccinal va m’incorporer comme un conscrit. Je le conçois pour la logique de l’organisation. Quoique cet étiquetage par l’âge m’insupporte depuis toujours.
Durant des années, j’ai été persuadée qu’il n’y avait pas une minute à perdre. Pourtant, il m’a fallu du temps, tant de temps pour simplement vivre ma vie. En même temps, sur le temps, on m’a dit tant de choses : que j’étais trop jeune, fort longtemps, qu’il fallait attendre mon tour. On m’a dit: c’est pour demain. C’est nul et idiot, l’âge ne saurait être un permis de vivre, ni à 18 ans ni à 100 ans. Le droit d’exister n’est pas fonction de l’âge.
D’ailleurs, un jour, on a commencé à me dire, c’est un peu tard
Vraiment? Pas si tard que cela, parce que vous voyez, je ne suis pas une moyenne nationale. Au mieux, une erreur statistique. Je ne donne à personne le droit de disposer de moi ou de décider pour moi. Notamment sur mes choix de vie et de mort!
Vingt ans après les attentats du 11 septembre, Spike Lee prépare une série documentaire
Le cinéaste oscarisé, notamment, pour Do The Right Thing, pilote le projet pour HBO. Un communiqué, publié lundi par la chaîne, évoque un résultat disponible «plus tard cette année».
Spike Lee avait déjà travaillé avec la chaîne sur une série documentaire concernant les conséquences de l'ouragan Katrina. MIKE BLAKE / REUTERS
La chaîne HBO annonce que le réalisateur Spike Lee prépare une série documentaire pour le vingtième anniversaire des attentats du 11 septembre, a annoncé la
La chaîne HBO dans un communiqué publié lundi 1er mars. Un «portrait inédit» des New-Yorkais et de leur capacité à rebondir, depuis la destruction du World Trade Center à la pandémie actuelle.
