jeudi 11 septembre 2014

AUX ILES VENEZUELIENNES




 


"Autel des voyageurs": certains bateaux de passages ont laissé ici un petite trace...


Nous faisons  escale aux Aves de Sotovento






La richesse principale de l’île sont ses fonds marins.



AUX AVES



Les Avès Venezuela
Les Aves, c'est aussi une densité incroyable de volatiles, réfugiés dans la luxuriante mangrove. Ils sont des milliers à y nicher et à remplir le ciel.
Fous, pélicans, frégates s'en donnent à coeur joie et ne connaissent pas la peur de l'homme: avec notre annexe, nous les approchons de très près dans une ambiance de matin du monde...

LE 11 SEPTEMBRE...MON ANNIVERSAIRE MAIS PAS SEULEMENT....




11 septembre 2001




Parce que parfois les photos ont plus de poids que tous les mots employés
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samedi 30 août 2014

AUX AVES

MAUSOLéE DE BARLOVENTO

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"Autel des voyageurs": certains bateaux de passages ont laissé ici un petite trace...petite visite au sanctuaire des Aves Barlovento
Nous faisons  escale aux Aves de Sotovento.

mercredi 27 août 2014

AFRODITE AUX ILES du VENEZUELA






LES ILES DU VENEZUELA


La côte du Venezuela baignée par la mer des Caraïbes est un lieu de navigation d'une extraordinaire beauté. Les îles  représentent une richesse de paysages inégalée avec sable blanc, eaux turquoise, mangroves. Peuplées de pélicans et de récifs coralliens, elles restent à ce jour notre destination préférée l'été pour la richesse des paysages, leurs plages idylliques et leurs eaux émeraude très poissonneuses.
 
Caressées par les alizés, les conditions de navigation sont excellentes et cyclones et tempêtes tropicales y sont inexistants.
Bref, un petit paradis, véritable sanctuaire pour les langoustes et autre faune aquatique telle que capitaines, mérous, perroquets, rougets, daurades, carangues, crabes, tortues, dauphins, marsouins…Voilà le décor est planté, mais retrouvons ces îles une à une.
 
 
Nous avons quitté la Martinique le 7 aout
 
Nous mouillons l'ancre sous trois mètres d'eau devant El Yaque à la Blanquilla deux jours plus tard.
 
Une île plate et longue, déserte et rocailleuse dans un anneau d'eau vert pâle, bordée de sable blanc, frangée de cocotiers. Les chèvres sauvages s'égaillent dans un déferlement de cailloux, un iguane se chauffe le ventre sur un rocher brûlant, voici notre nouveau jardin.
 
Les premières langoustes  font la joie de l'équipage.
 
Après cette brève escale sur cette magnifique île AFRODITE  appareille pour une navigation de nuit en direction de l'archipel des Roques situé à 110 milles dans l'Ouest, puis 30 milles encore vers les Aves.
 
 
Après avoir doublé le phare de Barlovento, léché par des pâtés de corail, nous mouillons l'ancre par 5 mètres d'eau près de la petite plage. Pas une ride sur l'eau, nous sommes comme sur un lac. Nous remontons en annexe un bras d'eau dans la mangrove. Là, des centaines et milliers d'habitants nous accueillent… Je veux parler de nos amis les oiseaux tels que fou de bassan, cormoran, pétrel, pélican, goéland… Loin de l'image idyllique de Jonathan Livingston, les oiseaux de mer mènent une lutte quotidienne pour leur survie et leurs ballets incessants pour se nourrir nous fascinent. 
 
Nous partons aussitôt en randonnée aquatique afin de voir ce qui se passe là-dessous !
 
Les repas de poissons-langoustes (ou plus variés : langoustes-poissons), régalent l'équipage et nous sommes ravis. Les ballades aquatiques ponctuées par les excursions à terre rythment l'ambiance de la croisière. Notre "robinsonage" sur ses îles désertes se poursuit plusieurs semaines... Elle est pas belle la vie ?
Le séjour aux Aves s'achève et nous devons regagner les Roques contre vent et marée. Après six heures de navigation au près, AFRODITE se balance doucement sur son mouillage derrière une barrière de corail…
 
Les îles Roques
Nous revoici à présent dans le parc national d'une extraordinaire beauté des îles de Los Roques. Encerclé et protégé par une grande barrière de corail, caressé par les alizés, cet archipel offre d'excellentes conditions de navigation sur un plan d'eau couleur émeraude. Sable blanc, eau turquoise, récifs coralliens, nous naviguons dans un petit paradis.
     
 
 
 
 

lundi 18 août 2014







LAT.11°47 429  N  .LONG.066°34 416 W.
 

 
Avec notre annexe nous longeons le petit îlot couvert de mangroves dont les racines forment une barrière impénétrable à l’homme.
Des oiseaux chantent, un pélican, d’une grosse branche, plonge sur une proie mais les moustiques partent à notre assaut.
L’eau est claire, transparente. Equipés de masques et de palmes nous passons de l’autre côté de la barrière. Un véritable aquarium géant s’ouvre sous nos yeux, parmi les coraux de toutes sortes : en boules, en feuilles dont certaines, en fleurs, sont urticants, des espèces de choux laissant sur les doigts une impression gluante.
Les poissons de toutes tailles et couleurs s’affairent au milieu de ce monde varié. Chacun y trouve nourriture et protection. Les minuscules à moitié bleue métallique et à moitié jaune bronze se vautrent parmi les urticants, d’autres croquent les coraux avec facilité.
Des plats en bande, d’un bleu lapis-lazuli passent et repassent ; des bleus très sombres dont les nageoires, de même couleur, sont partagées du corps par une fine ligne blanche nacrée.
Des corps bruns semés de points rouges, d’autres argentés avec des nageoires jaunes et de yeux ronds cernés de noir. Des lilliputiens avec des couleurs fascinantes. Des oursins noirs aux longues épines se nichent dans tous les creux.
 
 

 L a parole d' Anne-Aymone Giscard d'Estaing  est rare.  Il y a cinquante ans, le 19 mai 1974, Valéry Giscard d'Estaing devenait...