Nous avons fait escale au Venezuela pour la première fois en octobre 2006 en venant de Curaçao où nous avions laissé notre Eolis III pendant notre retour en métropole trois mois au sec au chantier de PescaderaMarina .
(vous l'auriez trouvé vous-mêmes sur wikipedia mais je l'ai fait pour vous ici! avec une iconographie spécialement ad hoc, je l'espère)
Le Venezuela
( ou Vénézuéla ),
en
forme longue ''la République bolivarienne du Venezuela'',
en espagnol República
Bolivariana de Venezuela,
nom officiel du Venezuela depuis la constitution de 1999 lorsque le pays est renommé en l'honneur de Simón Bolívar,
(!) ...
Christophe Colomb, le 3 août 1498, nomma Isla de Gracia (« Île de Grâce ») la
terre sur laquelle il débarqua et qu'il prit pour une île.
Aujourd'hui c'est connu sous la forme Tierra de Gracia (« Terre de Grâce
»).
Amerigo
Vespucci lui donna
le nom de Petite Venise (Venezola), car une peuplade
aborigène résidait dans une cité lacustre de maisons construites sur pilotis.
Histoire
À l'origine,
le territoire de l'actuel Venezuela était habité par plusieurs peuples, dont
des Caraïbes, des Arawaks et des Cumanagotos.
Christophe
Colomb fut le
premier navigateur européen à atteindre cette région en 1498, lors de son troisième voyage. En 1520, les Espagnols commencèrent à coloniser les îles et
les régions côtières. Coro, fondée en 1527, fut la première colonie d'importance.
Géographie
Salto Angel,cascade ininterrompue la plus haute
du monde.
Les plages
du Venezuela attirent de nombreux touristes.
Le
territoire vénézuélien s'étend depuis les environs de l'équateur jusqu'au
nord du onzième parallèle. Sa superficie est de 912 050 km2
-
Les grandes plaines, appelées
les Llanos (plaines en espagnol) occupent
le nord du bassin de l’Orénoque et de ses affluents Arauca
et Apure. Le fleuve se jette dans la mer des
Caraïbes par un
énorme delta marécageux qui occupe toute la
région nord-est du pays (Delta Amacuro ).
Le sud du bassin de l'Orénoque,
avec son affluent Caroní, est sauvage et souvent
touristique. On y trouve un des hauts lieux touristiques du pays : les
chutes de Salto
Angel hautes
de 979 mètres, reconnues comme les plus hautes chutes d'eau au monde.
Grandes villes
La capitale
du Venezuela, Caracas, s’étend d'est en ouest de l'autre
côté de la cordillère côtière, à quelque 900 mètres d'altitude. Il faut compter
environ une demi-heure pour parcourir la trentaine de kilomètres qui sépare
l’aéroport, situé en bord de mer, de la ville. Près de 5 millions d'habitants
habitent la métropole. Les quartiers pauvres s'appellent les ranchos.
Des pluies diluviennes, suivies d'importants glissements de terrain dans des
zones fortement peuplées proche de l'aéroport international Simon Bolivar (La
Guaira - État de
Vargas) ont fait
des milliers de morts en décembre 1999. Cette triste page de l'histoire
vénézuélienne est couramment appelée « La tragédie » par les autochtones.
Maracaibo, la seconde métropole du pays, est
la capitale de l’État Zulia.
Les
principales villes du pays sont :
Ville
|
Population 2005
|
Aire métropolitaine
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1 200 000
|
2 600 000
|
|
895 000
|
1 100 000
|
|
742 000
|
1 241 000
|
|
3 000 000
|
5 000 000
|
|
205 000
|
350 000
|
|
747 000
|
780 000
|
|
425 000
|
600 000
|
|
380 000
|
847 000
|
|
320 000
|
—
|
|
350 000
|
—
|
|
850 000
|
1 385 000
|
Frontières terrestres
Cependant,
le Venezuela revendique le territoire correspondant au Guyana actuel, allant parfois à repousser ses frontières
jusqu'au Suriname. Sur les cartes du Venezuela, le
Guyana est indiqué en tant que Zone en réclamation.
Drapeau
Drapeau
civil du Venezuela.
Le 7 mars 2006, le Parlement du Venezuela adopte la modification du
drapeau national afin de l’adapter à la « révolution socialiste » du président Hugo Chávez, à l’initiative du projet.
mise à jour : Hugo Chavez est décédé en mars 2013 d'un cancer à l'âge de 58 ans
N'ayant pas procédé sur le défuncté aux précautions d'usage son corps n'a pas pu être embaumé et devenir l'icone emblématique désirée par beaucoup...
Entièrement
contrôlé par les partisans du chef de l’État suite au boycott des élections
législatives par l’opposition en décembre, le Parlement a approuvé l’ajout
d’une huitième étoile en hommage au héros national Simón
Bolívar, libérateur
de l’Amérique
latine et
inspirateur de l’idéologie du régime. Les députés vénézuéliens ont également
modifié le galop du cheval blanc figurant sur l’écusson national afin de le
tourner, non plus vers la droite, mais vers la gauche, afin de symboliser
l’orientation politique du gouvernement. Toutefois, en termes d'héraldique, le
cheval se déplace vers la dextre, ce qui rend le message un peu confus. Le
Parlement a également décidé certains ajouts sur l’écusson, tels qu’un kayak,
un arc et une flèche représentant les armes des indigènes ou une machette de
paysan, en hommage aux racines des descendants d’origine africaine.
Ordres et décorations
Organisation territoriale
Économie
Le pays est
un important producteur de pétrole et un membre fondateur de l'OPEP. Le Venezuela attend depuis 2006 son adhésion au Mercosur, bloquée par le Paraguay pour des
raisons démocratiques [5]. En 2010, sa production de pétrole
est de 2,5 millions de barils/jour. Avec ces données, il est le onzième plus
grand producteur au monde[6].
Selon l'OPEP, les réserves prouvées en pétrole atteindraient 296,50 milliards
de barils ce qui le place à la première place mondiale devant l'Arabie saoudite[7]. Le
pays possède une économie de
marché. Cependant,
le gouvernement de Hugo Chavez souhaite créer une économie
socialiste par la
Révolution bolivarienne.
Le Venezuela
est la troisième puissance économique latino-américaine en termes de produit
intérieur brut, après le Brésil et le Mexique, avec un PIB estimé à 350,1
milliards de dollars en 2009 selon la Banque Mondiale,
mais macroéconomiquement parlant, elle est la cinquième après le Brésil, Le
Mexique, l'Argentine et la Colombie selon Le Fonds monétaire international
(FMI)[8]. Cependant en termes de revenus par
habitant, il dépasse largement la Colombie et se hisse au niveau du Brésil et du Mexique.
Le PIB par habitant est de 13 000 dollars en 2009[6], soit l'un des plus élevés d'Amérique latine. Dans ce pays pétrolier, un plein
de carburant coûte moins d'un euro. Grâce aux exportations d'or noir,
les caisses de l'État sont pleines et les centres commerciaux ne désemplissent
pas. Le pouvoir d'achat au Venezuela est largement plus élevé que dans les
autres pays sud-américains tels que l'Équateur ou le Pérou. Les prix des denrées de base sont fixés
par l'État, ce qui explique, selon l'opposition, la grave pénurie de lait, de sucre et d'œufs. Selon le gouvernement cette
pénurie est due à un rachat de ces denrées par des multinationales[9].
Caracas est le centre économique, financier
et industriel du Venezuela. Le pays est très industrialisé, 51 % du PIB national provient des activités
industrielles. L'industrie manufacturière est apparue dans le pays au cours du XXe siècle. Hormis le pétrole, le pays
est un grand producteur d'acier, d'aluminium, de ciment et de pneus. L'industrie
automobile est
présente au Venezuela depuis les années 1990, avec l'installation notamment de
la société américaine Ford.
Il existe de
très fortes inégalités sociales au Venezuela. Ainsi, près de 60 % des habitants
de Caracas s'entassent dans des barrios
(quartiers pauvres), alors que de 10 à 20 % des Vénézuéliens n'auraient pas
accès à l'eau potable et que, dans le même temps, le Venezuela est le pays
ayant le plus de millionnaires en Amérique latine. L'essence à la pompe est la moins
chère du monde (au 10/12/2010, 1,2 centimes d'euros le litre de super 95).
Politique
Hugo Chávez
Le président
actuel est Hugo Chávez
Frias, depuis le 2 février 1999 (réélu le 30 juillet 2000 et le 3 décembre 2006). Une tentative de déstabilisation économique aboutit
à un coup d'État en avril 2002 qui avorte très rapidement suite à
une forte mobilisation populaire en faveur du retour de Chávez et à la
faiblesse de la coalition portée au pouvoir menée par Pedro Carmona.
Hugo Chávez a remporté toutes les élections
avec 60 % des voix environ depuis celle qui l'a porté au pouvoir. L'opposition
provoque un référendum révocatoire contre le président comme le permet la
Constitution bolivarienne en août 2004. Le « non » l'emporte à 59,06 % des
suffrages. Lors des élections régionales de 2004, seules deux régions ne se
sont pas prononcées en faveur de son parti. L'État est théoriquement une démocratie participative. Depuis que l'opposition a boycotté les élections à
l'assemblée nationale du 4 décembre 2005, le parlement est dominé par le Mouvement de la cinquième république (Movimiento V [Quinta] República),
lequel a remporté 116 sièges sur 167. Les élections à la présidence de décembre 2006 ont confirmé Chávez à la présidence
du pays et ces élections ont été unanimement reconnues comme un processus «
transparent, équitable, démocratique » par l'Organisation des États américains,
l’Union européenne, l’Association des juristes latino-américains et la
Fondation Carter. L'opposition participe à l'élection législative du 26
septembre 2010 où le PSUV remporte 60% des sièges.
L'opposition
antichaviste qualifie quant à elle ce régime de « démocratie absolutiste »[10].
En janvier 2007, le président a annoncé vouloir
réformer en profondeur la constitution, afin d'aller vers la création d'une «
République socialiste du Venezuela »[11].
Chaque État du
Venezuela est dirigé
par un gouverneur élu lors d'élections au suffrage universel.
La
Constitution bolivarienne de 1999 oblige le gouvernement – dixit le
discours officiel – à « renverser les données économiques qui, dirigées par le Fonds monétaire international (FMI) avaient été la cause de la « décennie perdue »
(1985-1995), et ses terribles effets négatifs sur les populations et leurs
systèmes économiques ». Le président Chávez applique cette Constitution avec
insistance. Son action politique est centrée sur le renforcement du rôle de
l’État par le biais de nationalisations et la revalorisation du pétrole,
principal produit d'exportation du pays. Elle vise à se libérer des impositions
d’une lourde dette, qui grevait en 1998 50 % du budget national, en la payant.
Le gouvernement cherche aussi à satisfaire la dette sociale d’urgence : santé,
alimentation, éducation (missions civico-militaires de grande pénétration
populaire). De nouvelles lois sont rédigées concernant la réforme agraire, la
banque centrale, l'exploitation d’hydrocarbures (gaz, pétrole), la fiscalité,
le contrôle de monnaies et devises, etc.
Le Venezuela
quitte le FMI et la Banque mondiale (BM) le 30 avril 2007 après avoir
remboursé sa dette en totalité. Comme le Brésil, l’Uruguay et l’Argentine qui
ont remboursé, par anticipation, une grande partie de leurs dettes grâce à la
croissance économique retrouvée, le Venezuela, avec cinq années d’avance, a
remboursé tout ce qu’il devait à la Banque mondiale. En effet, la manne issue
du boom pétrolier a permis au pays de rembourser sa dette qui était de trois
milliards de dollars à son arrivée au pouvoir en 1999[12].
En 2007,
Hugo Chávez demande des pouvoirs spéciaux qui grâce à une « loi d'habilitation
révolutionnaire » lui permettent de gouverner par décrets sans passer par le
parlement, dans les prochains dix-huit mois à partir du 1er janvier 2007. Ces pouvoirs spéciaux sont limités aux thèmes
sociaux (recentralisation des ministères de la santé, du logement et de la
sécurité alimentaire), à la réforme agraire (inventaire, récupération et
distribution de toutes les terres non ou mal exploitées à des coopératives) et
à la récupération par achats des services publics et industries stratégiques,
privatisées dans les dernières décennies (électricité, eaux,
télécommunications, industrie pétrolière et minière : fer, aluminium or et
diamants). Ce programme est déjà en marche depuis le 1er janvier 2007, avec des répercussions variées : très critiqué par
les grands propriétaires terriens, la plupart titulaires de documents parfois
douteux, mais acceptés par plusieurs, en regard de l'apparente flexibilité
appliquée dans chaque cas particulier par des arrangements à l'amiable. Dans
l'industrie pétrolière, les partenaires commerciaux étrangers doivent désormais
se contenter d'une participation minoritaire dans toutes les sociétés. Jusqu'à
présent tous ont accepté, bon gré mal gré, y compris Total qui exploite et modifie des pétroles très lourds de la ceinture de l'Orénoque.
Médias et liberté de la presse
En 2006, le Venezuela était classé 115e pays sur
168 par Reporters sans frontières en matière de liberté de la presse. L'ONG Espacio
Público a recensé cette même année 106 atteintes à la liberté d'expression sans
en indiquer la ou les origines[13]. RSF
pointe l'adoption de nouvelles lois en 2004 et 2005 contre différents types d'«
offenses », notamment à la personne du président, et contre les appels à la
violence, les jugeant « très restrictive[s] en matière de liberté d’expression
» et affirmant qu'elles créent « un climat d’autocensure au sein des médias »[14]. La position de RSF vis-à-vis du
gouvernement Chávez est cependant critiquée, cette dernière ayant repris de
fausses informations données par certains médias nationaux vénézuéliens durant
le coup d'État de 2002 et ne possédant comme correspondants au Venezuela que
des personnes impliquées dans les médias d'opposition[15],[16].
Dimanche 27 mai 2007, une minute avant minuit, la Radio Caracas Televisión a cessé d'émettre sur le réseau
hertzien, la commission nationale des télécommunications ayant décidé de ne pas
renouveler la concession hertzienne de cette chaîne en partie à cause de son
soutien et de sa couverture du coup d'État de Pedro Carmona en 2002. Cependant, RCTV a continué
d'émettre sur le réseau câblé et par satellite avec une audience potentielle
restreinte au cinquième de la population jusqu'au 31 janvier 2010, date à
laquelle elle a été retiré de la grille des programmes de l'opérateur pour
non-respect de la loi sur la production nationale.
L'espace
qu'occupait RCTV a été attribué à une nouvelle chaîne publique, TVes
(Televisora Venezolana Social), dont, selon une étude de l'institut de
recherches en communication (ininco) dirigé par le sociologue d'opposition
favorable au coup d'État Oscar Lucien, 74 % des contenus relèveraient de la
diffusion et de l'information socialiste[17].
Depuis ce non-renouvellement, des manifestations, notamment étudiantes, ont eu
lieu pour soutenir ou protester au sujet de cette décision.
Hugo Chavez
a été accusé par Le Monde d'attaquer Globovision, « dernière
chaîne de télévision d'opposition » selon le journal, lorsque le président
vénézuélien a accusé la chaîne d'inciter à son assassinat[18].
Cette chaine fait partie des médias privés qui ont explicitement soutenu le
coup d'état de 2002[19].
Culture
Internet est répandu au Venezuela ; un
projet est d'ailleurs en cours pour que celui-ci permette à Cuba de contourner l'embargo auquel elle est soumise de la part
des États-Unis également dans ce domaine.
Musique
La musique
du Venezuela est influencée par ses origines espagnoles, amérindiennes et
africaines. La culture autochtone est aujourd'hui présente dans la musique à
travers certains instruments, entre autres le cameo, un tambour, et le botuto, une sorte
de trompette. La culture espagnole a permis l'introduction des instruments
comme la guitare, les instruments à cordes, les vents et différents types de
percussions (différents des tambours indiens) et de nombreux genres populaires,
dont le galerón, le corrido et la guaracha. La musique de la région des Llanos
(música llanera), que l'on retrouve dans d'autres pays hispano-américains est
un exemple de musique née à l'époque de la colonie espagnole. La musique
populaire dite d'origine afro-antillaise (basée sur la musique populaire
espagnole de la Renaissance et des rythmes comme les sevillanas) est reine dans
le cœur des Vénézuéliens. Le merengue, la cumbia et la salsa font danser et vibrer jeunes et moins
jeunes dans l'ensemble du pays. Ces rythmes endiablés se sont frayé un chemin
jusqu'au Venezuela, influençant les plus grands artistes contemporains du pays
: Oscar D'León est sans conteste le plus connu des
salseros dans le monde.
L'instrument
national par excellence est le « cuatro », similaire à la guitare, mais plus
petit et doté de quatre cordes ; d'une très particulière sonorité, il est la
base musicale de tous les « conjuntos criollos », petits orchestres créoles (du
pays), appelés aussi « conjuntos de harpa, cuatro y maracas », qui accompagnent
les chanteurs de joropo, de valses criollos, de jotas margariteñas, de gaitas
maracuchas (de Maracaibo), etc. Depuis quelques années, le Venezuela a obtenu
une notoriété mondiale grâce au système national d’orchestres symphoniques pour
jeunes, avec plus de deux cent mille participants de tous les coins du pays et
des quartiers les plus démunis ; ce système a démocratisé et popularisé l'amour
pour la musique classique de tous les temps. Aujourd’hui, grand nombre de très
jeunes virtuoses, chefs d’orchestres (Gustavo Dudamel par exemple) et musiciens sont très
prisés dans les meilleures salles de concert du monde.
Alimentation
La céréale
la plus consommée est le riz. Vient ensuite le blé, utilisé pour le pain (y
compris la baguette à la française, appelée canilla). La farine de maïs
est particulièrement utilisée dans la arepa qui accompagne les plats (comme le pain) ou qui peut
être fourrée. La Hallaca, est incontournable durant la
période de Noël : il s'agit d'une pâte de maïs mélangée à de la viande en sauce
avec des légumes cuite dans une feuille de bananier, dans le genre des tamales
mexicains. Le pan de jamón est également un plat typique de Noël. Ce
pain au jambon est préparé, cette fois-ci, avec de la farine de blé.
Le plat le
plus courant est le pabellón criollo fait de viande de bœuf en lanières,
de riz, de haricots noirs et de bananes frites.
Les desserts
sont d'origine espagnole et dérivent de ceux préparés par les nonnes dans les
couvents, comme le riz au lait ou le bienmesabe. Ce dernier a été adapté
au pays en devenant un gâteau à la noix de coco.
Sport
Le sport
national est sans aucun doute le baseball. Il y a cependant d'autres sports
populaires d'origine autochtone tels que les bolas criollas ou le coleo.
Contrairement à ce qui se passe dans les autres pays d’Amérique du Sud, le rôle
du football est relativement restreint, et la sélection vénézuélienne est le traditionnel parent pauvre
du football régional (le Venezuela est le seul pays d’Amérique du Sud à n’avoir
jamais disputé de coupe du monde), bien que les derniers résultats montrent
quelques progrès. Le cyclisme est représenté par José Rujano.
Démographie
Notes et références
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↑ Samuel Eliot Morison, Christophe
Colomb, amiral de la Mer océane, Saint-Clair, Neuilly-sur-Seine, 1974,
p. 326.
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↑ Venezuela
- Chavez accuse Nestlé d'affamer son peuple
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↑ « Hugo
Chavez s'en prend à Globovision, la dernière chaîne de télévision
d'opposition »
↑ « Venezuela,
Honduras, Pérou, Équateur : "petits" oublis et
"grands" mensonges »