Sacré Julian Alaphilippe. Tous les jours, il est supposé rester tranquille. Tous les jours, il bouge. Mardi soir, à la veille de la double ascension du Ventoux, le champion du monde avait prévenu : "Le Ventoux, c'est beaucoup trop dur pour moi. Une fois, déjà, alors deux..." Résultat, le puncheur français a pris l'échappée, franchi le Géant de Provence en tête lors du premier des deux passages au sommet, avant de lâcher prise dans la seconde ascension.
Alaphilippe : "Le Mont Ventoux deux fois, c'est trop dur pour moi !"Alaphilippe : "Le Mont Ventoux deux fois, c'est trop dur pour moi !"

Alaphilippe : "Le Mont Ventoux deux fois, c'est trop dur pour moi !"

Après de tels efforts, on pensait qu'il passerait un jeudi tranquille vers Nîmes, sur un tracé de nature à favoriser les desseins de son coéquipier Mark Cavendish. Voilà pour la théorie. En pratique, "Alaf'" s'est (encore) retrouvé dans l'échappée principale de cette 12e étape. A croire