"Quand on fera danser les couillons, tu seras pas à l'orchestre, toi."
Simple, imagée, percutante, cette petite phrase renferme tout le talent de son auteur, dont l'efficacité et l'humour n'ont rien à envier à un Michel Audiard. Répartie idéale pour clouer le bec à un ami en toute bienveillance ou pour poser astucieusement le dernier mot sur une conversation, elle fait toujours son petit effet.
Au-delà de sa dimension comique elle exprime également, en échouant à la dissimuler, toute l'affection de César pour son fils.
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