Jeudi, le chef de l'État s'envole pour la Pologne afin de parler de la situation en Ukraine avec ses dirigeants. Donc soit l'heureux élu est nommé demain après-midi ou soir, soit cela ne pourra pas intervenir avant vendredi... voire la semaine prochaine. Même si, à une autre époque (celle de la toute-puissance macronienne), des remaniements ont été annoncés par communiqué élyséen dominical. Une option a priori improbable dans la situation actuelle...
Les quatre mousquetaires moins un.
| Le prophète du peuple élu pour gouverner
| Quand ça négocie au sein du NFP. |
| Quand tu as oublié de mettre tes penus anti-sortie de route
Le ministère de l'Intérieur a en effet indiqué hier «travailler sur une suspension des dossiers d’asile en cours provenant de Syrie», après la chute du régime de Bachar al-Assad. Une décision similaire à celles d'autres États européens : les gouvernements allemand, autrichien, suédois, danois, norvégien et suisse ont déjà décidé de la suspension des demandes d’asile des ressortissants syriens ; l'Angleterre a aussi mis sur pause «temporairement» l’étude des demandes d’asile venues de ce pays, «le temps d’évaluer la situation actuelle» ; quant à l'Autriche, elle prépare carrément «un programme d’expulsion» des Syriens. Mais le cas du gouvernement français, démissionnaire depuis la censure et passé en gestion des affaires courantes, est différent. A priori, ses compétences se limitent au fait d'exécuter et faire appliquer les lois. «Est-ce une affaire courante ?
Telle est l'ambiance actuelle au sein du NFP, où l'esprit de partage se limite, pour l'heure, au partage de baffes |
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