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dimanche 24 juillet 2016

c'est arrvivé un 24 JUILLET !




24 juillet 1911. Plus fort qu'Indian Jones, Hiram Bingham découvre Machu Picchu !

Après une expédition cauchemardesque dans la jungle péruvienne, l'Américain qui aurait inspiré Indiana Jones découvre la cité inca.

Macchu Picchu, découvert par Birgham.
Macchu Picchu, découvert par Birgham. © DR

Le 24 juillet 1911, l'Américain Hiram Bingham, 36 ans, est à bout de forces. Voilà des jours et des jours qu'à la tête de son expédition il crapahute dans la jungle péruvienne à la recherche de l'ultime capitale des Incas. C'est une jungle de montagne, épuisante. Les hommes descendent par un sentier furtif dans la vallée oubliée de l'Urubamba. Ils franchissent un torrent sur un pont de troncs pourris. Il faut maintenant escalader l'autre pente de la vallée. Madre de dios, qu'elle est raide ! À côté, l'escalade du mont Ventoux par Christopher Froome ressemble à une balade en tricycle... Les hommes glissent continuellement dans la boue, ce qui les oblige à ramper. Un effort surhumain effectué dans une végétation épaisse et lugubre bourrée de serpents venimeux qu'il faut abattre à coups de machette. Ils avancent mètre par mètre sous une pluie diluvienne et dans un brouillard à couper, lui aussi, à la machette. Sans compter le caillassage de la "racaille" de Brétigny-sur-Orge... Jusqu'au jour où, bingo, Bingham découvre le mont Machu Picchu couronné par la cité inca perdue depuis quatre siècles. Dès lors, la "huitième merveille du monde" est à jamais associée à son nom, Hiram Bingham !
C'est une merveilleuse découverte pour ce fils d'aristo même pas archéologue. Hiram se contente d'enseigner l'histoire de l'Amérique coloniale et républicaine dans les universités américaines. Rien à voir avec les Incas. Sa passion, c'est plutôt Simón Bolívar, et comme il n'est pas du genre à cirer les chaises de bibliothèque avec son derrière, il organise, en 1906, une première expédition à travers les Andes du Venezuela et la Colombie dans les pas de son idole. Il pousse le vice jusqu'à adopter le même accoutrement que Bolivar et la même monture : un âne. En 1909, il remet ça en parcourant, cette fois, l'Argentine et le Pérou, où il découvre la civilisation inca et se passionne pour elle. C'est alors qu'il se met en tête de retrouver Vilcabamba, l'ultime refuge du peuple exterminé par Pizarro. Il n'est pas le premier : cela fait plus d'un siècle qu'une cohorte d'aventuriers la recherche. Pour la gloire, un peu, et pour les trésors qu'elle est censée renfermer, beaucoup.
 
 

"Ruines !"

En 1911, sa troisième expédition, la Yale Peruvian Expedition, est patronnée par la prestigieuse université Yale et la Geographic Society de Washington. Bingham a convaincu six autres aventuriers de l'accompagner au Pérou : un géologue-géographe, un topographe, un naturaliste, un ingénieur familier de la haute montagne, un toubib et un étudiant assistant. Il a seulement refusé Jean-Louis Étienne, qui voulait participer à une aventure où on ne se caille pas les miches par - 50 °C... Début juillet, les sept hommes quittent Cuzco à dos de mule. Leur convoi emprunte la vallée de l'Urubamba. Et comme Bingham a égaré son GPS, il s'adresse à tous les Indiens quechuas rencontrés en ne leur disant qu'un mot : ruines ! L'expédition en vient ainsi à longer la rivière Urubamba, encadrée de murailles de granite. Hormis les Indiens, personne ne s'est aventuré par là depuis quatre siècles. Ne le répétez pas à Frédéric Lopez, il serait capable d'y emmener Nabilla pour son émission Rendez-vous en terre inconnue... Le paysage somptueux déclenche une vocation de poète chez Bingham : "Aux pics enneigés dominant les nuages de plus de 3 000 mètres et aux gigantesques précipices au fond desquels grondent des rapides miroitant au soleil s'opposent, en un total contraste, les étages d'une végétation luxuriante (orchidées, fougères géantes) et la magie ensorcelante de la forêt vierge."
Après plusieurs jours de marche, l'expédition finit par atteindre une petite plage de sable encadrée par le torrent de gigantesques à-pics recouverts d'une jungle tropicale. Tout le monde est crevé, on installe le campement. Le lieu n'est pourtant pas désert. Bingham et ses compagnons découvrent une hutte d'où un indigène les observe, interloqué. Il se nomme Melchor Arteaga et s'interroge : mais qu'est-ce que ces Amerloques peuvent bien venir foutre par ici ? En plus, ils ne se sont même pas présentés à sa "taverne" comme le font les rares voyageurs passant par là. Quelle grossièreté ! Il les accoste, furieux. Quand il apprend que Bingham est à la recherche de "ruines", il lui indique qu'il en connaît de très belles, et même d'exceptionnelles, sur une crête voisine appelée Machu Picchu, le vieux pic en quechua. Bingham réfléchit toute la nuit. Des ruines exceptionnelles ? C'est à voir.

Chaleur humide

Le lendemain matin, c'est le déluge, un temps à ne pas mettre un Quechua dehors. Seule NKM affronte la pluie à la recherche de Parisiens à convaincre de voter pour elle... Même Melchor grelotte dans sa cabane et n'a pas du tout l'intention d'en sortir. Mais Bingham lui propose un sol, soit quatre fois le salaire journalier dans le coin, ça ne se refuse pas. Aucun des autres membres de l'expédition ne tient à accompagner ce dingue de Bingham, alors chacun s'invente des obligations. Le toubib prétexte même de la couture à faire... Dites donc, les gars, on est là pour l'aventure ou quoi ? Ces désertions ne découragent pas Bingham, qui se met en route avec Melchor et le sergent Carrasco, son garde du corps et interprète donné par le préfet. Ils remontent le long de la rivière sur quelques kilomètres quand surgit un serpent. Arteaga prend sa machette et le déchiquette ! Comme ce coin est accueillant ! Au bout d'une petite heure de marche, le guide quitte le chemin et s'enfonce dans les fourrés, descendant vers la rivière. Voici un pont. Enfin, un pont, c'est vite dit : il est constitué de cinq ou six troncs d'arbre vaguement liés entre eux par des lianes. Comment ce truc peut-il supporter le poids d'un homme ? Pour celui qui rate son coup, c'est la mort assurée dans les rapides qui grondent dessous ! Arteaga et Carrasco enlèvent leurs chaussures avant de se jeter à plat ventre sur les troncs, s'agrippant de leurs doigts et orteils. Bingham, tout tremblotant, prend l'option quatre pattes. Le grand Indiana Jones, lui, aurait fait cette traversée à cloche-pied et les yeux bandés !
Le torrent traversé, il leur faut escalader une pente tellement raide que même le funiculaire de Montmartre aurait posé un préavis de grève. La chaleur humide est insupportable. Les trois hommes s'agrippent aux herbes, plantent leurs ongles dans la paroi pour progresser. Perchés à quelques centaines de mètres au-dessus de la rivière, à bout de souffle, ils font une halte dans une hutte. Oui, une hutte, au milieu de nulle part. Deux familles indiennes vivent là, retirées du monde depuis quatre ans, les Richarte et les d'Alvarez. Ils survivent misérablement en cultivant des terrasses taillées depuis des siècles dans la montagne. Quand ils économisent un sol tous les dix ans, ils l'envoient à la souscription de l'UMP... Bingham est impatient de repartir, mais les autres taillent tranquillement la bavette. Melchor Arteaga désigne un gamin d'une dizaine d'années, Pablito, pour faire le guide à sa place.

Parements de pierres

Les voilà repartis. Après avoir dépassé d'immenses terrasses, ils s'enfoncent de nouveau dans un labyrinthe de végétation tropicale "lorsque, soudain, des vestiges de murs de la plus belle facture surgirent devant" eux, relate Bingham. "Dans l'ombre dense, cachés derrière des fourrés de bambous et des vignes grimpantes, apparaissaient çà et là des parements de pierres de granite blanc finement taillées et délicatement appareillées", et ce n'est qu'un début ! Voilà bientôt Pablito en train de leur montrer ce qui semble être un mausolée royal ! Pour Bingham, sans nul doute, il s'agit de l'oeuvre d'un maître. Il s'extasie, ne sait plus où regarder : un temple gigantesque, des pierres taillées pesant au moins 15 tonnes chacune... Et il est encore loin de se douter de l'ampleur de cette ville qui dort encore sous cette végétation impénétrable. Il est au beau milieu des plus belles ruines de l'Amérique précolombienne. Mais quelle peut être cette mystérieuse cité, mentionnée sur aucune carte, si ce n'est le refuge du dernier Inca, Vilcabamba ?
En 1964, huit ans après la mort d'Hiram Bingham, l'explorateur américain Douglas Gene Savoy détruit cette thèse : Machu Picchu n'est pas Vilcabamba ! Alors, quelle était cette cité perchée au sommet de la montagne ? Couvent destiné aux vierges du Soleil ? Résidence impériale ? Les deux à la fois ? Les spécialistes hésitent encore. Mais le pire pour le pauvre Bingham, c'est qu'avant lui plusieurs aventuriers avaient déjà visité les ruines de Machu Picchu. Seulement, il fut le premier à reconnaître leur importance et à les faire connaître au monde entier. Aujourd'hui, le site reçoit la visite de plusieurs centaines de milliers de visiteurs chaque année. C'est bien trop. Machu Picchu est menacé de destruction. Bingham en est tout retourné dans sa tombe.



C'est également arrivé un 24 juillet

 

http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/24-juillet-1911-plus-fort-qu-indiana-jones-c-est-hiram-bingham-le-decouvreur-du-machu-picchu-23-07-2012-1488523_494.php

1974 – Chute du régime des Colonels en Grèce et formation du gouvernement de Constantin Caramanlis.
1957 – Décès de Sacha Guitry à 72 ans.
1943 – Réunion du Grand Conseil du fascisme qui se conclut par la destitution de Mussolini .
1915 –  Le bateau de croisière Eastland chavire dans le port de Chicago avec 2500 passagers : 845 morts.
1889 – La loi Roussel entend protéger les enfants maltraités ou moralement abandonnés.
1845 –  Etape importante dans la fabrication de journaux, Richard M. Hoc dépose le brevet pour une presse « rotative ».
1802 – Naissance d’Alexandre Dumas père, à Villers-Cotterêts (Aisne)
1775 – Naissance de Vidocq, à Arras.
1694 – Publication de la première édition du Dictionnaire de l’Académie Française dédié à Louis XIV.
1534 – Jacques Cartier prend possession plante un drapeau à Gaspé pour prendre possession des terres (futur Canada) au nom du roi de France.



mardi 31 mai 2016

OPERATION "PORTES OUVERTES"....





L'oubli malencontreux d'un capot mal fermé a occasionné l'inondation de la cache à billets de la skippette!  en voici l'illustration.....par l'image !


 et voilà !

vendredi 6 mai 2016

LES BILLET D'AFRODITE

 
 
 
 



Les Caraïbes sont devenues  une immense maison de retraite à mer ouverte. Elles sont le terrain de jeu privilégié des assoiffés de soleil et de chaleur en saison hivernale. Principalement, des populations venues d'Europe , du Canada et des populations venues d'Europe, du Canada et des  États Unis  sont représentées.

 
 
 
 
           
 
Quant à nous nous arborons le drapeau breton le fameux Gwenadu
   
 


Il n'est pas rare de croiser des gens passant plusieurs mois sur leur bateau (le plus souvent des catamarans d'ailleurs)

 
et ce, depuis nombre d'années. Ils naviguent peu. Changer de mouillage de temps en temps suffit à leur bonheur. Concernant les européens, certains ont, tout de même,  traversé l'Atlantique.
 
 
D'autres ont préféré faire convoyer leur coque par cargos, camions pour l'Amérique du Nord, ou louent les services d'un skippeur. Et, la grande mode de ces dernières années est la traversée de lAtlantique en groupe ! Et, pour ne pas la nommer, cest lArc qui organise cette transatlantique. Cest, à nen pas douter, un mode de consommation qui prend de lessor. Une Transat "prémâchée" vendue T.T.C.
 
bien loin de chez nous ...
 

Christophe Colomb aurait adoré...
 



 
 

Quelques-uns achètent leurs embarcations sur zone pour simplifier les problématiques des déplacements sur longue distance.

Tout ce petit monde cohabite sur l'eau en saison sèche et embouteille joyeusement les mouillages. Il n'est pas rare d'être confronté à une promiscuité peu réjouissante. Faire un parallèle entre un mois d'août sur la côte méditerranéenne vient facilement à l'esprit.
L'ampleur du phénomène est telle qu'il génère des comportements aberrants. L'ignorance des règles maritimes ferait hurler n'importe quel puriste. Sans aller jusque là, il serait judicieux de faire observer un minimum la réglementation locale et les codes internationaux. Un laxisme débridé s'établit et occasionne des comportements indignes. En faire la liste serait fastidieux et ceux qui navigueront dans ces eaux comprendront tout de suite ces propos.

Ce n'est donc pas aux Caraïbes que l'esprit marin s'épanouit ; loin s'en faut.
 

Pourtant, au milieu de cette faune hétéroclite, il peut arriver de faire des rencontres épatantes.  Quelques voyageurs, à bord de leurs voiliers, dont la route passe par les Caraïbes. Ils sont en escale , ce qui fait toute la différence.
 
 

Et les locaux dans tout ce tourbillon maritime et terrestre ? Et bien, tout dépend des îles. Nous sommes loin d'avoir  pu les observer dans leur totalité 
 
 
 
 
Cependant, bien que leur pavillon soit tricolore (Français : bleu-blanc-rouge pour les amnésiques), ils sont navrés d'avoir constaté qu'en Martinique, ils ne sont qu'une carte de crédit sur patte. Aussi, une forme de mépris à l'état latent a tendance à plomber l'ambiance. Phénomène courant, particulièrement établi chez une frange de la population. Plusieurs facteurs sont à prendre en compte pour pouvoir expliquer le "pourquoi du comment" de tels comportements. Mais, il serait présomptueux de faire une analyse sociologique alors qu'ils ne sont restés que peu dans quelques magnifiques mouillages.
 

D'autres îles, d'autres ambiances... A la Barbade (point d’arrivée de notre traversée 2005), les autochtones vaquent à leurs occupations et ignorent "les envahisseurs". L'on ne sent aucune agressivité.  Il en est de même à la Grenade où la population, même s'ils n'ont pas coché l'option "sourire", est très aimable.

Continuons par Sainte Lucie = comme en Martinique, les visiteurs font partie inhérente du paysage.   CB sur pattes là aussi, ils paient leur invasion pacifique.

Finissons par Saint-Martin. Cette petite île à la particularité d'être divisée en deux. Côté hollandais, c'est l'effervescence. C'est à qui saura le plus efficacement séduire la foule qui se répand sur les plages et les villages adjacents. Clairement, ils ont choisi d'empocher les liquidités qu'ils subodorent d'être à leur portée. Haranguer le passant est un sport national. A l'inverse, la partie française est calme, paisible ; presque en déshérence. Le contraste est saisissant. Les choix des décideurs ont été, manifestement, différents.
 

Les Caraïbes sont des cartes postales, certaines magnifiques au vue de là plupart. Il est manifeste que les peuples des îles, s'ils retirent un bénéfice plus ou moins substantiel le la manne touristique, subissent aussi une surpopulation dont les comportements peuvent choquer, voire heurter les sensibilités. Mais, la carte postale est belle...

Effleurer les Caraïbes, même superficiellement, est une expérience tout à fait intéressante sur la route d'autres aventures. En partir est un soulagement.

    
 

 

mercredi 30 mars 2016

CITATION


 

LE BONHEUR NE CONSISTE PAS A OBTENIR CE QUE L'ON DESIRE, MAIS A DESIRER CE QUE L'ON A.
LE BONHEUR NE CONSISTE PAS A OBTENIR CE QUE L'ON DESIRE,

MAIS A DESIRER CE QUE L'ON A.

 

 

lundi 21 décembre 2015

jeudi 2 juillet 2015

LU SUR FEY MAGAZINE POUR VOUS




Une nouvelle espèce de pieuvre rose jamais répertoriée... et si mignonne qu'elle pourrait être baptisée "Adorabilis"

Ce poulpe que l'on croirait tout droit sorti du "Monde de Némo" va bientôt être répertorié par les chercheurs. Ces derniers sont tombés sous son charme, à tel point que certains voudraient la nommer "Opisthoteuthis Adorabilis". Traduisez adorable poulpe.
L'animal, de couleur rose et de la taille "d'un poing humain", vit dans les bas fonds des océans (entre 200 et 600 mètres de profondeur). À ce jour, seuls douze spécimens de cette espèce ont pu être étudiés.

Mystérieux poulpe

phot -n4
Il y a un an, dans les eaux froides de la mer Ross un poulpe géant de 500 kg était capturé et congelé afin de préserver intact ses tissus.
Le poulpe doté de ses 3 cœurs, au sang bleu et non rouge, dont la femelle meurt affaiblie et décharnée après l'éclosion de ses œufs, capable de changer la couleur et la structure de sa peau, n'est il pas une curiosité de la nature ?
Celui que l'on cuisine aux Antilles sous le nom de chatrou, de zourit à la réunion ou encore d'encornet ou de calamar est doté d'une intelligence lui permettant de retirer le couvercle d'un bocal contenant de la nourriture !
Sa pêche peut être tout aussi singulière, des femmes de l'île de Fakaofo (Polynésie) le capturent et le tuent en le mordant entre les yeux ! Et sa capacité à se profiler telle une anguille pour intégrer son trou, habitacle si mystérieux, poétique et inquiétant « J'habite le trou des poulpes, je me bats avec un poule pour un trou de poulpe »*. V. Hugo avant A. Césaire y avait fait allusion dans son roman « Les travailleurs de la mer » introduisant ainsi le mot pieuvre dans la langue française !
Nous serons probablement encore surpris par ses capacités lorsque les scientifiques de Nouvelle Zélande auront terminé la dissection du calamar géant !



11420101 834295289939987 1758917990 oUn comité d'évaluation sargasse s'est tenu en préfecture cet après midi pour faire le point sur les mesures décidées par l'État et les financements qui les accompagnent.
Ainsi l'État débloque 3,6 millions d'euros :
- 1,7 millions d’euros pour la création des «brigades vertes».
Ces Ateliers et Chantiers d’Insertion (ACI), sont crées en lien avec les EPCI CAP Nord et Espace Sud, pour aider les collectivités au ramassage des sargasses.
- 1,5 millions d’euros pour financer les projets retenus dans le cadre d’un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) lancé en Janvier 2015 par l'ADEME.


Pour le plaisir... Quand un chien voit une baleine à bosse...

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