on pensait y aller
mais, après enquête, je crois que non !.....
Les cambrioleurs sont passés par le portail à gauche sur la photo |
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bises marines de Barbara ⛵bises marines de Barbara ⛵
Pour m'énerver vraiment ça m'énerve !alors regardeEt pour finir, un peu de psy (macho)…
Vous êtes vous déjà demandé comment fonctionne un cerveau féminin ?C'est pas compliqué, ça fonctionne comme cela :
Chacune des petites boules bleues représente une pensée concernant une chose à faire, une décision à prendre ou un problème à résoudre (voir aussi "Les hommes viennent de Mars et les femmes de vénus"...)Et l'homme me direz-vous ?
L'homme, lui, n'a que 2 boules à gérer, mais elles occupent toutes ses pensées . . .Nous n'en ferons pas un schéma ...
bises marines de Barbara ⛵ http://levoyagedafrodite.blogspot.comsamedi 17 juin 2017
Onde tropicale active
Tous aux abris ! et que rien ne dépasse...From: sxmcycloneSent: Saturday, June 17, 2017 8:59 AMTo: sxmcycloneSubject: Onde tropicale active
Bonjour tout le monde, ça risque souffler d'ici à 3/4 jours en sud caraïbe !....
Une onde tropicale active située à 1500 km à l'Est de l'arc Antilles s'organise doucement.
Le NHC estime à 70% le risque que cette onde devienne le prochain phénomène d'ici 5 jours. A surveiller.
les blogs sont à jour
Pour accéder directement au site : ICI
jeudi 15 juin 2017
LES NOUVEAUX MOTS (suite) = JUPITERIEN
et un air de BONAPARTE ...Depuis qu'il a été élu Président, Emmanuel Macron se dit " jupitérien ". L'Elysée est devenu un Olympe d'où tombe la foudre à jets continus. La verticalité du pouvoir est remise à l'honneur. Le Premier ministre n'était pas encore nommé qu'on tentait déjà en haut lieu de le traiter en simple collaborateur en lui imposant un directeur de cabinet choisi par le Palais. Dès la formation du gouvernement, les ministres ont été sèchement avertis que le temps des " bavardages " était désormais révolu et qu'ils allaient devoir de contenter de cabinets amaigris à l'extrême alors que, face à eux, la haute administration serait soumise à la loi des dépouilles. Les futurs députés d'En Marche ont été rappelés à leur devoir de " loyauté " à l'égard de celui sans lequel ils ne seraient rien. Le porte-parole du gouvernement a pu tranquillement déclarer à propos de la loi Travail, votée demain par ordonnances, qu'un débat " trop long " serait contraire à la démocratie et que des amendements trop nombreux seraient ni plus ni moins que du " tatillonnage ". C'est le même enfin qui, en plein cœur de l'affaire Ferrand, a été chargé de resservir à la presse l'éternel distinguo entre l'enquête et le jugement.Machiavel aux sources intellectuelles du macronisme ?
Macron ministre, Macron candidat et Macron président, ça n'est visiblement pas la même chose. La ligne politique reste celle d'un social-libéralisme revendiqué et assumé sans complexe. Mais le style de gouvernance diffère du tout au tout. Simple effet d'un opportunisme porté jusqu'à un point inégalé d'incandescence par un homme animé par un pur esprit de conquête ? On peut le dire aussi autrement. Pour Emmanuel Macron, la politique est d'abord et avant tout une technique. La prise du pouvoir répond à ses yeux à d'autres règles que son exercice et sa conservation. Autre situation, autre comportement. Aux sources intellectuelles du macronisme, on cite souvent Paul Ricoeur. On ferait mieux de convoquer le Prince de Machiavel.C'est en cela qu'Emmanuel Macron est vraiment l'anti-Hollande. En arrivant en pouvoir, ce dernier imaginait que sa gloire et son honneur serait de rester le même qu'auparavant. Il ne voulait pas changer. Il pensait que l'habileté suprême serait de demeurer normal, donc normalement habile comme lorsqu'il naviguait dans les courants du PS. L'opinion, dans cet exercice immuable, n'était pour lui en rien un point d'appui. Son objectif était d'abord de la contourner avant de la désamorcer. Il y avait chez lui une forme de libéralisme frisant l'indifférence et, au final, l'inconscience. Emmanuel Macron est un stratège d'un tout autre tonneau. Toute son action depuis le 7 mai dernier consiste à démontrer, par le verbe et le geste, qu'accéder à la présidence, ça n'est pas pareil que s'installer durablement dans ce rôle. Emmanuel Macron, à l'Elysée, met donc en scène une rupture qui est d'abord avec lui-même. Il tourne la page. La seule justification qu'il suggère à cela est qu'à partir du moment où s'ouvre un nouveau livre, il n'est pas nécessaire que le héros répète à l'identique ce qui fit son succès. Le conquérant d'hier était le renard et la ruse. Le monarque d'aujourd'hui est le lion et la force. Machiavel, encore…Révolutionner l’organisation du pouvoir sans attendre les élections législatives
Concrètement, cela signifie que l'urgence pour Emmanuel Macron n'est plus à la contestation de l'ancien système mais à la reconstruction d'un autre dans lequel sa place sera désormais centrale. Cet ordre nouveau suppose de l'autorité, des rênes courts et donc une manière d'hyper-présidentialité. Nicolas Sarkozy, par tempérament, en avait rêvé en son temps sans voir que cet exercice supposait non pas d'autres pratiques mais d'autres structures dans l'organisation du pouvoir élyséen. Ce que veut mettre en place Emmanuel Macron n'est rien moins qu'un système verrouillé à l'extrême capable de résister aux aléas lorsqu'il faudra qu'à l'amour nécessairement volage car née de la séduction succède la crainte, fruit de la force qui, elle, n'est pas éphémère. Machiavel, toujours…Pour réussir cette transmutation, il était indispensable qu'au sommet de la pyramide, il y ait un Président qui, dans sa réputation, ne soit pas contesté. Emmanuel Macron, en moins d'un mois, s'est fait ce qui avait manqué à son prédécesseur, durant les cinq ans de son règne, sauf par intermittence : une tête de chef d'Etat. Derrière ce travail d'image réalisé avec brio sur le terrain essentiellement régalien, on n'a pas suffisamment remarqué combien la République macronienne était en train de révolutionner l'organisation du pouvoir sans attendre que les élections législatives lui donnent la majorité attendue. C'est dans le resserrement minutieux du moindre de ses leviers qu'elle se prépare pour la suite. Face un pays qui reste travaillé par le doute, elle met en place un système potentiellement autoritaire, comme l'ont d'ailleurs toujours été ceux que l'on dit bonapartistes et qui, en l'espèce, portent l'intelligence et la vertu en sautoir.Afin de durer, puisque telle est l'ambition principale – Machiavel à nouveau -, ces systèmes-là ne recherchent pas des amortisseurs mais des accélérateurs de puissance. Ils n'aspirent pas au dialogue et à l'éparpillement des forces mais à leur concentration à des fins supposées d'efficacité. Comme c'est précisément sur ce terrain qu'ils ont été choisis et qu'ils seront demain jugés, rien ne vient jamais les retenir sur ce chemin risqué qui, soit dit en passant, ne ressemble guère à celui qu'avait imaginé François Bayrou lorsqu'il se faisait le promoteur des nouvelles cultures de coalition. Le macronisme, en politique, est a-libéral. Le constater n'est pas lui faire un procès d'intention. C'est constater sa pente, qui vient de loin. C'est dire, preuves à l'appui, sa chance et ses risques à la fois.
https://www.challenges.fr/politique/emmanuel-macron-le-president-jupiterien-a-liberal_477965lundi 12 juin 2017
LES MOTS (MAUX) DU JOUR....
depuis hier soir on n'entend que ça : "ce n'est plus Solferino c'est Waterloo" voire "la Berezina"
alors petite recherche :
SOLFERINO = nom donné communément au siège du PS de par sa situation géographique à Paris, mais aussi nom d'une célèbre bataille ( 24 juin 1859 ) qui s'est déroulée en Lombardie du côté de Mantoue sous Napoléon IIIBEREZINA = nom de la rivière près de laquelle eut lieu la bataille menée par les troupes de Napoléon (1er celui-là) en Russie, et plus précisément durant la campagne de Crimée, fin novembre 1812 (preuve en est que la Crimée c'est bien en Russie!), défaite si désastreuse que c'est entré dans l'expression pour dire que c'est la déroute, la débandade, la fin des haricots....WATERLOO = L'épopée napoléonienne s'achève le 18 juin 1815 à une vingtaine de kilomètres au sud de Bruxelles le 18 juin 1815 ( comme le 18 juin prochain...hasard , bizarre, vous avez dit bizarre) - Bataille perdue par Napoléon Ier devant les Anglais et les Prussiens .d'autres mots font fureur aussi, en particulier :DEGAGISME = élément de langage "star" lors des soirées électorales des dernières semaines sur les plateaux télé ! on peut dire que ce néologisme a été inventé par Mélenchon d'ailleurs, jamais à court d'un bon mot.
JUPITERIEN = Il l'avait annoncé dès le mois d'octobre dernier: Emmanuel Macron sera un chef de l'État "jupitérien". Si la métaphore mythologique semble emphatique, elle a le mérite d'être porteuse de nombreux symboles.
Décryptage :
Après "l'hyperprésident" de Nicolas Sarkozy et la présidence "normale" de François Hollande, Emmanuel Macron souhaite incarner un président "jupitérien". Il l'avait assuré dès le mois d'octobre 2016. La France a besoin d'un chef de l'État "jupitérien", déclarait-il dans un entretien à Challenges alors qu'il n'était encore que le candidat d'En Marche! le mouvement qu'il avait lui-même fondé quelques mois plus tôt.
"Ce n'est pas un simple dieu, c'est le roi des dieux"
Un président "jupitérien" serait donc un chef de l'État qui tient de Jupiter -le dieu romain qui gouverne la terre, le ciel et tous les autres dieux- et "en a le caractère impérieux, dominateur", précise le Larousse.
"Jupiter, dans la mythologie, ce n'est pas un simple dieu, c'est le roi des dieux et protecteur de la cité, au sens de l'ensemble des citoyens, en l'occurrence, pour nous, la République.Emmanuel Macron a marqué le début de son quinquennat par une série de symboles, comme au soir de son élection devant la Pyramide du Louvre. "Il essaie, par cette succession d'images, d'impulser un retour à un président fort."
d'où MACRONCOMPATIBLE...
et n'oubliez pas mon autre blogvendredi 9 juin 2017
l'épreuve "maillot de bain"...
Gardez en tête cette photo de couple à la plage quand vous vous mettrez en maillot cet été
Accepter son corps demande parfois des années. Cette Américaine en a fait son cheval de bataille. Sur Instagram, elle a ainsi partagé une photo d'elle et de son mari vendredi 2 juin. Une photo banale d'un couple à la plage qui a rencontré un grand succès auprès de ses abonnés. On y voit Jazzy, avec ses formes, ses cicatrices, fière de son corps en maillot de bain deux pièces.
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