jeudi 11 août 2016


 
 
LES AVES DE BARLOVENTO



 les 30 miles qui séparent Les Roques des Aves sont effectués en 6 heures. Le genaker est au travail toute la journée. Bien avant les Aves, des oiseaux viennent tourner autour de moi.

Ils passent à  raser les voiles d’avant.


Les Aves sont divisés en deux : les Aves de Barlovento et les Aves de Sotavento. Deux archipels coralliens d’environ 10 km par 10 km chacun. Nous avons visité le sud des Aves de Barlovento, puis parcouru les Aves de Sotavento du nord vers le sud. Le trait qui part du sud des Aves de Sotavento est l’enregistrement de la route contre le vent que nous avons faite pour retourner aux Roques.





Donc arrivée par l’Isla Sur et contournement de sa pointe Ouest.



Après avoir slalomé entre les bancs de sable et les pâtés de corail, nous arrivons au mouillage et nous ne serons pas seuls.



Les oiseaux sont omni présents assurent le fond sonore.



La mangrove couvre tout le rivage sous le vent de l’île.

Pour débarquer, un tunnel sous les arbres a été aménagé et est entretenu par des navigateurs de passage. Sur la plage, il y a juste la place pour une annexe.




Après la plage de débarquement, un sentier conduit à la côte au vent.




A mi-chemin, une belle mare aux canards sans canard.

Et la côte au vent est atteinte après une marche de cent mètres environ. C’est là que se trouve le « livre d’or » des Aves de Barlovento.


Beaucoup d’équipage écrivent ou gravent leurs noms et celui du bateau sur une pierre, une planche, …



… un bois flotté, ou tout autre support.


Ici un petit catamaran : coques en bambou flotté, bras de liaison en aluminium et pont en formica. Son nom est pyrogravé. Si vous passez par-là, impossible de Le manquer, il est amarré en haut d’un poteau.




Un mot sur les oiseaux : ce sont les occupants de l’archipel.


Ils vous passent à un mètre au-dessus de la tête, que vous soyez en annexe ou dans l’eau.



La majorité d’entre eux sont de fous à pattes rouges. Leur bec est bleu clair


Il y en a des blancs et des gris et les arbres sont leurs HLM.



Au mouillage, nous sommes maintenant sept bateaux, tous sous pavillon français. Le snorkeling et la chasse sous-marine sont les principales activités de ce petit monde.


 



Les nuages au-dessus de l’archipel sont turquoises (pas certain que cela soit visible sur la photo, il faudra me roire sur parole).









Après avoir contourné tous les pâtés de corail, Afrodite se retrouve mouillée sur du sable par deux mètres de fond.


Barbara a fait le tour de l’île en moins d’une heure … sans se presser.


Il y a beaucoup moins d’oiseaux ici aussi ,




… et ils sont beaucoup plus discrets.


Une maman s’inquiète de l’approche de l' humanoïde …





… les petits sont justes derrière elle.




A ce mouillage, nous sommes le seul bateau.



La lune est presque pleine : c’est important pour le confort des navigations de nuit.


Changement de mouillage pour l’Isla Larga au sud de l’archipel. Cette île fut fortifiée par les Hollandais. Aujourd’hui on y trouve les gardes côtes de la République Bolivarienne du Venezuela. Ils nous ont fait l’honneur d’une visite.


 
LES AVES DE BARLOVENTO (suite)



 les 30 miles qui séparent Les Roques des Aves sont effectués en 6 heures. Le genaker est au travail toute la journée. Bien avant les Aves, des oiseaux viennent tourner autour de moi.

Ils passent à  raser les voiles d’avant.


Les Aves sont divisés en deux : les Aves de Barlovento et les Aves de Sotavento. Deux archipels coralliens d’environ 10 km par 10 km chacun. Nous avons visité le sud des Aves de Barlovento, puis parcouru les Aves de Sotavento du nord vers le sud. Le trait qui part du sud des Aves de Sotavento est l’enregistrement de la route contre le vent que nous avons faite pour retourner aux Roques.





Donc arrivée par l’Isla Sur et contournement de sa pointe Ouest.



Après avoir slalomé entre les bancs de sable et les pâtés de corail, nous arrivons au mouillage et nous ne serons pas seuls.



Les oiseaux sont omni présents assurent le fond sonore.



La mangrove couvre tout le rivage sous le vent de l’île.



Pour débarquer, un tunnel sous les arbres a été aménagé et est entretenu par des navigateurs de passage. Sur la plage, il y a juste la place pour une annexe.




Après la plage de débarquement, un sentier conduit à la côte au vent.




A mi-chemin, une belle mare aux canards sans canard.



Et la côte au vent est atteinte après une marche de cent mètres environ. C’est là que se trouve le « livre d’or » des Aves de Barlovento.


Beaucoup d’équipage écrivent ou gravent leurs noms et celui du bateau sur une pierre, une planche, …



… un bois flotté, ou tout autre support.


Ici un petit catamaran : coques en bambou flotté, bras de liaison en aluminium et pont en formica. Son nom est pyrogravé. Si vous passez par-là, impossible de Le manquer, il est amarré en haut d’un poteau.




Un mot sur les oiseaux : ce sont les occupants de l’archipel.


Ils vous passent à un mètre au-dessus de la tête, que vous soyez en annexe ou dans l’eau.



La majorité d’entre eux sont de fous à pattes rouges. Leur bec est bleu clair




Il y en a des blancs et des gris et les arbres sont leurs HLM.

Au mouillage, nous sommes maintenant sept bateaux, tous sous pavillon français. Le snorkeling et la chasse sous-marine sont les principales activités de ce petit monde.






LES AVES DE SOTAVENTO



Huit jours plus tard, nous partons pour l’autre archipel qui se trouve à 10 miles sous le vent (d’où son nom ?).



Les nuages au-dessus de l’archipel sont turquoises (pas certain que cela soit visible sur la photo, il faudra me croire sur parole).




Le choix du capitaine c’est porté sur l’île de Sakysaky qui est la plus au nord.




Après avoir contourné tous les pâtés de corail, Afrodite se retrouve mouillée sur du sable par deux mètres de fond.




Barbara a fait le tour de l’île en moins d’une heure … sans se presser.




Il y a beaucoup moins d’oiseaux ici,




… et ils sont beaucoup plus discrets.



Une maman s’inquiète de l’approche d’un humain …





… les petits sont justes derrière elle.




A ce mouillage, nous sommes le seul bateau.



La lune est presque pleine : c’est important pour le confort des navigations de nuit. La remontée contre le vent pour revenir vers les Roques est pour bientôt.


Changement de mouillage pour l’Isla Larga au sud de l’archipel. Cette île fut fortifiée par les Hollandais. Aujourd’hui on y trouve les gardes côtes de la République Bolivarienne du Venezuela. Ils nous ont fait l’honneur d’une visite.


En partant pour les Roques, nous croisons un voilier : lui est au portant et nous au près. Il y a des jours avec du pain noir et d’autres avec du pain blanc...

mercredi 10 août 2016

MA CHANSON DU JOUR




MOURIR D AMOUR ENCHAINé....

Cadenas, mon amour

Le Pont des Arts refuse de mourir d’amour enchaîné

: , ,
cadenas paris arts
J’espère qu’on me pardonnera cette privauté, aujourd’hui, je vais parler d’amour, oui vous avez bien lu : d’amour. Mais pas du tendre amour qui règne entre père et fille, comme dans Molière et chez les le Pen, et qui peut devenir explosif quand les filles veulent suivre un autre chemin que leur père. Je ne veux pas non plus vous parler de l’amour qui unit les compagnons d’armes, comme à l’UMP : que voulez-vous, la fraternité est parfois soluble dans les rivalités. Non, je veux vous parler du vrai amour, celui qui dure toujours – c’est-à-dire au moins jusqu’à la fin des vacances –, et dont Paris est, paraît-il, la capitale mondiale. En tout cas, c’est ce qu’on dit dans les publicités pour parfums.
Bien sûr, cet amour-là, capable de transformer n’importe quel intellectuel en blonde égarée sévit dans le monde entier, de Pékin à Roanne, de Stuttgart à Lyon, de Florence à Strasbourg. Mais ces temps-ci, c’est à Paris qu’il se déchaîne ou plutôt qu’il s’enchaîne. En effet, pour se prouver la profondeur de leurs sentiments, les amants en goguette dans la ville Lumière fixent sur le parapet d’un pont un cadenas dont ils jettent la clé dans la Seine. C’est ainsi qu’après la Passerelle des arts – nouveau nom, semble-t-il, du Pont des Arts de Brassens où l’on croise le vent fripon, maraud et toutes autres sortes de coquineries –, tous les ponts de la capitale disposant de grilles se sont couverts de ces bouts de ferraille multicolores, vendus à prix d’or par de petits malins embusqués à proximité. Il paraît qu’on commence à en trouver au sommet de la tour Eiffel, des cadenas de l’amour.
Ne vous méprenez pas, moi aussi j’ai un cœur et l’amour, je suis grave pour. N’empêche, le symbole du cadenas est curieusement choisi. S’agit-il d’informer son ou sa chère et tendre qu’il (oui, oui, ou « elle ») est désormais prisonnier et que jamais, il ne pourra remettre la main sur la clé de sa cage ? Il me semble au contraire que le véritable amour devrait s’accommoder de la liberté de l’être aimé, ce qui n’est pas simple, je vous l’accorde.
En attendant, la catastrophe annoncée s’est produite : dimanche, l’une des grilles de la Passerelle des amoureux cadenassés s’est effondrée sous le poids des cadenas d’amour. Heureusement, si l’amour n’a pas vaincu la pesanteur, il n’a tué personne. Encore que ça nous aurait fait des chouettes titres, genre « Mort d’amour à Paris », ça aurait eu de la gueule, non ?
Las, le drame n’a pas eu lieu. Il a simplement fallu interdire la passerelle au public et déléguer une équipe de la ville pour récupérer l’objet du délit. Parce que ne croyez pas qu’on se contente de jeter tout ça dans le bac « objets métalliques » de la déchetterie. À en croire une légende urbaine, qui pourrait bien être parfaitement authentique, la municipalité procèderait régulièrement au retrait des grillages saturés, lesquels seraient précieusement conservés. Ils doivent avoir peur d’attirer la malédiction des dieux de l’amour, à la mairie de Paris, parce qu’on peut rigoler de toutes les religions, sauf de celle-là. Ou peut-être craignent-ils d’être submergés par les plaintes et réclamations d’amoureux courroucés expliquant que plus rien ne va dans leur couple depuis qu’on a jeté leur cadenas. Alors, je ne suis pas sûre que l’amour dure toujours, mais à l’évidence, il a un point commun avec le tourisme : il rend idiot !






dimanche 7 août 2016

LOS ROQUES MODE D EMPLOI




coucou
 
pour mémoire : C’est à la pharmacie sur la place du village que se fait le change (attention contre des dollars) au taux de 1$ pour 800 bolivars (vous allez vous retrouver avec des liasses énormes de billets de cent et de cinquante, prévoir une pochette ad hoc)
 
ensuite il y a quatre bureaux à visiter :
ces « visites de courtoisie » doivent se faire dans un ordre précis :le premier bureau se trouve au nord-ouest de l’ile, et la visite se termine selon une ligne droite parcourue à pied dans les rues de sable (comme aux iles du Cap Vert) jusqu’au sud-est de l’ile…
Les 4 bureaux dans lesquels il faut se présenter sont, dans l’ordre :
è    La guardia costa
è    La officina del Parque
è    La guardia national
è    L’aéroport (guichet « embarcaciones »)
On ne sort le portefeuille que pour les 3° et 4° étapes (cette année ils nous ont demandé 100 $ pour les quinze jours du Parc et nous avons refusé, c’était 10$ l’année dernière…), sinon pour la « entrada » on a payé 9000 Bs (soit un peu plus de dix euros, y compris la sortie) . Nos passeports ont été dûment tamponnés, mais quelle galère…Patience et sourires sont les meilleurs alliés dans ce marathon administratif, sous un soleil de plomb (mais les bureaux sont climatisés).
 
ça vaut le coup que vous visitiez l’archipel des Roques donc de prendre les quinze jours du Parc,
Hier la lancha d’approvisionnement est arrivée mais il y a eu une longue file d’attente pour trois fois rien...sauf à la boucherie, et une grosse boule de fromage qui a tenté Jean!
 
bonne nav’ et n’oubliez pas les dollars
 
bises
Barbara


Garanti sans virus. www.avast.com

mercredi 3 août 2016

MA CHANSON DU JOUR

 
 


 When I Was Seventeen



 








When I Was Seventeen Video:
 

 
Parole de When I Was Seventeen:

When I was seventeenIt
Was very good very year,
It was a good year
foor small-town girls
And soft summernights
We´d hide from lights
On the village green
When I was seventeen
 
When I was twenty-one
It was a very good year
It was a very good year
For city girls
Who lived up the stairs
With all the perfumed hairs
And it came undone
When I was twenty-one
 
When I was thirty-five
It was a very good year
It was a very good year
For blue-blood girls
Of independent means
We ride in limousines
Their chauffeurs would drive
When I was thirty-five
But now the days are sure
I´m in the autumn of the year
And now I think of my live
As finished wine from fine old grapes
From the brim to the drapes
With heart sweet and clear
It was a very good year