Par mégarde, la Nasa a vendu ses vidéos originales des premiers pas d’Armstrong sur la Lune
Alors que le 21 juillet prochain seront célébrés les 50 ans du premier pas de l’homme sur la Lune, les médias américains révèlent une histoire incroyable. Dans les années 1970, la Nasa aurait accidentellement vendu ses vidéos originales de la célèbre mission Apollo 11 et de l’atterrissage sur la Lune. Le comble, c’est qu’elles sont aujourd’hui remises aux enchères. Et devinez qui s’en porte acquéreur ?
« C’est un petit pas pour l’homme, mais un grand pas pour l’humanité. » Cette formule célèbre est signée Neil Armstrong. Ce sont les premiers mots que l’astronaute américain a prononcés en devenant le premier homme à poser le pied sur la Lune. C’était le 21 juillet 1969.
Alors que le 21 juillet prochain seront célébrés les 50 ans de cet événement historique, les médias américains révèlent une histoire surréaliste. Alors que les thèses conspirationnistes les plus farfelues remettent régulièrement en cause le fait qu’un homme ait marché sur la Lune, on apprend que des vidéos de la mission Apollo 11 et de l’atterrissage ont été tournées à l’époque.
L’instant historique a donc été filmé par la Nasa. Seulement voilà : en 1976, la Nasa décide d’organiser une vente aux enchères sur sa base de Houston (États-Unis). L’agence spatiale américaine veut se séparer de vieux objets sur lesquels des passionnés se ruent. Parmi ces souvenirs et vieilles reliques, se retrouvent accidentellement mis en vente les précieux enregistrements de l’atterrissage sur la Lune.
Aussi incroyable que cela puisse paraître personne ne s’est immédiatement rendu compte de la bévue. Et lorsqu’enfin, on s’en est aperçu, il était trop tard. Le deal avait été fait. Houston, on a un problème…
Un ancien stagiaire de la Nasa
La Nasa se met alors en quête de l’acheteur de ces précieux enregistrements. Il est identifié. Il s’agit d’un dénommé Gary George. L’homme n’est pas vraiment le parfait inconnu auquel la Nasa pensait avoir à faire. Il s’avère qu’il s’agit d’un ex-stagiaire de l’agence. Il avait flairé la bonne affaire en achetant 1 000 bobines comprenant donc l’atterrissage de la désormais célèbre Apollo 11 et la sortie de Neil Armstrong. Et ce, pour la modique somme de 217 dollars, soit seulement 190 € pour ce trésor immortalisant un des plus grands événements de l’histoire de l’humanité.
En 2008, la Nasa a tenté une nouvelle approche de son ancien stagiaire pour tenter de le convaincre de lui revendre les bandes. Ils ne se sont pas mis d’accord. Depuis, Gary George a eu le regret de constater que certaines bandes n’avaient malheureusement pas résisté à l’usure du temps. Il n’en reste plus que trois de bonne qualité. Par chance, il s’agirait des plus précieuses : celles de l’atterrissage.
Depuis, il a fait numériser ces images d’archives. Et il chercherait à revendre les vidéos originales.
L’ironie du sort, c’est que leur mise aux enchères est programmée le 21 juillet prochain. Le jour où l’on célébrera, jour pour jour, les 50 ans du premier pas de l’homme sur la Lune. Sauf qu’en un demi-siècle, ces vidéos ont pris de la valeur. Les enchères démarreront à 700 000 dollars, soit 620 000 €. On est donc loin des 200 dollars de l’époque. Et devinez qui veut se porter acquéreur ? C’est un comble, mais c’est la Nasa, évidemment. Et le 21 juillet 2019, Gary George, l’ancien stagiaire de l’agence spatiale, espère, à son tour, décrocher la Lune…
Alors que la tempête tropicale BARRY longe les berges du Mississippi, une onde tropicale quitte la zone africaine.
Située à quelques centaines de kilomètre au Sud Ouest des îles du cap vert, elle ne présente pas pour le moment de signe de développement important mais reste sous surveillance.
Le service de prévision des ouragans de l'université du colorado, dirigé par Philip J. Klotzbach1 a publié ce jour ses dernières prévisions pour l'année 2019.
Elles sont identiques à celle de juin, soit une prévision de 14 tempêtes nommées (55 jours), 5 ouragans dont 2 majeurs (20 jours). Pour ceux qui veulent lire l'étude complète c'est ICI
À quoi ressemble le village préféré des Français ?
Saint-Vaast-la-Hougue
C’est une belle inconnue, au creux du Val-de-Saire, dans la Manche. Un joli port normand, en face duquel viennent s’abriter les bateaux, lors des tempêtes de vents d’Ouest. Saint-Vaast-la-Hougue, qui vient de se voir décerner le titre de « Village préféré des Français 2019 », mérite sincèrement le détour.
Comme on le dit pour Cherbourg, sa grande sœur d’à côté, on ne passe pas par Saint-Vaast-la-Hougue, on y vient. Ce joli port niché dans l’est du Nord-Cotentin, dans le Val-de-Saire, respire la douceur de vivre. Pas étonnant que la commune ait reçu, ce mercredi, le titre de Village préféré des Français 2019 !
Le chroniqueur gastronomique Jean-Luc Petitrenaud ne s’y est d’ailleurs pas trompé, lui qui a installé sa résidence secondaire à 10 kilomètres de là, dans l’autre joyau qu’est le port de Barfleur, et qui ne manque jamais de vanter la douceur de vivre du Val-de-Saire et ses bons produits.
On les trouve notamment à l’épicerie fine Gosselin, qui vient de fêter ses 130 ans. « Saint-Vaast (comme on dit là-bas !) c’est même plus que ça, c’est un art de vivre », commente Annick Perrot.
Native du Pays, intarissable sur son village, ses origines et celles de ses habitants, elle n’irait désormais vivre ailleurs pour rien au monde. « J’ai vécu vingt ans en région parisienne et je revis depuis que je suis revenue à Saint-Vaast, il y a quelques années. »
Vidéo ci-dessus : la commune de Saint-Vaast-la-Hougue et l'île Tatihou vues du ciel. (Images : Thomas Brégardis / Ouest-France)
Rédactrice du dossier pour l’inscription des tours Vauban à l’Unesco,« ces tours autrefois de guerre et maintenant paysagères »,Annick Perrot connaît de Saint-Vaast les coins et les recoins et en parle avec tendresse. « Il faut venir chez nous car notre village est riche en patrimoine et qu’ici des gens accueillants, authentiques, vous attendent. »
Et elle en énumère quelques atouts : « C’est un bout de terre qui finit dans le port, agréable à vivre l’été, certes, mais aussi toute l’année, insiste-t-elle, notamment grâce à son vif tissu associatif. Avec une baie protégée des vents d’ouest, qui fait qu’on jalouse notre centre nautique… »
« On y trouve aussi des jardins exotiques avec des plantes rares ramenées par les marins et qui se plaisent dans notre doux climat, poursuit-elle. Ou encore des parcs ostréicoles avec des huîtres au goût différent selon qu’on les pêche à Tatihou ou dans La Hougue. »
Plaisancier et pêcheurs dans un même port
Correspondant depuis plus de trente ans pour Ouest-France dans le Val-de-Saire, Bruno Bonnemain ne dit pas autre chose. « C’est un des coins de la Manche qui n’est pas surpeuplé l’été et qui n’a pas subi de constructions susceptibles de dénaturer le site, se réjouit-il. C’est respecté, car la plupart des résidences secondaires ont vu se succéder plusieurs générations d’une même famille, et cette succession continue, notamment du côté de l’Anse du cul de loup. »
Et Bruno parle avec passion du monde de la pêche qu’il aime côtoyer. « Un monde de taiseux, mais quand on a leur confiance les relations deviennent amicales. Saint-Vaast a d’ailleurs cette particularité d’accueillir, dans un même port, plaisanciers et pêcheurs, et tout ce petit monde cohabite bien depuis 1980. »
Et un jour de tempête de vents d’ouest, si vous êtes dans la pointe Cotentin, il est un spectacle à ne surtout pas manquer. « La baie de Saint-Vaast-la-Hougue est le seul coin protégé pour les bateaux qui transitent en Manche, raconte Bruno. Et il n’est pas rare quand ça souffle fort, de voir 50, 60, même 70 bateaux de 100 à 300 mètres au mouillage face au port en attendant que le grain passe. C’est superbe ! »
Est-ce qu'il vous est déjà arrivé de rêver d'être dans la peau d'un personnage, et d'avoir l'impression de vivre sa vie comme si vous y étiez ? Ou, peut-être, de rêver d'un événement historique plus près que vous ne pourriez jamais l'imaginer ? Avec, tout autour, un environnement que vous arrivez à identifier, un décor que vous prêtez à ce moment d'immersion. C'est ce que vous propose France Inter, tout l'été, grâce aux "Odyssées" racontées, comme si vous y étiez, par Laure Grandbesançon : voyager, le temps d'un récit, à travers l'histoire d'étonnants personnages, et autour desquels l'aventure mérite d'être vécue et surtout racontée..
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La reine Isabelle et le roi Ferdinand du royaume d'Espagne se fient à lui et acceptent de financer son voyage. Mais une aventure telle que celle-ci demande d'importants préparatifsauxquels vous avez la chance de participer !
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Le Parlement doit voter fin juin une réforme de la chasse française. Les passionnés de battues apprécient beaucoup un Président qui a toujours su leur parler
je me suis demandée où était passé le sac de Brigitte !!!???
Regardez bien sur la gauche votre écran, quelqu'un s'en est chargé discrètement...
Comme vous le constaterez dans cette vidéo, Macronella sort de l'hélicoptère en portant son sac Vuitton (à environ 3500 euros), accrochée à Manu, elle traverse péniblement la pelouse car elle se croit obligée de circuler sur des échasses...
LIRE LA SUITEComme vous le constaterez dans cette vidéo, "Macronella" sort de l’hélicoptère en portant son sac Vuitton (à environ 3500 euros), accrochée à Manu, elle traverse péniblement la pelouse car elle se croit obligée de circuler sur des échasses… puis vers 1’39, on la retrouve sans sac et c’est le monsieur qui est un peu en retrait à sa gauche qui le porte, ce qui se vérifie sur nombre de vidéos.
Soit, il était trop lourd, il faut donc qu’elle fasse attention et le remplisse moins de stylos et autres objets en or massif, soit elle est étourdie et à tendance à l’oublier partout, soit elle est stupidement snob et pense que ça fait chic de faire porter son sac par un sbire du protocole en beau costard…
Un précédent mémorable laisse à penser que la dernière assertion est la bonne car nous l’avons connue avec un porte-gants.
Puisqu’il nous faut les supporter… Le défaut de savoir vivre de ce duo de parvenus prétentieux est une distraction hilarante dont il faut nous réjouir.