mercredi 22 avril 2020

BARBARA CONFINÉE SUR AFRODITE EN MARTINIQUE



2500 plaisanciers sont confinés dans les eaux Martiniquaises







mardi 21 avril 2020

Découvrez « Confinement Covid en Martinique » de Madinina Flying Pixels sur Vimeo

Personne, des plages désertes...


Découvrez « Confinement Covid en Martinique » de Madinina Flying Pixels sur Vimeo. La vidéo est disponible et peut être vue depuis https://vimeo.com/404346300 Si vous aimez cette vidéo, partagez-là ! Vimeo regorge de vidéos incroyables. Voir d'autres vidéos sur https://vimeo.com

lundi 20 avril 2020

DÉBOIRES EN MER 21 AVRIL 2020


Nouvelles de nos amis en transat retour, entre la Dominique et Marie-Galante...

PUBLICATION EN PUBLIC



La peur de notre transat retour 2020!!!

Nous sommes partis ce matin de st Pierre en Martinique, vent super, nous avons remonté la Dominique par l’EST , donc au vent , beau solei, belle mer....
À environ 2 heures de notre arrivée à Marie Galante pour récupérer Dominique notre équipier pour la transat retour nous voyons la vedette des gardes côtes de la Dominique venir sur nous avec les gyrophares... là ils nous somment d’aller en Dominique, nous discutons et négocions, ils disent qu’il faut payer parce que nous passons la Dominique (sans arrêt je précise) nous ne voulons pas aller en Dominique, nous sommes Français et l’on se prépare pour la transat retour, nous avons fait notre quatorzaine, et là ils veulent monter à bord , ma réponse est négative à cause du coco 19, mais il nous suivent, nous poursuivent, nous nous rapprochons de plus en plus de Marie Galante...
Pascal est descendu entre temps appeler le CROSS, et là ils sortent les mitrailleuses et me les font bien voir, j’appelle Pascal qui relie en temps réel les fait au CrossAG qui sont en ligne.
Les gardes côtes de Dominique nous abordent violemment et montent à deux sur le bateau avec le fusil, ils veulent absolument que nous allions en Dominique.
Notre voilier est accidenté à tribord.
En communication avec le CROSS ceux ci nous disent de coopérer qu’ils prennent contact avec la Dominique .
L’hélicoptère de la sécurité civile nous survole est prend des photos.
Les gardes nous disent qu’ils vont nous conduire à Portsmouth pour poser des questions.... avec le voilier ça fait environ 3 heures de navigation.
Je passe certains détails mais au bout d’une heure de navigation vers la Dominique la vedette vient vers les 2 gardes à bord et nous comprenons que cela va être trop long, ils font donc des photos de nos papiers et passeports et nous disent que nous pouvons repartir...
Mais il faut qu’ils remontent sur leur vedette ! Nous mettons des parbattages mais évidemment la vedette fonce sur nous à l’endroit où il n’y en à pas et là nous entendons craquer le gel coat , Pascal peste mais que faire face à des personnes d’aussi mauvaise foi 🤨🤨
Nous pouvons enfin reprendre la navigation pour Marie Galante.
Nous arrivons à la nuit, heureusement accueillis par Dominique et d’autres plaisanciers.
Nous remercions le CrossAG de nous avoir sortis de cette mauvaise passe et d’avoir pris de nos nouvelles après...
C’est la pire expérience de navigation que nous ayons dû subir. Mais nous sommes sains et saufs malgré nos grandes frayeurs...

samedi 18 avril 2020

PLAGES DÉSERTES....

ACTUALITÉ

De La Baule à la Californie, 11 photos étonnantes de plages touristiques totalement désertées

Habituellement très fréquentées en cette saison printanière, de nombreuses plages du monde sont interdites d’accès, confinement oblige. Voici, en onze images, ce que donne cette situation inédite.
Plus aucun promeneur ou presque, plus de touristes. Selon l’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE), la pandémie pourrait se traduire par une chute de 45 % de l’activité du tourisme international cette année, voire de 70 % si sa reprise était retardée à septembre.
Dans les grandes stations balnéaires, les effets du confinement sautent aux yeux…
Jaffa, Israël
Jaffa, au sud de Tel-Aviv, le 15 avril. (Photo : Ahmad Gharabli / AFP)
Biarritz, France
La plage du Port-Vieux, à Biarritz, le 13 avril. (Photo : Gaizka Iroz / AFP)
Ostie, Italie
Ostie, station balnéaire située à 30 km au sud-ouest de Rome, le 13 avril. (Photo : Vincezo / AFP)
Santa Monica, Californie
Santa Monica, en Californie, le 16 avril. (Photo : Robyn Beck / AFP)
Punta del Este, Uruguay
L’œuvre « La main », aussi appelée « Les doigts », de l’artiste chilien Mario Irarrazabal, sur la plage de Punta del Este, le 4 avril, à 140 km à l’est de Montevideo, la capitale. (Photo : Juan Carreras / AFP)
La Baule, France
La Baule, en Loire-Atlantique, le 13 avril. (Photo : Sebastien Salom Gomis / AFP)
Cadix, Espagne
La plage de Los Lances, à Cadix, le 11 avril. (Photo : A.Carrasco Ragel / EPA)
Margate, Royaume-Uni
Margate, dans le Kent, le 11 avril. (Photo : Andy Rain / EPA)
Barcelone, Catalogne, Espagne
Barcelone, le 11 avril 2020. (Photo : Andrey Dalmau / EPA)
Nice, France
La Promenade des Anglais, à Nice, dans les Alpes-Maritimes, le 11 avril. (Photo : Sébastien Nogier / EPA)

mardi 14 avril 2020

MÉTÉO

Comme prévu, un temps variable 🌦🌤🌦s'installe durablement sur l'arc antillais avec une recrudescence d'averses passagères le weekend prochain.

Sous le 10°N, la Zone Intertropicale de Convergence #ZIC se réactive avec le retour de l'Oscillation de Madden-Julian #OMJ sur le bassin atlantique tropical, une forte convection pluvio-orageuse est attendue sur zone avec un pic, ce vendredi. Une partie de cet amas de pluies et d'orages devrait remonter et apporter un temps chargé en humidité 🌦🌧⛈🌦sur la #Guyane ces jours prochains.




lundi 6 avril 2020

JE PROCRASTINE....



L’humanité oscille volontiers entre la présomption et le désespoir, la suffisance et le découragement. Nous nous pensions globalement en sécurité dans un monde dont le futur est programmable, au moins à moyen terme (en laissant de côté la menace climatique, mais elles est lointaine). Nous avions traversé des crises, économiques ou sociales, mais elles n’avaient pas fondamentalement remis en question notre manière de fonctionner.

Et voilà qu’un virus fait basculer le cours des choses. L’« effondrement » annoncé pour plus tard serait-il à notre porte ? Les discours apocalyptiques refont surface. Les « collapsologues » se réjouissent. On annonce une crise encore plus grave que ce que nous connaissons actuellement.

Puisque la « science » s’est avérée déficiente, faudrait-il alors recourir à la « religion » ? Organiser des neuvaines de réparation et des processions dans les rues comme au Moyen Age ? Il serait tentant de dénoncer l’arrogance de l’humanité moderne qui ne fait que dissimuler son impuissance effective. Mieux vaudrait s’en remettre aux moyens spirituels qu’aux moyens humains…

Ce serait aller un peu vite en besogne. Nos ressources humaines n’ont pas dit leur dernier mot : non seulement la technique médicale mais aussi, et peut-être surtout, l’aide mutuelle, les gestes de solidarité, le soin d’autrui qui s’exprime à l’égard de personnes connues ou inconnues. Les crises suscitent la tentation du chacun pour soi mais réveillent aussi (on aimerait dire : surtout) des désirs altruistes parfois profondément enfouis. Il faudrait en faire davantage l’inventaire et le récit pour garder cela en mémoire. Ne pas oublier le bien qui s’est fait.

Un adage jésuite du XVIIe siècle commence par ces mots : « Fie toi à Dieu comme si le succès ne dépendait que de toi, et en rien de Dieu ». Apparent paradoxe. Mais pas pour celui qui a compris que l’action de Dieu passe par nos mains, celles des médecins, des infirmières, des chercheurs, des livreurs, des voisins qui prennent des nouvelles… Mais l’adage se poursuit : 
« mettre tout ton labeur comme si Dieu allait tout faire et toi rien ». 
Nous rappeler que nous ne sommes pas les maîtres du résultat de notre action. C’est là qu’intervient le « spirituel » : non pas comme un moyen magique plus efficace, mais comme la confiance que nous ne sommes pas seuls dans notre combat.