mardi 27 octobre 2020


5 bonnes nouvelles du jour pour garder le moral malgré le coronaviruscinq infos de ce mardi 27 octobre pour garder le moral, malgré l’épidémie.



1. Selon la Nasa, la Lune contient plus d’eau que prévu

La Lune a longtemps été perçue comme un astre désespérément aride. Pourtant depuis 2008, on sait qu’elle contient des molécules d’eau. Des chercheurs les avaient découvertes lors d’une mission Apollo.

Il s’agit de glace d’eau, piégée au fond de grands cratères perpétuellement à l’ombre, près des pôles, où les températures sont extrêmement basses. Eh bien la Nasa vient de révéler qu’il y aurait encore plus d’eau que ce que l’on pensait sur la Lune, piégée sous forme de glace dans une multitude de micro-cratères. Cela représente une ressource potentielle pour les futures missions spatiales, selon deux études parues lundi 26 octobre.

Si on arrive à mettre au point des techniques d’extraction, cela représenterait une ressource potentielle pour de futures missions spatiales, notamment la Lunar Gateway, la future mini-station qui sera assemblée en orbite lunaire.SANTÉ

ACTUALITÉ

En pleine crise du Covid-19, plusieurs milliers de postes disponibles dans la santé en Bretagne

Par Tanguy HOMERY

Pôle emploi et l’Agence régionale de santé Bretagne (ARS) s’allient pour diriger les demandeurs d’emploi vers les métiers du soin. Plusieurs milliers de postes paramédicaux sont vacants dans la région. Ils organisent, du 26 au 30 octobre, une semaine dédiée à l’emploi pour les métiers de la santé et des soins. Reportage.

Du bâtiment à aide-soignant, le virage professionnel a été brutal. « Le milieu ne m’intéressait plus du tout, il fallait que je change de travail, raconte Johnny Chraki, un Rennais de 33 ans. Alors, plutôt que de faire un travail alimentaire, j’ai voulu démarrer une nouvelle formation pour devenir aide-soignant. »

En pleine pandémie de coronavirus, Pôle emploi et l’Agence régionale de santé Bretagne (ARS) s’allient pour diriger les demandeurs d’emploi vers les métiers du soin.

Les deux organismes publics mettent en place, du 26 au 30 octobre, une semaine dédiée à l’emploi pour les métiers de la santé et des soins.

« Un métier que je voulais faire »

« Je suis très content, c’est vraiment un métier que je voulais faire », se réjouit déjà Johnny en parlant du poste au sein de l’association Le Parc à Fougères que vient de lui proposer Pôle emploi. Un accord est trouvé : Il sera formé en alternance avec la quasi-certitude d’avoir un emploi stable après 18 mois d’apprentissage.

C’est ce type de reconversions que souhaitent multiplier Pôle Emploi et l’Agence régionale de santé (ARS) Bretagne.

Les deux organismes ont noué un partenariat afin de développer les liens entre les structures paramédicales et les demandeurs d’emploi. « Nous avons plusieurs milliers d’emplois disponibles en Bretagne dans les établissements de santé et les Ehpad », assure Stéphane Mulliez, directeur général de l’ARS Bretagne.

Les postes peinent à trouver preneurs en raison d’un manque de personnel formé, mais aussi car les personnes qui se reconvertissent recherchent des postes proches de chez eux. « Majoritairement à moins de 50 km », assure Frédéric Sévignon, directeur régional Pôle emploi Bretagne.

Avec la crise, de nouvelles vocations ?

Avec cet accord, l’ARS s’engage à faire remonter autant que possible les postes disponibles vers Pôle emploi. « Pour le moment, 300 nouveaux postes ont ainsi été recensés », se félicite Frédéric Sévignon.

Le partenariat doit aussi permettre à Pôle emploi et l’ARS de rechercher les moyens nécessaires pour que le coût de la formation « ne soit pas un frein ».

Ce nouveau partenariat, « une première en France », s’inscrit pleinement dans l’actualité. « Cette crise sanitaire, bien qu’elle soit très compliquée, peut aussi susciter des vocations », veut croire Stéphane Mulliez. La mise en avant des difficultés et de la faible rémunération de ces métiers peut cependant avoir un effet inverse.

Si, pour le moment, ce partenariat entre l’ARS et Pôle Emploi concerne principalement le métier d’aide-soignant, les deux organismes comptent bien étendre leur collaboration à d’autres métiers dans le futur.

ACTUALITÉ

Les bonnes nouvelles du jour pour garder le moral malgré le coronavirus

Voici nos cinq infos de ce mardi 27 octobre pour garder le moral, malgré l’épidémie.

1. Selon la Nasa, la Lune contient plus d’eau que prévu

La Lune a longtemps été perçue comme un astre désespérément aride. Pourtant depuis 2008, on sait qu’elle contient des molécules d’eau. Des chercheurs les avaient découvertes lors d’une mission Apollo.

Il s’agit de glace d’eau, piégée au fond de grands cratères perpétuellement à l’ombre, près des pôles, où les températures sont extrêmement basses. Eh bien la Nasa vient de révéler qu’il y aurait encore plus d’eau que ce que l’on pensait sur la Lune, piégée sous forme de glace dans une multitude de micro-cratères. Cela représente une ressource potentielle pour les futures missions spatiales, selon deux études parues lundi 26 octobre.

Si on arrive à mettre au point des techniques d’extraction, cela représenterait une ressource potentielle pour de futures missions spatiales, notamment la Lunar Gateway, la future mini-station qui sera assemblée en orbite lunaire.

« Cela ferait baisser le coût des programmes vers Mars notamment car c’est moins cher que d’emmener l’eau depuis la surface de la Terre », souligne l’astrophysicien français, Francis Rocard, soulignant que le voyage vers Mars dure six mois.

2. Muse, AC/DC, Green Day, Aya Nakamura préparent de nouveaux albums

Les stars de la musique n’ont pas chômé durant le confinement. Ariana Grande, Muse et Green Day préparent de nouveaux albums. Tout comme AC/DC.

Côté français, après avoir dévoilé deux singles cette année, Jolie Nana et Doudou, Aya Nakamura annonce officiellement la sortie de son troisième album. Il s’intitule AYA.

Sa sortie est prévue pour le 13 novembre prochain. C’est l’un des disques les plus attendus de cette fin d’année 2020.

Aya Nakamura va sortir un troisième album très attendu. (Photo : Hugo Smague / Ouest-France)

3. En apprenant la mécanique aux jeunes filles, cette école australienne souhaite en faire des femmes indépendantes

Ces jeunes filles apprennent à changer une roue de voiture. (Photo : Stella Maris College)

Au nord de Sydney, en Australie, le Stella Maris College est une école catholique réservée aux filles.

Récemment, des intervenants sont venus dans l’école afin d’apprendre aux étudiantes les bases de la mécanique. La société Galmatic apporte de l’aide aux femmes et aux adolescents qui auraient des lacunes en mécanique.

Grâce à des ateliers pratiques et des cours en ligne, l’ambition du groupe est de donner aux jeunes la possibilité de régler un problème automobile eux-mêmes. L’intervention de Galmatic rejoint la philosophie de l’école, qui souhaite que ces jeunes étudiantes deviennent des femmes fortes et indépendantes.

4. À 7 ans, il ouvre une banque alimen­taire pour les victimes du Covid-19

Bell Cava­naugh. (Photo : Cool & Dope)

Vous doutez parfois de la jeunesse ? Voilà une nouvelle qui va vous rassurer pour l’avenir. Non, les jeunes ne sont pas tous égoïstes et repliés sur eux-mêmes. La preuve : Bell Cava­naugh est un jeune Améri­cain de 7 ans qui a pris la déci­sion d’ou­vrir une banque alimen­taire pour les victimes du Covid-19, comme il le raconte sur sa page GoFundMe.

Le petit garçon a commencé par distri­buer des colis de médi­ca­ments et de nour­ri­ture à ses voisins âgés. Son projet prenant de l’am­pleur, il a lancé avec sa mère Llacey Simmons une banque alimen­taire collec­tive pour les personnes les plus vulné­rables dans un entre­pôt de Gaithers­burg, sa ville natale du Mary­land.

En plus de son travail d’aide huma­ni­taire, Bell a égale­ment lancé sa propre asso­cia­tion à but non lucra­tif, Cool & Dope qui a pour mission de lutter contre le harcè­le­ment scolaire et de diffu­ser la posi­ti­vité par des actes de gentillesse. Respect.

5. La Floride s’attend à un baby-boom de tortues marines

Baby-boom chez les tortues de Floride. (Photo d’illustration : AFP)

Alors que tourisme est en berne cette année, les scientifiques prévoient un meilleur taux de réussite de nidification chez les tortues marines en Floride.

Il s’agit d’un des plus beaux spectacles de la nature. Chaque année, des milliers de tortues de mer femelles se hissent vers le rivage des côtes Atlantique et du Golfe du Mexique de la Floride. Là, elles creusent méticuleusement dans le sable pour y pondre leurs œufs (jusqu’à une centaine par femelle), avant de repartir en mer.

Au terme d’une période d’incubation d’environ deux mois, les œufs éclosent et de minuscules tortues s’efforcent de rejoindre l’eau. Selon la Sea Turtle Conservancy, une organisation de conservation et de recherche basée à Gainesville aux États-Unis, environ 90 % de la nidification des tortues marines aux États-Unis se produit sur les plages de la Floride.

ACTUALITÉ

En pleine crise du Covid-19, plusieurs milliers de postes disponibles dans la santé en Bretagne

Par Tanguy HOMERY

Pôle emploi et l’Agence régionale de santé Bretagne (ARS) s’allient pour diriger les demandeurs d’emploi vers les métiers du soin. Plusieurs milliers de postes paramédicaux sont vacants dans la région. Ils organisent, du 26 au 30 octobre, une semaine dédiée à l’emploi pour les métiers de la santé et des soins. Reportage.

Du bâtiment à aide-soignant, le virage professionnel a été brutal. « Le milieu ne m’intéressait plus du tout, il fallait que je change de travail, raconte Johnny Chraki, un Rennais de 33 ans. Alors, plutôt que de faire un travail alimentaire, j’ai voulu démarrer une nouvelle formation pour devenir aide-soignant. »

En pleine pandémie de coronavirus, Pôle emploi et l’Agence régionale de santé Bretagne (ARS) s’allient pour diriger les demandeurs d’emploi vers les métiers du soin.

Les deux organismes publics mettent en place, du 26 au 30 octobre, une semaine dédiée à l’emploi pour les métiers de la santé et des soins.

« Un métier que je voulais faire »

« Je suis très content, c’est vraiment un métier que je voulais faire », se réjouit déjà Johnny en parlant du poste au sein de l’association Le Parc à Fougères que vient de lui proposer Pôle emploi. Un accord est trouvé : Il sera formé en alternance avec la quasi-certitude d’avoir un emploi stable après 18 mois d’apprentissage.

C’est ce type de reconversions que souhaitent multiplier Pôle Emploi et l’Agence régionale de santé (ARS) Bretagne.

Les deux organismes ont noué un partenariat afin de développer les liens entre les structures paramédicales et les demandeurs d’emploi. « Nous avons plusieurs milliers d’emplois disponibles en Bretagne dans les établissements de santé et les Ehpad », assure Stéphane Mulliez, directeur général de l’ARS Bretagne.

Les postes peinent à trouver preneurs en raison d’un manque de personnel formé, mais aussi car les personnes qui se reconvertissent recherchent des postes proches de chez eux. « Majoritairement à moins de 50 km », assure Frédéric Sévignon, directeur régional Pôle emploi Bretagne.

Avec la crise, de nouvelles vocations ?

Avec cet accord, l’ARS s’engage à faire remonter autant que possible les postes disponibles vers Pôle emploi. « Pour le moment, 300 nouveaux postes ont ainsi été recensés », se félicite Frédéric Sévignon.

Le partenariat doit aussi permettre à Pôle emploi et l’ARS de rechercher les moyens nécessaires pour que le coût de la formation « ne soit pas un frein ».

Ce nouveau partenariat, « une première en France », s’inscrit pleinement dans l’actualité. « Cette crise sanitaire, bien qu’elle soit très compliquée, peut aussi susciter des vocations », veut croire Stéphane Mulliez. La mise en avant des difficultés et de la faible rémunération de ces métiers peut cependant avoir un effet inverse.

Si, pour le moment, ce partenariat entre l’ARS et Pôle Emploi concerne principalement le métier d’aide-soignant, les deux organismes comptent bien étendre leur collaboration à d’autres métiers dans le futur.

ACTUALITÉ

Les bonnes nouvelles du jour pour garder le moral malgré le coronavirus

Voici nos cinq infos de ce mardi 27 octobre pour garder le moral, malgré l’épidémie.

1. Selon la Nasa, la Lune contient plus d’eau que prévu

La Lune a longtemps été perçue comme un astre désespérément aride. Pourtant depuis 2008, on sait qu’elle contient des molécules d’eau. Des chercheurs les avaient découvertes lors d’une mission Apollo.

Il s’agit de glace d’eau, piégée au fond de grands cratères perpétuellement à l’ombre, près des pôles, où les températures sont extrêmement basses. Eh bien la Nasa vient de révéler qu’il y aurait encore plus d’eau que ce que l’on pensait sur la Lune, piégée sous forme de glace dans une multitude de micro-cratères. Cela représente une ressource potentielle pour les futures missions spatiales, selon deux études parues lundi 26 octobre.

Si on arrive à mettre au point des techniques d’extraction, cela représenterait une ressource potentielle pour de futures missions spatiales, notamment la Lunar Gateway, la future mini-station qui sera assemblée en orbite lunaire.

« Cela ferait baisser le coût des programmes vers Mars notamment car c’est moins cher que d’emmener l’eau depuis la surface de la Terre », souligne l’astrophysicien français, Francis Rocard, soulignant que le voyage vers Mars dure six mois.

2. Muse, AC/DC, Green Day, Aya Nakamura préparent de nouveaux albums

Les stars de la musique n’ont pas chômé durant le confinement. Ariana Grande, Muse et Green Day préparent de nouveaux albums. Tout comme AC/DC.

Côté français, après avoir dévoilé deux singles cette année, Jolie Nana et Doudou, Aya Nakamura annonce officiellement la sortie de son troisième album. Il s’intitule AYA.

Sa sortie est prévue pour le 13 novembre prochain. C’est l’un des disques les plus attendus de cette fin d’année 2020.

Aya Nakamura va sortir un troisième album très attendu. (Photo : Hugo Smague / Ouest-France)

3. En apprenant la mécanique aux jeunes filles, cette école australienne souhaite en faire des femmes indépendantes

Ces jeunes filles apprennent à changer une roue de voiture. (Photo : Stella Maris College)

Au nord de Sydney, en Australie, le Stella Maris College est une école catholique réservée aux filles.

Récemment, des intervenants sont venus dans l’école afin d’apprendre aux étudiantes les bases de la mécanique. La société Galmatic apporte de l’aide aux femmes et aux adolescents qui auraient des lacunes en mécanique.

Grâce à des ateliers pratiques et des cours en ligne, l’ambition du groupe est de donner aux jeunes la possibilité de régler un problème automobile eux-mêmes. L’intervention de Galmatic rejoint la philosophie de l’école, qui souhaite que ces jeunes étudiantes deviennent des femmes fortes et indépendantes.

4. À 7 ans, il ouvre une banque alimen­taire pour les victimes du Covid-19

Bell Cava­naugh. (Photo : Cool & Dope)

Vous doutez parfois de la jeunesse ? Voilà une nouvelle qui va vous rassurer pour l’avenir. Non, les jeunes ne sont pas tous égoïstes et repliés sur eux-mêmes. La preuve : Bell Cava­naugh est un jeune Améri­cain de 7 ans qui a pris la déci­sion d’ou­vrir une banque alimen­taire pour les victimes du Covid-19, comme il le raconte sur sa page GoFundMe.

Le petit garçon a commencé par distri­buer des colis de médi­ca­ments et de nour­ri­ture à ses voisins âgés. Son projet prenant de l’am­pleur, il a lancé avec sa mère Llacey Simmons une banque alimen­taire collec­tive pour les personnes les plus vulné­rables dans un entre­pôt de Gaithers­burg, sa ville natale du Mary­land.

En plus de son travail d’aide huma­ni­taire, Bell a égale­ment lancé sa propre asso­cia­tion à but non lucra­tif, Cool & Dope qui a pour mission de lutter contre le harcè­le­ment scolaire et de diffu­ser la posi­ti­vité par des actes de gentillesse. Respect.

5. La Floride s’attend à un baby-boom de tortues marines

Baby-boom chez les tortues de Floride. (Photo d’illustration : AFP)

Alors que tourisme est en berne cette année, les scientifiques prévoient un meilleur taux de réussite de nidification chez les tortues marines en Floride.

Il s’agit d’un des plus beaux spectacles de la nature. Chaque année, des milliers de tortues de mer femelles se hissent vers le rivage des côtes Atlantique et du Golfe du Mexique de la Floride. Là, elles creusent méticuleusement dans le sable pour y pondre leurs œufs (jusqu’à une centaine par femelle), avant de repartir en mer.

Au terme d’une période d’incubation d’environ deux mois, les œufs éclosent et de minuscules tortues s’efforcent de rejoindre l’eau. Selon la Sea Turtle Conservancy, une organisation de conservation et de recherche basée à Gainesville aux États-Unis, environ 90 % de la nidification des tortues marines aux États-Unis se produit sur les plages de la Floride.

ACTUALITÉ

En pleine crise du Covid-19, plusieurs milliers de postes disponibles dans la santé en Bretagne

Par Tanguy HOMERY

Pôle emploi et l’Agence régionale de santé Bretagne (ARS) s’allient pour diriger les demandeurs d’emploi vers les métiers du soin. Plusieurs milliers de postes paramédicaux sont vacants dans la région. Ils organisent, du 26 au 30 octobre, une semaine dédiée à l’emploi pour les métiers de la santé et des soins. Reportage.

Du bâtiment à aide-soignant, le virage professionnel a été brutal. « Le milieu ne m’intéressait plus du tout, il fallait que je change de travail, raconte Johnny Chraki, un Rennais de 33 ans. Alors, plutôt que de faire un travail alimentaire, j’ai voulu démarrer une nouvelle formation pour devenir aide-soignant. »

En pleine pandémie de coronavirus, Pôle emploi et l’Agence régionale de santé Bretagne (ARS) s’allient pour diriger les demandeurs d’emploi vers les métiers du soin.

Les deux organismes publics mettent en place, du 26 au 30 octobre, une semaine dédiée à l’emploi pour les métiers de la santé et des soins.

« Un métier que je voulais faire »

« Je suis très content, c’est vraiment un métier que je voulais faire », se réjouit déjà Johnny en parlant du poste au sein de l’association Le Parc à Fougères que vient de lui proposer Pôle emploi. Un accord est trouvé : Il sera formé en alternance avec la quasi-certitude d’avoir un emploi stable après 18 mois d’apprentissage.

C’est ce type de reconversions que souhaitent multiplier Pôle Emploi et l’Agence régionale de santé (ARS) Bretagne.

Les deux organismes ont noué un partenariat afin de développer les liens entre les structures paramédicales et les demandeurs d’emploi. « Nous avons plusieurs milliers d’emplois disponibles en Bretagne dans les établissements de santé et les Ehpad », assure Stéphane Mulliez, directeur général de l’ARS Bretagne.

Les postes peinent à trouver preneurs en raison d’un manque de personnel formé, mais aussi car les personnes qui se reconvertissent recherchent des postes proches de chez eux. « Majoritairement à moins de 50 km », assure Frédéric Sévignon, directeur régional Pôle emploi Bretagne.

Avec la crise, de nouvelles vocations ?

Avec cet accord, l’ARS s’engage à faire remonter autant que possible les postes disponibles vers Pôle emploi. « Pour le moment, 300 nouveaux postes ont ainsi été recensés », se félicite Frédéric Sévignon.

Le partenariat doit aussi permettre à Pôle emploi et l’ARS de rechercher les moyens nécessaires pour que le coût de la formation « ne soit pas un frein ».

Ce nouveau partenariat, « une première en France », s’inscrit pleinement dans l’actualité. « Cette crise sanitaire, bien qu’elle soit très compliquée, peut aussi susciter des vocations », veut croire Stéphane Mulliez. La mise en avant des difficultés et de la faible rémunération de ces métiers peut cependant avoir un effet inverse.

Si, pour le moment, ce partenariat entre l’ARS et Pôle Emploi concerne principalement le métier d’aide-soignant, les deux organismes comptent bien étendre leur collaboration à d’autres métiers dans le futur.

ACTUALITÉ

Les bonnes nouvelles du jour pour garder le moral malgré le coronavirus

Voici nos cinq infos de ce mardi 27 octobre pour garder le moral, malgré l’épidémie.

1. Selon la Nasa, la Lune contient plus d’eau que prévu

La Lune a longtemps été perçue comme un astre désespérément aride. Pourtant depuis 2008, on sait qu’elle contient des molécules d’eau. Des chercheurs les avaient découvertes lors d’une mission Apollo.

Il s’agit de glace d’eau, piégée au fond de grands cratères perpétuellement à l’ombre, près des pôles, où les températures sont extrêmement basses. Eh bien la Nasa vient de révéler qu’il y aurait encore plus d’eau que ce que l’on pensait sur la Lune, piégée sous forme de glace dans une multitude de micro-cratères. Cela représente une ressource potentielle pour les futures missions spatiales, selon deux études parues lundi 26 octobre.

Si on arrive à mettre au point des techniques d’extraction, cela représenterait une ressource potentielle pour de futures missions spatiales, notamment la Lunar Gateway, la future mini-station qui sera assemblée en orbite lunaire.

« Cela ferait baisser le coût des programmes vers Mars notamment car c’est moins cher que d’emmener l’eau depuis la surface de la Terre », souligne l’astrophysicien français, Francis Rocard, soulignant que le voyage vers Mars dure six mois.

2. Muse, AC/DC, Green Day, Aya Nakamura préparent de nouveaux albums

Les stars de la musique n’ont pas chômé durant le confinement. Ariana Grande, Muse et Green Day préparent de nouveaux albums. Tout comme AC/DC.

Côté français, après avoir dévoilé deux singles cette année, Jolie Nana et Doudou, Aya Nakamura annonce officiellement la sortie de son troisième album. Il s’intitule AYA.

Sa sortie est prévue pour le 13 novembre prochain. C’est l’un des disques les plus attendus de cette fin d’année 2020.

Aya Nakamura va sortir un troisième album très attendu. (Photo : Hugo Smague / Ouest-France)

3. En apprenant la mécanique aux jeunes filles, cette école australienne souhaite en faire des femmes indépendantes

Ces jeunes filles apprennent à changer une roue de voiture. (Photo : Stella Maris College)

Au nord de Sydney, en Australie, le Stella Maris College est une école catholique réservée aux filles.

Récemment, des intervenants sont venus dans l’école afin d’apprendre aux étudiantes les bases de la mécanique. La société Galmatic apporte de l’aide aux femmes et aux adolescents qui auraient des lacunes en mécanique.

Grâce à des ateliers pratiques et des cours en ligne, l’ambition du groupe est de donner aux jeunes la possibilité de régler un problème automobile eux-mêmes. L’intervention de Galmatic rejoint la philosophie de l’école, qui souhaite que ces jeunes étudiantes deviennent des femmes fortes et indépendantes.

4. À 7 ans, il ouvre une banque alimen­taire pour les victimes du Covid-19

Bell Cava­naugh. (Photo : Cool & Dope)

Vous doutez parfois de la jeunesse ? Voilà une nouvelle qui va vous rassurer pour l’avenir. Non, les jeunes ne sont pas tous égoïstes et repliés sur eux-mêmes. La preuve : Bell Cava­naugh est un jeune Améri­cain de 7 ans qui a pris la déci­sion d’ou­vrir une banque alimen­taire pour les victimes du Covid-19, comme il le raconte sur sa page GoFundMe.

Le petit garçon a commencé par distri­buer des colis de médi­ca­ments et de nour­ri­ture à ses voisins âgés. Son projet prenant de l’am­pleur, il a lancé avec sa mère Llacey Simmons une banque alimen­taire collec­tive pour les personnes les plus vulné­rables dans un entre­pôt de Gaithers­burg, sa ville natale du Mary­land.

En plus de son travail d’aide huma­ni­taire, Bell a égale­ment lancé sa propre asso­cia­tion à but non lucra­tif, Cool & Dope qui a pour mission de lutter contre le harcè­le­ment scolaire et de diffu­ser la posi­ti­vité par des actes de gentillesse. Respect.

5. La Floride s’attend à un baby-boom de tortues marines

Baby-boom chez les tortues de Floride. (Photo d’illustration : AFP)

Alors que tourisme est en berne cette année, les scientifiques prévoient un meilleur taux de réussite de nidification chez les tortues marines en Floride.

Il s’agit d’un des plus beaux spectacles de la nature. Chaque année, des milliers de tortues de mer femelles se hissent vers le rivage des côtes Atlantique et du Golfe du Mexique de la Floride. Là, elles creusent méticuleusement dans le sable pour y pondre leurs œufs (jusqu’à une centaine par femelle), avant de repartir en mer.

Au terme d’une période d’incubation d’environ deux mois, les œufs éclosent et de minuscules tortues s’efforcent de rejoindre l’eau. Selon la Sea Turtle Conservancy, une organisation de conservation et de recherche basée à Gainesville aux États-Unis, environ 90 % de la nidification des tortues marines aux États-Unis se produit sur les plages de la Floride.


Regardez "La Francophobie (mise au point) musique de Jean Ferrat par leumas" sur YouTube













lundi 26 octobre 2020

MÉTÉO MARTINIQUE

 

https://www.people-bokay.com/passage-dune-onde-tropicale-sur-la-martinique-ce-lundi-26-octobre/


« Passage d’une onde tropicale (zone 4) sur notre département ce matin. Dans son sillage, une masse d’air humide et instable s’installe sur notre île », indique Météo France dans son bulletin du lundi 26 octobre 2020.

« Le ciel est nuageux à très nuageux le matin avec des averses soutenues. des périodes d’éclaircies sont attendues à partir de la mi-journée, avant une nouvelle dégradation pluvieuse pour la nuit suivante. Des orages isolés sont possibles sur les plus hauts reliefs », poursuit Météo France.

Le vent de dominante Est est faible à modéré. Il souffle en moyenne entre 15 et 25 km/h, et jusqu’à 30 km/h sur la côte Atlantique. Des rafales comprises entre 50 à 60 km/h sont possibles sur le plus haut relief et sous les plus fortes averses.

La mer est agitée en Atlantique et canaux, avec des creux moyens compris entre 2m00 et 2m30. En Caraïbe, elle est belle à la côte à agitée plus au large, avec des creux moyens proches de 1m30.

Le temps devrait rester instable et humide toute la semaine. Une seconde onde tropicale (zone 5) doit aborder notre région en milieu de semaine. Le temps ne devrait pas s’améliorer avant samedi.


La baignade de nouveau autorisée sur les plages de Sainte-Anne

Rédaction webLundi 26 Octobre 2020 - 15h59
La baignade de nouveau autorisée sur les plages de Sainte-Anne

Les nouveaux prélèvements réalisés par l’Agence Régionale de Santé révèlent des niveaux d’eau conforme. Le maire a levé l’interdiction de baignade aux Salines, à l’Anse Meunier, à l’Anse Caritan et à la Pointe Marin.

Les baigneurs vont de nouveau pouvoir profiter des plages de Sainte-Anne. Ce lundi 26 octobre, le maire, Jean-Michel Gémieux, a pris un arrêté pour lever l’interdiction de baignade prise pour quatre plages de Sainte-Anne.
Suite aux nouveaux prélèvements le 23 octobre sollicités par la municipalité, l’Agence Régionale de Santé indique que les plans d’eau des Salines, de l’Anse Meunier, de l’Anse Caritan et de la Pointe Marin sont de nouveau conformes à la baignade.
Mercredi dernier (21 octobre), le maire avait pris un arrêté pour interdire la baignade sur ces sites, suite à un dépassement des seuils microbiologiques.

dimanche 25 octobre 2020

LA CRIIIIIIISE

 




Alors   que les hôpitaux sont surchargés, que les infirmiers en soins intensifs  n'en peuvent plus ... des mesures fortes étaient annoncées pour faire  face ... De Croo et sa bande ...

car on a  changé de gouvernement mais  pas de méthode ! ... 

L 'incompétence de nos dirigeants est bien palpable  ! ... dans les mesurettes y'a bien la fermeture de Walibi et le sport  qui devient huis clos ... mais annoncer ça ou rien ... le courage n'est  toujours pas politique ! ils vont te sortir l'argument du " on fait cela  dans l'urgence on n'a pas eu le temps de voir venir " ... quelle  formidable  connerie ! ... les hôpitaux entre autres payent tous ces  années d'économie de bout de chandelle ! ... quand tout ce merdier qui  nous est visible actuellement et qu'on cache sous le mot covid sera fini  faudra pas oublier qu'ils nous ont laissé aux casse-pipes ! ... avec ce  gouvernement comme avec tous les autres c'est l'économie avant la santé  ... bref rien ne change !


Et en même temps pendant ce temps là 





Absurdes accusations contre la rectrice de Versailles

L’accusation avait circulé assez rapidement après la mort de Samuel Paty. La rectrice de Versailles, Charline Avenel, n’aurait rien fait pour empêcher ce qui s’est passé. Pire: l’académie s’apprêtait à sanctionner le professeur qui avait montré des caricatures à ses élèves. Lorsqu’il y a un drame, a fortiori un meurtre aussi abominable, l’esprit humain a besoin de réponses simples, de certitudes apparentes. Et la recherche d’un « bouc émissaire » est la réponse la plus simple. On pense savoir à peu près ce qu’est un recteur, ce « préfet du système éducatif ». Il se trouve qu’en plus Madame Avenel est de la même promotion à l’ENA qu’Emmanuel Macron. Il était tentant de construire une chaîne d’explications mettant en cause le chef de l’Etat. Ce type de reconstruction des faits présente, dans le cas de Charline Avenel, une contradiction flagrante avec le passé récent: la rectrice avait fait parler d’elle en novembre 2019, lorsqu’elle avait écourté sa visite dans un établissement de Clamart à cause de la présence de trois femmes voilées, mères d’élèves accompagnatrices. Charline Avenel, en l’occurrence, avait réagi en conformité avec l’état d’esprit que Jean-Michel Blanquer a insufflé à ses recteurs depuis qu’il est ministre de l’Education. Au sein du gouvernement, il fait partie de ceux qui tiennent un discours ferme face à l’islamisme. Il a même suscité, quelques jours après le meurtre de Conflans, un émoi dans le milieu intellectuel et culturel français en dénonçant ouvertement « l’islamo-gauchisme ». 

Une Education Nationale forte en paroles mais démunie

Est-ce à dire qu’il faille absoudre l’Education Nationale de toute responsabilité dans ce qui s’est passé? En fait, la question est mal posée. D’abord parce qu’on trouvera autant de failles que de signes de lucidité dans ce qui s’est passé. Le ministre Blanquer  peut bien réclamer la fermeté et une compréhension stricte de la laïcité, deux éléments jouent en sens contraire: au niveau de l’établissement, d’abord, comment met-on en oeuvre, un message de stricte application de la laïcité quand on est confronté au quotidien à la pression sociale des élèves musulmans, de leurs parents, des associations qui ont commencé depuis longtemps à imposer une intimidation permanente? Attendons le rapport qui sera remis dans quelques jours à Jean-Michel Blanquer. On y lira en termes atténués que le professeur ne s’est pas senti complètement soutenu par la principale du collège; que le dialogue mis en place par l’Inspecteur d’Académie « référent laïcité » a vite trouvé ses limites - d’ailleurs, c’est dans le cadre d’un tel dialogue que des militants islamistes ont cru comprendre que le professeur n’était pas entièrement soutenu par sa hiérarchie et ont répandu l’information qu’il allait être, par conséquent, sanctionné. Face à la pression intimidatrice, le dialogue se termine forcément en concessions verbales qui neutralisent le mot d’ordre de fermeté. On est en plein « en même temps »: laïcité et dialogue. Plaçons-nous ensuite au niveau du Ministère rue de Grenelle. Que fait-on des signalements que l’on reçoit. Il existe au Ministère une cellule de veille sur le radicalisation, officiellement coordonnée avec le dispositif l’ensemble du dispositif interministériel (coordination des préfets, lutte contre la délinquance et contre les dérives sectaires). Si vous allez sur le site de l’Education Nationale, on est même trè!s fier d’appartenir au « Radicalisation Awareness Network » créé en 2011 par la Commission Européenne. So what? Et ensuite? 

Sur le terrain, on fait profil bas depuis longtemps

La cellule de veille du Ministère avait reçu des informations précises sur ce qui se passait à Conflans; la rectrice avait interagi avec le cabinet du Ministre comme Jean-Michel Blanquer l’attend de tous ses recteurs; le « référent laïcité » avait appliqué les instructions qu’il a - fermeté et dialogue, en même temps. La principale du collège se débattait comme elle pouvait. Les professeurs collègues de Samuel Paty étaient partagés entre le soutien affiché et le profil bas - cela fait tant d’années qu’on est habitué à s’auto-censurer. A vrai dire tout le monde s’attendait à ce que l’émotion retombe et la vie reprendrait comme avant. C’est dans ce sens-là que concluait aussi une note des Renseignements. Le terrible dénouement de la polémique lancée par des parents d’élèves et des notables musulmans contre Samuel Paty fait bien comprendre comme on a laissé dégénérer la situation, depuis des années. Un établissement de l’Education Nationale dans une banlieue à forte présence musulmane, c’ est comme une petite place forte de moins en moins défendable subsistant dans un environnement de plus en plus hostile. Le gros de l’armée s’est retiré. On reçoit des ordres de fermeté mais comment les appliquer? Cela fait bien longtemps que l’on a renoncé à enseigner l’histoire de la Shoah; l’enseignement de sciences naturelles devient de plus en plus difficile face à des élèves qui pensent et disent que la science ne peut pas contredire le Coran. Le collège de Samuel Paty n’avait pas encore basculé dans l’auto-censure générale et le professeur continuait courageusement, année après année, à proposer un cours sur la liberté d’expression - mais en proposant aux élèves musulmans de quitter la salle de cours....

En vérité, au rythme où vont les choses, il pourrait venir un moment où un certain nombre d’établissements de l’Education nationale se transformeraient « silencieusement » en « écoles coraniques ». Samuel Paty témoignait d’une sorte de réflexe de survie instinctif, d’un appel au secours de l’école de la République qui ne veut pas disparaître. 

Une occasion de se débarrasser de ce « en même temps » face à l’Islam qui remonte au moins à Nicolas Sarkozy

C’est au sommet de l’Etat qu’il faut se transporter. Le président de la République défend le « droit au blasphème » mais il laisse les derniers « hussards de la République » sans défense sur le terrain. On annonce un combat contre le « séparatisme » mais on ne mesure pas ce que cela signifie en termes de mobilisation générale. On voudrait être ferme face à l’Islam radical mais on continue « en même temps » à prôner le vivre-ensemble, à dénoncer « l’extrême-droite » en plaçant sur le même plan que l’islamisme des personnalités courageuses qui, depuis des années, expliquent que l’on manque de lucidité face au fondamentalisme religieux qui refuse la séparation du temporel et du spirituel. On prétend structurer un « islam de France » sans voir qu’à la différence du judaïsme et du christianisme, l’Islam refuse la distinction qui constitue l’Occident: la séparation du spirituel et du temporel, c’est-à-dire la laïcité. On ne pourra dialoguer qu’avec des individus musulmans, à condition qu’ils respectent les lois de la République. A eux de s’arranger avec l’absence de distinction entre Dieu et César qu’implique leur croyance. Ce n’est pas le problème de l’Etat, qui ne peut traiter qu’avec des citoyens et des instances représentatives acceptant les principes de la laïcité.

Parce qu’elle est démunie face à la violence, l’Education Nationale révèle soudain, au prix d’un terrible assassinat, l’impossibilité du « en même temps ». On ne peut pas défendre la laïcité et en même temps faire des concessions à l’intimidation d’associations à visée fondamentalistes, accepter la prolifération des mosquées sans contrepartie, laisser sans contrôle des flux financiers entre les pays musulmans et la France. Emmanuel Macron n’est pas le premier à vivre dans la contradiction. Laissons lui, d'ailleurs, par la manière Dont il a prôné ouvertement le « en même temps », la possibilité de s’apercevoir d’une erreur qu’il partage avec au moins ses deux prédécesseurs: la première attaque contre les locaux de Charlie Hebdo avait eu lieu en 2011, Nicolas Sarkozy étant président. Les premières victimes de la violence d’un tueur apparemment isolé, en fait radicalisé au sein d’un réseau, furent celles de Mohamed Mérah à quelques semaines de l’élection présidentielle de 2012. 

Sortirons-nous lucides d’une bien sombre décennie, où 267 Français ont perdu la vie dans des assassinats à motivation islamiste par suite de l’absence de courage et de lucidité au sommet de l’Etat? Et où, plus profondément, l’islamisation de territoires entiers, avec un basculement programmé de l’école de la République, a progressé à une vitesse terrifiante ? 

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