Dean 441 2007 coque No 46
Homologué Saint Vincent & Grenadines
Ancien pavillon France Sables d'Olonne
Réparé certifié remontage en cours après renforcement cadres de portes et dislocations
4 cabines doubles classe A, 2 balises EPIRB, gilets standards et autogonflables
Survie Viking 8 personnes d'origine
180'000 € tout remonté 100'000 € en l'état, dépend des travaux en cours
Visible en mer Caraibes, convoyage sur Europe ou USA possible
Contact o.liengme@gmail.com ou +596 (0) 696 00 69 51
Électronique Raymarine lecteur cartes E80 avec commande intérieure à distance
ST60 avec loch speedo pilote autohelm avec vérin de secours
Module vent, profondimètre, radar, AIS Raymarine VHF de bord et portable
Navtex, BLU avec Pactor
Moteur neuf Yanmar 45 HP 23 Heures, Vetus 5 ans 1000 heures
Guindeau neuf Lewmar, ancré delta neuve, chaîne très récente
Dinghy Caribe 9 pieds 2009, moteur hors bord Nissan 9.8 CV 2T
1 frigo isotherm neuf 2009, 1 frigo double Dometic 2009
Gasinière ENO 3 feux four ENO 2009 microondes Moulinex 3 fonctions 2 plaques électriques 220V
Grille Pain Moulinex etc...
Chargeur inverseur Victron 3000+ avec télécommande, 2005
Génératrice d'appoint 2.2 kW Honda 2009
Outillage électrique 220V très complet, sauteuse circulaire défonceuse meuleuse perceuse etc...
Très nombreux produits
Surnommée l’île aux fleurs, la Martinique possède quelques endroits secrets où toute la beauté de la nature s’incarne. C’est le cas de Dlo Ferré, qui veut dire « Eau de Fer » en créole. Il s’agit d’une source chaude située en bord de mer, dans la commune de Petite Anse, au sud-ouest de l’île. C’est le genre d’endroit qui est encore assez peu connu en Martinique, une sorte de petit trésor de la Nature que seuls quelques privilégiés connaissent.
Cette source se trouve au pied du Morne Jacqueline, qui culmine à un peu plus de 200 m d’altitude, juste au-dessus de la baie de Petite Anse.
Le patrimoine
Le site de Dlo Ferré, qui est classé patrimoine protégé, s’est formé grâce à une source d'eau chaude issue d'un réservoir naturel qui affiche une température de 180°C, rien de moins!
Et la question que vous vous posez sûrement à présent, c’est de savoir s’il est possible de s’y baigner. Eh bien, la réponse est oui! Pour cela, il vous faudra stationner votre véhicule près de la plage et marcher ensuite une quinzaine de minutes en suivant le panneau « Dlo Ferré ». Cette petite balade vaut le coup. Vous pourrez ensuite vous relaxer dans un des bassins de source chaude et profiter de ce trésor de la Martinique qui vous fera prendre le plus agréable des bains, à 35°C.
Dlo Ferré situé à Petite anse sur la commune des Anses d'Arlet
Un petit bassin aménagé pour recueillir une source thermale en bord de mer, à Petite Anse. Très belle vue sur la baie, mais en ce qui concerne la baignade le site est de plus en plus fréquenté...
Neuf images de Wuhan, la ville chinoise coupée du monde à cause du coronavirus
Wuhan, ville de 11 millions d’habitants dans le centre de la Chine, est le foyer de l’épidémie de coronavirus qui a tué plus de 100 personnes. Les autorités ont coupé la métropole tentaculaire du reste du monde. Faisant d’elle une ville fantôme.
À quoi ressemble une métropole de 11 millions d’habitants coupée du reste du monde, et dont la plupart des résidents restent cloîtrés chez eux ? Pour répondre à cette question, il faut tourner le regard vers Wuhan, dans le centre de la Chine. C’est l’épicentre de l’épidémie de coronavirus qui a déjà tué plus de 100 personnes.
En réaction, jeudi 23 janvier, le gouvernement chinois a décidé de confiner la métropole tentaculaire. Dans la foulée, la mesure a été étendue à la quasi-totalité de la province du Hubei, dont Wuhan est la capitale. En tout, quelque 56 millions de personnes sont concernées. Plusieurs pays ont d’ailleurs décidé de rapatrier leurs ressortissants coincés sur place, dont la France.
Trottoirs déserts
Dans les secteurs confinés, les transports publics ne fonctionnent plus et les gares sont fermées tout comme « la plupart des commerces », relève l’Agence France-Presse (AFP).
À Wuhan, la circulation des véhicules jugés « non essentiels » est interdite. Les habitants sont invités à rester chez eux, et la plupart d’entre eux ne sortent pas.
Conséquence, Wuhan est devenue une ville fantôme. Des images, saisies par les reporters des médias internationaux ou des habitants de la ville, montrent des trottoirs déserts, de grandes artères ou de larges voies rapides entièrement vides.
La ville est « étrangement calme », relève le journaliste américain Chris Buckley, du quotidien américain The New York Times, qui se trouve actuellement à Wuhan.
« La peur, la colère et le courage cohabitent »
Sur le réseau social Twitter, il publie de nombreuses photographies et vidéos des rues désertes. Il y partage, aussi, des témoignages recueillis auprès des rares résidents qui s’aventurent à l’extérieur, toujours avec un masque de protection sur le visage. Une manière de prendre le pouls de la ville, et d’avoir un aperçu de l’ambiance sur place.
Son ressenti ? « Pour beaucoup d’habitants de Wuhan, plusieurs émotions cohabitent. La peur, la colère, mais aussi le courage », écrit-il sur Twitter.
Si la plupart des rues de Wuhan sont vides, d’autres secteurs semblent plus animés. Notamment les abords des hôpitaux, où viennent se faire soigner les personnes qui présentent des symptômes de la maladie, relève encore Chris Buckley.
Autre partie de la ville particulièrement animée : le chantier d’un nouvel hôpital, destiné à accueillir les patients souffrant du coronavirus.
Les travaux ont démarré vendredi, et les autorités veulent bâtir ce nouvel établissement en dix jours. Une véritable course contre la montre. Cet hôpital de 25 000 m² et d’une capacité d’un millier de lits devrait ouvrir ses portes le 3 février.
Où sont passées les 400 millions de tonnes de CO₂ rejetées par les incendies australiens ?
Par Cathy CLERBAUX, directrice de recherche au CNRS, laboratoire LATMOS, Institut Pierre Simon Laplace (Sorbonne Université), et Pierre COHEUR, professeur, chimie de l’environnement (Université Libre de Bruxelles).
Vues de l’espace, les fumées dégagées par les incendies en Australie sont très impressionnantes. En deux semaines, depuis le 31 décembre 2019, elles ont fait le tour de la Terre et sont revenues près de leur point de départ, dans la région de Sydney.
Après des mois de temps exceptionnellement chaud et sec, des centaines d’incendies ont carbonisé une superficie de l’Australie dépassant les 10 millions d’hectares, soit trois fois la surface de la Belgique. Des milliers de maisons ont été détruites et on déplore, selon un dernier bilan, une trentaine de morts.
Outre les dégâts incommensurables causés à la faune et à la flore, les feux émettent également une quantité massive de gaz et de particules dans l’atmosphère. Vu de l’espace, le spectacle est impressionnant : en deux semaines, depuis le 31 décembre 2019, les fumées portées par les vents ont fait le tour de la Terre et sont revenues près de leur point de départ, dans la région de Sydney.
L’atmosphère sous surveillance
Notre équipe surveille la composition de l’atmosphère en continu depuis 13 ans, grâce à IASI, un instrument exceptionnel embarqué à bord des satellites Metop. Ces satellites météorologiques surveillent l’atmosphère depuis une orbite polaire, à environ 800 km d’altitude ; ils passent matin et soir à chaque endroit du globe.
IASI est ce qu’on appelle un spectromètre à transformée de Fourier, enregistrant le rayonnement infrarouge émis par la surface de la Terre. Quand ce rayonnement traverse l’atmosphère, il interagit avec les molécules qui se trouvent sur le trajet, entre le sol et le satellite. Si le ciel est clair, l’analyse du signal reçu fournit une information des concentrations des gaz à l’endroit de la mesure ; si le ciel est nuageux, l’observation n’est possible qu’au-dessus du nuage.
Comme chaque gaz possède une signature spécifique, un peu comme un code-barres pour un article de supermarché, les passages successifs du satellite permettent de surveiller, depuis l’espace, les gaz qui se déplacent autour du globe. Les trois instruments IASI fournissent plus de 3,5 millions d’observations chaque jour. Si vous mettez 10 minutes à parcourir cet article, ce sont plus de 25 000 observations à analyser qui se seront accumulées pendant ce laps de temps…
Des feux partout
Nous disposons désormais d’une base de données colossale qui nous permet de suivre, au jour le jour, à la fois les émissions de gaz observées de manière fréquente ou récurrente (pics de pollution, gaz à effet de serre, surveillance de la couche d’ozone en Antarctique) et les évènements qui se produisent à des endroits et des moments inattendus, comme les éruptions volcaniques ou les grands feux.
Pour les méga-incendies, les cartes des six derniers mois montrent une situation exceptionnelle, avec différentes régions du globe en proie aux flammes durant des semaines : outre les feux récurrents dans les régions qui pratiquent l’agriculture sur brûlis – Afrique et Indonésie tout particulièrement – les observations quotidiennes montrent des fumées consécutives aux feux dévastateurs de 2019 qui ont eu lieu dans les régions boréales en juillet-août, en Amazonie entre août et octobre, et en Australie depuis septembre.
Que voit-on par satellite ?
La composition de l’air que nous respirons est bien connue des scientifiques : il s’agit essentiellement d’azote et d’oxygène (à 99,9 %) ; avec des concentrations bien moindres, on retrouve aussi des quantités significatives de gaz comme la vapeur d’eau (H₂0), le dioxyde de carbone (CO₂), le méthane (CH4), les oxydes d’azote (NOx), l’ozone (O3), le monoxyde de carbone (CO), etc. Ils constituent « le fond de l’air » et, comme ils interagissent avec la radiation infrarouge, ils sont visibles sur les données du satellite.
Ce qu’on peut observer depuis l’espace, c’est qu’en plus des cendres et du carbone-suie (particules), les feux de végétation émettent un cocktail de gaz toxiques qui peut varier en fonction du type de végétation brûlée (forêt, savane, toundra, broussailles, etc.). Ces fumées composées de gaz et de particules se déplacent ensuite au gré des vents, plus ou moins loin selon leur persistance dans l’atmosphère et leur altitude d’injection.
Les panaches de fumée sont principalement composés de CO₂ et de CO – deux gaz directement lié à la combustion – et de particules (suies). Une multitude d’autres composés sont aussi présents (HCN, NH3, composés organiques volatiles, etc.), mais certains restent moins longtemps dans l’atmosphère et ne sont vus du satellite que tout près des feux.
À quelle altitude s’échappent les fumées ?
Durant la première semaine de janvier 2020, une succession exceptionnelle de « nuages de feu » a été observée. Les scientifiques utilisent le terme pyrocumulonimbus pour désigner ces nuages gigantesques qui s’élèvent parfois au-dessus des panaches de fumée des feux ou des éruptions volcaniques.
La formation de pyrocumulus requiert que les feux brûlent suffisamment pour créer un courant d’air surchauffé qui s’élève très rapidement. Lorsque l’air chaud monte et se répand, il se refroidit, ce qui entraîne la condensation de la vapeur d’eau et la formation de nuages. Dans certaines conditions, de puissants courants ascendants peuvent créer des nuages qui s’élèvent sur plusieurs kilomètres et se transforment en véritables orages lorsqu’ils atteignent le sommet de la troposphère – transformant un pyrocumulus en pyrocumulonimbus. Ces orages présentent de sérieux risques pour les pilotes d’avion en raison des fortes turbulences, et peuvent rendre les feux encore plus incontrôlables en créant des « tornades de feu ».
Les nuages de feu ont fait monter les fumées à des hauteurs inhabituelles dans l’atmosphère, comme l’a confirmé le satellite Calipso qui a observé des particules liées aux feux entre 15 et 19 kilomètres, notamment le 6 janvier 2020. À cette altitude, les suies sont transportées très efficacement par le courant-jet (jet-stream) – un vent rapide et confiné qui se déplace d’ouest en est. Il s’agit d’une sorte de « couloir aérien » qui explique que pour un vol Paris-New York l’aller prendra 45 minutes de plus que le retour !
Jusqu’où les panaches de feux peuvent-ils aller ?
Un élément de compréhension important est que tous les gaz n’ont pas la même persistance dans l’atmosphère. Pour un gaz donné, celle-ci dépend de sa capacité à réagir avec d’autres gaz (réaction chimique), à être détruit par le rayonnement solaire (réaction photochimique) ou à se redéposer sur le sol (dépôt sec ou humide).
Certains gaz sont très réactifs et sont détruits en quelques secondes ou quelques minutes. Même s’ils sont émis en concentration élevée, ils sont détruits quasi instantanément et sont, pour la plupart, invisibles depuis l’espace. D’autres gaz restent quelques heures ou quelques jours. Ils sont détectables par les satellites mais uniquement à proximité immédiate de la source d’émission. Certains gaz, quant à eux, persistent dans l’atmosphère plusieurs mois ou plusieurs années, ce qui leur permet d’être transportés loin de leur source d’émission.
Selon les vents dominants, faire le tour de la Terre leur prendra entre deux et quatre semaines, ce qui est facilement observable par nos instruments puisque nous disposons des cartes deux fois par jour. C’est le cas du CO (dont la durée de vie est d’environ deux mois) et du CO₂ qui reste plusieurs dizaines d’années dans l’atmosphère. Mais l’équateur agit comme une sorte de barrière dynamique qui empêche les masses d’air de l’hémisphère Nord de se mélanger avec celles de l’hémisphère Sud (et vice et versa).
Les gaz à effet de serre constituent une exception car leur durée de vie de plusieurs années, parfois plusieurs dizaines d’années, leur permet à long terme de se répartir partout sur la planète.
En ce qui concerne les fumées australiennes, elles ont donc circulé à latitude constante, partant de la région de Sydney puis passant par l’Amérique du Sud, en survolant des parties de l’Antarctique, puis en revenant dans la zone d’émission par l’ouest (ci-dessous, le déplacement du CO enregistré entre le 3 et le 13 janvier 2020).
Les cendres et le monoxyde de carbone n’atteindront donc pas l’hémisphère Nord et seront dissipés avant. En revanche, le CO₂ se répartira partout et participera au réchauffement climatique global dans des proportions significatives.
D’après des estimations réalisées mi-janvier, 400 millions de tonnes de dioxyde de carbone auraient été rejetées dans l’atmosphère par les feux australiens, soit presque l’équivalent des 445 millions de tonnes rejetées par la France durant toute l’année 2018…
Le film documentaire [INÉDIT] « Sous-marin La Minerve : 50 ans de mystère », Revoir la Vidéo intégrale en Replay Streaming, Diffusé le Mardi 21 janvier 2020 à 20h55 sur RMC Story "Numéro 23". Coulés au large de Toulon en 1968 et 1970, «Le Minerve» et «l’Eurycide» sont les plus grandes énigmes de toute l’histoire de l’armée française... Le 27 janvier 1968, le sous-marin «La Minerve» coule au large de Toulon avec 52 membres d'équipage à son bord. Pendant plus de 50 ans la disparition de ce sous-marin est resté un véritable mystère 9docu.net. Ce n'est qu'en juillet 2019 que le bâtiment a été retrouvé au large de Toulon, à la suite de nouvelles recherches engagées par le ministère des armées. Il repose par 2 370m de fond, à 45km au large de Toulon. Hervé Fauve, le fils du dernier commandant de « La Minerve » témoigne. Il met en lumière les nombreuses années d'investigations. Panne technique, collision, prémices de la guerre nucléaire ? Comment ce géant des mers a-t-il mis plus d'un demi-siècle à être retrouvé ? Enquête sur ce qui semble une affaire d'Etat... Telecharger ou Revoir Le film documentaire « Sous-marin La Minerve : 50 ans de mystère », Vidéo disponible en intégralité, en Replay ou Streaming intégral Gratuitement sur "https://9docu.net". Le film documentaire « Sous-marin La Minerve : 50 ans de mystère », Vidéo en Rediffusion du Mardi 21 janvier 2020, disponible en streaming replay. Voir ou regarder Le film documentaire « Sous-marin La Minerve : 50 ans de mystère », Vidéo du Mardi 21/01/2020 diffusé sur RMC Story "Numéro 23".
Titre de documentaire :Sous-marin La Minerve : 50 ans de mystère - RMC Story "Numéro 23"
Titre d'émission : Sous-marin La Minerve : 50 ans de mystère