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On commence avec notre jeu du jour. Quelle phrase, sur Macron, Borne a-t-elle finalement supprimé de son livre Vingt mois à Matignon ? • «Imagine-t-on le général de Gaulle photographié sur un jet-ski ?»
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Hier soir, lundi 11 novembre aux environs de 20h45, quatre individus, emmenés par Rodrigue PETITOT, ont forcé le cordon de sécurité qui protégeait le portail d'entrée de la résidence préfectorale, domicile du préfet, alors que celui-ci recevait les élus de l'île à l'occasion de la venue en Martinique du ministre chargé des outre-mer.
Ils ont voulu pénétrer dans le bâtiment de la résidence, en exigeant d'être immédiatement reçus par le ministre. Le préfet s'est interposé afin de leur interdire l'accès. Il a insisté sur le fait qu'il était inacceptable de s'introduire ainsi par la violence, sans autorisation, dans un domicile privé. Il a rappelé que toute association ou syndicat pouvait, à l'occasion d'un déplacement officiel, solliciter une audience en contactant la préfecture. Il a souligné qu'aucune demande ne lui était parvenue et a demandé aux intrus de quitter immédiatement les lieux. Face à la virulence de l'attitude de ces individus, les policiers sont intervenus pour les refouler vers le portail.
Ce comportement est inacceptable, inimaginable, intolérable.
#ViolencesUrbaines
Mardi 12 novembre en début de soirée, 350 personnes se sont rassemblées devant l'hôtel de police de Fort de France. Certains, cagoulés, ont menacé les policiers présents de mort, et d'incendier le bâtiment. A 20h50, des tirs ont ciblé des gendarmes mobiles stationnés aux abords, causant 3 blessés légers. Des émeutiers armés ont affronté les forces de sécurité avec des jets de projectiles et de cocktails molotov. L'attroupement violent a été dissipé par l'usage de la force, conformément au cadre légal en vigueur.
Pendant une partie de la nuit, des émeutiers ont multiplié les débuts d'incendies de véhicules ou de bâtiments dans le centre ville de Fort-de-France et à Saint Joseph, ainsi que quelques barrages isolés sur le territoire.
6 magasins du centre ville de Fort-de-France ont été pillés. Ces commerces représentent la vie du centre foyalais et leur dégradation affecte directement le développement de la ville capitale. Leur fermeture même temporaire pénalisera la vie des habitants.
8 individus ont été interpellés