samedi 25 septembre 2010

éTé 2010

un petit topo de notre été 2010
sinon tvb

je t embrasse

Barbara



Nous avons passé l’été au Venezuela…quand même…

Malgré les annonces de « radio-cocotier » le déconseillant, et, jusqu’ici, tout s’est très bien passé, sauf qu’il n’y avait personne pour ainsi dire, et chacun dans son coin en général, souvent les voiliers n’arboraient même pas leur pavillon et ne semblaient pas avoir fait les formalités (s’ils sont contrôlés il suffit de dire qu’on est en transit)

Arrivés début juillet aux Testigos, nous avons été saluer Chen-Chen et Nelly et sommes restés quelques jours.

Ensuite cap sur Margarita

Puis c’est Porlamar, escale obligée pour faire les formalités lorsqu’on a prévu d’y séjourner trois mois :

Juan n’avait pas la pêche : pense donc : même pas vingt voiliers en rade ! Imagine le manque à gagner pour lui ! et en plus pas en bonne santé : la goutte, avec un gros orteil qui le fait souffrir…à cause de l’alcool- Arrivés le jeudi nous sommes allés d’abord à Sigo dès le lendemain pour acheter à manger tandis que les autres (nous étions en flottille) commençaient à « ramer » pour les formalités- on les a laissés faire- et, le lundi, on a déposé nos papiers à Juan, avec qui ils s’étaient entendus pour le tarif ! On a tous eu nos visas le jeudi puis encore un tour à Sigo le vendredi- et départ le samedi pour la Tortuga : là nous étions seuls à faire route, les autres préférant aller à la Blanquilla-

Nous sommes restés 19 jours aux Palanquinos, sans voir presque personne, en tout cas pas plus d’un jour ou deux.

Puis départ pour les Roques : arrêt à Sebastopol (Buchiyaco) pour les lambis (trois bateaux) puis Gran Roque, pour pouvoir téléphoner à ma mère qui venait de se faire hospitaliser, traversée vers l’ouest de l’archipel, quelques jours à Bequeve dans le chenal entre Elbert et Caya de Agua (là j’ai pêché trois très beaux « casques » à la magnifique porcelaine)- puis départ pour les Avès où nous sommes restés 24 jours ! 4 voire 5 voiliers, mais chacun posé dans sa « mare » (lagon n°1 ou 2 ou 3 ou bien sur le reef) et aussi Caya Oeste avec sa belle plage de sable blanc.

Puis visite au sanctuaire commémoratif du passage des voiliers (les noms sont encore là, un peu effacés parfois, mais témoins du passage…)

Comme les langoustes se faisaient rares nous avons remis le cap à l’est et retour à Bequeve.

Maintenant nous sommes à nouveau aux Palanquinos à la Tortuga

Depuis le mois d’août nous écoutons le bulletin de RFI chaque matin car nous sommes en pleine saison cyclonique : les cyclones (ouragans ou tempêtes tropicales) Danielle, Earl, Fiona, Gaston( !), Hermine, IGOR et JULIA en ce moment… s’il y a de la houle qui se forme-vu qu’il est annoncé une mer grosse à énorme sur nord et sud-Antilles- on ira dans le trou à cyclone au sud-est de Tortuga, Laguna de Carenero. On va voir.

Puis, quand il n’y aura plus de « bêtes à cornes » - une centaine quand même cet été- on songera, en fonction de la météo aussi, à nous diriger ver PLC, Puerto la Cruz, où nous allons mettre au sec et caréner, puis laisser le bateau le temps de rentrer en métropole quelques semaines, à notre villa de Nice et en Bretagne chez maman.

Voila les nouvelles

vendredi 24 septembre 2010

AUX ILES VENEZUELIENNES

Nous avons passé l'été au Venezuela.quand même.




Malgré les annonces de « radio-cocotier » le déconseillant, et, jusqu'ici,
tout s'est très bien passé, sauf qu'il n'y avait personne pour ainsi dire,
et chacun dans son coin en général, souvent les voiliers n'arboraient même
pas leur pavillon et ne semblaient pas avoir fait les formalités (s'ils sont
contrôlés il suffit de dire qu'on est en transit)

Arrivés début juillet aux Testigos, nous avons été saluer Chen-Chen et Nelly
et sommes restés quelques jours.

Ensuite cap sur Margarita

Puis c'est Porlamar, escale obligée pour faire les formalités lorsqu'on a
prévu d'y séjourner trois mois :

Juan n'avait pas la pêche : pense donc : même pas vingt voiliers en rade !
Imagine le manque à gagner pour lui ! et en plus pas en bonne santé : la
goutte, avec un gros orteil qui le fait souffrir.à cause de l'alcool

Arrivés le jeudi nous sommes allés d'abord à Sigo dès le lendemain pour
acheter à manger tandis que les autres (nous étions en flottille)
commençaient à « ramer » pour les formalités- on les a laissés faire- et, le
lundi, on a déposé nos papiers à Juan, avec qui ils s'étaient entendus pour
le tarif ! On a tous eu nos visas le jeudi puis encore un tour à Sigo le
vendredi- et départ le samedi pour la Tortuga : là nous étions seuls à faire
route, les autres préférant aller à la Blanquilla-

Nous sommes restés 19 jours aux Palanquinos, sans voir presque personne, en
tout cas pas plus d'un jour ou deux.

Puis départ pour les Roques : arrêt à Sebastopol (Buchiyaco) pour les lambis
(trois bateaux) puis Gran Roque, pour pouvoir téléphoner à ma mère qui
venait de se faire hospitaliser, traversée vers l'ouest de l'archipel,
quelques jours à Bequeve dans le chenal entre Elbert et Caya de Agua (là j'ai
pêché trois très beaux « casques » à la magnifique porcelaine)- puis départ
pour les Avès où nous sommes restés 24 jours ! 4 voire 5 voiliers, mais
chacun posé dans sa « mare » (lagon n°1 ou 2 ou 3 ou bien sur le reef) et
aussi Caya Oeste avec sa belle plage de sable blanc.

Puis visite au sanctuaire commémoratif du passage des voiliers (les noms
sont encore là, un peu effacés parfois, mais témoins du passage.)

Comme les langoustes se faisaient rares nous avons remis le cap à l'est et
retour à Bequeve.

Maintenant nous sommes à nouveau aux Palanquinos à la Tortuga

Depuis le mois d'août nous écoutons le bulletin de RFI chaque matin car nous
sommes en pleine saison cyclonique : les cyclones (ouragans ou tempêtes
tropicales) Danielle, Earl, Fiona, Gaston( !), Hermine, IGOR et JULIA en ce
moment. s'il y a de la houle qui se forme-vu qu'il est annoncé une mer
grosse à énorme sur nord et sud-Antilles- on ira dans le trou à cyclone au
sud-est de Tortuga, Laguna de Carenero. On va voir.

Puis, quand il n'y aura plus de « bêtes à cornes » - une centaine quand
même cet été- on songera, en fonction de la météo aussi, à nous diriger ver
PLC, Puerto la Cruz, où nous allons mettre au sec et caréner, puis laisser
le bateau le temps de rentrer en métropole quelques semaines, à notre villa
de Nice et en Bretagne chez maman.

mardi 31 août 2010

MEDREGAL

 Quiétude du bout du monde, Medrégal





Une halte comme on en rêve, au milieu de nulle part. Medrégal propose tous les services attendus par un plaisancier: chantier, piscine, chambre d'hôtes, Internet, bar et restaurant très sympas le tout dans une ambiance éco-village.

Jean-Marc, d'origine belge, a monté tout ce projet et propose un accueil décalé et très authentique. On se sert dans le frigo du bar et on note ses consommations sur un carton portant le nom du bateau.
L'ambiance le soir est vraiment d'enfer, hormis la présence impromptue d'un petit Français au discours pestilentiel qui se souviendra longtemps encore, du couple belgo-polonais (Casimir était déchaîné) qui s'est payé sa tête de crétin fascisant. Nous regrettons amèrement de ne pas pouvoir nous attarder, le courant était vraiment bien passé.

lundi 30 août 2010

LOS PELICANOS




Unchanteur français, ex-patron d'entreprise qui avait largué les amarres, sur un bateau en inox construit par ses soins, est venu à bord  avec sa guitare. Il nourrissait une passion pour les pélicans. A vrai dire, là où nous étions c'était obligatoire! Au Venezuela, les pélicans sont particulièrement bien implantés. Il leur a dédié une chanson, jamais je n'ai mieux entendu parler de "Nuestros amigos los pelicanos"... "Ces animaux plutôt pépères qui préfèrent à la guerre leur petit coin d'azur".

J'avoue avoir été fascinée par ces gros oiseaux qui n'ont pas leur pareil de désinvolture et d'ingéniosité à utiliser les airs pour servir leur appétit insatiable.

Voici un album photo en musique que je regarde toujours avec nostalgie... Depuis les Galapagos nous ne voyons plus beaucoup d'oiseaux marins : quelques sternes, des frégates perdues ou des fous qui se posent  mais pas de pélicans.
http://s121758490.onlinehome.fr/edl/photos_pelicans/index.html

La musique et les paroles sont de "tonton jojo", (nom du bateau de Thomas qui vit dans le golfe de Cariaco)

dimanche 1 août 2010

LES PELICANS





Au Venezuela, les pélicans sont particulièrement bien implantés. Il leur a dédié une chanson, jamais je n'ai mieux entendu parler de "Nuestros amigos los pelicanos"... "Ces animaux plutôt pépères qui préfèrent à la guerre leur petit coin d'azur".

J'avoue avoir été fascinée par ces gros oiseaux qui n'ont pas leur pareil de désinvolture et d'ingéniosité à utiliser les airs pour servir leur appétit insatiable.

Voici un album photo en musique, qui date un peu, mais que je regarde toujours avec nostalgie... 

La musique et les paroles sont de "tonton jojo", (nom du bateau de Thomas qui vit dans le golfe de Cariaco)

vendredi 30 juillet 2010

VERS LE VENEZUELA

 

bientôt à nous les îles du Vénézuéla
Après avoir attendu 8j à Margarita dans une baie qui ressemble davantage à un parking à bateaux en pleine ville, où l'eau à la couleur du canal Bruxelles-Charleroi, nous pouvons enfin quitter l'île.
Une attente longue et pénible, d'autant plus que la région n'est pas "secure" et que le moindre déplacement sur l'île doit se faire en taxi, pour des raisons sécuritaires.
1 semaine pour que les autorités effectuent le clearance (formalités administratives d'entrée dans un pays).
Nous avons également du attendre la mise à disposition de la suite des cours des enfants pour le mois d'octobre sur la plateforme internet de la Communauté française.
Ensuite, étant donné que le convertisseur électrique nous a lâché, seul et unique appareil qui permet de faire démarrer l'imprimante à bord, Luc a passé sa journée à chercher une imprimante en ville pour sortir les 2000 feuilles (ce qui représente le travail de 3 enfants pour 1mois, rien que çà), pour la modique somme de 250€. Ce sera la rentrée scolaire la plus coûteuse (achat de l'imprimante, achat du convertisseur, envoi par la poste Belgique/Martinique des premiers cours, impressions au Vénézuéla et ce n'est pas tout car jusqu'à présent, l'imprimante/scanner ne fonctionne toujours pas).

Nous partirons demain matin tôt pour les îles désertes au Nord du Vénézuéla: Blanquilla, Los Roques, Les Aves, Tortuga, ... et sans doute plus d'internet jusque fin octobre où nous remonterons à Grenade.

MARLEYS GRANDSON