vendredi 27 juin 2014







 







28 JUIN 1914










Assassinat d'un archiduc à Sarajevo


28 juin : assassinat à Sarajevo de l'archiduc François-Ferdinand, héritier du trône de l'Autriche-Hongrie et de sa femme Sophie par le nationaliste serbe de Bosnie-Herzégovine Gavrilo Princip, membre de la société secrète de la « Main noire ». Bien qu'organisé à l’insu du gouvernement de Belgrade, c'est l'évènement déclencheur de la Première Guerre mondiale. Charles, un petit neveu de l'empereur François-Joseph Ier d'Autriche, devient premier dans le rang de succession, après l'assassinat à Sarajevo de l'archiduc François-Ferdinand d'Autriche.



Le 28 juin 1914, l'héritier de l'empire austro-hongrois et son épouse sont assassinés à Sarajevo par un terroriste serbe, Gavrilo Princip (19 ans). Imputé à la Serbie par le gouvernement autrichien, l'assassinat va servir de prétexte au déclenchement de ce qui deviendra la Première Guerre mondiale.
Un attentat aux ramifications troubles
Tout commence à Belgrade, capitale de la Serbie, où le chef des services de renseignements, le colonel Dimitrievitch, manipule une organisation secrète terroriste, La Main Noire. Celle-ci prône la réunion de tous les Slaves du Sud (on dit aussi Yougoslaves) autour de la Serbie, principal état slave des Balkans. A l'étranger, elle encourage des mouvements politiques comme celui, resté mystérieux, dont fait partie Princip.
L'assassin et ses complices sont des jeunes gens pauvres originaires de Bosnie-Herzégovine. Cette ancienne province ottomane, dont Sarajevo est la capitale, était devenue un protectorat de Vienne avant d'être formellement annexée par l'Autriche-Hongrie le 5 octobre 1908.
Pour faire avancer la cause yougoslave, Princip et cinq amis, dont un Bosniaque musulman, projettent de leur propre initiative d'assassiner un haut fonctionnaire autrichien. Apprenant l'arrivée à Sarajevo de l'héritier du vieil empereur d'Autriche François-Joseph 1er (84 ans), ils se disent qu'il fera encore mieux l'affaire.
L'archiduc (51 ans) visite Sarajevo en qualité d'inspecteur général des forces militaires.
Une première alerte a lieu le matin quand une bombe tombe près du cortège officiel. Elle rebondit sur la capote de la voiture de l'archiduc et blesse un officier de la voiture qui suit. Son auteur, Gabrinovitch, est arrêté. Un peu plus tard, l'archiduc et son épouse se rendent à l'hôpital pour visiter le blessé mais leur chauffeur se trompe d'itinéraire et dans une ruelle, doit ralentir pour prendre un virage.
Princip, qui se trouve opportunément à proximité, joue le tout pour le tout et tire deux coups de revolver sur la voiture. L'archiduchesse est tuée sur le coup. François-Ferdinand décède au bout de dix minutes. L'assassin est arrêté et rejoint en prison son ami ainsi que plusieurs complices présumés.
La mort tragique de l'archiduc François-Ferdinand et de son épouse, la duchesse de Hohenberg, passe d'abord inaperçue en Europe. Le prince est enterré à Vienne en catimini... Il est vrai que François-Joseph 1er ne l'appréciait pas beaucoup.
Les policiers autrichiens montrent d'emblée un lien entre les assassins et la Serbie. Il apparaît dès lors raisonnable à l'ensemble des chancelleries européennes que Vienne punisse celle-ci. Personne n'imagine qu'un conflit local entre le prestigieux empire des Habsbourg et la Serbie archaïque puisse déraper...
La situation dérape
Le vieil empereur François-Joseph 1er ne veut à aucun prix de complications. La dynastie des Habsbourg a tout à y perdre de même que les Hongrois de l'empire, qui doivent faire face aux revendications des autres minorités : Tchèques, Polonais, Serbes, Italiens, Roumains... Mais le comte Berchtold, ministre austro-hongrois des Affaires étrangères, est impatient quant à lui d'en finir avec l'agitation serbe et, le 4 juillet, sitôt acquises les preuves de l'implication serbe dans l'attentat de Sarajevo, il envoie un émissaire à Berlin pour obtenir l'appui de l'empereur allemand Guillaume II...

28 juin 1914

Décès

 


MORT UN 25 JUIN










 



Michael Jackson : un business en or

Cinq ans après sa disparition, le business autour du "Roi de la pop" est toujours aussi florissant, comme le dénonce un journaliste américain dans son livre "Michael Jackson Inc.".

Les ventes des albums de Michael Jackson se portent toujours aussi bien, cinq ans après sa mort.
Les ventes des albums de Michael Jackson se portent toujours aussi bien, cinq ans après sa mort.

À la fin de sa vie, Michael Jackson se démenait pour éviter la banqueroute, mais, cinq ans après sa mort, le 25 juin 2009, son héritage prospère. "Michael Jackson rapporte plus d'argent maintenant que jamais", dit Zack Greenburg, auteur de Michael Jackson Inc., un livre qui vient d'être publié sur l'empire Jackson. Le "Roi de la pop" se battait pour éviter la banqueroute quand il est mort, il y a cinq ans, en pleine période de répétitions pour une tournée qui devait remplir à nouveau ses caisses.
Depuis, la succession Jackson - la Michael Jackson Estate, qui gère l'héritage de la mère et des trois enfants de la star - a encaissé plus de 700 millions de dollars, dit-il dans son livre. Pourtant, la famille a traversé de nombreuses épreuves. D'abord la mort de Michael, qui repose aujourd'hui au cimetière Forest Lawn, près de Los Angeles. Puis, la série de procès déclenchés par cette mort surprise.

Le plus médiatisé a été celui du docteur Conrad Murray, qui traitait le chanteur contre l'insomnie et lui a donné l'anesthésiant Propofol qui lui a été fatal. Conrad Murray a finalement été reconnu coupable d'homicide involontaire et condamné à quatre ans de prison. Il a été relâché en octobre dernier après deux ans derrière les barreaux.
Puis, il y a eu le procès au civil intenté par la mère du chanteur, Katherine, contre AEG Live, les promoteurs de la tournée. Elle les a accusés d'avoir engagé un médecin incompétent mais a été déboutée.

Michael Jackson en hologramme

L'équipe des exécuteurs testamentaires, conduite par John Branca et John McClain, était déjà néanmoins au travail. Il fallait très rapidement générer des revenus pour combler les énormes dettes contractées par la star au cours des cinq dernières années de sa vie. Au sommet de sa carrière, Michael Jackson, dont Zack Greenburg dit qu'il a "changé pour toujours la façon de capitaliser sur la gloire", rapportait 100 millions de dollars par an avec des succès comme l'album Thriller en 1982, inégalé depuis. Il avait aussi acheté le catalogue des Beatles pour 47,5 millions en 1985, un investissement d'une valeur estimée aujourd'hui à un milliard de dollars.
Mais les accusations de pédophilie portées contre "Bambi" au milieu des années 2000 ont laissé des traces. Michael Jackson, parti vivre un temps à Bahrein, a failli vendre son ranch bien-aimé "Neverland". Dans les dernières années de sa vie, il dépensait énormément et empruntait pour payer ses dettes, qui ont atteint les 500 millions de dollars. C'est alors qu'il a dû envisager de repartir en tournée en 2009.
Après sa mort, une des premières initiatives de la succession a été de lancer, This is It, le film réunissant les images des dernières répétitions, qui a encaissé 200 millions de dollars dans le monde. Sony et les avocats de la succession ont par ailleurs signé un contrat de 200 millions de dollars, selon le Wall Street Journal, prévoyant la sortie de sept albums en dix ans. Des accords ont été signés également avec le Cirque du Soleil pour un spectacle en tournée, "Michael Jackson the Immortal World Tour", et un spectacle permanent à Las Vegas "Michael Jackson One", au casino Mandalay Bay.
Le mois dernier, la star était de nouveau, par hologramme interposé, sur la scène des Billboard Music Award à Las Vegas. Elle y chantait et dansait "A Slave to the Rhythm", enregistré en 1991 et publié dans l'album Xscape en mai dernier. Michael était sorti en 2010. Pour Zack Greenburg, les chiffres sont sans équivalent : "On en est à plus de 700 millions en cinq ans. Pendant ce laps de temps, aucun artiste vivant n'a pu s'en approcher", dit-il. "Sans chercher à savoir où l'esprit du Roi de la pop se niche, une chose est sûre : la marque Michael Jackson se porte bien", écrit-il dans son livre




MORT UN 27 JUIN


jeudi 26 juin 2014

L HABIT FAIT L IMMORTEL....

PLONGEON

Plongeon

LE LIVRE D'ELISE








Elise


Le livre d’Elise 

 L’Art de l’essentiel - Jeter l’inutile et le superflu pour faire de l’espace en soi de Dominique Loreau


Ce que dirait la 4ème de couverture si je l’avais écrite...
  
Dominique Loreau vit au Japon depuis des années et ses conseils justement prodigués sans vous culpabiliser ont bâti sa réputation. L'Art de l'essentiel est un petit guide qui se lit et se relit pour s'alléger la vie et l'esprit. 

Ses conseils pratico pratiques ponctués de poésie vous séduiront tant par le fond que par la forme. 

  
Pour qui ?

L’été est toujours un moment un peu particulier : on fait peau neuve en la dorant, on se repose de l’année écoulée, et puis on médite un peu sur " qui suis-je… où vais-je… ? " " dans quel état j'ère ? "
En tout cas pour moi le terreau des projets à venir  cette année, mon grand projet c’est : de me simplifier la vie.
voir aussi  ici.

Le moment idéal pour le lire  

Lisez ce livre (et je vous conseille d’ailleurs les autres ouvrages de Dominique Loreau comme L’Art des listes, d’ailleurs édité chez Marabout, ou ses kakebos, livres de contes japonais)

Le  petit extrait qui me trotte encore dans la tête… 

 « Nous sommes plus aveugles de tout ce que nous avons que de tout ce que nous n’avons pas. » (André de Lorde, cité dans le livre)

C’est pas moi qui l’ai dit 

« Symptôme étonnant, chaque lecteur(trice) commence à vider ses placards et ses tiroirs après avoir fermé ce livre. Si ce livre nous fait un tel effet c'est qu'il gratte là où ça fait mal et qu'il apaise là où ça nous démange. Un baume, mais pas bête. Pas une pommade, mais un programme. Une incitation à reconsidérer notre mode de vie bouffée par les modes, et à repenser notre art de vivre avec application et sérénité... » (commentaire Amazon signé Yves Gerbal)

MARLEYS GRANDSON