L’abolition de l’esclavage en 1794
"La séance est ouverte" au Vieux-Colombier : Avec le public du théâtre du Vieux-Colombier et 4 comédiens du Français, Michel Favory, Bruno Raffaelli, Loïc Corbery, Samuel Labarthe, reconstitution de 2 grandes séances de la Législative et de la Convention
Les débats sur l'instruction publique de 1792-93
du 26/06/2013
Avec le public du théâtre du Vieux-Colombier et quatre comédiens du Français, Michel Favory, Bruno Raffaelli, Loïc Corbery, Samuel Labarthe nous avons reconstitué deux grandes séances de la Législative et de la Convention :
Jacques Copeau et le Vieux-Colombier
Manuscrit du décret de la Convention nationale du 4 février 1794
abolissant l'esclavage dans les colonies françaises
© domaine public - 2013 / Archives monumerique de Bordeaux
Avec le public du théâtre du Vieux-Colombier et quatre comédiens du Français, Michel Favory, Bruno Raffaelli, Loïc Corbery, Samuel Labarthe nous avons reconstitué deux grandes séances de la Législative et de la Convention :
- celle de 1792-1793 sur l'Instruction Publique,
- celle de 1794 sur l'abolition de l'esclavage.
Manuscrit du décret de la Convention nationale du 4 février 1794
abolissant l'esclavage dans les colonies françaises
© domaine public - 2013 / Archives monumerique de Bordeaux
- celle de 1792-1793 sur l'Instruction Publique,
- celle de 1794 sur l'abolition de l'esclavage.
Marcel Dorigny
Maître de conférences en histoire à l'université de Paris VIII St-Denis
bibliographie
Atlas des esclavages - De l'Antiquité à nos jours
de Marcel Dorigny et Bernard Gainot
éditeur : Autrement
parution : 2013
les liens
Théâtre du Vieux-Colombier
En 1913, Jacques Copeau arpente la Rive gauche à la recherche d’un lieu pour y ancrer ses ambitions théâtrales. Il se fixe au 21 rue du Vieux-Colombier, loin des grands boulevards où fleurissent d’abondants et bruyants théâtres qui ressemblent le plus souvent à de vastes salons bourgeois. Avec une rigueur ascétique, Copeau ouvre cet espace « contre toutes les lâchetés du théâtre mercantile ». Un vent d’enthousiasme souffle, interrompu par la guerre de 1914, mais l’onde de choc est lancée et marque profondément l’aventure théâtrale moderne.
En 1913, Jacques Copeau arpente la Rive gauche à la recherche d’un lieu pour y ancrer ses ambitions théâtrales. Il se fixe au 21 rue du Vieux-Colombier, loin des grands boulevards où fleurissent d’abondants et bruyants théâtres qui ressemblent le plus souvent à de vastes salons bourgeois. Avec une rigueur ascétique, Copeau ouvre cet espace « contre toutes les lâchetés du théâtre mercantile ». Un vent d’enthousiasme souffle, interrompu par la guerre de 1914, mais l’onde de choc est lancée et marque profondément l’aventure théâtrale moderne.
du 24/06/2013
C'était en 1913. Le Théâtre des Champs Elysées offrait "Le Sacre du printemps" et le Théâtre du Vieux Colombier ouvrait. Une fois la guerre passée, jamais Copeau ne retrouva complètement la joie intérieure de cette première saison.Les épaves de Louis XIV
du 21/06/2013
"La Lune" explorée au large d'Hyères date du début du règne. "La Dauphine", qui s'est perdue à l'entrée de Saint-Malo, de la fin... Le siècle de Louis XIV n'aurait pas été "Grand" sans ceux qui ont œuvré dans l'obscurité, sur terre mais aussi sur mer...