vendredi 2 octobre 2020

POLÉMIQUE





 La crise sanitaire est loin d'être terminée. Ce jeudi 1er octobre, Olivier Véran, le ministre de la Santé, l'a bien fait comprendre lors de son point presse hebdomadaire. Paris est au bord de la zone d'alerte maximale et pourrait rejoindre Marseille et la Guadeloupe dès lundi. Si les Français n'en peuvent plus, les stars non plus ! Et elles le font savoir sur les réseaux sociaux : Camille Lellouche enrage de voir le secteur culturel lourdement impacté par cette crise. De même que M Pokora ou Julien Doré comme il l'a prouvé hier sur le plateau de C à vous. De son côté, Philippe Etchebest appelle à manifester ce vendredi. Quant à Nicolas Bedos, son appel à ne plus porter de masque à fait grand bruit . Une tribune qui a fortement divisé les Français, célèbres ou anonymes. Christophe Dechavanne ou encore Hapsatou Sy sont rapidement montés au créneau. Ce jeudi 1er octobre, c'est l'écrivain Marc Levy qui a donné son point de vue en qualifiant le réalisateur "d'enfant gâté."

Quoi faire face à cette crise ?

"Je fais partie de ceux qui ne sont pas les plus mal lotis, parce que mon outil de travail n'est pas compromis. Moi, je vis ça avec beaucoup d'humilité et en essayant de faire du mieux possible pour aider. Moi, je vis dans une ville (New-York) où il y a zéro protection sociale, donc quand vous dites à quelqu'un : 'oui, mais si tu vas travailler, tu mets en danger ma santé, ma vie et celle de mes parents', il répond à juste titre : 'oui, mais moi, si je ne vais pas travailler, ce soir mes enfants mangent pas'. Comment vous voulez être détenteur d'une réponse absolue comme ça", a expliqué celui qui habite depuis 20 ans en Amérique, avant de s'en prendre directement à Nicolas Bedos.

"Je trouve ça débile..."

"Je n'ai rien contre lui, mais quand Bedos nous fait des grandes leçons, je trouve ça débile, idiot, parce que c'est une position d'enfant gâté, idéologique. Moi, j'ai travaillé à la Croix Rouge. Va faire le mariole à l'hôpital dans les services d'urgence, là où il y a des urgentistes qui risquent leur peau en première ligne tous les jours pour sauver des vies", a conclu Marc Levy, qui avoue tout de même ne pas avoir la solution parfaite pour faire face à cette crise sanitaire.

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