mardi 21 mai 2024


Festival de Cannes 2024 : les films de la compétition en images


Découvrez les premières photos des 22 films en compétition lors du 77e Festival de Cannes.

« Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde » d’Emmanuel Parvu. Le synopsis : Adi, 17 ans, passe l’été dans son village natal niché dans le delta du Danube. Un soir, il est violemment agressé dans la rue. Le lendemain, son monde est entièrement bouleversé. Ses parents ne le regardent plus comme avant et l’apparente quiétude du village commence à se fissurer.
* « L’Amour ouf », de Gilles Lellouche. Le synopsis : Les années 80, dans le nord de la France.<br />
Jackie et Clotaire grandissent entre les bancs du lycée et les docks du port. Elle étudie, il traine. Et puis leurs destins se croisent et c’est l’amour fou. La vie s’efforcera de les séparer mais rien n’y fait, ces deux-là sont comme les deux ventricules du même cœur…
« Anora » de Sean Baker. Le synopsis : Anora, jeune strip-teaseuse de Brooklyn, se transforme en Cendrillon des temps modernes lorsqu’elle rencontre le fils d’un oligarque russe.<br />
<br />
Sans réfléchir, elle épouse avec enthousiasme son prince charmant ; mais lorsque la nouvelle parvient en Russie, le conte de fées est vite menacé : les parents du jeune homme partent pour New York avec la ferme intention de faire annuler le mariage…
* « The Apprentice » d’Ali Abbasi. Le synopsis : Véritable plongée dans les arcanes de l’empire américain, THE APPRENTICE retrace l’ascension vers le pouvoir du jeune Donald Trump grâce à un pacte faustien avec l’avocat conservateur et entremetteur politique Roy Cohn.
« Megalopolis » de Francis Ford Coppola. Le synopsis : Megalopolis est une épopée romaine dans une Amérique moderne imaginaire en pleine décadence.<br />
La ville de New Rome doit absolument changer, ce qui crée un conflit majeur entre César Catilina, artiste de génie ayant le pouvoir d’arrêter le temps, et le maire archi-conservateur Franklyn Cicero.<br />
Le premier rêve d’un avenir utopique idéal alors que le second reste très attaché à un statu quo régressif protecteur de la cupidité, des privilèges et des milices privées.<br />
La fille du maire et jet-setteuse Julia Cicero, amoureuse de César Catilina, est tiraillée entre les deux hommes et devra découvrir ce qui lui semble le meilleur pour l’avenir de l’humanité.
« Bird » d'Andrea Arnold. Le synopsis : À 12 ans, Bailey vit avec son frère Hunter et son père Bug, qui les élève seul dans un squat au nord du Kent. Bug n’a pas beaucoup de temps à leur consacrer et Bailey, qui approche de la puberté, cherche de l’attention et de l’aventure ailleurs.
« Diamant brut » d'Agathe Riedinger. Le synopsis : Liane, 19 ans, téméraire et incandescente, vit avec sa mère et sa petite sœur sous le soleil poussiéreux de Fréjus. Obsédée par la beauté et le besoin de devenir quelqu’un, elle voit en la télé-réalité la possibilité d’être aimée. Le destin semble enfin lui sourire lorsqu’elle passe un casting pour « Miracle Island ».
« Emilia Perez » de Jacques Audiard. Le synopsis : Surqualifiée et surexploitée, Rita use de ses talents d’avocate au service d’un gros cabinet plus enclin à blanchir des criminels qu’à servir la justice. Mais une porte de sortie inespérée s’ouvre à elle, aider le chef de cartel Manitas à se retirer des affaires et réaliser le plan qu’il peaufine en secret depuis des années : devenir enfin la femme qu’il a toujours rêvé d’être.
« Grand tour » de Miguel Gomes. Le synopsis : Rangoon, Birmanie, 1917. Edward, fonctionnaire de l’Empire britannique, s’enfuit le jour où il devait épouser sa fiancée Molly. Déterminée à se marier, Molly part à la recherche d’Edward et suit les traces de son Grand Tour à travers l’Asie.
« Caught by the Tides » de Jia Zhang-ke. Le synopsis : Chine début des années 2000.<br />
Qiaoqiao et Bin vivent une histoire d’amour passionnée mais fragile. Quand Bin disparait pour tenter sa chance dans une autre province, Qiaoqiao décide de partir à sa recherche.<br />
En suivant le destin amoureux de son héroïne de toujours, Jia Zhang-ke nous livre une épopée filmique inédite qui traverse tous ses films et 21 ans d’histoire d’un pays en pleine mutation.
« All We Imagine As Light » de Payal Kapadia. Le synopsis : À Mumbai, le quotidien de Prabha est perturbé lorsqu’elle reçoit un cadeau inattendu de son mari parti vivre à l’étranger. Sa jeune colocataire, Anu, essaie en vain de trouver un endroit dans la ville pour faire l’amour avec son petit ami. Un voyage dans un village côtier offre aux deux femmes un espace où leurs désirs peuvent enfin se manifester.
* « Kinds of Kindness », de Yorgos Lanthimos. Le synopsis : KINDS OF KINDNESS est une fable en triptyque qui suit : un homme sans choix qui tente de prendre le contrôle de sa propre vie ; un policier inquiet parce que sa femme disparue en mer est de retour et qu’elle semble une personne différente ; et une femme déterminée à trouver une personne bien précise dotée d’un pouvoir spécial, destinée à devenir un chef spirituel prodigieux.
« La Plus Précieuse des Marchandises » de Michel Hazanavicius. Le synopsis : Il était une fois, dans un grand bois, un pauvre bûcheron et une pauvre bûcheronne.<br />
Le froid, la faim, la misère, et partout autour d´eux la guerre, leur rendaient la vie bien difficile.<br />
<br />
Un jour, pauvre bûcheronne va recueillir un bébé. Un bébé jeté d’un des nombreux trains qui traversent sans cesse leur bois.<br />
<br />
Protégée quoi qu’il en coûte, ce bébé, cette petite marchandise va bouleverser la vie de cette femme la pauvre bûcheronne, de son mari du pauvre bûcheron, et de tous ceux qui vont croiser son destin, jusqu’à l’homme qui l’a jeté du train.<br />
<br />
Leur histoire va révéler le pire comme le meilleur du cœur des hommes.
« Limonov » de Kirill Serebrennikov. Le synopsis : Tout à la fois militant, révolutionnaire, dandy, voyou, majordome ou sans abri, il fut un poète enragé et belliqueux, un agitateur politique et le romancier de sa propre grandeur. La vie d’Edouard Limonov, comme une trainée de soufre, est un voyage à travers les rues agitées de Moscou et gratte-ciels de New-York, des ruelles de Paris au cœur des geôles de Sibérie pendant la seconde moitié du XXe siècle.
« Marcello Mio » de Christophe Honoré. Le synopsis : C’est l’histoire d’une femme qui s’appelle Chiara.<br />
Elle est actrice, elle est la fille de Marcello Mastroianni et Catherine Deneuve et le temps d’un été, chahutée dans sa propre vie, elle se raconte qu’elle devrait plutôt vivre la vie de son père.<br />
Elle s’habille désormais comme lui, parle comme lui, respire comme lui et elle le fait avec une telle force qu’autour d’elle, les autres finissent par y croire et se mettent à l’appeler « Marcello ».
« Motel Destino » de Karim Aïnouz. Le synopsis : Ceará, côte nord-est du Brésil. 30 degrés toute l’année. Chaque nuit, au Motel Destino, se jouent à l’ombre des regards de dangereux jeux de désir, de pouvoir et de violence. Un soir, l’arrivée du jeune Heraldo vient troubler les règles du motel.
« The Girl with a Needle », de Magnus von Horn. Le synopsis : Copenhague, 1919. Karoline, une jeune ouvrière, lutte pour survivre.<br />
Alors qu’elle tombe enceinte, elle rencontre Dagmar, une femme charismatique qui dirige une agence d’adoption clandestine. Un lien fort se crée entre les deux femmes et Karoline accepte un rôle de nourrice à ses côtés.
« Oh Canada » de Paul Schrader. Le synopsis : Un célèbre documentariste canadien, accorde une ultime interview à l’un de ses anciens élèves, pour dire enfin toute la vérité sur ce qu’a été sa vie. Une confession filmée sous les yeux de sa dernière épouse…
« Parthénope » de Paolo Sorrentino. Le synopsis : La vie de Parthénope de sa naissance dans les années 1950 à nos jours. Une épopée féminine dépourvue d’héroïsme mais éprise de liberté, de Naples, et d’amour. Les amours vraies, indicibles ou sans lendemain qui vous condamnent à la douleur mais qui vous font recommencer. Le parfait été à Capri d’une jeunesse insouciante malgré un horizon sans issue.<br />
Autour de Parthénope, les Napolitains. Scrutés, aimés, désillusionnés et pleins de vie, que l’on suit dans leurs dérives mélancoliques, leurs ironies tragiques et leurs moments de découragement. La vie peut être très longue, mémorable ou ordinaire. Le temps qui passe offre tout le répertoire des sentiments. Et là, au fond, proche et lointaine, cette ville indéfinissable, Naples, qui ensorcèle, enchante, hurle, rit et peut nous faire mal.
* « The Seed of the Sacred Fig » de Mohammad Rasoulouf
« Les Linceuls » de David Cronenberg. Le synopsis : Karsh, 50 ans, est un homme d’affaires renommé. Inconsolable depuis le décès de son épouse, il invente un système révolutionnaire et controversé, GraveTech, qui permet aux vivants de se connecter à leurs chers disparus dans leurs linceuls. Une nuit, plusieurs tombes, dont celle de sa femme, sont vandalisées. Karsh se met en quête des coupables.
« The Substance » de Coralie Fargeat. Le synopsis : Avec The Substance, vous pouvez générer une autre version de vous-même, plus jeune, plus belle, plus parfaite…  <br />
Il suffit de partager le temps. <br />
Une semaine pour l’une, une semaine pour l’autre.<br />
Un équilibre parfait de sept jours.<br />
Facile n’est-ce pas ?<br />
Si vous respectez les instructions, qu’est ce qui pourrait mal tourner ?

Pas moins de 22 films figurent en compétition pour la Palme d'or du 77e Festival de Cannes. Voici les synopsis officiels de tous les films.

La liste complète

« The Apprentice », d’Ali Abbasi

Véritable plongée dans les arcanes de l’empire américain, THE APPRENTICE retrace l’ascension vers le pouvoir du jeune Donald Trump grâce à un pacte faustien avec l’avocat conservateur et entremetteur politique Roy Cohn.

« Motel Destino », de Karim Aïnouz 

Ceará, côte nord-est du Brésil. 30 degrés toute l’année. Chaque nuit, au Motel Destino, se jouent à l’ombre des regards de dangereux jeux de désir, de pouvoir et de violence. Un soir, l’arrivée du jeune Heraldo vient troubler les règles du motel.

« Bird », d’Andrea Arnold

À 12 ans, Bailey vit avec son frère Hunter et son père Bug, qui les élève seul dans un squat au nord du Kent. Bug n’a pas beaucoup de temps à leur consacrer et Bailey, qui approche de la puberté, cherche de l’attention et de l’aventure ailleurs.

« Emilia Perez », de Jacques Audiard

Surqualifiée et surexploitée, Rita use de ses talents d’avocate au service d’un gros cabinet plus enclin à blanchir des criminels qu’à servir la justice. Mais une porte de sortie inespérée s’ouvre à elle, aider le chef de cartel Manitas à se retirer des affaires et réaliser le plan qu’il peaufine en secret depuis des années : devenir enfin la femme qu’il a toujours rêvé d’être.

« Anora », de Sean Baker 

Anora, jeune strip-teaseuse de Brooklyn, se transforme en Cendrillon des temps modernes lorsqu’elle rencontre le fils d’un oligarque russe.

Sans réfléchir, elle épouse avec enthousiasme son prince charmant ; mais lorsque la nouvelle parvient en Russie, le conte de fées est vite menacé : les parents du jeune homme partent pour New York avec la ferme intention de faire annuler le mariage…

« Megalopolis », de Francis Ford Coppola

Megalopolis est une épopée romaine dans une Amérique moderne imaginaire en pleine décadence.

La ville de New Rome doit absolument changer, ce qui crée un conflit majeur entre César Catilina, artiste de génie ayant le pouvoir d’arrêter le temps, et le maire archi-conservateur Franklyn Cicero.

Le premier rêve d’un avenir utopique idéal alors que le second reste très attaché à un statu quo régressif protecteur de la cupidité, des privilèges et des milices privées.

La fille du maire et jet-setteuse Julia Cicero, amoureuse de César Catilina, est tiraillée entre les deux hommes et devra découvrir ce qui lui semble le meilleur pour l’avenir de l’humanité.

« Les Linceuls », de David Cronenberg

Karsh, 50 ans, est un homme d’affaires renommé. Inconsolable depuis le décès de son épouse, il invente un système révolutionnaire et controversé, GraveTech, qui permet aux vivants de se connecter à leurs chers disparus dans leurs linceuls. Une nuit, plusieurs tombes, dont celle de sa femme, sont vandalisées. Karsh se met en quête des coupables.

« The Substance », de Coralie Fargeat

Avec The Substance, vous pouvez générer une autre version de vous-même, plus jeune, plus belle, plus parfaite…   Il suffit de partager le temps. Une semaine pour l’une, une semaine pour l’autre. Un équilibre parfait de sept jours. Facile n’est-ce pas ?

Si vous respectez les instructions, qu’est ce qui pourrait mal tourner ?

« Grand tour », de Miguel Gomes

Rangoon, Birmanie, 1917. Edward, fonctionnaire de l’Empire britannique, s’enfuit le jour où il devait épouser sa fiancée Molly. Déterminée à se marier, Molly part à la recherche d’Edward et suit les traces de son Grand Tour à travers l’Asie.

« Marcello Mio », de Christophe Honoré

C’est l’histoire d’une femme qui s’appelle Chiara.

Elle est actrice, elle est la fille de Marcello Mastroianni et Catherine Deneuve et le temps d’un été, chahutée dans sa propre vie, elle se raconte qu’elle devrait plutôt vivre la vie de son père.

Elle s’habille désormais comme lui, parle comme lui, respire comme lui et elle le fait avec une telle force qu’autour d’elle, les autres finissent par y croire et se mettent à l’appeler « Marcello ».

« Caught by the Tide », de Jia Zhang-ke 

Chine début des années 2000.

Qiaoqiao et Bin vivent une histoire d’amour passionnée mais fragile. Quand Bin disparait pour tenter sa chance dans une autre province, Qiaoqiao décide de partir à sa recherche.

En suivant le destin amoureux de son héroïne de toujours, Jia Zhang-ke nous livre une épopée filmique inédite qui traverse tous ses films et 21 ans d’histoire d’un pays en pleine mutation.

« All We Imagine as Light » de Payal Kapadia

À Mumbai, le quotidien de Prabha est perturbé lorsqu’elle reçoit un cadeau inattendu de son mari parti vivre à l’étranger. Sa jeune colocataire, Anu, essaie en vain de trouver un endroit dans la ville pour faire l’amour avec son petit ami. Un voyage dans un village côtier offre aux deux femmes un espace où leurs désirs peuvent enfin se manifester.

« Kinds of Kindness », de Yorgos Lanthimos

KINDS OF KINDNESS est une fable en triptyque qui suit : un homme sans choix qui tente de prendre le contrôle de sa propre vie ; un policier inquiet parce que sa femme disparue en mer est de retour et qu’elle semble une personne différente ; et une femme déterminée à trouver une personne bien précise dotée d’un pouvoir spécial, destinée à devenir un chef spirituel prodigieux.

« L’Amour ouf », de Gilles Lellouche

Les années 80, dans le nord de la France.

Jackie et Clotaire grandissent entre les bancs du lycée et les docks du port. Elle étudie, il traine. Et puis leurs destins se croisent et c’est l’amour fou. La vie s’efforcera de les séparer mais rien n’y fait, ces deux-là sont comme les deux ventricules du même cœur…

« Diamant brut », d’Agathe Riedinger

Liane, 19 ans, téméraire et incandescente, vit avec sa mère et sa petite sœur sous le soleil poussiéreux de Fréjus. Obsédée par la beauté et le besoin de devenir quelqu’un, elle voit en la télé-réalité la possibilité d’être aimée. Le destin semble enfin lui sourire lorsqu’elle passe un casting pour « Miracle Island ».

« Oh, Canada », de Paul Schrader

Un célèbre documentariste canadien, accorde une ultime interview à l’un de ses anciens élèves, pour dire enfin toute la vérité sur ce qu’a été sa vie. Une confession filmée sous les yeux de sa dernière épouse…

« Limonov », de Kirill Serebrennikov

Tout à la fois militant, révolutionnaire, dandy, voyou, majordome ou sans abri, il fut un poète enragé et belliqueux, un agitateur politique et le romancier de sa propre grandeur. La vie d’Edouard Limonov, comme une trainée de soufre, est un voyage à travers les rues agitées de Moscou et gratte-ciels de New-York, des ruelles de Paris au cœur des geôles de Sibérie pendant la seconde moitié du XXe siècle.

« Partenhope », de Paolo Sorrentino

La vie de Parthénope de sa naissance dans les années 1950 à nos jours. Une épopée féminine dépourvue d’héroïsme mais éprise de liberté, de Naples, et d’amour. Les amours vraies, indicibles ou sans lendemain qui vous condamnent à la douleur mais qui vous font recommencer. Le parfait été à Capri d’une jeunesse insouciante malgré un horizon sans issue.

Autour de Parthénope, les Napolitains. Scrutés, aimés, désillusionnés et pleins de vie, que l’on suit dans leurs dérives mélancoliques, leurs ironies tragiques et leurs moments de découragement. La vie peut être très longue, mémorable ou ordinaire. Le temps qui passe offre tout le répertoire des sentiments. Et là, au fond, proche et lointaine, cette ville indéfinissable, Naples, qui ensorcèle, enchante, hurle, rit et peut nous faire mal.

« The Girl with a Needle », de Magnus von Horn

Copenhague, 1919. Karoline, une jeune ouvrière, lutte pour survivre.

Alors qu’elle tombe enceinte, elle rencontre Dagmar, une femme charismatique qui dirige une agence d’adoption clandestine. Un lien fort se crée entre les deux femmes et Karoline accepte un rôle de nourrice à ses côtés.

« Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde » d’Emmanuel Parvu

Adi, 17 ans, passe l’été dans son village natal niché dans le delta du Danube. Un soir, il est violemment agressé dans la rue. Le lendemain, son monde est entièrement bouleversé. Ses parents ne le regardent plus comme avant et l’apparente quiétude du village commence à se fissurer.

« La Plus précieuse des marchandises » de Michel Hazanavicius

 

Il était une fois, dans un grand bois, un pauvre bûcheron et une pauvre bûcheronne.
Le froid, la faim, la misère, et partout autour d´eux la guerre, leur rendaient la vie bien difficile.

Un jour, pauvre bûcheronne va recueillir un bébé. Un bébé jeté d’un des nombreux trains qui traversent sans cesse leur bois.

Protégée quoi qu’il en coûte, ce bébé, cette petite marchandise va bouleverser la vie de cette femme la pauvre bûcheronne, de son mari du pauvre bûcheron, et de tous ceux qui vont croiser son destin, jusqu’à l’homme qui l’a jeté du train.

Leur histoire va révéler le pire comme le meilleur du cœur des hommes.

« The Seed of the Sacred Fig » de Mohammad Rasoulouf

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