Conséquences d'une dissolution décidée et annoncée quasiment en solo par Macron
Pour le plus grand malheur des macronistes, la gauche est parvenue, hier soir, à trouver un premier accord de principe en vue des législatives anticipées : tous unis derrière une bannière Front populaire - à l'initiative de François Ruffin - avec l'idée de proposer «des candidatures uniques» dès le premier tour dans toutes les circonscriptions.
En sortant de sa manche la carte de la dissolution, dès dimanche soir et l'annonce de la dérouillée subie par son camp, Macron a coupé l'herbe sous le pied de ses oppositions.Et surtout, le Président a éloigné la dernière arme qu'il lui reste : la démission.
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