L’horreur sèche de la guerre au quotidien avec des soldats perdus qui font le sale boulot, sans lyrisme ni emphase héroïque.
Classique humaniste : “La Grande illusion”, de Jean Renoir
Dans ce chef-d’œuvre pacifiste, Jean Renoir a recréé un microcosme où se mélangent toutes les classes sociales. Évitant tout manichéisme, son film dénonce l’absurdité de la guerre, tout en exprimant une dimension patriotique.
Enfants résistants : “La guerre des Lulus”, de Yann Samuell
Alors que la Grande Guerre débute avec fracas, quatre jeunes et inséparables orphelins se retrouvent piégés du mauvais côté de la ligne de front. Et vont résister avec leurs armes, la fraîcheur et la candeur. Dès 10 ans.
Surenchère esthétique : “Un long dimanche de fiançailles”, de Jean-Pierre Jeunet
Trois ans après Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain, le réalisateur recrée avec exactitude l’enfer des tranchées. Mais ses chromos séduisent plus qu’ils n’émeuvent.
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