Voici enfin traduit en français ce guide à nul autre pareil, qui a connu un
succès sans précédent aux Etats-Unis. Iles lointaines, merveilles naturelles.
cathédrales, musées, restaurants mythiques, villages perchés, palais, vignobles,
souks... se succèdent au fil des pages, comme autant d'invitations à voyager
tout autour du monde, avec Patricia Schultz. Sa description très personnelle de
chaque lieu est toujours accompagnée de renseignements pratiques fort utiles
(comment s'y rendre, en quelle saison, pour quel prix...). Voyageur infatigable,
amoureux de vieilles pierres et de civilisations anciennes, ou rêveur
impénitent, chacun trouvera dans ce livre de quoi passer des moments
inoubliables. Mark Twain disait: " Dans vingt ans, c'est ce que vous n'aurez pas
fait plutôt que ce que vous aurez fait que vous regretterez le plus. Alors
larguez les amarres (...) Explorez. Rêvez. Découvrez. " " Un livre qui vous
montre les endroits les plus beaux, les plus drôles et les plus inoubliables
partout dans le monde. Impossible de ne pas y trouver son compte. On ne résiste
pas au plaisir d'y jeter un coup d'œil, d'ouvrir une page su hasard et de
s'imaginer marquer de ses pas un endroit merveilleux du globe.
Présentation de l'éditeur
Un livre pour les aventuriers, les
paresseux, les jeunes, les vieux, les baroudeurs, les contemplatifs, les
curieux... 1 000 suggestions et émotions garanties. A l'heure où la
télévision vous montre le monde en très belles images qui peuvent être
trompeuses, rien ne vaut ce guide personnel organisé d'une manière très
ingénieuse avec un index thématique cafés et restaurants, festivals, jardins,
grands hôtels, châteaux, musées, routes inoubliables... "Attention chaque page
donne envie de partir immédiatement "...
Biographie de l'auteur
Patricia Schultz, journaliste, auteur de
guides et de livres de voyage, livre ici le fruit de sept ans de voyages aux
quatre coins du monde. Ce guide, très original, a remporté un succès foudroyant
dès sa parution et vient en premier sur la liste des meilleures ventes de guides
de voyage.
Il y a aussi le cas du livre 1000 Place to See Before You Die
Pour les non RebeccaBlackophones qui n’auraient pas saisi le titre explicite, il s’agit d’une collection de photographies vous donnant envie de prendre 15 ans de vacances, là, tout de suite. Ces photos, ce sont, pour les reporters et photographes auteurs de l’oeuvre, les 1000 lieux sur Terre à voir avant de mourir. Vous imaginez donc qu’en lui-même, le livre est magnifique et un slide-show des différentes photographies aurait été amplement suffisant pour vous mettre l’eau à la bouche. Mais non. Il fallait faire ça bien : l’application iPad vous propose en plus des plans interactifs vous permettant par exemple d’estimer la distance entre votre open-space et l’île paradisiaque au milieu du Pacifique que vous allez rejoindre en rêve à la pause café. Vous pourrez également chercher les lieux proches de chez vous ou ceux qui correspondent le plus à votre intérêt, marquer votre progression sur la carte, faire des check-in pour rendre jaloux vos collègues, bref, le livre était beau, l’application est, en plus, pratique. Un travail remarquable que tout iPad qui se respecte devrait avoir sur lui. Oh, et c’est gratuit « pour une durée limitée » n’attendez pas trop.
Marre de vivre penché ? Envie de vivre une aventure
unique en emmenant votre famille pour la première fois en bateau ? Pas
de doute possible, il est temps de passer au cata...
1- Vous souhaitez naviguer en famille.
Rien
de mieux que le cata pour naviguer en famille... D'abord, chacun
trouve rapidement sa place : le petit dernier sera en sécurité et l'ado
pourra s'isoler facilement sur le trampoline ou dans sa cabine... Et
puis l'espace permet d'inviter des copains. Avantage du cata : Confort et espace à bord. Les enfants trouvent tout de suite leur place à bord.
2- Vous voulez partir avec une bande de copains.
Comment
partir à 8, voire à 10 dans un 40 pieds ? Le cata offre la possibilité
d'embarquer un nombre d'équipiers impressionnant par rapport aux
monocoques. Et le tout dans un confort très appréciable. "A 4 couples
dans un Lagoon 410, on est bien mieux qu'à l'hôtel", dixit l'un de nos
lecteurs, qui vient de découvrir le cata... Avantage du cata : Espace, confort et intimité préservé : le catamaran est idéal pour partir à plusieurs.
3- Vous souhaitez toujours plus de confort.
Alors
là, il n'y a pas photo. Le cata vous offre non seulement de l'espace,
et du confort, mais aussi la possibilité de naviguer avec skipper et
hôtesse... Sans compter le luxe que certaines unités haut de gamme
peuvent offrir... Avantage du cata : Grande surface
habitable, intimité, possibilité d'avoir skipper et hôtesse, le
catamaran est le must en matière de location "haut de gamme".
4- Vous recherchez avant tout la sécurité.
On
vous le dit et on vous le répète : un cata c'est sûr ! Les accidents
sont rarissimes, car la stabilité d'un catamaran permet d'envisager de
manœuvrer bien plus facilement. Et puis si le pire devait arriver, les
catamarans sont insubmersibles ! Un argument essentiel en terme de
sécurité. Avantage du cata : Insubmersible...
5- Vous avez envie de découvrir la voile.
Vous
avez toujours rêvé de faire de la voile, mais la vie a fait que ce
rêve ne s'est pas encore réalisé. Pas de panique, louez un catamaran
avec skipper et le monde nautique ouvrira grand ses portes devant vous. Avantage du cata : très stable, il permet aux novices de s'acclimater beaucoup plus facilement et évite les désagréments du mal de mer...
6- Votre famille s'agrandit.
S'il
est de notoriété publique que les jeunes enfants s'amarinent beaucoup
plus vite que leurs aînés, il n'en reste pas moins que de courir après
un bébé de moins de deux ans sur un monocoque gîté, arrache en général
des cris d'effroi à la mère. Le catamaran, avec ses espaces de vie bien
séparés, permet de laisser les plus jeunes enfants à l'abri... Même si
cela n'empêche pas de respecter scrupuleusement les mesures de
sécurité indispensables. Avantage du cata : Différents espaces de vie, et stabilité du bateau qui permettent une bonne surveillance des enfants.
7- Un choix de plus en plus important chez les loueurs.
Il
y a dix ans, vous n'aviez qu'un choix assez limité chez les loueurs.
Aujourd'hui, devant l'ampleur que prend le multicoque, les loueurs
n'hésitent pas et proposent une offre de plus en plus importante. Du
35' au plus de 70', du sportif, du confortable... Il y en a pour
vraiment tous les goûts ! Il ne reste qu'à faire votre choix ! Avantage du cata : On trouve aujourd'hui tous les types de catamarans à la location.
8- Vous recherchez avant tout le confort au mouillage et en navigation.
TouS
ceux qui y ont goûté ne peuvent plus revenir en arrière... C'est
clair, en location, le cata c'est le top. En navigation, le bateau ne
gîte pas et le passage dans la mer est bien plus agréable. Au
mouillage, l'incroyable surface du cata en fait une plate-forme
fabuleuse pour tous les jeux aquatiques. Bref, pour une semaine ou deux
dans les mers chaudes, on n'a pas encore trouvé mieux ! Avantage du cata : Confort en navigation et au mouillage. Idéal pour passer quelques jours de vacances dans les mers chaudes.
9- Vous recherchez des sensations et aimez avant tout la vitesse.
Bienvenue
dans le monde magique des multicoques. Car s'il est vrai que la
majorité des catamarans, comme des monocoques, de location sont des
bateaux tranquilles, on peut trouver des engins fabuleux, permettant de
s'éclater aussi à la barre... Imaginez-vous à 20 nœuds, votre verre
tranquillement posé sur la table du cockpit ! C'est pourtant facile, en
cata ! Avantage du cata : Vivre vite et confortablement, c'est possible sur de nombreux cata, même en location.
10- Confortable, sécurisant, rapide et offrant une vraie intimité : le cata c'est le top !
Si
vous n'aviez pas envie de naviguer en cata, auriez-vous acheté ce
magazine ? Non, bien sûr... Mais sachez tout de même que les loueurs,
conscients des avantages du catamaran sur le monocoque, proposent de
plus en plus de cata dans leur flotte. Pour le plus grand bonheur d'un
nombre croissant de navigateurs. Avantage du cata : En location, on se demande vraiment comment il peut encore y avoir des monocoques ???
Grace à la technologie offerte par Google nous vous proposons de positionner des lieux géographiquement.
Déplacez-vous sur les points lumineux pour avoir un petit aperçu de chacune des escales.
Nous vous invitons à vous rendre sur le site internet pour accéder aux dossiers complets.
Savons-nous que tous ces cocotiers qui ornent nos plages et nos campagnes sont un patrimoine hérité du passé ?
Découvrons à travers ces lignes quelques éléments de son histoire.
On ignore exactement quel est le pays d'origine du cocotier mais on sait qu'il existe depuis très longtemps.
En effet, des noix de coco fossiles ont été découvertes en Inde et en Nouvelle Zélande, notamment par le professeur E.W. Berry de l'Université John Hopkins. Elles se trouvaient à Mangoni en Nouvelle Zélande, dans des terrains pliocènes ou pré-pliocènes et il les fait remonter à un million d'années.
Nous pouvons donc avancer que le cocotier est probablement originaire de l'Océan Pacifique ou de l'Océan Indien et qu'il est apparu sur tous les continents de deux manières : les noix de coco flottent et ont dérivé au gré des courants marins, puis, par la suite, le cocotier a été introduit par l'homme lors des voyages et des migrations humaines.
On peut penser qu'il a été introduit en Guadeloupe puisque le R.P. Jean Baptiste Du Tertre, missionnaire arrivé en Guadeloupe en 1640, nous dit dans son Histoire Générale des Antilles habitées par les Français, T.2, dans le chapître consacré au coco, à la page 185 : "Le palmiste qui porte ce beau fruict, n'estait pas encore connu dans nos Antilles Françoises, à la première impression de mon livre, de là vient que je n'en ay point parlé. Il y est maintenant fort commun, quoy que cet arbre ne soit pas le plus haut de tous nos palmistes, il est pourtant le plus beau, parce qu'il est chargé du plus grand nombre de fuëilles & bien plus belles que celles des autres [...] quelques unes de ses noix sont aussi grosses que la teste d'un enfant & toutes revestues d'une grosse écorce filasseuse, épaisse d'un ponce, la noix qu'elle enveloppe n'est pas tout à fait ronde, mais elle tient un peu du triangle, son extrémité est barbue & à trois petits trous ronds de la largeur d'une lentille, la coque de cette noix est noire, dure comme de la corne..."
On peut donc supposer en lisant ce passage du R.P. Du Tertre, qui était botaniste, que le cocotier a été introduit chez nous à son époque. Quand on sait que le cocotier géant a été introduit au Brésil pour la première fois en 1553, dans l'Etat de Bahia et qu'il venait du Cap Vert, îles près de l'Afrique, on peut croire que lors des traversées transatlantiques, les voyageurs emmenaient avec eux des plants de cocotiers.
François Cluzet est à l'affiche de 11.6, de Philippe Godeau, film inspiré de "l'affaire Toni Musulin", en salles le 3 avril 2013 Toni Musulin était convoyeur de fonds à Lyon depuis 10 ans avant son casse. Le 5 novembre 2009, il détourne son fourgon blindé avec à l'intérieur, 11.6 millions d'Euros (ce chiffre est donc le titre du film) ! Le Lyonnais finit par se rendre à la police quelques jours plus tard et le butin est retrouvé... avec 2.5 millions manquants. Musulin a toujours nié savoir ou se trouvait l'argent et a finalement été condamné à 5 ans de prison en 2010. 11.6 est librement inspiré du livre d'Alice Géraud-Arfi, "Toni 11.6 - Histoire du convoyeur" paru en 2011. La journaliste est une des rares personnes qui a pu approcher Toni Musulin durant son incarcération. Le Lyonnais est effectivement placé à l'isolement, officiellement pour ne pas subir de pressions des autres détenus afin de lui faire révéler la cachette des 2.5 millions jamais retrouvés.
De plus en plus de gens cherchent à naviguer autrement : à la marge de la recherche, de l’écotourisme, de l’ethnologie, des particuliers ou des associations inventent de nouvelles formes de voyages maritimes, qui ne sont pas sans rappeler celles du siècle des lumières.
La vérité sur les souliers d’Aquilino Morelle et sur les cireurs de chaussures
L’ex-conseiller du président Hollande aurait eu, selon Mediapart, des "comportements inadaptés" dont une passion pour les chaussures de luxe et le cirage à domicile. Décryptage par l’un des grands spécialistes du domaine, Hugo Jacomet, éditeur de Parisian Gentleman et d’Atlantico Chic.
t Crépin, le saint patron des bottiers et des cordonniers ne doit pas en croire ses oreilles saintes : la chaussure masculine serait en train de devenir, en France, un objet de péché !
Pire, le soulier pour hommes est même devenu, en moins de 48 heures, le symbole de la débauche des puissants et de leur attitude arrogante vis-à-vis du peuple.
Rendez-vous compte ! Le conseiller du président Hollande, Aquilino Morelle, par ailleurs inquiété pour une affaire, sans doute plus sérieuse, de conflit d’intérêts, possèderait pas moins de trente paires de souliers (chiffre ramené à dix par l’intéressé) et aurait commis le crime, selon Mediapart, de se faire cirer ses souliers tous les deux mois sur son lieu de travail… !
Le symbole du nanti (socialiste de surcroit) se faisant glacer les souliers au Château par un modeste cireur, suant sur l’ouvrage au milieu des dorures du Palais pour une rétribution modeste est tellement puissant qu’il est passé dans l’esprit du public au premier plan de « l’affaire Morelle », loin devant le conflit d’intérêts supposé.
Le problème c’est que, sur le dossier des chaussures au moins, Mediapart fait preuve d’une grande approximation, tout comme ses confrères d’ailleurs, pour nous vendre le goût immodéré de Monsieur Morelle pour les souliers de luxe.
Car ce que l’on apprend dans Mediapart et dans le Nouvel Obs le lendemain, c’est que l’intéressé serait à la tête d’une importante collection de chaussures de luxe, avec des marques comme, je cite, Weston ou …Davison.
A mon avis, le journaliste (d’investigation) qui a travaillé sur le volet « chaussures » du dossier, ne doit connaître que les Converse pour écrire de telles approximations. Ou peut-être sa rédaction l’a t’elle pressé, vu l’importance que prenait « l’affaire des souliers et du petit cireur » chez les confrères, de donner deux ou trois noms pour faire plus sérieux et plus « investigation » donc. Et d’ailleurs Weston et Davison ca sonne « luxe » et ca rime bien.
Le problème c’est que si Weston est effectivement une très belle marque française de souliers haut de gamme (un fleuron de l’industrie française avec une magnifique manufacture à Limoges et deux tanneries dont une au Puy en Velay), il n’en va pas de même pour Davison, dont le nom est complètement inconnu des amateurs de belles chaussures.
Après vérification, il existe bien une marque Davison, mais qui n’a rien d’une marque de luxe puisqu’il est possible de se procurer des Davison pour … 89 euros sur certains sites et même à moins de 20 euros sur certains sites vendant à prix discount… Ce qui, avouons-le, fait un peu désordre dans une affaire supposée dénoncer les gouts de luxe d’un haut fonctionnaire de l’Etat.
Quant aux souliers J.M. Weston (de très beaux souliers classiques vendus à alentours de 600 euros), vous les trouverez aux pieds de plusieurs milliers de cadres moyens et supérieurs à la Défense chaque jour, ce qui, une fois encore, ne correspond pas à l’idée que l’on se fait d’un produit de luxe, exclusif, inabordable, réservé à une élite, arrogante de surcroit…
Mais le plus grotesque dans cette histoire, c’est l’image qui est donnée du cireur de souliers et surtout comment ce symbole (un homme assis sur un petit tabouret en train de cirer les chaussures d’un autre homme, le surplombant, assis dans un fauteuil confortable) a été utilisé dans certains journaux pour choquer l’opinion publique.
Car s’il est un business en plein renouveau et qui fait preuve d’un formidable dynamisme, c’est bien celui des ateliers d’entretien et de patine de souliers masculins qui a littéralement explosé depuis quelques années et a donné naissance à une génération d’entrepreneurs « cireurs-patineurs » dont certains jouissent aujourd’hui d’une notoriété nationale voire internationale.
C’est le cas de Laurent Di Mascio, dans le 17ème arrondissement de Paris, qui cire, bichonne, patine et entretient les souliers de nombreux amateurs de belles chaussures à Paris et dont le business marche très fort (voir le site)
C’est aussi le cas de Paul « Paulus » Bolten à Paris qui est devenu célèbre en France (et ailleurs) pour l’audace et la créativité de ses patines ainsi que pour ses fameuses « soirées glaçage et patine» où de nombreux amateurs se pressent pour s’initier à cet « art ». Bolten, fort de cette réputation internationale, a même réussi à lancer sa propre ligne de souliers qui commence à faire parler d’elle en dehors de nos frontières (voir le site)
C’est encore le cas de Hom N’Guyen, l’un des noms les plus célèbres de la profession, s’étant fait remarqué pour avoir tatoué un vers des Fleurs du Mal de Baudelaire sur une paire de souliers et pour avoir apporté au domaine un fantastique souffle créatif. Hom est aujourd’hui un artiste peintre accompli et réputé dont les toiles monumentales impressionnent (voir ici)
Enfin, pour en finir avec ce symbole grotesque, les « patineurs-cireurs » d’aujourd’hui ne travaillent quasiment jamais directement aux pieds des clients (hormis dans quelques salons, mais cela tiens plus du folklore) et ont, pour la plupart d’entre eux, une vraie relation et un vrai dialogue de « passionnés » avec leur clientèle.
Quelques paires de Weston et quelques séances de cirage-glaçage facturées généralement entre 10 et 25 euros ne font donc pas de Morelle un « Barry Lindon du 21ème siècle » comme on a pu le lire ici ou là.
Et pour ceux qui souhaiteraient, à la lumière de cette affaire lamentable, en profiter pour en savoir plus sur le formidable secteur du soulier masculin de qualité, nous vous renvoyons vers le guide Parisian Gentleman des souliers masculins (Guide PG des Souliers de Qualité) un guide de passionnés et d’amateurs dans lequel les « fameuses » Davison d’Aquilino Morelle sont définitivement inconnues au bataillon…
Chers adhérents : Voici le premier
numéro du « livre de bord STW », qui va vous informer régulièrement de la vie de
l'association, des Projets en cours et à venir, et bientôt des navigations de
certains d'entre vous, bref de tout ce qui fait l'originalité et la force de
SAIL THE WORLD. Les projets temporaires et les projets
permanents : Comme vous avez pu le lire dans les nouveaux statuts,
les commissions ont évoluées vers des Projets Permanents, auxquels s'ajoutent
des Projets Temporaires dont le but est de réunir, pour un temps, un certain
nombre d'entre vous afin de faire aboutir une idée, un projet pour lequel vous
avez un intérêt ou des compétences que vous voulez mettre au service de
tous. Le Projet Temporaire sur la taxe
Grecque Le mois dernier
Daniel Conversat (Danielloui) débutait le Projet Temporaire à la suite du
travail mené par Ariel Dahan. Il y était rejoint par Claude Peroy (Vent'oses),
Eric Petitjean (Seamarie), Michel Perruchot (Yörük) et Pierre Aubineau (Peio64).
Ariel Dahan y participe également sur le volet juridique. Le 8 avril, le
mémoire rédigé par le groupe de projet a été envoyé au Premier Ministre et au
Ministre des Finances de la République Hellénique, directement au Gouvernement à
Athènes, avec mise en copie à l'Ambassade de Grèce en France, à l'Ambassade de
France à l'ONU et au Ministère français des Affaires Etrangères en vue de les
informer du dialogue. Il est à noter que cette initiative a retenu toute
l'attention bienveillante de la FFVoile et du Conseil Supérieur de la navigation
de Plaisance et des Sports Nautiques Vous pouvez retrouver les avancées de ce
PT (Projet Temporaire) ici
et retrouvez les documents en cliquant sur ces liens :
Le Projet Temporaire sur les balises de
détresses : Initié par François Michel (Pacolarahm), Frédéric
D'Allest (Artimon) et Pierre Merlenghi, à la suite du drame du « Grain de Soleil
», ce groupe s'est interrogé sur les aspects techniques et l'intérêt des
différentes balises. Un rapport sur ce thème a déjà été mise en ligne sur le
forum, Pour le consulter, cliquez
ici. Deux Projets Temporaires en cours de montage
:
La foudre et ses conséquences : Qui
n'a pas été inquiet en mer en voyant la foudre tomber autour du bateau ? Le
foudroiement est en général dévastateur pour l'électronique, voire pire et les
moyens de protection préconisés sont plutôt désuets. L'idée est de faire le
point sur l'ensemble des solutions de protection et surtout de recueillir des
témoignages sur l'efficacité de chacune d'entre-elles, pour à terme, proposer
peut-être des solutions du tonnerre pour le bateau et leurs passagers. Ce
Projet Temporaire est en phase de création, les spécialistes français du domaine
sont très intéressés par vos retours sur ce sujet http://www.labofoudre.com/ Un appel à
candidature est fait auprès de vous tous pour participer à ce projet qui nous
éclair-era tous sur ce foudroyant dossier.
Le vieillissement de l'Inox en milieu marin
: Le projet est à
l'initiative de Philippe Boyer, et Bernard Baroux (Ygern), ancien professeur à
l'INP Grenoble. L'objectif est de constituer un dossier sur les différents
types de corrosions, bien souvent cachées et peuvent être la cause d'un démâtage
suite à l'affaiblissement et à la rupture d'éléments du gréement ou de pièces
maîtresses. A travers ces questions et les réponses apportées vous pourrez
mieux déceler ces corrosions sournoises et anticiper ainsi des avaries
graves. Des conseils pratiques vous seront donnés à partir d'exemples
réels. Le leitmotiv à ne jamais oublier en mer : Mieux vaut prévenir que
guérir ! Le Projet Permanent « Sciences et Océans
» Collaboration avec le projet Argonimaux du CNES : Carole Beaumont
(Caroleb) en charge de ce Projet Permanent vous propose un partenariat avec le
projet Argonimaux du Centre National d'études Spatiales pour permettre à votre
enfant de participer à leurs missions pédagogiques d'observation d'animaux
marins afin de mieux comprendre le mode de vie et les déplacements de ces
animaux et l'influence des variations climatiques et de la pollution sur leurs
trajets. Le CNES organise une rencontre avec les écoles qui participent au
projet Argonimaux du 21 au 23 mai 2014 à La Rochelle. Un appel à jumelage sera
lancé à cette occasion. Un appel vous est lancé, vous qui naviguez avec des
enfants, pour que vous les incitiez à participer à cet excellent projet. Lien
vers présentation globale : Argonimaux, un projet
pédagogique Pour plus d'informations et pour s'inscrire, RDV ici :http://sciencesetoceans-stw.blogs.stw.fr Le Projet Permanent « Veille sanitaire dans
les pays du monde » En collaboration
avec AVS (Association
Voyage et Santé), vous allez avoir très prochainement accès à un service
vous informant des épidémies et autres affections en évolution dans les pays que
vous pourrez aborder. Ce type d'information est très utile pour suivre par
exemple le développement ou l'extinction des épidémies de dengue ou de
Chikungunya aux Antilles afin de prendre les meilleures précautions. Ce
service à disposition des adhérents STW, celui-ci sera réactualisé en permanence
et concernera tous les pays du monde fréquentés par vos navires. Le Projet Permanent « assurances
» Dans le cadre de notre activité associative, nous avons souhaité
qu'un bénévole puisse s'impliquer afin de développer de nouvelles
synergies. Christophe Allan, qui connait très bien le milieu de l'assurance a
décidé de venir en soutien dans cet important dossier. Ancien skipper
professionnel et passionné par la navigation depuis son plus jeune âge, il
dirige actuellement la société spécialisée dans la géo localisation. « Sail
The World est très utile pour tous les marins que nous sommes. Je suis heureux,
aujourd'hui, de pouvoir apporter ma contribution en cherchant des solutions
d'assurances répondant aux projets de tous les amoureux de la mer.» Le service de « Routage Météo
» Lors de notre
dernier sondage, vous étiez 83% à montrer votre intérêt par un tel service au
sein de l'association. Nous avons entendu votre demande et c'est pourquoi nous
allons développer un tel module en collaboration avec le centre de formation.
Cet outil qui permettra à chaque plaisancier d'avoir accès aux services d'un
routeur professionnel sera un élément de sécurité non négligeable à la
disposition de tous. Pour tout renseignement, contactez Laurent Marion,
responsable du centre de formation. Le Projet Permanent « Marinas et Mouillage
» Francis Giniaux (Istos) initiateur du projet est sur les
startings-blocks pour participer à la cure de jeunesse de cette rubrique dans le
cadre de la V2 du site. Autres informations Le développement du site web v2
: C'est l'objectif qui nous mobilise ! Le site développé par
Alain Richard va bientôt être remplacé après 15 années de bons et loyaux
services. Le système d'exploitation est arrivé en bout de course, il est vital
de le remplacer par un système moderne, beaucoup plus souple, beaucoup plus
interactif et moins coûteux en développement et en maintenance. L'interface
sera plus moderne avec des visuels qui ne donneront qu'une envie : naviguer
! Ce printemps va débuter le grand ménage sur le site stw.fr, le webmaster et
l'équipe en place vont se charger d'organiser au mieux cette nouvelle
plateforme. Les Pavillons : Nous avons reçu un
magnifique stock de pavillons STW qui ne demandent qu'à battre joyeusement sous
vos barres de flèches ! Ils sont beaux et nous n'avons pas hésité à choisir pour
vous la meilleure qualité. Un petit mail à votre charmante secrétaire Anaïs
bureau@stw.fr qui se fera un plaisir de vous
l'adresser à réception de votre chèque. Vous serez reconnus et appréciés dans
les marinas et les mouillages, un bon moyen de se faire rapidement des amis
! La Vie de l'association : Cette
année, les finances de l'association sont focalisées sur le développement de
cette nouvelle version du site. Daniel Beaumont, votre trésorier est à la
manoeuvre. Tout ne se fera pas en un jour, les capacités financières de
l'association ne le permettent pas, à moins qu'un généreux mécène entende notre
appel ! Le passage de la cotisation à 40 euros, acceptée par tous, est un
apport très positif, même s'il faut encore limiter les dépenses, en particulier
au niveau des blogs. STW soutient Eric Sommer : Nous
profitons de cette newsletter pour adresser notre soutien à Eric Sommer
incarcéré à Ste Lucie depuis plus de deux ans dans des conditions plus que
difficiles. Nous soutenons les efforts de sa famille afin qu'il ait un procès
équitable très prochainement. Nous espérons que ce premier Livre de Bord vous a intéressé. N'hésitez pas à
nous apporter toutes vos critiques constructives pour faire évoluer ce document
dans le bon sens. Nous ne vous avons pas tout dit. Beaucoup de projets nous
sont proposés. Nous vous en parlerons dans un prochain numéro. Sachez que
nous sommes actifs, à la manoeuvre. Le temps est beau, on a envoyé le spinnaker
! L'équipage est motivé avec pour seule envie que nous naviguions tous ensemble
à bord de ce beau bateau qui s'appelle STW ! A bientôt.
je viens de llire RAPA-NUI , un roman de Leonore Fleischer
sur un scénario de Tim Rose Price et Kevin Reynolds
d'après une histoire de Kevin Reynolds
Une île mystérieuse
un peuple inconnu
une aventure hors du temps
Après des milliers d'années d'isolement, l'île inhabitée la plus reculée de la planète, l'île de Pâques - appelée aussi Rapa-Nui - fut découverte le 5 avril 1722 par un navigateur néerland.ais, Jacob Roggeveen, le dimanche de Pâques : voilà pourquoi il dénomma le lieu ainsi.
Des statues de pierre gigantesques et des objets d'artisanat datant de l'âge de la pierre étaient les seuls vestiges d'une grandiose civilisation disparue...Nul ne sut jamais ce qui s'était réellement passé sur cette île.
"Rapa Nui" est bien davantage qu'une chronique exacte des évènements survenus dans ce lieu mystérieux et envoûtant : c'est le récit de l'incroyable drame qui se joua sur l'île de Pâques en l'année 1680, quand une guerre civile entre ses deux peuplades rivales se déclara...
Un mélodrame autour de l'affrontement de deux castes sur l'île de Pâques au XVIIe siècle, les "courtes oreilles" et les "longues oreilles". Amis d'enfances, Make et Noro vont s'y disputer l'amour d'une femme, Ramana.
Le roman a été inspiré à Kevin Reynolds par les travaux du géographe et géonomiste Jared Diamond, qui de son côté en a tiré un livre intitulé Collapse.
Le livre été écrit par Kevin Reynolds, non sans quelques erreurs :
Rapa-Nui ne signifie pas "nombril du monde" mais "grande lointaine" en langue maori (Te pito o te fenua, "le nombril de la terre", était simplement le milieu de l'île, espace sacré pour palabres et négociations) ;
les "longues oreilles" n'étaient pas "la tribu des aristocrates" mais une classe sociale (en effet privilégiée) de chacun des neuf vai'hu (clans familiaux) de l'île : Aka'hanga, Anakena, Heiki'i, Mahetua, Taha'i, Tepe'u, Tongariki, Va'i Mata et Vinapu ;
les habitants ne se sont jamais imaginés être les derniers hommes sur terre et savaient parfaitement qu'ils faisaient partie du monde maori aux nombreux archipels...
Il s'agit en fait d'une fable écologique et sociale, à vision géonomique montrant, sur une terre limitée, les interactions entre la démographie, l'économie, la religion, les clivages sociaux, la communauté humaine et l'environnement, et les effets domino qui en découlent. L'île et ses habitants symbolisent dans le film la Terre et l'humanité.
Rapa Nui est aussi un film américain réalisé en 1994 à l'Île de Pâques par Kevin Reynolds. Mis en scène par Kevin Reynolds ("Robin des Bois"), produit par Kevin Costner ("Danse avec les loups"), "Rapa Nui" est une superbe fable qui nous amène aux origines d'une fascinante civilisation.
Au XVIIIème siècle, sur l'île de Pâques, surnommée Rapa Nui par des marins tahitiens. Les habitants se composent en deux clans opposés: les "Courtes Oreilles", beaucoup plus nombreux, et les "Longues Oreilles" dominant les premiers et dont le chef les oblige à construire inlassablement, par superstition religieuse, des statues géantes appelées "Moai". Le petit-fils du chef, Noro, veut épouser Ramana, une "Courte Oreille" qu'il aime secrètement, et également convoitée par un rival Courte Oreille, Make. Le grand-père de Noro accepte de s'élever contre la loi et de le laisser se marier à deux conditions, dictées par le grand prêtre Tupa : d'une part Ramana devra rester enfermée dans la Grotte aux Vierges pendant six lunes, d'autre part Noro devra participer à la course de l'homme-oiseau qui consiste à aller récupérer un oeuf à la nage sur une autre île et le rapporter intact. Le vainqueur désignera le prochain chef. D'autre part Make participe également à la course et exige que, s'il gagne, Ramana devienne sa femme. Noro se plie à toutes ces exigences et remporte la course. Il choisit Ramana pour remplacer son grand-père mais les Courtes Oreilles, dirigés par Make, en profitent pour se révolter et mettre le village des Longues Oreilles à feu et à sang, en commençant par détruire toutes les statues Moai. Affamés, ils en deviennent cannibales...