mardi 14 octobre 2014

GONZALO : LE CONSTAT





Cyclone Gonzalo : 3 personnes portées disparues

Les consignes de vigilance cyclonique en vigueur à Saint-Barthélemy et Saint-Martin imposent de "rester à l'abri et de ne sortir sous aucun prétexte".

Photo d'illustration. 

Trois personnes, deux à Saint-Barthélemy et une à Saint-Martin, étaient portées disparues lundi soir lors du passage du cyclone Gonzalo sur ces deux îles, a indiqué le préfet délégué auprès de ces deux collectivités d'outre-mer, Philippe Chopin. Ce dernier qui s'exprimait par téléphone lundi soir dans le journal télévisé de Guadeloupe 1re (France Télévisions) a indiqué que ces trois personnes étaient portées disparues lors de "circonstances maritimes", sans plus de précisions. Il a également précisé que les écoles des deux îles resteront fermées mardi dans le cadre d'un niveau d'alerte "gris" permettant l'évaluation des dégâts provoqués par Gonzalo et la réalisation des travaux les plus urgents.
Le confinement des populations à leurs domiciles et dans les abris anticycloniques ouverts dans les deux îles, les coupures d'électricité et les atteintes aux réseaux téléphoniques, filaire et cellulaire, en lien avec le passage de Gonzalo ne permettaient pas lundi soir d'envisager le contact depuis Pointe-à-Pitre avec des témoins sur place.
Les consignes de vigilance cyclonique violette, en vigueur à Saint-Barthélemy et Saint-Martin depuis l'après-midi de lundi, imposent de "rester à l'abri et de ne sortir sous aucun prétexte", interdisent de "circuler à pied ou en voiture sous peine de sanctions", et recommandent de "n'utiliser le téléphone qu'en cas d'absolue nécessité". L'atténuation des effets de l'ouragan est prévue durant la nuit (heure locale) de lundi à mardi.



Le vent souffle très fort dans les Caraïbes depuis 24 heures. La pluie est également incessante. Une tempête tropicale s'est abattue et elle s'est peu à peu transformée en ouragan. Gonzalo, c'est son nom, a déjà fait de nombreux dégâts matériels mais a surtout provoqué lundi soir la disparition de trois personnes, deux à Saint-Barthélémy et une à Saint-Martin.
Le préfet délégué auprès de ces deux collectivités d'outre-mer, Philippe Chopin, qui s'exprimait par téléphone lundi soir dans le journal télévisé de Guadeloupe 1ère, a indiqué que ces trois personnes étaient portées disparues lors de "circonstances maritimes", sans plus de précisions.
 
 
Des mesures de sécurité ont été prises pour éviter de nouveaux drames. Ainsi, les écoles des deux îles resteront fermées mardi dans le cadre d'un niveau d'alerte "gris". Le confinement des populations à leurs domiciles et dans les abris anticycloniques ouverts dans les deux îles a été recommandé. 
La violence de l'ouragan est telle que les coupures d'électricité et les atteintes aux réseaux téléphoniques ne permettaient pas lundi soir d'envisager le contact depuis Pointe-à-Pitre avec des témoins sur place. Les consignes de vigilance cyclonique violette, en vigueur à Saint-Barthélémy et Saint-Martin depuis l'après-midi de lundi, imposent de "rester à l'abri et de ne sortir sous aucun prétexte".


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ça a soufflé !!!

Gonzalo : les images impressionnantes de l'ouragan

 

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=BtMrHiLS5NQ

Depuis lundi après-midi, la tempête tropicale transformée en ouragan frappe l'est des Caraïbes. Elle a atteint Saint-Barthélémy dans la nuit.

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SI VOUS PASSEZ PAR GRENADE...





Un musée sous-marin, qui n’existe qu’aux Antilles et que l’on doit absolument découvrir, l’art prend une nouvelle forme


Un musée sous-marin, qui n’existe qu’aux Antilles et que l’on doit absolument découvrir, l’art prend une nouvelle forme

 Musée sous l’eau limpide des Antilles

Dans ce musée,  vous retrouverez des sculptures formes variées et de différentes tailles  et, vous ferez une petite virée dans les eaux claires et limpides, qui sont peu profondes, pour offrir aux plongeurs et autres apnéistes, le loisir de parcourir tout le site sans encombre. Ce musée sous l’eau a vu le jour, en 2006.  Il est bon de signaler, que toutes ses œuvres sont en parfaites harmonie avec les éléments de la nature et parfaitement écologiques. A vous d’apprécier !



Après les musées en plein air et autre dans des demeures incroyablement riches en histoires, vous découvrirez le premier musée sous-marin, qui se trouve aux Antilles, dans la baie de Moilinere à Grenade. Des sculptures de  l’artiste anglais Jason de Caires ont été  immergées dans les eaux, pour offrir un récif artificiel d’une originalité parfaite.


Téléchargez le diaporama


Jason de Caires Taylor, sculpteur anglais passionné de plongée sous-marine, a suscité un intérêt important et une reconnaissance pour son travail unique. Sa réputation internationale a été lancée en mai 2006, quand il a créé le premier parc de sculptures sous-marines à  Grenade, aux Antilles, situé dans la baie Moilinere. Les sculptures sont immergées dans un cours d'eau limpide et peu profonde donnant un accès idéal pour les plongeurs, les apnéistes et les bateaux à fond transparent. Son œuvre est soumise au changement des fonds marins, la nature faisant son œuvre. Taylor est actuellement fondateur et directeur artistique du Museo Subacuático de Arte (MUSA) à Cancun, au Mexique.




Ses sculptures sous-marines créent une impression unique, soulignant les processus écologiques naturels, l’artiste explore les relations complexes qui existent entre l'art et  l'environnement. Ses œuvres deviennent des récifs artificiels permettant d'attirer la vie marine, tout en offrant au spectateur privilégié, des rencontres temporelles et rares, sans cesse renouvelées par le changement du milieu marin.



Les statues deviennent le réceptacle d'une vie sous-marine, abris pour les poissons, support pour les micro-organismes, coraux et éponges. Œuvres éphémères qui ont leur propre durée de vie, elles évoluent et périclitent au gré d'une colonisation qui l'absorbe petit-à petit.



L'artiste nous invite à réfléchir sur la disparition progressive d’écosystèmes fragiles. Ces sculptures aident à reconstituer les récifs coralliens menacés de disparition par l'activité humaine, par pollution et le tourisme de masse, mais aussi pour préserver les récifs des typhons de plus en plus violents.



Les statues réalisées par moulage, sont le plus souvent grandeur nature, elles créent un paysage sous-marin peuplé de gens ordinaires. Le résultat esthétique bien qu'énigmatique et poétique, ressemble à si méprendre aux vestiges d’une civilisation disparue, à la fois témoignage pour les générations futures et présence fantomatique de notre quotidien.



L’œuvre de Taylor, poétique et inspirée, invite tout naturellement à la contemplation, et à observer l’image désenchantée d’une archéologie d'un futur devenant berceau d'une nouvelle forme de vie.

Artension No 126 – juillet / août – Les Aventuriers de l’art perdu

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Les Aventuriers de l’art perdu
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 Artension
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No 126
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http://mel.vadeker.net/arts/sculptures/jason-decaires-taylor/sculptures_subaquatiques_Jason_%20deCaires_Taylor.html 

  https://www.google.gp/search?site=webhp&source=hp&q=baie+de+Moilinere+++antilles&oq=baie+de+Moilinere+++antillesgs_l=hp.12...5124.10676.0.12310.13.11.0.0.0.0.514.514.5-1.1.0....0...1c.1.55.hp..13.0.0.0.STf_KLupazg

lundi 13 octobre 2014

CHERE BANANE !...

Martinique : coûteux arraisonnement d’un bananier




Le « Stina » a été immobilisé trois semaines pour rien.
La Marine nationale a dérouté vers Fort-de-France un cargo chargé de bananes, pensant qu’il détenait 3 tonnes de cocaïne. La fouille n’ayant rien donné, l’affaire devrait coûter près de 2 millions d’euros à l’État.
Le Stina a été arraisonné le 16 septembre dernier par la frégate française Ventôse. Il transportait 4 000 tonnes de bananes chargées en Colombie et à destination de l’Algérie.
Mais le renseignement des services américains de lutte anti-drogue était mauvais. Immobilisé à Fort-de-France, avec ses 19 marins philippins et un capitaine d’Europe de l’est, le navire a été fouillé en vain durant trois semaines, avant de pouvoir quitter Fort-de-France le lundi 7 octobre.
« Quand on s’attend à trouver 3 tonnes de cocaïne et qu’on ne trouve que des bananes, on est déçu », a reconnu un représentant de l’action de l’État en mer.
La cargaison ayant dû être détruite, l’État devra rembourser. Selon les producteurs de banane de Martinique, cela avoisinerait les 2,4 millions de dollars, soit 1,8 million d’euros.

Le Stina repart... sans banane et sans cocaïne

Les douaniers n'ont pas trouvé de drogue sur le cargo Stina qui devait donc quitter Fort-de-France


Après trois semaines de fouille active des douaniers, le cargo Stina, suspecté de transporter entre 3 et 6 tonnes de cocaïne, devait repartir alors que les recherches n'ont rien donné. Le coût de l'opération s'annonce très élevé.
Il est venu plein de bananes (4000 tonnes) et plein de promesses pour les douaniers de l'île. Il repart à vide avec ses 19 membres d'équipages mais en laissant sans doute une grosse ardoise sur le sol français.
Arraisonné  en haute mer par la Marine nationale, le Stina, un cargo de 180 mètres de long battant pavillon de la Barbade, est arrivé à Fort-de-France le lendemain. Selon une information « sûre » des services anti-drogue américains, il transportait entre 3 et 6 tonnes de cocaïne dans l'une de ses cales. Contacté hier, Cédric Rollet, de la direction garde-côte des douanes, confirme que ce navire avait attiré l'attention des services douaniers. « Sa taille, son trajet, sa provenance étaient autant d'éléments intéressants pour nous » .
Parti de Colombie, le navire devait se rendre en Algérie selon nos sources, avec plus de 200.000 cartons de 15 à 20 kilos de bananes. Depuis trois semaines, les douaniers, épaulés par les Forces Armées aux Antilles (marins et armée de terre) l'ont donc fouillé de fond en comble. « Il s'agit d'une opération assez classique des douanes » , indique Cédric Rollet, « mais c'est vrai que les fouilles ont été fastidieuses en raison de la grandeur du bateau et du stockage de la banane, avec des cartons les uns sur les autres » .
À QUI LA FACTURE ?
Malgré des premières recherches infructueuses là où devait se trouver la drogue, les opérations se sont ensuite étendues à l'ensemble du bateau. Elles se sont terminées hier matin, une fois toutes les cales vidées et le navire inspecté dans les moindres recoins. Les douaniers ont délivré un procès-verbal relatant les opérations de fouille au capitaine du navire.
Enfin libéré, le Stina devait appareiller hier soir, vidé de toute sa cargaison de banane, de toute façon impropre à la consommation sur le sol français, en raison de normes différentes. Les 4000 tonnes qu'il transportait ont été laborieusement extraites du navire avec une grue puis transportées dans les décharges de l'île pour y être enfouies.
Reste que, pour l'armateur du cargo, la facture risque d'être extrêmement salée. Elle se chiffrerait à plusieurs millions d'euros de perte. Ce dernier, désormais lavé de tout soupçon, pourrait décider, via ses avocats, de se retourner contre les autorités françaises en réparation de son préjudice.
Pour les services de l'Etat concernés, l'opération s'apparente d'ores et déjà à un fiasco très coûteux. L'immobilisation du Stina au port de Fort-de-France aurait coûté environ 20.000 euros par jour. L'utilisation d'une grue pour extraire la banane, encore 20.000 euros supplémentaires par jour. Jusqu'au bout, les douaniers ont espéré trouver ne serait-ce qu'une infime quantité de cocaïne. Faute de drogue, il faudra désormais assumer les conséquences financières de l'opération.
Toute la question étant de savoir qui va payer... La France ? Et dans ce cas-là, quelle administration ?
À moins que ce ne soient les Etats-Unis, à l'origine du renseignement... 

Martinique : Le navire suspecté de trafic de cocaïne ne contenait que des bananes


Le Stina, un vraquier,  a quitté Fort-de-France après y avoir été immobilisé pendant presque trois semaines.  Il avait été arraisonné par la Marine nationale sur la foi d’un renseignement de la Drug Enforcement Administration  (D.E.A.), le service américain de lutte anti-drogue. Selon ce dernier, le navire, en provenance de Colombie et à destination d’Algérie, contenait de la cocaïne, dissimulée dans sa cargaison de 4000 tonnes de bananes. Le cargo a donc été entièrement fouillé et l’ensemble de la cargaison débarquée. Des douaniers et des militaires se sont relayés 24h/24 pour vider l’intégralité des cartons de bananes, empilés les uns sur les autres. Pour finir par ne rien trouver. La cargaison a été détruite, ses normes sanitaires ne lui permettant pas d’entrer dans l’Union européenne. Au final, l’Etat français va prendre en charge toutes les dépenses, y compris l’indemnisation de la perte commerciale.

ON NE TOUCHE PAS...!

 
 La cuisine artistique, de plus en plus élaborée.
De bonnes idées pour les desserts....
Quand c’est trop beau, ce n’est plus possible de manger, ne serait-ce que par respect du travail réalisé... 











 Pour le Tour de France ?








dites-le avec des fleurs ?




 Pour la Saint-Valentin ?





 pour accompagner les poissons du pêcheur?






elle est pas belle la vie ????










 













GONZALO




Alors Saint Martin, SAint Barthélemy et la Guadelloupoe sont toujours en vigilance ORANGE au passage de la tempête tropicale GONZALO
La Martinique reste en en vigilance JAUNE .

La tempête se renforce en même temps qu'elle ralenti.

Désormais les vents constants sont estimés à 95 km/h. Elle suit un cap au 280° pour une vitesse de 17 km/h et la pression atmosphérique baisse à 1000 Hpa.

Elle impactera la zone des îles du Nord à compter de 13 heures et devrait baisser d'intensité en fin de soirée avec des venst variant de 90 à 100 km/h en rafales.

Pour la Guadeloupe,  l'épisode a du commencer sur Marie Galante et la côte nord de l'île. Les vents les plus forts sont attendus pour 8h30 et la fin vers 11 heures, ce lundi.

Le tracking a été mis à jour sur le site
Surveillez les messages  de  Météo France:
St Martin & St Barth ICI
Guadeloupe ICI
Martinique ICI

http://etoile-de-lune.net/edl/meteo/atlantique.htm

dimanche 12 octobre 2014

Bulletin de suivi n° 1 pour la Martinique
du Dimanche 12 octobre 2014 à 17h49 légales (soit 21:49 UTC)
Episode n°15
Niveau de vigilance : JAUNE Danger : Fortes pluies et Orages
Validité : Début d'événement : Dimanche 12 octobre 17h00 locales. Fin estimée : Lundi 13 octobre 14h00 locales.
Situation actuelle : L'onde tropicale active, située en Atlantique à l'approche de l'arc antillais s'est renforcée cet après- midi en Tempête Tropicale Gonzalo. Elle se dirige actuellement en direction de la Guadeloupe et des Iles du Nord. La trajectoire prévue ferait passer son centre ce soir à 20h00 locales à environ 230 kms au Nord-Est de la Martinique.
Prévisions : Dans le sillage de ce phénomène, notre département devrait subir de fortes pluies orageuses au cours de la nuit prochaine et demain matin. Des cumuls de 50 à 80mm, voire 120mm sur le relief en 12 heures sont possibles. Des rafales de vent et une importante activité électrique risque d'être alors observés.
Données observées : Pluies orageuses recueillies en 2 heures entre 14h00 et 16h00 locales -47mm sur les hauteurs de Didier. -38 mm au Lamentin -27 mm à Fort de France
Prochain bulletin : Demain Lundi 13 octobre vers 06h00 locales.
METEO FRANCE - Service Régional de Martinique - BP 379 - 97288 Le Lamentin Cedex
 Téléphone : 0596 57 23 23 Télécopieur : 0596 51 29 40    Site Web de Météo France aux Antilles Guyane : www.meteofrance.gp
MESURES INDIVIDUELLES DE COMPORTEMENT PRECONISEES PAR LA PREFECTURE:
JAUNE : SOYEZ-ATTENTIF! JI1 : Renseignez vous sur les conditions météorologiques - Si vous devez pratiquer des sports à risque en extérieur . - Si vous ou vos activités sont situées dans une zone exposée, sur terre comme sur mer . JI2 : En cas d’orage , évitez l’utilisation des téléphones et des appareils électriques. Ne vous abritez pas dans une zone boisée . JI3 : En cas de fortes pluies, soyez très prudent à proximité des cours d'eau . Les passages de gué peuvent devenir vite très dangereux. Attention à leurs traversées. 
METEO FRANCE - Service Régional de Martinique - BP 379 - 97288 Le Lamentin Cedex
 Téléphone : 0596 57 23 23 Télécopieur : 0596 51 29 40    Site Web de Météo France aux Antilles Guyane : www.meteofrance.gp