mercredi 18 mars 2015

AFRODITE A ANTIGUA ET BARBUDA


ANTIGUA ET BARBUDA




ANTIGUA ET BARBUDA


Symbolique du Drapeau

Découvertes en 1493 par Christophe Colomb, les îles d'Antigua et Barbuda furent colonisées au XVII siècle par les Anglais, qui s'y consacrèrent principalement à la culture du tabac et de la canne de sucre.
Etat associé à la Grande-Bretagne à partir de 1967, Antigua et Barbuda obtint finalement son indépendance le 1er novembre 1981. Outre les îles qui lui donnent son nom, l'archipel d'Antigua et Barbuda comprend également l'ile de Redonda.
Le drapeau date de 1967 : le rouge et le bleu symbolisent la force et l'espérance, le noir rappelle les origines africaines de la majeure partie de la population. Quant à l'association du jaune, du bleu et du blanc, elle évoque les principaux atouts naturels de ces piles : le soleil symbolise l'aube d'une nouvelle ère de liberté.

Après un transit assez calme depuis la Guadeloupe - premier tiers au moteur et deux autres sous voiles - nous arrivons au large des côtes Antiguaises. Pas de pêche miraculeuse, pas de dauphins, pas d’homme à la mer, bref rien de particulier à relater.








Résultat de recherche d'images pour "guadeloupe ile papillon"
Avec les îles de Barbuda et Redonda, Antigua forme un état indépendant depuis 1981. Découvertes comme beaucoup de ses îles voisines en 1493 par Christophe Colomb, elles sont d’anciennes colonies anglaises.



Les Antiguais sont au nombre de 85 000, le tiers occupe la capitale : Saint John’s.



Cette île restée très British est célèbre pour ses eaux transparentes et ses plages : Antigua est surnommée « l’île au 365 plages ». Une pour chaque jour de l’année paraît-il ! Outre son littoral, elle attire également par son passé historique et militaire :  grâce à ses nombreux abris naturels, Antigua devint en effet le bastion de l’armée britannique aux Antilles. De ces abris protégés par de nombreux forts, les navires anglais pouvaient contrôler toute la zone maritime alentours.



D’un point de vue nautique, elle attire notamment une plaisance de luxe. Pour les amateurs de belles unités, un rendez-vous international annuel : Antigua organise chaque fin du mois d’avril la « Antigua Race Week ». Cette course rassemble les plus belles unités à voile en catégories plaisance et course.







Plages de sable blanc, eaux claires, barrières de corail,  c'est bien une autre Antillaise ! Nous mouillons dans à peine 3m d’eau non loin des plages et des sites de snorkelling. Le mouillage est très prisé par les plaisanciers. Yachts de luxe, catamarans ou monocoques, tout un chacun est séduit par la carte postale !




Le temps vire, le vent se lève un peu, le ciel devient noir et donne de splendides couleurs à la mer. Les bleus, verts et noirs se mélangent pour le plaisir des yeux.

La plongée est assez décevante car les massifs de coraux ont été en grande partie endommagés lors du dernier cyclone, néanmoins le site reste très séduisant pour qui aime le calme, l’île déserte et les eaux claires !


BARBUDA
Barbuda est une dépendance d’Antigua située à 25 nautiques dans son nord est. Il semble qu’elle soit la moins fréquentée des îles de l’arc antillais, seulement visitée par des touristes fortunés, vedettes du spectacles ou hommes d’affaire cantonnés dans l’un des très rares complexes touristiques. L’île est plate et se trouve au beau milieu d’un vaste plateau corallien. Son littoral vierge quasiment pas construit puisque ses 1500 barbudiens vivent pour l’essentiel dans sa capitale Codrington, est bordé de longues plages de sable blanc et cerné de massifs coralliens.



Escale à Gravenor Bay, au sud de Barbuda
La côte de Barbuda n’offre pas beaucoup de choix de mouillage abrité. La seule protection réside dans les barrières de corail mais, par fort vent ou forte houle, les mouillages peuvent devenir rapidement des pièges. Aujourd’hui, le vent et la houle sont suffisamment faibles pour que l’on aille à Gravenor Bay : une très vaste zone de mouillage au sud de Barbuda, faisant face à une très longue plage. L’accès est encore une fois délicat, les fonds sont très peu profonds et les passes cernées de pâtés de coraux isolés. Je me rends donc à l’avant pour une navigation à vue !
Nous sommes mouillés dans un décor fantastique. La zone est d’ailleurs classée Parc Naturel. La mer est d’un bleu turquoise dont la transparence est telle que même la moindre petite algue au fond se voit en surface. Nous chaussons immédiatement nos palmes, masque et tuba pour aller explorer les massifs coralliens nous entourant : un véritable jardin sous-marin couvert de corail coloré bien vivant, où de formidables éponges – tubulaires entre autres - et de somptueuses gorgones ondulantes abritent quantité de poissons : petits et grands, en banc ou isolés. Poissons Arlequin revêtus de leur costume jaune et noir, poissons Trompette (tout en longueur, il cherche à se placer parallèlement à une structure afin de se fondre dans le paysage), poissons Papillons (laissant apparaître leurs tâches noires de chaque côté à l’arrière de leur corps afin de tromper un éventuel prédateur sur son déplacement), poissons Coffre, poissons Perroquets multicolores (avec son bec crochu, il a la particularité de brouter le corail pour sucer les madrépores contenues, ce seraient ses déjections qui constitueraient le sable blanc de certaines plages ??), poissons Soldats ou « Gros Yeux », calamars, lambis, porcelaine, etc … Ce ne sont qu’exclamations à travers nos équipements. Les enfants sont émerveillés devant cet aquarium haut en couleurs.
Par contre, tortue et raie ont bien voulu se faire voir sur toutes les coutures. Nous avons également pu observer, accrochées à des éponges tubulaires, plusieurs magnifiques porcelaines « Monnaie Caraïbes » avec leur voile coloré recouvrant leur coquille, c’était à celui qui en découvrirait le plus.


 Mouillage à Cocoa Bay


Après une nuit dans un trou à 4m nous levons l’ancre pour mouiller à  Cocoa Bay devant une longue bande de sable bordée de cocotiers. Trois dauphins nous accompagnent à travers les cayes pendant toute la traversée en jouant dans notre étrave. Notre vitesse très réduite, les 5m de fond et l’eau transparente nous permettent de bien les observer : ils nous guettent à leur tour d’un œil vif et répondent à nos applaudissements par des jolies pirouettes. Ensuite ce sont des tortues plus grosses les unes que les autres qui nous accueillent dans la baie. Décidément, nous sommes gâtés !





Cette anse à l’ouest de Barbuda est bordée d’une plage de sable blanc d’une dizaine de kilomètres. Relativement peu abritée, elle a l’inconvénient d’être quelque fois ventée et le mouillage rouleur. Cet après-midi, le vent souffle à 20 nœuds et la mer est presque calme donc pani pwoblem …Soleil, mer affichant des magnifiques dégradés de bleus, eau cristalline, plage déserte : le régime  barbudien nous convient, du moins selon nos critères, longues plages désertes, sable plus fin, eau plus chaude, eau plus cristalline, récifs plus variés et plus colorés, faune marine plus diverse, mouillages paisibles très peu fréquentés. En bref, si pour la végétation, notre préférence va pour la Dominique, pour les plages et les eaux claires, notre coups de cœur va pour Barbuda.











ANTIGUA ET BARBUDA



Symbolique du Drapeau

Découvertes en 1493 par Christophe Colomb, les îles d'Antigua et Barbuda furent colonisées au XVII siècle par les Anglais, qui s'y consacrèrent principalement à la culture du tabac et de la canne de sucre.
Etat associé à la Grande-Bretagne à partir de 1967, Antigua et Barbuda obtint finalement son indépendance le 1er novembre 1981. Outre les îles qui lui donnent son nom, l'archipel d'Antigua et Barbuda comprend également l'^^ile de Redonda.
Le drapeau date de 1967 : le rouge et le bleu symbolisent la force et l'espérance, le noir rappelle les origines africaines de la majeure partie de la population. Quant à l'association du jaune, du bleu et du blanc, elle évoque les principaux atouts naturels de ces piles : le soleil symbolise l'aube d'une nouvelle ère de liberté.

Après un transit assez calme depuis la Guadeloupe - premier tiers au moteur et deux autres sous voiles - nous arrivons au large des côtes Antiguaises. Pas de pêche miraculeuse, pas de dauphins, pas d’homme à la mer, bref rien de particulier à relater.












Les Antiguais sont au nombre de 85 000, le tiers occupe la capitale : Saint John’s.









D’un point de vue nautique, elle attire notamment une plaisance de luxe. Pour les amateurs de belles unités, un rendez-vous international annuel : Antigua organise chaque fin du mois d’avril la « Antigua Race Week ». Cette course rassemble les plus belles unités à voile en catégories plaisance et course.













Falmouh Harbour
Falmouth Harbour, ANTIGUA après 11h de navigation depuis Pointe à Pitre.


Nous arrivons en milieu d’après-midi devant l’entrée de Falmouth Harbour, une grande baie bien gardée par le fort Charles et le fort Georges. Comme à notre habitude, nous faisons un petit tour de reconnaissance, moteur au ralenti, pour choisir notre lieu d’ancrage. Nous passons près de deux marinas qui semblent rassembler des plus grandes aux plus luxueuses unités de la plaisance à la voile. Eolis à côté fait figure d’annexe ! Nous choisissons finalement de mouiller à l’entrée de la baie, au plus près de la plage de Pigeon Beach dans 2m50 de fond, juste derrière le récif Bishop Shoal nous protégeant de la houle du large.






English Harbour



Nous levons l’ancre pour nous rendre juste à côté, à English Harbour. Les 2 baies sont seulement séparées par un étroit isthme de 200m ; par la mer, c’est juste un peu plus loin. Nous nous présentons devant les passes de la baie. Sur notre droite, nous admirons les belles colonnes d’Hercule ciselées par l’érosion dans la falaise de Charlotte Point. Elles ne sont pas si grandes mais sont jolies à voir. Une fois entrés dans la baie, nous avons le choix entre 4 mouillages. Le plus rouleur : Freeman Bay, juste à l’entrée devant une nouvelle superbe plage bordée de cocotiers et de paillotes. Le deuxième le long du chenal d’accès au pied du fort Berkeley et derrière les quais du Nelson’s Dockyard où s’amarrent quelques uns des plus beaux spécimens naviguant, 2 bras bordés de mangrove et réputés pour être de très bon abris à cyclones. Calme plat, pas de moustique, nous sommes séduits, nous jetons la pioche à Tank Bay !


Nichée au creux de cette baie, protégée par les forts Berkeley et Shirley, Nelson’s Dockyard est une ancienne base navale construite en 1743 et fut jusqu’au début du XIXè siècle le QG de la marine de guerre britannique aux Antilles. Les bâtiments depuis ont été restauré et l’ensemble est devenu un haut site touristique de l’île. On peut encore voir le bassin de radoub entouré de magnifiques colonnes où étaient construits et réparés les navires d’antan. Les anciens bâtiments de pierres et de briques, maison de l’Amiral Nelson, écuries et quartier des officiers ont été également admirablement restaurés.



Après la visite de la base, nous avons un programme haut en musique avec un concert de steel band à Shirley Heigts « les Hauteurs de Shirley ». Nous laissons l’annexe sur la plage de Freeman et attaquons un petit sentier qui sort de la route et qui mène sur les hauteurs de la baie à 120m d’altitude. Un bon quart d’heure de marche sportive à travers la petite montagne et vous arrivez au Lookout ou fort Shirley. C’était l’un des 2 observatoires d’English Harbour d’où l’on guettait l’arrivée de navires ennemis. De là : un point de vue époustouflant sur Antigua et ses îles voisines et pour honorer chaque coucher de soleil dominical, un concert de Steel Band (sorte de tambours métalliques – voir Grenade) entre 16h et 19h, suivi d’un concert de reggae, de rock ou autre. Pour les moins sportifs, il y a aussi un accès par la route possible mais le charme n’y est plus et le concert est alors payant. Il y a foule de touristes venus écouter ces sonorités métalliques des Antilles anglaises. Séduits, nous resterions bien jusqu’à la fin du concert mais le soleil descend et notre sentier à travers la montagne n’est forcément pas éclairé. 
De retour  bord, c’est ce soir encore un autre concert à terre qui nous arrive aux oreilles ! Une île décidément riche en couleurs et riches en musique.


Les jours passent et Antigua ne se résume pas à English et Falmouth Harbour, aussi levons-nous l’ancre pour un autre petit paradis : Green Island.








Green Island


Alors que je suis à la barre, tête sortie par le trou du bimini (c’est ainsi que Cybèle se reconnaît en navigation paraît-il !), je distingue sur l’horizon des gerbes d’eau : nous voilà accueillis à quelques nautiques de Green Island par un petit groupe de baleines à bosse. Quel spectacle époustouflant, quels sauts et quelle force ! Nous tentons de les approcher mais elles nous distancent bien vite. Dommage !







Le temps vire, le vent se lève un peu, le ciel devient noir et donne de splendides couleurs à la mer. Les bleus, verts et noirs se mélangent pour le plaisir des yeux.


Great Bird Island
Nous levons tous l’ancre pour Great Bird Island. Deux passes possibles : Bird Islet Channel au sud et la passe nord classique. La première permet de gagner 10 nautiques sur la deuxième, soit de diminuer le temps de nav’ par deux. Par contre la deuxième est plus risquée, encombrée d’îlots et surtout de cayes un peu partout juste à fleur d’eau. La mer est houleuse mais le capitaine  est intrépide. Qu’à cela ne tienne, nous passerons ! La skippette est en veille à l’avant à guetter les récifs et notre plus grand matelot en veille au sondeur. Résultat, notre traceur GPS s’est fait des cheveux blancs mais nous voilà mouillés, face à la plage, dans un trou de sable cerné de récifs de corail.
La plongée est assez décevante car les massifs de coraux ont été en grande partie endommagés lors du dernier cyclone, néanmoins le site reste très séduisant pour qui aime le calme, l’île déserte et les eaux claires !


BARBUDA
Barbuda est une dépendance d’Antigua située à 25 nautiques dans son nord est. Il semble qu’elle soit la moins fréquentée des îles de l’arc antillais, seulement visitée par des touristes fortunés, vedettes du spectacles ou hommes d’affaire cantonnés dans l’un des très rares complexes touristiques. L’île est plate et se trouve au beau milieu d’un vaste plateau corallien. Son littoral vierge quasiment pas construit puisque ses 1500 barbudiens vivent pour l’essentiel dans sa capitale Codrington, est bordé de longues plages de sable blanc et cerné de massifs coralliens.



Escale à Gravenor Bay, au sud de Barbuda
La côte de Barbuda n’offre pas beaucoup de choix de mouillage abrité. La seule protection réside dans les barrières de corail mais, par fort vent ou forte houle, les mouillages peuvent devenir rapidement des pièges. Aujourd’hui, le vent et la houle sont suffisamment faibles pour que l’on aille à Gravenor Bay : une très vaste zone de mouillage au sud de Barbuda, faisant face à une très longue plage. L’accès est encore une fois délicat, les fonds sont très peu profonds et les passes cernées de pâtés de coraux isolés. Je me rends donc à l’avant pour une navigation à vue !
Nous sommes mouillés dans un décor fantastique. La zone est d’ailleurs classée Parc Naturel. La mer est d’un bleu turquoise dont la transparence est telle que même la moindre petite algue au fond se voit en surface. Nous chaussons immédiatement nos palmes, masque et tuba pour aller explorer les massifs coralliens nous entourant : un véritable jardin sous-marin couvert de corail coloré bien vivant, où de formidables éponges – tubulaires entre autres - et de somptueuses gorgones ondulantes abritent quantité de poissons : petits et grands, en banc ou isolés. Poissons Arlequin revêtus de leur costume jaune et noir, poissons Trompette (tout en longueur, il cherche à se placer parallèlement à une structure afin de se fondre dans le paysage), poissons Papillons (laissant apparaître leurs tâches noires de chaque côté à l’arrière de leur corps afin de tromper un éventuel prédateur sur son déplacement), poissons Coffre, poissons Perroquets multicolores (avec son bec crochu, il a la particularité de brouter le corail pour sucer les madrépores contenues, ce seraient ses déjections qui constitueraient le sable blanc de certaines plages ??), poissons Soldats ou « Gros Yeux », calamars, lambis, porcelaine, etc … Ce ne sont qu’exclamations à travers nos équipements. Les enfants sont émerveillés devant cet aquarium haut en couleurs.
Par contre, tortue et raie ont bien voulu se faire voir sur toutes les coutures. Nous avons également pu observer, accrochées à des éponges tubulaires, plusieurs magnifiques porcelaines « Monnaie Caraïbes » avec leur voile coloré recouvrant leur coquille, c’était à celui qui en découvrirait le plus.




Après une nuit dans un trou à 4m nous levons l’ancre pour mouiller à  Cocoa Bay devant une longue bande de sable bordée de cocotiers. Trois dauphins nous accompagnent à travers les cayes pendant toute la traversée en jouant dans notre étrave. Notre vitesse très réduite, les 5m de fond et l’eau transparente nous permettent de bien les observer : ils nous guettent à leur tour d’un œil vif et répondent à nos applaudissements par des jolies pirouettes. Ensuite ce sont des tortues plus grosses les unes que les autres qui nous accueillent dans la baie. Décidément, nous sommes gâtés !


Mouillage à Low Bay
Changement de mouillage, nous jetons notre pioche dans un nouveau paradis : Low Bay.
Cette anse à l’ouest de Barbuda est bordée d’une plage de sable blanc d’une dizaine de kilomètres. Relativement peu abritée, elle a l’inconvénient d’être quelque fois ventée et le mouillage rouleur. Cet après-midi, le vent souffle à 20 nœuds et la mer est presque calme donc pani pwoblem …Soleil, mer affichant des magnifiques dégradés de bleus, eau cristalline, plage déserte : le régime barbudien est plaisant !
en annexe à la capitale de Barbuda, Codrington, afin d’y faire nos formalités de sortie.
Elle se situe juste derrière la plage où s’étend un vaste lagon entouré de mangrove. Pour la petite histoire, ce site sauvage et silencieux abrite la plus importante colonie de frégates de toutes les Antilles.Pourtant nous ne sommes pas pressés de quitter cette île paradisiaque : ses plages s’avèrent être les plus belles des Antilles que nous ayons vu, du moins selon nos critères, longues plages désertes, sable plus fin, eau plus chaude, eau plus cristalline, récifs plus variés et plus colorés, faune marine plus diverse, mouillages paisibles très peu fréquentés. En bref, si pour la végétation, notre préférence va pour la Dominique, pour les plages et les eaux claires, notre coups de cœur va pour Barbuda.


Nous nous décidons finalement à décoller avec un léger pincement au cœur, en direction de Saint Martin : foule, luxe, détaxe … une autre univers, un retour vers le monde de la consommation !















































ANTIGUA ET BARBUDA


Symbolique du Drapeau

Découvertes en 1493 par Christophe Colomb, les îles d'Antigua et Barbuda furent colonisées au XVII siècle par les Anglais, qui s'y consacrèrent principalement à la culture du tabac et de la canne de sucre.
Etat associé à la Grande-Bretagne à partir de 1967, Antigua et Barbuda obtint finalement son indépendance le 1er novembre 1981. Outre les îles qui lui donnent son nom, l'archipel d'Antigua et Barbuda comprend également l'ile de Redonda.
Le drapeau date de 1967 : le rouge et le bleu symbolisent la force et l'espérance, le noir rappelle les origines africaines de la majeure partie de la population. Quant à l'association du jaune, du bleu et du blanc, elle évoque les principaux atouts naturels de ces piles : le soleil symbolise l'aube d'une nouvelle ère de liberté.

Après un transit assez calme depuis la Guadeloupe - premier tiers au moteur et deux autres sous voiles - nous arrivons au large des côtes Antiguaises. Pas de pêche miraculeuse, pas de dauphins, pas d’homme à la mer, bref rien de particulier à relater.








Résultat de recherche d'images pour "guadeloupe ile papillon"
Avec les îles de Barbuda et Redonda, Antigua forme un état indépendant depuis 1981. Découvertes comme beaucoup de ses îles voisines en 1493 par Christophe Colomb, elles sont d’anciennes colonies anglaises.



Les Antiguais sont au nombre de 85 000, le tiers occupe la capitale : Saint John’s.



Cette île restée très British est célèbre pour ses eaux transparentes et ses plages : Antigua est surnommée « l’île au 365 plages ». Une pour chaque jour de l’année paraît-il ! Outre son littoral, elle attire également par son passé historique et militaire :  grâce à ses nombreux abris naturels, Antigua devint en effet le bastion de l’armée britannique aux Antilles. De ces abris protégés par de nombreux forts, les navires anglais pouvaient contrôler toute la zone maritime alentours.



D’un point de vue nautique, elle attire notamment une plaisance de luxe. Pour les amateurs de belles unités, un rendez-vous international annuel : Antigua organise chaque fin du mois d’avril la « Antigua Race Week ». Cette course rassemble les plus belles unités à voile en catégories plaisance et course.







Plages de sable blanc, eaux claires, barrières de corail,  c'est bien une autre Antillaise ! Nous mouillons dans à peine 3m d’eau non loin des plages et des sites de snorkelling. Le mouillage est très prisé par les plaisanciers. Yachts de luxe, catamarans ou monocoques, tout un chacun est séduit par la carte postale !




Le temps vire, le vent se lève un peu, le ciel devient noir et donne de splendides couleurs à la mer. Les bleus, verts et noirs se mélangent pour le plaisir des yeux.

La plongée est assez décevante car les massifs de coraux ont été en grande partie endommagés lors du dernier cyclone, néanmoins le site reste très séduisant pour qui aime le calme, l’île déserte et les eaux claires !


BARBUDA
Barbuda est une dépendance d’Antigua située à 25 nautiques dans son nord est. Il semble qu’elle soit la moins fréquentée des îles de l’arc antillais, seulement visitée par des touristes fortunés, vedettes du spectacles ou hommes d’affaire cantonnés dans l’un des très rares complexes touristiques. L’île est plate et se trouve au beau milieu d’un vaste plateau corallien. Son littoral vierge quasiment pas construit puisque ses 1500 barbudiens vivent pour l’essentiel dans sa capitale Codrington, est bordé de longues plages de sable blanc et cerné de massifs coralliens.



Escale à Gravenor Bay, au sud de Barbuda
La côte de Barbuda n’offre pas beaucoup de choix de mouillage abrité. La seule protection réside dans les barrières de corail mais, par fort vent ou forte houle, les mouillages peuvent devenir rapidement des pièges. Aujourd’hui, le vent et la houle sont suffisamment faibles pour que l’on aille à Gravenor Bay : une très vaste zone de mouillage au sud de Barbuda, faisant face à une très longue plage. L’accès est encore une fois délicat, les fonds sont très peu profonds et les passes cernées de pâtés de coraux isolés. Je me rends donc à l’avant pour une navigation à vue !
Nous sommes mouillés dans un décor fantastique. La zone est d’ailleurs classée Parc Naturel. La mer est d’un bleu turquoise dont la transparence est telle que même la moindre petite algue au fond se voit en surface. Nous chaussons immédiatement nos palmes, masque et tuba pour aller explorer les massifs coralliens nous entourant : un véritable jardin sous-marin couvert de corail coloré bien vivant, où de formidables éponges – tubulaires entre autres - et de somptueuses gorgones ondulantes abritent quantité de poissons : petits et grands, en banc ou isolés. Poissons Arlequin revêtus de leur costume jaune et noir, poissons Trompette (tout en longueur, il cherche à se placer parallèlement à une structure afin de se fondre dans le paysage), poissons Papillons (laissant apparaître leurs tâches noires de chaque côté à l’arrière de leur corps afin de tromper un éventuel prédateur sur son déplacement), poissons Coffre, poissons Perroquets multicolores (avec son bec crochu, il a la particularité de brouter le corail pour sucer les madrépores contenues, ce seraient ses déjections qui constitueraient le sable blanc de certaines plages ??), poissons Soldats ou « Gros Yeux », calamars, lambis, porcelaine, etc … Ce ne sont qu’exclamations à travers nos équipements. Les enfants sont émerveillés devant cet aquarium haut en couleurs.
Par contre, tortue et raie ont bien voulu se faire voir sur toutes les coutures. Nous avons également pu observer, accrochées à des éponges tubulaires, plusieurs magnifiques porcelaines « Monnaie Caraïbes » avec leur voile coloré recouvrant leur coquille, c’était à celui qui en découvrirait le plus.


 Mouillage à Cocoa Bay


Après une nuit dans un trou à 4m nous levons l’ancre pour mouiller à  Cocoa Bay devant une longue bande de sable bordée de cocotiers. Trois dauphins nous accompagnent à travers les cayes pendant toute la traversée en jouant dans notre étrave. Notre vitesse très réduite, les 5m de fond et l’eau transparente nous permettent de bien les observer : ils nous guettent à leur tour d’un œil vif et répondent à nos applaudissements par des jolies pirouettes. Ensuite ce sont des tortues plus grosses les unes que les autres qui nous accueillent dans la baie. Décidément, nous sommes gâtés !


Mouillage à Low Bay
Changement de mouillage, nous jetons notre pioche dans un nouveau paradis : Low Bay.
Cette anse à l’ouest de Barbuda est bordée d’une plage de sable blanc d’une dizaine de kilomètres. Relativement peu abritée, elle a l’inconvénient d’être quelque fois ventée et le mouillage rouleur. Cet après-midi, le vent souffle à 20 nœuds et la mer est presque calme donc pani pwoblem …Soleil, mer affichant des magnifiques dégradés de bleus, eau cristalline, plage déserte : le régime barbudien est plaisant !
en annexe à la capitale de Barbuda, Codrington, afin d’y faire nos formalités de sortie.
Elle se situe juste derrière la plage où s’étend un vaste lagon entouré de mangrove. Pour la petite histoire, ce site sauvage et silencieux abrite la plus importante colonie de frégates de toutes les Antilles.Pourtant nous ne sommes pas pressés de quitter cette île paradisiaque : ses plages s’avèrent être les plus belles des Antilles que nous ayons vu, du moins selon nos critères, longues plages désertes, sable plus fin, eau plus chaude, eau plus cristalline, récifs plus variés et plus colorés, faune marine plus diverse, mouillages paisibles très peu fréquentés. En bref, si pour la végétation, notre préférence va pour la Dominique, pour les plages et les eaux claires, notre coups de cœur va pour Barbuda.














Symbolique du Drapeau

Découvertes en 1493 par Christophe Colomb, les îles d'Antigua et Barbuda furent colonisées au XVII siècle par les Anglais, qui s'y consacrèrent principalement à la culture du tabac et de la canne de sucre.
Etat associé à la Grande-Bretagne à partir de 1967, Antigua et Barbuda obtint finalement son indépendance le 1er novembre 1981. Outre les îles qui lui donnent son nom, l'archipel d'Antigua et Barbuda comprend également l'^^ile de Redonda.
Le drapeau date de 1967 : le rouge et le bleu symbolisent la force et l'espérance, le noir rappelle les origines africaines de la majeure partie de la population. Quant à l'association du jaune, du bleu et du blanc, elle évoque les principaux atouts naturels de ces piles : le soleil symbolise l'aube d'une nouvelle ère de liberté.

Après un transit assez calme depuis la Guadeloupe - premier tiers au moteur et deux autres sous voiles - nous arrivons au large des côtes Antiguaises. Pas de pêche miraculeuse, pas de dauphins, pas d’homme à la mer, bref rien de particulier à relater.






























Falmouh Harbour
Falmouth Harbour, ANTIGUA après 11h de navigation depuis Pointe à Pitre.


Nous arrivons en milieu d’après-midi devant l’entrée de Falmouth Harbour, une grande baie bien gardée par le fort Charles et le fort Georges. Comme à notre habitude, nous faisons un petit tour de reconnaissance, moteur au ralenti, pour choisir notre lieu d’ancrage. Nous passons près de deux marinas qui semblent rassembler des plus grandes aux plus luxueuses unités de la plaisance à la voile. Eolis à côté fait figure d’annexe ! Nous choisissons finalement de mouiller à l’entrée de la baie, au plus près de la plage de Pigeon Beach dans 2m50 de fond, juste derrière le récif Bishop Shoal nous protégeant de la houle du large.






English Harbour



Nous levons l’ancre pour nous rendre juste à côté, à English Harbour. Les 2 baies sont seulement séparées par un étroit isthme de 200m ; par la mer, c’est juste un peu plus loin. Nous nous présentons devant les passes de la baie. Sur notre droite, nous admirons les belles colonnes d’Hercule ciselées par l’érosion dans la falaise de Charlotte Point. Elles ne sont pas si grandes mais sont jolies à voir. Une fois entrés dans la baie, nous avons le choix entre 4 mouillages. Le plus rouleur : Freeman Bay, juste à l’entrée devant une nouvelle superbe plage bordée de cocotiers et de paillotes. Le deuxième le long du chenal d’accès au pied du fort Berkeley et derrière les quais du Nelson’s Dockyard où s’amarrent quelques uns des plus beaux spécimens naviguant, 2 bras bordés de mangrove et réputés pour être de très bon abris à cyclones. Calme plat, pas de moustique, nous sommes séduits, nous jetons la pioche à Tank Bay !


Nichée au creux de cette baie, protégée par les forts Berkeley et Shirley, Nelson’s Dockyard est une ancienne base navale construite en 1743 et fut jusqu’au début du XIXè siècle le QG de la marine de guerre britannique aux Antilles. Les bâtiments depuis ont été restauré et l’ensemble est devenu un haut site touristique de l’île. On peut encore voir le bassin de radoub entouré de magnifiques colonnes où étaient construits et réparés les navires d’antan. Les anciens bâtiments de pierres et de briques, maison de l’Amiral Nelson, écuries et quartier des officiers ont été également admirablement restaurés.



Après la visite de la base, nous avons un programme haut en musique avec un concert de steel band à Shirley Heigts « les Hauteurs de Shirley ». Nous laissons l’annexe sur la plage de Freeman et attaquons un petit sentier qui sort de la route et qui mène sur les hauteurs de la baie à 120m d’altitude. Un bon quart d’heure de marche sportive à travers la petite montagne et vous arrivez au Lookout ou fort Shirley. C’était l’un des 2 observatoires d’English Harbour d’où l’on guettait l’arrivée de navires ennemis. De là : un point de vue époustouflant sur Antigua et ses îles voisines et pour honorer chaque coucher de soleil dominical, un concert de Steel Band (sorte de tambours métalliques – voir Grenade) entre 16h et 19h, suivi d’un concert de reggae, de rock ou autre. Pour les moins sportifs, il y a aussi un accès par la route possible mais le charme n’y est plus et le concert est alors payant. Il y a foule de touristes venus écouter ces sonorités métalliques des Antilles anglaises. Séduits, nous resterions bien jusqu’à la fin du concert mais le soleil descend et notre sentier à travers la montagne n’est forcément pas éclairé. 
De retour  bord, c’est ce soir encore un autre concert à terre qui nous arrive aux oreilles ! Une île décidément riche en couleurs et riches en musique.


Les jours passent et Antigua ne se résume pas à English et Falmouth Harbour, aussi levons-nous l’ancre pour un autre petit paradis : Green Island.










Alors que je suis à la barre, tête sortie par le trou du bimini (c’est ainsi que Cybèle se reconnaît en navigation paraît-il !), je distingue sur l’horizon des gerbes d’eau : nous voilà accueillis à quelques nautiques de Green Island par un petit groupe de baleines à bosse. Quel spectacle époustouflant, quels sauts et quelle force ! Nous tentons de les approcher mais elles nous distancent bien vite. Dommage !









Great Bird Island
Nous levons tous l’ancre pour Great Bird Island. Deux passes possibles : Bird Islet Channel au sud et la passe nord classique. La première permet de gagner 10 nautiques sur la deuxième, soit de diminuer le temps de nav’ par deux. Par contre la deuxième est plus risquée, encombrée d’îlots et surtout de cayes un peu partout juste à fleur d’eau. La mer est houleuse mais le capitaine  est intrépide. Qu’à cela ne tienne, nous passerons ! La skippette est en veille à l’avant à guetter les récifs et notre plus grand matelot en veille au sondeur. Résultat, notre traceur GPS s’est fait des cheveux blancs mais nous voilà mouillés, face à la plage, dans un trou de sable cerné de récifs de corail.
La plongée est assez décevante car les massifs de coraux ont été en grande partie endommagés lors du dernier cyclone, néanmoins le site reste très séduisant pour qui aime le calme, l’île déserte et les eaux claires !


BARBUDA
Barbuda est une dépendance d’Antigua située à 25 nautiques dans son nord est. Il semble qu’elle soit la moins fréquentée des îles de l’arc antillais, seulement visitée par des touristes fortunés, vedettes du spectacles ou hommes d’affaire cantonnés dans l’un des très rares complexes touristiques. L’île est plate et se trouve au beau milieu d’un vaste plateau corallien. Son littoral vierge quasiment pas construit puisque ses 1500 barbudiens vivent pour l’essentiel dans sa capitale Codrington, est bordé de longues plages de sable blanc et cerné de massifs coralliens.



Escale à Gravenor Bay, au sud de Barbuda
La côte de Barbuda n’offre pas beaucoup de choix de mouillage abrité. La seule protection réside dans les barrières de corail mais, par fort vent ou forte houle, les mouillages peuvent devenir rapidement des pièges. Aujourd’hui, le vent et la houle sont suffisamment faibles pour que l’on aille à Gravenor Bay : une très vaste zone de mouillage au sud de Barbuda, faisant face à une très longue plage. L’accès est encore une fois délicat, les fonds sont très peu profonds et les passes cernées de pâtés de coraux isolés. Je me rends donc à l’avant pour une navigation à vue !
Nous sommes mouillés dans un décor fantastique. La zone est d’ailleurs classée Parc Naturel. La mer est d’un bleu turquoise dont la transparence est telle que même la moindre petite algue au fond se voit en surface. Nous chaussons immédiatement nos palmes, masque et tuba pour aller explorer les massifs coralliens nous entourant : un véritable jardin sous-marin couvert de corail coloré bien vivant, où de formidables éponges – tubulaires entre autres - et de somptueuses gorgones ondulantes abritent quantité de poissons : petits et grands, en banc ou isolés. Poissons Arlequin revêtus de leur costume jaune et noir, poissons Trompette (tout en longueur, il cherche à se placer parallèlement à une structure afin de se fondre dans le paysage), poissons Papillons (laissant apparaître leurs tâches noires de chaque côté à l’arrière de leur corps afin de tromper un éventuel prédateur sur son déplacement), poissons Coffre, poissons Perroquets multicolores (avec son bec crochu, il a la particularité de brouter le corail pour sucer les madrépores contenues, ce seraient ses déjections qui constitueraient le sable blanc de certaines plages ??), poissons Soldats ou « Gros Yeux », calamars, lambis, porcelaine, etc … Ce ne sont qu’exclamations à travers nos équipements. Les enfants sont émerveillés devant cet aquarium haut en couleurs.
Par contre, tortue et raie ont bien voulu se faire voir sur toutes les coutures. Nous avons également pu observer, accrochées à des éponges tubulaires, plusieurs magnifiques porcelaines « Monnaie Caraïbes » avec leur voile coloré recouvrant leur coquille, c’était à celui qui en découvrirait le plus.






Mouillage à Low Bay
Changement de mouillage, nous jetons notre pioche dans un nouveau paradis : Low Bay.
Cette anse à l’ouest de Barbuda est bordée d’une plage de sable blanc d’une dizaine de kilomètres. Relativement peu abritée, elle a l’inconvénient d’être quelque fois ventée et le mouillage rouleur. Cet après-midi, le vent souffle à 20 nœuds et la mer est presque calme donc pani pwoblem …Soleil, mer affichant des magnifiques dégradés de bleus, eau cristalline, plage déserte : le régime barbudien est plaisant !
en annexe à la capitale de Barbuda, Codrington, afin d’y faire nos formalités de sortie.
Elle se situe juste derrière la plage où s’étend un vaste lagon entouré de mangrove. Pour la petite histoire, ce site sauvage et silencieux abrite la plus importante colonie de frégates de toutes les Antilles.Pourtant nous ne sommes pas pressés de quitter cette île paradisiaque : ses plages s’avèrent être les plus belles des Antilles que nous ayons vu, du moins selon nos critères, longues plages désertes, sable plus fin, eau plus chaude, eau plus cristalline, récifs plus variés et plus colorés, faune marine plus diverse, mouillages paisibles très peu fréquentés. En bref, si pour la végétation, notre préférence va pour la Dominique, pour les plages et les eaux claires, notre coups de cœur va pour Barbuda.


Nous nous décidons finalement à décoller avec un léger pincement au cœur, en direction de Saint Martin : foule, luxe, détaxe … une autre univers, un retour vers le monde de la consommation !





































AFRODITE A ANTIGUA

















ANTIGUA ET BARBUDA


Symbolique du Drapeau



Découvertes en 1493 par Christophe Colomb, les îles d'Antigua et Barbuda furent colonisées au XVII siècle par les Anglais, qui s'y consacrèrent principalement à la culture du tabac et de la canne de sucre.
Etat associé à la Grande-Bretagne à partir de 1967, Antigua et Barbuda obtint finalement son indépendance le 1er novembre 1981. Outre les îles qui lui donnent son nom, l'archipel d'Antigua et Barbuda comprend également l'ile de Redonda.
Le drapeau date de 1967 : le rouge et le bleu symbolisent la force et l'espérance, le noir rappelle les origines africaines de la majeure partie de la population. Quant à l'association du jaune, du bleu et du blanc, elle évoque les principaux atouts naturels de ces piles : le soleil symbolise l'aube d'une nouvelle ère de liberté.


AFRODITE PASSE AU TRAVERS DE MONTSERRAT



Montserrat est une petite île de 100 km² dans les Iles Sous le Vent. Malgré quelques invasions françaises aux 17ème et 18ème siècles, elle a toujours été sous domination britannique, depuis sa colonisation par des catholiques irlandais dans la première moitié du 17ème siècle. En 1967, Montserrat est devenue autonome en tant que colonie de la Couronne Britannique et est aujourd’hui un territoire d’outre-mer du Royaume-Uni.

Son histoire récente est tragique. Le volcan la Soufrière s’est réveillé en 1995 après des siècles d’inactivité. L’éruption était annoncée et la population avait été évacuée. L’éruption recouvrit de cendres et de pierres la capitale Plymouth, faisant quelques victimes parmi ceux qui n’avaient pas obéi aux ordres d’évacuation. Plusieurs autres éruptions ont eu lieu au cours des années suivantes. Aujourd’hui encore, les deux tiers de l’île, au sud, le plus fertile, est zone interdite car l’activité volcanique persiste. Cette zone comprend un secteur de un mille de large en mer. Les bateaux ne peuvent pénétrer dans cette zone à cause des coulées de lave pyroclastique à très haute température qui arrivent dans la mer. Le tiers restant de l’île, au nord, est montagneux et offre un choix de randonnées ainsi que d’excellents points d’observation du volcan et de ses effets.

Nous mouillons à Little Bay. Il y a trois bateaux au mouillage. Comme son nom l’indique, c’est très petit ("little"). C’est pourtant le seul endroit d’accès par la mer. C’est aussi très exposé. Nous y passerons deux nuits très rouleuses et inconfortables. Quand nous arrivons, des enfants se baignent dans l’eau sur la plage de sable noir, très abrupte. Il y a quelques gabarres colorées au bout de la plage et une minuscule jetée de l’autre côté, pour (d’improbables ?) navettes. Le lendemain, à 6H00, s’y présente un gros caboteur avec des containers, qui frôle Eolis. On se sent tout petit dans ces cas-là. Comme il n’y a personne sur le quai pour prendre ses amarres, il va patienter une bonne heure au large avant de venir refaire sa manœuvre. Nous l’observons avant de descendre à terre.
Le tampon des services de l’immigration sur nos passeports coûte très cher. C’est gratuit en semaine, mais nous nous présentons le samedi matin. Si nous avions su, nous nous serions dépêchés hier après-midi pour venir faire ces formalités !
L’officier de douane nous a appelé un de ses copains taximan pour faire le tour de l’île. On ne peut en effet pénétrer en zone interdite qu’avec une personne autorisée. Dali (?) nous emmène donc voir les restes de Plymouth et les énormes coulées de cendres qui ont tout enseveli. Il ne reste quasi rien de cette petite capitale florissante. Dali nous montre différents endroits d’où nous pouvons mesurer l’ampleur du sinistre. Aux abords de Plymouth, beaucoup de grandes et belles villas sont encore debout, mais leur toit est troué par les nuées ardentes et la cendre s’est infiltrée partout. Spectacle de désolation. Pas un bruit, pas une âme qui vive là. C’est poignant. Dali nous montre le quartier où il avait sa maison. Il a dû la quitter comme tous les autres. Lui a choisi de rester malgré tout sur l’île et de reconstruire sa vie un peu plus loin. Environ 5.000 habitants vivent aujourd’hui dans le nord, contre 20.000 avant la catastrophe. Ils tentent de reconstruire ce bout d’île qui leur reste. Le secteur du bâtiment est le principal employeur de l’île. Le gouvernement britannique fournit beaucoup d’aides pour reconstruire les principales infrastructures et donne des subsides aux particuliers.


Plymouth, ou ce qu'il en reste...

L’île était pourtant prospère et attirait des hôtes prestigieux. La maison de Paul Mac Cartney est intacte, hors zone interdite. Mais il paraît qu’il vient beaucoup moins souvent...!
Nous allons voir l’Observatoire et ses nombreux systèmes de monitoring. Ce jour-là, le volcan est très actif. Il crache des panaches de vapeur ou de cendre à plusieurs centaines de mètres de hauteur. En cas d’éruption, cela peut aller jusqu’à 17.000 mètres d’altitude ! Assez effrayant. La prochaine est prévue dans l’année qui vient.

Cratère fumant de Montserrat


Nous passons tout à côté de Montserrat , en longeant la côte d’aussi près que permis. On a la gorge nouée. Cette île est si belle, si verte et si tranquille, puis plus loin n’est plus que cendres et ruines. Dame Nature est capable de tels déchaînements de fureur parfois. Le volcan lâche aujourd’hui encore de gros nuages jaunâtres, brunâtres, en forme de champignon, qui s’élèvent droit dans le ciel. Il n’y a pas de vent. La mer est d’huile. Pas une seule ride à la surface. Panne totale d’alizé : " alizés aux abonnés absents" dit le bulletin météo!
Des dauphins viennent animer un peu la traversée. Ils nous accompagnent pendant 10 minutes, précèdent le bateau, puis dessinent des courbes d’un côté à l’autre de Eolis. On jurerait qu’ils s’amusent. On les admire à l’étrave du bateau, on essaie de les toucher. C’est assez jubilatoire.

AFRODITE AUX ANTILLES DU NORD


.Nelson's Dockyard 


 




 



.

samedi 14 mars 2015

OCEAN ET ATMOSPHERE, ASTROPHYSIQUE, PHOTOVOLTAÏQUE...









Les rapports entre l’océan et l’atmosphère sont choses infiniment essentielles à la vie de la planète et donc des hommes, mais bien complexes à expliquer, en particulier parce que tout cela est invisible à nos yeux. Même un marin averti ne peut remarquer les millions de tonnes d’eau s’évaporant chaque jour de la surface des mers, ni les quantités de plus en plus astronomiques de CO2 absorbées par l’océan, ou les particules de pollutions portées par les vents qui finissent en empoisonnant la vie océanique. Si tout ceci avait une couleur, une odeur ou émettait un son, gageons que nous y ferions plus attention. On verrait, par exemple, nos mers changer peu à peu de couleurs, on entendrait une cacophonie se développer…..Allez, je garde cette idée poétique pour plus tard et je vais vous entretenir de ce que je connais, comme marin, des interférences entre l’océan et l’atmosphère: les vagues.
Il faut dire que du pont d'un voilier, les vagues qui déferlent et peuvent aller jusqu’à retourner un bateau sont infiniment plus dangereuses que le simple vent, même fort.
Je ne suis pas sûre que l’on sache très précisément comment fait le vent pour créer les vagues. Mais ce qui est sûr c ‘est que plus il souffle fort et longtemps dans la même direction et sur une longue distance et plus les vagues sont hautes. Un vent de 20 nœuds, un vitesse moyenne peut générer une houle de 5 mètres, mais un ouragan de 80 nœuds peut engendrer des monstres de 32 mètres. SI je suis encore là ce soir, c ‘est que je n’en ai jamais rencontré. Car la plupart du temps, les marins cherchent à se mettre à l’abri en se rapprochant de la côte d’où vient le vent pour diminuer la distance sur laquelle celui-ci à prise.
Malheur à celui qui se laisse piéger au contraire, près d’une côte avec un vent du large. Car la  houle se réfléchit contre le rivage. On a droit alors à des vagues fortes et dans tous les sens….
Pour être plus précise, ce qui angoisse le marin est surtout le rapport entre la hauteur de la vague et sa longueur d’onde, c'est à dire la distance entre deux vagues successives ; Tant que ce rapport reste inférieur à 7, pas d’histoire, le bateau se soulève gentiment sur le dos de la mer et redescend de l’autre côté. Même une vague de tsunami, n’occasionnera aucun mal. Il n’y a qu’à contempler les albatros planer avec. Mais au-delà de 7, les gouttes d'eau sont projetées en avant avec toute l’énergie de leur masse et de leur altitude. Voyez la force des rouleaux qui déséquilibrent déjà  les baigneurs quand ils ne font pas un mètre et sachez que l’énergie d’une vague est proportionnelle au carré de sa hauteur... Cela devient vite un cauchemar.
Observer les vagues n’est pas qu’un passe-temps de contemplatif. C’est un puissant instrument météorologique. Les trains de vagues voyagent plus vite que les dépressions qui leur donnent naissance. Si par temps calme, donc, une belle houle se présente et que le baromètre baisse, ….. attention ! Le mauvais temps arrive !

je suis donc allée voir ce que ces grands savants nous disent des océans, enfin, pas des nôtres, mais de ceux que l’on entrevoit ailleurs dans l’univers. Car qui dit océan, dit peut être vie… ce vieux fantasme de l’homme : la vie extra-terrestre.!
Le plus scruté, car le plus proche est l’océan martien. Ils y a trois ans l’un des radars de la sonde Mars express a levé un coin du voile. Oui, il y aurait eu, il y a 3 ou 4 milliards d’années une vaste mer au pôle nord de cette planète, qu’avec un certain manque d’imagination on a appelé " océanus borealis ". Le radar analysant les couches profondes a en effet détecté des couches sédimentaires et qui dit sédiment dit mer. Bon, mais qu’est devenue toute cette eau ? Piégée dans le sous-sol gelé ? Envolée dans le cosmos ? Le mystère plane encore et surtout aucune trace du début d’un commencement d’organismes vivants. Pas de petits hommes verts… et pas de quoi y poser la quille de mon bateau.
Pas très loin de chez  nous (entendez 700 millions de km en moyenne),un satellite de Jupiter : Europe, s’est fait remarquer, par la sonde Galileo. Europe est d’un beau blanc brillant, signe d’une surface toute gelée, et donc de présence d’eau, au moins solide. Mais des indices suggèrent aussi une couche d’eau liquide en continu sous quelques dizaines de km de glace. Un océan froid, très salé et encore plus acide n’est pas très favorable à la vie, mais qui sait, on trouve bien des bactéries sur terre dans des environnements extrêmes.
Un peu plus loin, (1,5 milliard de km) c’est du côté du pôle sud cette fois-ci, d’Encelade, un satellite de Saturne que l’eau semble présente, nous apprend,  cette fois-ci la sonde Cassini. Mais c’est de l’eau gelée sur 30 kilomètres d’épaisseur semble-t-il. Et sous cette glace, un océan d’environ 10 km de profondeur agité par des courants de marée qui propulsent de furieux geysers à travers les failles de la glace. Pas d’extra-terrestres en vue, là non plus et la balade en sous-marin, dans le noir, ne me tente pas vraiment.
EN fait l’eau est présente dans l’univers ; un millionième de sa masse visible. C’est peu et énorme à la fois, des molécules d’eau se baladent dans le cosmos et seraient d’ailleurs venues, en partie, ensemencer la terre. Les comètes sont des boules de glaces, par exemple, mais de l’eau liquide abondante, ça a l’air d’être bien rare.
Très loin,  on a bien trouvé GJ 1214b (joli nom) qui serait une exo planète candidate à avoir un océan, mais compte tenu de la température ce serait plutôt un bain de vapeur. Toujours pas terrible pour naviguer.
Sur le nombre d’exo-planètes que nos astrophysiciens découvrent chaque jour, peu feraient donc mon bonheur de marin … Ah, si, il y a peut-être Kepler 186f qui aurait la température requise pour une présence océanique, mais elle est à … 492 années-lumière. En voyageant à 300 000 km à la seconde, ce sont  mes descendants à la vingt-cinq millièmes génération qui navigueront sur ces rivages hypothétiques.

Ah ! les panneaux solaires quel bonheur : trois panneaux de 250 W à l'arrière d'AFRODITE et la vie quotidienne est un pur bonheur.
Alors voilà, imaginez que vous êtes ce soir dans un mouillage de rêve, un ciel tout rose, une mer calme et violette, seul le bruit des palmiers qui froufroutent, quand soudain …votre conjoint ou conjointe vous fait remarquer qu’il est plus que temps de démarrer le moteur pour fournir de l’électricité au frigo dans lequel les bières sont sûrement en train de réchauffer. Vroum, vroum !  Adieu, calme mouillage ; ce jour-là , vous vous promettez de passer au solaire !
Vous avez déjà réfléchi et arbitré entre le vent et le soleil. Une éolienne à bord fait encore du bruit quand elle tourne, il faut s’en occuper et l’immobiliser en cas de vents forts, un cordage ou des cheveux peuvent toujours se prendre dedans... si Si ! Vive le soleil, donc !
Je vous dis tout de suite qu’il ne faut pas faire de calcul économique. Quelques dizaines de litres de gasoil économisés ne compenseront jamais votre investissement car personne, comme EDF à terre, ne rachète votre courant en surplus. Mais votre tranquillité n’a pas de prix.
Ensuite il vous faudra entrer dans la jungle des sigles et des appellations, entre monocristallins et polycristallins, les puissance maximales, les énergies espérées, les puissances commerciales, les watts, les intensités, les voltages…..Mieux vaut avoir fait une solide école d'ingénieur que de commerce --> le capitaine
Ensuite vous considérerez le pont de votre bateau. Je vous conseille d'en réaliser une maquette avec un projecteur figurant le soleil que vous ferez tourner autour. Car, bien sûr, un panneau solaire ne débite absolument pas la même chose selon que les rayons sont bien perpendiculaires et qu’aucun cordage, mât ou voile ne fait de l’ombre, qu’en cas contraire. Mais il faut aussi tenir compte de la gîte qui va modifier l’incidence du soleil … sauf bien entendu si vous naviguez sur un multicoque...Ah Ah Ah ! très drôle...

Attention ! A ne pas marcher sur un panneau solaire et encore plus à y faire tomber toutes sortes d'instruments que l’on manipule à bord sinon vous allez les endommager.

Ah ! Mais j’oubliais que l’échauffement d’un panneau est catastrophique pour son rendement. Il serait donc judicieux de les installer en ménageant une circulation d'air dessous. Par exemple en les montant sur des glissières qui, en plus d'être disgracieuses vont être le premier endroit où vont se coincer toutes sortes de cordages risquant à leur tour d’arracher vos précieux panneaux.  Vous voilà donc contraints de faire ajouter à l’arrière de votre fier navire un portique pour poser votre installation à l’abri. Pas trop haut quand même, n’oubliez pas que vous devrez l’escalader régulièrement pour nettoyer les cellules photovoltaïques que le sel ternit. A ce stade, vous commencez à vous demander si vous n’aimez pas la bière tiède !

 Courage ! Le bateau «  planet solar » de plus de 30 mètres de long a fait un tour du monde entièrement mu par ses 537 m2 de panneaux solaires pour prouver que c’est possible. Arrêtez d'être grincheux et de me dire que votre beau voilier ne ressemble en rien à ce porte avion pour cellules photovoltaïques, cassez votre tire lire ou buvez de la bière tiède !


 

vendredi 13 mars 2015

JOURNEE MONDIALE DU NOMBRE PI

Journée de pi — Wikipédia

fr.wikipedia.org/wiki/Journée_de_pi
Une Pi pie de l'université de technologie de Delft avec ses 27 décimales. ... de gens, typiquement des clubs pi, racontent le rôle qu'a joué ce nombre dans leur ...
  • Journée mondiale du Pi

    www.journee-mondiale.com/date/14-03.htm
    Recherche les journées mondiales du 14-03, le site des Journées Mondiales vous dit presque tout sur les journées célébrées partout dans le monde.
  • Journée mondiale du Pi, le 14 mars

    www.journee-mondiale.com/375/journee-mondiale-du-pi.htm
    18 avr. 2014 - La journée mondiale du nombre Pi a forcément lieu le 14 mars car en anglais, cela s'écrit 03/14... soit à peu près 3.14 et je vous fais cadeau ...
  • "Pi Day", la journée mondiale des "matheux" - 7SUR7.be

    www.7sur7.be/7s7/.../Pi-Day-la-journee-mondiale-des-matheux.dhtml
    12 mars 2012 - Dans deux jours, ce 14 mars, la communauté mondiale des passionnés de mathématiques et de sciences célébrera le nombre pi.
  • 14 mars : “Pi Day”, la journée mondiale des “matheux”

    lyceefrancais.ro/14-mars-pi-day-la-journee-mondiale-des-matheux/
    14 mars : “Pi Day”, la journée mondiale des “matheux” ... à 6h02, où les chimistes fêtent la mole (en référence au nombre d'Avogadro, qui vaut 6,02×10 23.
  • Le saviez-vous ? The Pi day - Spontex

    fr.spontex.org/le_saviez_vous/1129/pi-day-approximation
    The Pi day ou en français le jour de Pi est une journée durant laquelle on célèbre la constante mathématique Pi.
  • [DOC]Le nombre Pi

    www.pi314.net/ref/PIexposeLaura.doc
    Mais, pi est aussi un nombre réel qui permet de calculer la circonférence d'un ... du Club autrichien des amis de PI, une journée internationale de pi a été créée.
  • Journée mondiale de la propriété intellectuelle – le 26 avril

    www.wipo.int/about-ip/fr/world_ip/
    Le nombre croissant de pays producteurs des films, et de moyens de diffusion sur petit ou ... Visionnez les posters et photos de la Journée mondiale de la P.I. et ...
  • Journée Mondiale de la Propriété Intellectuelle - Archives

    www.wipo.int/ip-outreach/fr/ipday/archive.html
    Vidéo |; Affiche - Journée mondiale de la P.I. 2010 (6.6 Mb); Affiche - 10e anniversaire de la Journée mondiale de la P.I. (7.7 Mb); Carte postale (6.4 Mb) ...
  • La journée de pi, la fête la plus funky / mouv' - Le Mouv

    www.lemouv.fr/article-la-journee-de-pi-la-fete-la-plus-funky
    22 juil. 2013 - C'est l'une des quelques "journées de pi" de l'année. ...
  • LIVRES ET DVD SUR LES ANTILLES



    Résultat de recherche d'images pour "guadeloupe ile papillon"


    http://www.ile-st-martin.net/

    http://www.ile-st-martin.net/photos/photos-insolites.html



    Saint Martin : une île magnifique, authentique, bordée par ses plages de sable blanc, ses lagons à l’eau turquoise et le soleil des Caraïbes… Un lieu magique …
    Préparez votre voyage aux Antilles
    Notre sélection coup de coeur de DVD et de livres !


    1DVD

    DVD Guides : Saint Martin, l’île double

    Au coeur des Caraïbes, l’île de Saint-Martin vit pleinement son état de « plus petite île du monde dépendant de deux nations ». Cette originalité lui procure un statut de paradis particulier. L’écrin : des baies bordées de plages immenses, de petites criques isolées, des sentiers qui se perdent dans une nature tropicale, des alizés permettant toute l’année la pratique des activités nautiques dans des conditions idéales.
    Réalisateur : Pierre Brouwers – Date de sortie du DVD : 4 mai 2011 – Durée : 52 minutes

    DVD Guides : Caraïbes – Petites Antilles Nord / Petites Antilles Sud / Grandes Antilles – Coffret 3 DVD

    D’île en île, les superbes images aériennes de Pierre Brouwers vous emmènent dans un monde de rêve : les Caraïbes
    Réalisateur : Pierre Brouwers – Date de sortie du DVD : 14 octobre 2004

    Le Monde vue du ciel : Les Antilles

    Vues par le regard d’un albatros qui serait parti de Cuba pour atterrir aux Grenadines, Grandes et Petites Antilles défileraient de la même manière : en couleurs magiques et en formes surprenantes. Au fil des minutes, la caméra dévoile les criques cachées des Iles Vierges, les baies de Saint-Barthélémy, les falaises de Marie-Galante. Elle survole la Martinique et la Guadeloupe, joue avec les baleines au large de la République Dominicaine, frôle les pitons de Sainte-Lucie, raconte les méfaits du volcan de Montserrat. Un voyage passionnant et inédit par-dessus les îles du mythe antillais.
    Réalisateur : Pierre Brouwers – Date de sortie du DVD : 21 novembre 2001

    Plage sur la côte caraïbe

    2Guides et beaux livres