Il survit à seize jours de dérive dans l’Atlantique
ACTUALITÉ
Un homme de 23 ans a été secouru dans l’océan Atlantique plus de deux semaines après avoir quitté les Bahamas avec son bateau. Retrouvé le 29 janvier dernier, il a survécu en mangeant des tortillas et des cookies.
La junk food, ça peut aussi vous sauver la vie. Samuel Moss Jr l’a appris bien malgré lui. Le 13 janvier dernier, cet homme de 23 ans a quitté les îles Bimini aux Bahamas pour rejoindre Nassau, la capitale de l’archipel, avec son nouveau bateau. Mais rapidement, il s’est retrouvé en panne d’essence.
Ce qui devait être un simple trajet de quatre heures s’est transformé en cauchemar, le ciel se chargeant de nuages inquiétants et la mer commençant à se déchaîner. Après plusieurs heures sans donner signe de vie, ce jeune Bahaméen a été porté disparu.
Sauvé à des centaines de miles marins de sa destination
Alors que sa famille désespérait de le revoir un jour, il a été finalement sauvé le 29 janvier au large de West Palm Beach (Floride), à des centaines de milles marins de sa destination initiale.
« Il a été secouru complètement à l’opposé de l’endroit où il se rendait », a expliqué Chris Lloyd, chef des opérations de sauvetage à la Bahamas Air Sea Rescue Association, au journal américain Sun Sentinel.
Retrouvé déshydraté et dans un état de fatigue généralisé, Samuel Moss Jr a ensuite été transporté à l’hôpital. « Je n’ai jamais été perdu », a déclaré le jeune homme en indiquant qu’il s’était laissé volontairement dériver dans une zone où le trafic maritime était important afin d’être découvert. Il s’est dirigé grâce à son ancre et une voile de fortune faite en toile.
Lui qui est sauveteur dans un complexe hôtelier de Nassau a aussi déclaré qu’il avait survécu grâce à des paquets de Doritos, des cookies et un stock de bouteilles d’eau pour une durée de douze jours. Mais au cours de son errance, une grosse vague a frappé son bateau et fait disparaître ses dernières rations de survie, menaçant aussi de faire couler son embarcation.
C’est la deuxième fois en un an que Samuel Moss Jr est secouru en mer selon le site d’information locale bahaméen Tribune 242. En février 2017, il avait dérivé pendant trois jours à proximité de l’île de Grand Bahama avant d’être retrouvé.
Le fils aîné de Fidel Castro, « Fidelito » s’est donné la mort
Fidel Castro Diaz-Balart, le fils aîné de l’ex-président Fidel Castro Ruz, s’est suicidé jeudi à l’âge de 68 ans. Depuis plusieurs mois, il était hospitalisé en raison d’un « état profondément dépressif. »
Fidel Castro Diaz-Balart, fils aîné de l’ex-président Fidel Castro Ruz, s’est suicidé jeudi à l’âge de 68 ans, a annoncé la presse officielle cubaine.
« Le docteur en sciences Fidel Castro Diaz-Balart, qui était suivi depuis plusieurs mois par un groupe de médecins en raison d’un état profondément dépressif, a mis fin à ses jours aujourd’hui premier février dans la matinée », a annoncé le quotidien officiel Granma.
Connu dans tout Cuba sous le diminutif de « Fidelito », l’aîné des enfants du fondateur de la révolution cubaine était né du premier mariage de Fidel Castro avec Mirtha Diaz-Balart, fille d’un homme politique cubain des années 1940. Après le divorce du couple en 1955, la bataille pour la garde de l’enfant (finalement remportée par Fidel Castro) donna lieu à une véritable saga, riche en rebondissements.
Des études de physique nucléaire en URSS
Sa mère avait dû s’exiler après la victoire de la révolution cubaine en 1959. La famille Diaz-Balart est aujourd’hui encore un des piliers de l’exil anti-castriste basé à Miami, en Floride.
Né le 1er septembre 1949, « Fidelito » fut envoyé par son père en Union soviétique pour y étudier la physique nucléaire, un domaine dans lequel il a occupé de hautes responsabilités de 1983 à 1992, avant d’être nommé vice-président de l’Académie des sciences de Cuba, poste qu’il a occupé jusqu’à son décès.
Avant sa disparition, « il avait initialement requis une hospitalisation et par la suite, il s’était maintenu en traitement ambulatoire durant sa réintégration sociale », a encore indiqué la presse officielle à propos de sa dépression.
Les canaux de la ville de Venise sont asséchés ! En cause, les marées basses causées par la super lune et le manque de pluie de ces dernières semaines. Un problème pour les habitants mais également pour les touristes. Ne pas avoir d’eau pose en effet quelques soucis…
C’est incontestable, Venise reste une des destinations préférées des touristes du monde entier. Malgré ses atouts, cette superbe ville n’offre pas toujours les meilleures conditions de visite. Le niveau des eaux peut littéralement inonder les places et les ruelles ou au contraire laisser les canaux vides…
Alors que les Parisiens ont les pieds dans l’eau depuis un mois, les habitants de Venise sont quant à eux bien au sec. Mais un peu trop… Depuis le 31 janvier, les légendaires canaux sont quasiment vides. Les gondoles sont même garées sur la terre ferme et dans la boue. La raison ? Tout simplement à cause du temps froid de l’hiver, des marées basses provoquées par la lune et du peu de pluie qui est tombée ces dernières semaines. À certains endroits de la ville, le niveau de l’eau a chuté de plus de 60 centimètres par rapport au niveau de la mer.
C’est la troisième année consécutive que Venise est touchée par ce phénomène. Beaucoup de bateaux-taxis sont hors-service ainsi que des gondoles. Comme il n’y a pas de véritable système d’égout, la marée basse cause aussi des problèmes de mauvaises odeurs. Car le système d’égout de Venise est, en effet, confié aux eaux des canaux : deux fois par jour, les marées éloignent l’eau sale, et amènent de l’eau propre.
Depuis de nombreuses années, Venise souffre trop souvent de la baisse du niveau d’eau. Un problème pour les habitants. Par conséquent, depuis 1951, la population de Venise a régulièrement diminué, passant de 175 000 à environ 55 000 personnes. Les Vénitiens demandent maintenant la construction d’un système pour protéger la ville à la fois des marées hautes et des marées basses.
Au Cap (Afrique du Sud), la consommation quotidienne d’eau par personne est réduite à 87 litres par personne. La ville fait face à une grave sécheresse qui dure depuis des mois. Le « Jour Zéro », lorsque les réserves d’eau de la ville seront à sec, se rapproche dangereusement.
Les 4 millions de Captoniens doivent encore réduire leur consommation d’eau. Les réserves d’eau de la capitale de l’Afrique du Sud étant très basses, la ville doit parvenir à passer sous la barre des 500 millions de litres d’eau consommés par jour.
La sécheresse sévit dans la région depuis au moins trois ans. Les derniers hivers ont été chauds et secs. Les pluies n’ont pas été importantes. S’ajoute à cela une population toujours plus nombreuse, ce qui fait augmenter la consommation d’eau.
Il ne faut pas non plus négliger l’héritage historique et l’apartheid concernant la gestion de l’eau au Cap, souligne David Blanchon, professeur de géographie à l’université Paris-Nanterre, interrogé par le site Vatican News. Cela ne fait que « depuis vingt ans qu’une nouvelle politique » est en place, celle « d’un peu d’eau pour tous » plutôt que « toute l’eau pour certains » privilégiée jusqu’au milieu des années 1990.
« Aujourd’hui, le département de gestion de l’eau de la ville, vieux de 100ans, doit trouver quels leviers actionner pour que ceux qui ont l’habitude de consommer beaucoup, diminuent leur consommation d’eau » et que ceux qui n’avaient pas jusque-là pas accès à l’eau de la ville puissent en bénéficier. « C’est difficile de faire changer de mode de vie. »
« Day Zero »
Mais il le faut. Car les réserves d’eau s’amenuisent. Alors que d’autres villes d’Afrique du Sud parviennent à se faire acheminer de l’eau de pays voisins, comme Johannesbourg ou Pretoria depuis le Lesotho, Le Cap, par sa situation, ne peut pas faire de même. La ville a lancé des projets pour tenter de produire de l’eau. Usines de désalinisation, programmes de recyclage de l’eau. Objectif : 200 millions de litres d’eau supplémentaire d’ici à février, précise RFI Afrique.
Pour le moment, les barrages sont encore remplis à 35 % de leur capacité, mais les autorités craignent que dans moins de quatre mois, le niveau atteigne seulement 13,5 %. Ce sera le « Day Zero » (le « Jour Zéro »). À ce stade, il ne sera plus possible d’approvisionner la ville en eau. Les habitants devront se rendre dans un des 200 points de contrôle surveillés par l’armée et la police pour recevoir leur ration d’eau quotidienne. Les projections basées sur la consommation actuelle de la ville placent ce « Day Zero » au 29 avril 2018, s’il ne pleut pas d’ici là.
« Ce n’est pas une crise imminente, nous sommes déjà complètement submergés par cette crise, insiste auprès du New York Times, Dr Anthony Turton, professeur au Centre pour le management environnemental à l’Université de l’État-Libre (au centre du pays). La ville du Cap pourrait devenir la première grande ville du monde à manquer d’eau. Cela pourrait se produire dans les quatre prochains mois. »
Pas de glaçons dans les cocktails
Les restrictions sur l’eau de la ville sont de plus en plus lourdes. Pas plus de 87 litres d’eau par jour et par personne. L’équivalent d’une douche de deux minutes, de sept verres d’eau et d’un seul lavage de main par jour. Le remplissage des piscines est interdit, comme le lavage des voitures, l’arrosage des jardins.
Même les joueurs de crickets de l’équipe nationale indienne venus disputer un match au Cap au début du mois de janvier, ont dû se plier aux douches de deux minutes ! Mais certains ne respectent pas cette limitation et dépensent plus de 10 500 litres par mois signale le site d’information locale sud-africain EyeWitness News South Africa, s’exposant à une amende de 10 000 rands (663 € environ).
Dans les hôtels, alors que la haute saison bat son plein, on prévient les touristes : évitez de tirer les chasses d’eau (« if it’s yellow, let it mellow », indique des pancartes dans les toilettes, note le New York Times dans son reportage), ne demandez pas à ce que votre linge de bain soit changé chaque jour… Certains grands établissements ferment leurs spas, proposent des réductions aux clients qui ne demandent pas de glaçons dans leur cocktail…
La ville du Cap, comme le reste du pays, ne peut pas se passer de ses touristes. Le revenu généré par les vacanciers représente 9,4 % du PIB de l’Afrique du Sud. « Les dollars des touristes sont vitaux pour l’économie. Et évidemment, nous ne voulons pas envoyer l’image d’une ville en train de s’effondrer », ajoute Dr Turton auprès du New York Times. Les professionnels du tourisme encouragent donc les pratiques « durables », pour les locaux, comme pour les visiteurs. Les hôtels envoient des explications lors de la réservation, ajoutent des pancartes demandant aux clients d’être consciencieux, changent les pommes de douche etc.
Nous avons tout intérêt à nous y habituer. Selon la WWF, deux tiers de la population mondiale seront concernés par la pénurie d’eau d’ici à 2025.
Donald Trump est arrivé au Forum économique mondial en Suisse ce matin dans une formation de sept hélicoptères - dans des scènes qui rappellent le film de guerre classique Apocalypse Now.
Un «copter-cade» transportant le président des États-Unis avec le personnel de sécurité et les officiers de marine a atterri au sommet, qui s'est tenu ce matin dans la luxueuse station de ski alpin de Davos.
Il a rencontré Theresa May aujourd'hui pour des discussions bilatérales - y compris travailler sur un plan pour le Donald de visiter le Royaume-Uni "dans les mois à venir."
Le numéro 10 des officiels confirmés aux Etats-Unis et au Royaume-Uni a été chargé de "travailler ensemble pour finaliser les détails d'une visite du Président au Royaume-Uni plus tard cette année".
DONALD TRUMP - Attendu par tout le monde ce jeudi 25 janvier à Davos, Donald Trump est arrivé sur place en fin de matinée. Le président américain compte bien profiter du Forum économique pour prouver aux autres leaders mondiaux que son célèbre "America First" ne signifie pas le repli du pays sur lui-même.
Mais bien loin des considérations géopolitiques, c'est le convoi aérien et terrestre de Trump qui a attiré les yeux et les objectifs des Suisses. De l'atterrissage d'Air Force One à Zurich à l'arrivée du cortège de voitures aux vitres teintées, les Helvètes n'ont pas perdu une miette du trajet présidentiel.
Il faut dire que le cortège d'hélicoptères qui a traversé 150km de ciel suisse valait le détour comme le montre notre compilation vidéo:
Sarah raconte des histoires, depuis toujours et d'aussi loin qu'elle s'en souvienne. Son trait à la fois souple et solide, sa manière de capter l'instant, son regard mi-amusé, mi-inquiet sur ses contemporains, rappelle tantôt Christophe Blain, tantôt Philippe Dupuy ou Charles Berberian. Quand elle ne dessine pas, elle court, très vite, derrière un ballon ovale et sur un terrain de rugby. Voir d'autres œuvres de cet auteur sur son blog.
Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.
Scène culte : Le bal infernal des hélicos d'"Apocalypse Now"
l'attaque des hélicoptères sur fond de "Chevauchée des Walkyries" dans le film de Francis Ford Coppola.
Cette adaptation, transposée en pleine guerre du Vietnam, du roman "Au cœur des ténèbres", de Joseph Conrad, met en scène le capitaine Willard (Martin Sheen) chargé par la CIA de retrouver et de neutraliser un certain colonel Kurtz (Marlon Brando), devenu incontrôlable et sanguinaire, réfugié, avec ses hommes, au plus profond de la jungle. Sorti en 1979, le film sera palme d'or à Cannes la même année.
LA SCÈNE
Elle dure sept minutes et intervient au bout d'une grosse demi-heure du film : 38 minute dans la première version sortie en 1979, 36 dans celle, plus longue, distribuée en 2001. Pour accéder au fleuve qui le mènera au repère du colonel Kurtz, le capitaine Willard est escorté par la flotte héliportée du colonel Kilgore (Robert Duvall ), qui en profite pour mener un raid sur un village vietnamien. A l'approche de ce dernier, il lance plein tube "la Chevauchée des Walkyries" de Wagner. Alertés par la musique, les habitants fuient, pendant que d'autres organisent la riposte. Le ballet des fusées et des armes lourdes s'engage, les hélicoptères survolent le village et les alentours. Un sous-officier repère un convoi de soldats ennemis à bord d'une 2CV. L'hélicoptère de Kilgore est touché par une fusée de détresse : "C'est rien, c'est rien", rassure le chef. La musique redouble d'intensité, certains appareils se posent, les GI débarquent fusil au poing. L'un d'eux se blesse à la jambe, fauché par une grenade. L'hélicoptère censé le rapatrier explose, touché par une autre grenade lancée par une jeune vietnamienne, tuée dans la foulée par les Américains. Kilgore aperçoit alors les vagues, de majestueux rouleaux de mer, qui s'écrasent à côté du village - la véritable raison qui a poussé cet obsédé du surf à engager la bataille. Il pose son hélico. Fin de la scène.
Ils sont ronds, souvent laids, parfois posés en pleine campagne, et le coût de leur installation s'élève à près de 20 milliards d'euros!
Selon "le Figaro" (28/12), "la France est la championne du monde du rond-point". Et aussi du carrefour à sens giratoire : deux terre-pleins qu'il ne faut pas confondre, car la priorité est à droite dans un cas et - "cédez le passage" oblige - à gauche dans l'autre !
Apparus en 1906, les ronds-points sont aujourd'hui six fois plus nombreux en France qu'en Allemagne et dix fois plus qu'aux Etats-Unis. En fait, quelque 500 nouveaux ronds-points sont inaugurés chaque année dans l'Hexagone. Et, si la Sécurité routière estime à 40% le nombre d'accidents évités grâce à ces ralentissements, certains s'interrogent quand même sur leur agencement et leur coût.
Ainsi, les Contribuables associés ont lancé un grand concours, qui a fini le 8 janvier, pour élire triomphalement "le plus moche rond-pont de France". Pas la placette, mais l'oeuvre d'art qui trône en son centre, incarnation plus ou moins heureuse de la région traversée.
Parmi les ouvrages nommés se trouve la fameuse soucoupe volante de La Haye-Fouassière en Loire-Atlantique, un engin très année 60, en aluminium, entourée de deux astronautes, l'un brandissant une bouteille de muscadet, l'autre un petit-beurre LU monté en étendard. Coût de l'oeuvre : 400.000 euros, répartis entre le biscuitier et la ville.
En bonne place aussi - restons dans les étoiles - la capsule spatiale de Vitry-sur-Seine la communiste, élevée à partir d'un module Soyouz délicieusement "guerre froide" , pour un montant non précisé.
Ou encore les 16 clous géants de Rugles dans l'Eure; pointes à tête plate plantées dans le sol comme autant de communes du canton, pour un montant total de 65.000 euros.
A moins que le public ne plébiscite le masque à 15.000 euros d'André Malraux à Pontarlier dans le Doubs, croisement inquiétant entre une divinité khmère et les yeux fiévreux de l'écrivain... Au regard de cette curiosité, l'"Espoir" est permis...
Le rond point le plus laid de France est à Pontarlier
L'association "Contribuables Associés" a lancé ce concours auprès des internautes, du pire rond-point de France. C'est "le masque d'André Malraux" sur un rond-point de Pontarlier dans le Doubs qui a été choisi.
Pontarlier, France
L'association Contribuables Associés qui se revendique comme "engagée contre les gaspillages d'argent public" a lancé le 12 décembre un concours du pire rond-point de France, afin d'élire l'équipement jugé le plus laid, coûteux ou mal agencé. Les internautes étaient invités à départager dix ronds-points, et c'est celui de Pontarlier qui a gagné. 12 538 internautes ont participé.
Le fameux "Masque d'André Malraux" a été choisi par 33 % des internautes, devant le "Cadran solaire " de Perpignan et "L'arbre en ciel " de Cugnaux.
Le rond point le plus laid de France est à Pontarlier
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Pontarlier, France
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Le fameux "Masque d'André Malraux" a été choisi par 33 % des internautes, devant le "Cadran solaire " de Perpignan et "L'arbre en ciel " de Cugnaux.