vendredi 17 juillet 2020

HORSE ISLAND, IRLANDE

ACTUALITÉ

Il achète une île à 5,5 millions d’euros sans même y avoir mis les pieds

Par Edouard LAMORT
Un acheteur fortuné et anonyme vient de s'offrir une île. Il va désormais pouvoir profiter d’une résidence principale de 4 500 m² et de six autres maisons. Idéal pour s’isoler en ces temps de pandémie mondiale de coronavirus.

ACTUALITÉ

Il achète une île à 5,5 millions d’euros sans même y avoir mis les pieds

Par Edouard LAMORT

http://www.ile-archipel.com/irlande-horse-island
Un acheteur fortuné et anonyme vient de s'offrir une île. Il va désormais pouvoir profiter d’une résidence principale de 4 500 m² et de six autres maisons. Idéal pour s’isoler en ces temps de pandémie mondiale de coronavirus.
C’est un décor de carte postale. Trois plages, sept maisons, un court de tennis, un héliport et une faune naturelle exceptionnelle… Horse Island est une île située au sud-ouest de l’Irlande. Sur le marché, elle vient de trouver preneur pour 5,5 millions d’euros. Jusqu’ici, rien « d’anormal » si ce n’est que tout le monde ne peut pas s’offrir ce type de résidence secondaire.
Ce qui sort de l’ordinaire en revanche, c’est que l’acheteur anonyme de ce bien d’exception… n’a même pas visité en personne son futur cocon irlandais avant de signer son chèque ! Plus surprenant encore, le site de 63 hectares a été négocié « pour la plus grande partie par messagerie instantanée Whatsapp », rapporte le média américain CNN.
Une résidence de 4 500 m²
Coronavirus oblige, les clients fortunés sont de plus en plus nombreux à rechercher et acquérir des îles privées afin de se mettre à l’abri de la pandémie de Covid-19. Il faut dire que sur place rien ne manque ! « Cette vente souligne la tendance actuelle de plus en plus forte que l’on observe avec la crise du coronavirus », détaille à CNN Alex Robinson, un agent immobilier impliqué dans la vente.

ACTUALITÉ

Il achète une île à 5,5 millions d’euros sans même y avoir mis les pieds

Par Edouard LAMORT
Un acheteur fortuné et anonyme vient de s'offrir une île. Il va désormais pouvoir profiter d’une résidence principale de 4 500 m² et de six autres maisons. Idéal pour s’isoler en ces temps de pandémie mondiale de coronavirus.
 C’est un décor de carte postale. Trois plages, sept  maisons, un court de tennis, un héliport et une faune naturelle exceptionnelle… Horse Island est une île située au sud-ouest de l’Irlande. Sur le marché, elle vient de trouver preneur pour 5,5 millions d’euros. Jusqu’ici, rien « d’anormal » si ce n’est que tout le monde ne peut pas s’offrir ce type de résidence secondaire.
Ce qui sort de l’ordinaire en revanche, c’est que l’acheteur anonyme de ce bien d’exception… n’a même pas visité en personne son futur cocon irlandais avant de signer son chèque ! Plus surprenant encore, le site de 63 hectares a été négocié « pour la plus grande partie par messagerie instantanée Whatsapp », rapporte le média américain CNN.
Une résidence de 4 500 m²
Coronavirus oblige, les clients fortunés sont de plus en plus nombreux à rechercher et acquérir des îles privées afin de se mettre à l’abri de la pandémie de Covid-19. Il faut dire que sur place rien ne manque ! « Cette vente souligne la tendance actuelle de plus en plus forte que l’on observe avec la crise du coronavirus », détaille à CNN Alex Robinson, un agent immobilier impliqué dans la vente.
Tout confort, la maison principale offre une vue unique sur l’océan Atlantique. (Photo : Montague Real Estate)
Dans des paysages verdoyants et accidentés avec la mer en toile de fond, l’île offre une maison principale de 4 500 m2 et six maisons supplémentaires pour des invités. Concentré de luxe raffiné mais pas tape à l’œil, Horse Island est accessible au continent grâce à son héliport, et un ponton permettant aux ferries et aux bateaux de pouvoir accoster sans danger sur les rivages escarpés de ce bout de terre posé dans l’Atlantique Nord.
137 âmes en 1841
Invitation au calme et à la réflexion, Horse Island permet quasiment de vivre en autarcie en produisant sur place son électricité, son eau potable et possède son propre système d’évacuation des eaux usées.
Sur l’île, six maisons sont réservées aux invités. (Photo : Montague Real Estate)
Désormais privée, l’île abritait une petite industrie du cuivre au XIXe, avec des mines disséminées autour de l’île. À son apogée, la population locale a culminé à 137 personnes en 1841 mais, dans les années 1960, tous ses résidents ont déserté le récif, selon les agents immobiliers Montague Real Estate. De quoi ne pas être dérangé pour l’été ...

OUPS


COUP DE GUEULE



«Inutile» pour le grand public en mars, le masque devient «obligatoire» en juillet

GRAND RÉCIT - Cette saga du masque restera comme LE feuilleton de la crise sanitaire.


L’autodiscipline aura fait long feu. Le port du masque, a affirmé le premier ministre Jean Castex jeudi matin devant les sénateurs, sera désormais «obligatoire dans tous les établissements recevant du public clos, en particulier, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, les commerces». Terminée, la «recommandation chaleureuse» encore prônée quatre jours plus tôt par le ministre de la Santé Olivier Véran. Il faut dire que les Français n’y ont pas tous mis du leur: les enquêtes CoviPrev, menées par Santé publique France depuis la fin mars, montrent une baisse continue du respect des mesures barrières, ainsi que du port du masque, dont la fréquence, après une forte progression jusqu’à fin mai, a baissé avant de se stabiliser à à peine plus de 50 %.
Que les Français le veuillent ou non, le masque n’attend désormais plus qu’une chose pour s’imposer sur leur nez: un décret, dont on espère au ministère de la Santé qu’il sera publié demain pour une obligation d’ici «lundi ou mardi», a précisé Olivier Véran à l’Assemblée nationale jeudi. Commerces, établissements médico-sociaux, banques, administrations, salles de spectacle, cinémas, mais aussi marchés couverts… La liste des établissements potentiellement concernés est «interminable», glisse-t-on au ministère. L’obligation s’appliquerait «à partir de 11 ans» et «sans exception prévue», ajoute l’Élysée. Qui précise cependant: «Nous devons encore travailler sur le secteur privé et les files d’attente.» La responsabilité devrait reposer sur les établissements, et non les usagers, croit-on savoir au ministère de la Santé. Sans apporter plus de précisions sur les sanctions encourues ni les personnes à même de verbaliser les contrevenants.

Il ne faut pas porter de masque quand on n’est pas professionnel de santé.
Jérôme Salomon lors de son point presse quotidien
Il en aura pourtant fallu, des tribunes, des interviews et des coups de sang d’experts, dans les colonnes de journaux comme sur les plateaux de télévision, pour aboutir à ce résultat. Il faut dire que cette saga du masque restera comme LE feuilleton de la crise sanitaire… Début mars, Emmanuel Macron présentait comme «très symbolique» la réquisition des stocks et production de masques de protection. La France ne comptait encore que 4 morts, mais les pharmaciens avaient déjà observé une ruée discrète et inhabituelle des Français sur les masques. Des vols étaient signalés dans les cabinets médicaux et jusqu’au sein des blocs opératoires, tandis que les soignants (bientôt rejoints par les pompiers, policiers et autres «personnels essentiels» privés de confinement) rageaient de ne pas disposer d’assez de masques pour se protéger. «Il ne faut pas porter de masque quand on n’est pas professionnel de santé», serinait le directeur général de la Santé Jérôme Salomon lors de son point presse quotidien ; «L’utilisation d’un masque, ce sont des gestes techniques précis (…) et ça peut même être contre-productif», lançait Sibeth Ndiaye, alors porte-parole du gouvernement. «Porter un masque dans la rue ne sert à rien si on n’est pas malade», répétait Olivier Véran.

Des clients réfractaires

À la décharge des autorités, la doctrine scientifique n’a longtemps pas été claire sur la question. Protecteur, le masque? Mais pour qui? Celui qui le met, celui qui lui fait face? Ils sont conçus pour bloquer les projections de celui qui porte le masque, et l’on a longtemps pensé qu’il n’était utile que porté par les personnes présentant des symptômes. L’Organisation mondiale de la santé elle-même ne le recommandait pas au grand public. Mais on sait désormais qu’une personne infectée est contagieuse même sans symptômes, et que le virus se transmet aussi par de toutes petites gouttelettes de salive, capables de rester longtemps en suspension dans l’air et d’aller contaminer à distance de l’émetteur ; le masque semble donc bel et bien indispensable en milieu clos.
» À voir aussi - Le vrai prix des masqus pour les Français


Il ne faut pas pour autant croire que son utilité pour la population générale est une découverte. Preuve en est, le plan pandémie de 2009 l’évoquait déjà: «Pour les personnes indemnes, le port d’un masque anti-projection pourra être préconisé dans les espaces publics à titre de précaution.» Les autorités devaient aussi bien imaginer que le masque chirurgical était protecteur, puisqu’elles l’ont longtemps conseillé aux soignants, faute de pouvoir leur fournir les FFP2 conçus à cet effet…
Mais derrière cette longue dénégation de l’utilité du masque pour le grand public, il y a aussi (surtout?) une faille apparue au grand jour au beau milieu de la crise sanitaire: les stocks stratégiques d’État, notamment censés garantir des masques en quantité suffisante pour faire face à une épidémie d’ampleur, se sont avérés bien moins fournis qu’ils ne l’auraient dû. Et la France s’est trouvée bien en peine de passer des commandes: le monde entier lui faisait concurrence dans la même fièvre acheteuse alors que les usines productrices, pour une large part chinoises, ont longtemps été à l’arrêt à cause de la pandémie.

Se fabriquer son propre masque

Début avril, alors que sur internet fleurissaient les astuces plus ou moins abouties pour se fabriquer son propre masque, l’Académie de médecine se prononçait en faveur du port par tous du masque «même alternatif»«addition logique aux mesures barrières actuellement en vigueur». Jérôme Salomon se rangeait timidement à cette idée que le grand public pourrait, «s’il le souhaite», porter ce type de masques. Le déconfinement se profilant, les collectivités locales se sont mises à commander des masques en tissu, l’obligation de s’en revêtir dans les transports publics était actée et Édouard Philippe, alors premier ministre, jugeait «préférable» de le porter dans les autres lieux clos. «Un commerçant pourra subordonner l’accès de son magasin au port du masque», expliquait-il ; omettant peut-être que ces derniers, éprouvés par une longue fermeture imposée, pourraient rechigner à refuser des clients réfractaires.
Mi-juillet, une tribune de médecins dans Le Parisien, suivie d’une autre dans Libération, réclamaient le port du masque obligatoire dans les lieux clos. «La question se posait avant la une du Parisien, précise-t-on au ministère de la Santé. À partir du moment où on s’est rendu compte qu’il y avait une baisse de la vigilance, et une hausse des indicateurs épidémiologiques, la question a été sur la table.» «Le travail des médias a eu un rôle, presque de lanceur d’alerte, admet-on cependant à l’Élysée. Le gouvernement a mesuré l’impatience. On aurait peut-être dû aller plus vite, il y a peut-être eu une petite erreur de réglage de notre part. Le premier ministre a immédiatement rectifié.»


» À voir aussi - Pourquoi jeter son masque de protection par terre est dangereux et polluant





mardi 14 juillet 2020

MÉTÉO DES OURAGANS





Situation sur le bassin atlantique tropical :

Trois ondes tropicales avec convection modérée et dispersée sont situées sur la moitié Est de la région principale de développement. Deux d'entre elles sont désignées par les services de Météo-France OT16 et OT17. Celle en sortie d'Afrique est actuellement engloutie par une couche d'air Saharienne.

Aucun phénomène cyclonique n'est prévu de se développer pour les 10 prochains jours, en espérant atteindre ce bilan à la fin du mois de juillet.

😍

14 JUILLET


ANALYSE - Le chef de l’État a longuement hésité avant d’accepter de s’exprimer. Vendredi dernier, il a même failli tout annuler à la dernière minute, de peur que sa prise de parole soit trop superflue.

CONTRE-POINT - Il est juste cocasse de constater que pour se «réinventer», Emmanuel Macron retourne à une modalité classique qu’il avait jugée dépassée.

En raison de la crise sanitaire, le traditionnel défilé sur les Champs-Élysées est remplacé par une cérémonie militaire 
Après l'été 1789, la Commune de Paris, sous l'impulsion de Lafayette, décide de fonder une grande Fédération nationale regroupant des représentants des fédérations locales et de les réunir à Paris le 14 juillet 1790. La cérémonie est censée célébrer la prise de la Bastille, un an après cette date symbolique, mais aussi apporter un semblant d'ordre et d'unité dans un pays en crise.

Après le 14 juillet 1880, le défilé militaire devient une institution. Le 14 juillet 1919, les maréchaux Foch, Joffre et Pétain défilent à cheval sur les Champs-Elysées - passant même sous l'Arc de Triomphe - pour célébrer la victoire dans la Première guerre mondiale acquise quelques mois plus tôt. C'est à ce moment que le traditionnel défilé du 14 juillet prend ses quartiers sur l'avenue la plus célèbre de Paris. 

Après une éclipse pendant la Seconde guerre mondiale, le défilé du 14 juillet prend son aspect actuel avec la multiplication des chars et des avions, et les milliers de troupes à pied.

La courte cérémonie statique de 2000 militaires 🇫🇷 prévue pour le 14 juillet 2020 sera "sobre, en résonance avec la gravité du moment"...

Espérons que l'été 2021, puisse nous permettre de retrouver l'esprit original du défilé militaire en souvenir de cette "Fédération Nationale du 14 juillet 1790"










QUESTION

Comment d’anciens cadres socialistes peuvent-ils participer à un gouvernement conservateur conduit par un ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy, aux côtés de ministres de la même sensibilité ? La question invite à revenir aux sources du macronisme, un mouvement qui, loin de résulter d’un accident politique, a été engendré par le Parti socialiste et sa lente mais irrémédiable dégénérescence. 




L'histoire se passe à Paris, en 1789 [...] les gens sont en colère. Une fois que le peuple s'est mis à gronder, rien ne l'a plus arrêté [...] Le 14 Juillet, il prend les armes et il fonce sur la prison de la Bastille. Pauline Léon est de la partie [...] Le pays est véritablement en train de changer. Partout, on crie « vive la liberté » [...] Pauline se donne une mission : faire entendre la voix des femmes !
En 1789, la France vit une importante crise économique et sociale. Le royaume est sérieusement remis en cause, le roi Louis XVI est très impopulaire, le peuple a faim et, avec l'esprit des Lumières, prend conscience des nombreuses inégalités dont il est victime. Les Etats Généraux, chargés de rapporter au roi le malaise du pays, se proclament Assemblée nationale et cette dernière devient le grand représentant du peuple. 











Mais où sont les filles ? questionne Pauline Léon qui voudrait participer davantage et hausser la voix des femmes. En 1789, Pauline a 21 ans, elle fait la Révolution, participe à la prise de la Bastille. Elle vit les fameuses journées des 4 et 5 octobre 1789, lorsque des femmes révolutionnaires se rendent à Versailles pour ramener le roi à Paris et lui demander du pain. Pauline fréquente plusieurs clubs révolutionnaires au point de créer, en 1793, avec son amie Claire Lacombe, « la Société des citoyennes républicaines révolutionnaires », uniquement réservé aux femmes.
► Voici la bande annonce du dernier film de Pierre Schoeller, sorti en 2018, qui propose une réadaptation des débuts de la Révolution française au cinéma dans "Le peuple et son roi" : 

dimanche 12 juillet 2020

MÉTÉO 12 JUILLET 2020

Les cumuls de pluie les plus importants sur les 6 dernières heures se sont concentrés principalement autour de la région de Marie-Galante en Guadeloupe (photo 1 ).


La masse d'air instable et humide liée à l'onde tropicale 15 OT15 s'évacue progressivement de nos îles vers l'Ouest laissant s'installer une masse d'air sec et surtout brumeux (photo 2) à partir de la mi-journée de ce dimanche.


photo 1

photo 2

13 juillet

Situation sur le bassin atlantique tropical :

L'onde tropicale OT15 qui a apporté un temps humide et salvateur sur nos îles s'évacue à l'Ouest. On aperçoit à gauche de l'image sat. IR, les cellules pluvio-orageuses au Nord de Puerto-Rico.

En sortie d'Afrique et au Sud des îles du Cap-Vert, convections modérées et dispersées liées à 2 ondes tropicales OT16 et OT17 ainsi qu'aux creux de mousson.

Elles ne devraient pas nous intéresser sous leur forme originelle. Celles-ci seront repoussées vers le Nord-Ouest puis vers l'Ouest. Nous en reparlerons dans les 4 à 5 prochains jours.

😍

IL Y A 10 MOIS..


Tu laisses derrière toi une femme désemparée qui va devoir se reconstruire pour sortir de sa détresse psychologique et émotionnelle...



Tu ne seras plus jamais là où tu étais
Mais là où je serai...









levoyagedafrodite.blogspot.com 




vendredi 10 juillet 2020






Au matin du 10 juillet 2020, l'unité de la valeur totale ACE a une moyenne actuelle de 6.5 : elle est 2,5 fois plus élevée que la moyenne mais moins élévée que d'autres saisons qui ont eu plusieurs cyclones survenus avant le 10 juillet d'où les années de 1995, 1996, 2005, 2008, 2012 ou 2016 car toutes les saisons ont eu au moins un ouragan.

Cependant le nombre de jours cumulés de tempête est exactement de 10 soit 4 fois plus que la moyenne :
2020 surpasse de peu les saisons de 2005 et 2012 et pourrait avoir une journée de plus avant le 11 juillet.
Il faudrait rappeler que 1995 et 2005 ont eu un total de jours cumulés de tempête entre 120-130. Pour 2020, les prévisions envisagent 80 à 120 jours cumulés.

Avec la sixième tempête formée 2 mois avant la date historique, il devient évident qu'il y aurait pas moins de 21 tempêtes prénommées : les prénoms Isaias, Paulette, René, Sally, Teddy, Vicky et Wilfred devraient être utilisés pour la première fois dans le bassin Atlantique et Pacifique.

Même si la partie tropicale sera généralement favorable pour les cyclogénèses pour les 5 prochains jours, aucune évolution cyclonique n'est envisageable et aucune menace cyclonique pour les Petites Antilles pour les 10 prochains jours.

9 juillet 2020

Le vol de reconnaissance a trouvé que le centre de la zone d'investigation 98L s'est mieux formé : elle est désormais la sixième tempête tropicale de la saison 2020, nommée FAY.
Historiquement, la sixième tempête survient le 8 septembre soit 2 mois après et c'est la première fois depuis des décennies que 5 des 6 premiers cyclones se forment dans la partie subtropicale et que 4 affectent le continent nord-américain, avant le 15 juillet.

Aussi ridicule que ça l'est, les 4 autres tempêtes formées dans la partie subtropicale ont été de courte durée (moins de 3 jours) et n'ont pas atteint le stade d'ouragan.

Par ailleurs, aucune menace cyclonique envisagée pour les Petites Antilles pour les 5 prochains jours.

Il faudrait également rappeler que les deux derniers cyclones nommés qui ont touché l'arc antillais durant juillet sont survenus il y a 24 ans (Bertha en 1996) et 7 ans (Chantal en 2013).

Ci dessous, la liste des prénoms restants pour la saison de 2020 :

Gonzalo
Hanna
ISAIAS
Josephine
Kyle
Laura
Marco
Nana
Omar
PAULETTE
Rene
Sally
Teddy
Vicky
Wilfred

Le prochain prénom est masculin, hispanique et que les habitants de St Barthélémy et de St Martin se souviendront de sitôt