Jean Le Cam et Kevin Escoffier étaient en contact direct avec le Capitaine de vaisseau Frédéric Barbe et le Lieutenant de vaisseau Jérémie Lefebvre pour affiner un point de rencontre au milieu de l’océan Indien et effectuer la récupération du skipper de PRB. L’approche de la frégate et de l’IMOCA a été rendue très compliquée dans la journée de samedi et cette nuit en raison des conditions météo extrêmes sur la zone (le Nivôse naviguait en fin d’après-midi hier dans une mer grosse et 40 nœuds de vent). Un way point avait été établi dans le nord de l’île aux Cochons et de l’île de la Possession par 40°15 Sud, 52°20° Est pour que les deux embarcations se retrouvent dans des conditions optimales qui permettent au Nivôse et à Yes We Cam d’opérer le transfert sans risque.
Îles Kerguelen (France)
Nombre d'îles : 300
Point culminant Mont Ross (1 850 m sur Grande Terre)
Territoire d'outre-mer, Drapeau des Terres australes et antarctiques françaises
Démographie : Population 120 hab. (2012)
Elles sont éloignées de plus de 3 250 kilomètres de La Réunion, terre habitée la plus proche. L'île principale, la Grande Terre, qui couvre plus de 90 % de la surface, est la troisième plus grande île française (après la Nouvelle-Calédonie et la Corse). C'est également la plus grande de toutes les îles subantarctiques (devant la Malouine orientale).
Il y règne un climat froid mais non glacial (les températures moyennes d'été sont inférieures à 10 °C mais celles d'hiver sont supérieures à 0 °C), extrêmement venteux.
Ces terres furent découvertes le 12 février 1772 par le navigateur breton Yves Joseph de Kerguelen de Trémarec. Elles sont restées, malgré quelques tentatives de colonisation, dépourvues d'habitants permanents.
Depuis 1950, la France assure le fonctionnement continu de la station de Port-aux-Français, base logistique, technique et scientifique où se relayent régulièrement 45 à 100 personnes. La 71e mission est actuellement en cours.
Histoire
Une découverte tardive, 1772
Yves de Kerguelen vers 1780 et James Cook en 1776.
Inhabité, l'archipel est découvert le 12 février 1772 par le navigateur français Yves Joseph de Kerguelen de Trémarec qui l'aborde par le nord-ouest et ne peut accoster, en raison du mauvais temps, que quarante lieues plus au sud dans l'anse du Lion-Marin. Il le baptise « France australe », le 23 février, l'enseigne de vaisseau Charles de Boisguehenneuc y débarque et en prend possession au nom du roi de France. Rentré en France, il fait miroiter à Louis XV la possibilité qu'il s'agisse d'un nouveau continent austral, afin d'organiser une seconde expédition. De retour dans l'archipel en décembre 1773, il entre dans la baie de l'Oiseau et envoie le 6 janvier 1774 son lieutenant Henri Pascal de Rochegude à terre y laisser un message dans une bouteille placée en évidence sur un rocher au fond de l'anse. La bouteille contient un document attestant la prise de possession au nom de la couronne française et les deux passages de navires français :
Quatre ans plus tard, James Cook aborde l'archipel le 25 décembre 1776 au nord-ouest également, jetant l'ancre dans la baie de l'Oiseau, et nomme le havre naturel Christmas Harbour avant de découvrir le message dans la bouteille, auquel il ajoute la mention de son propre accostage. De ce fait, James Cook valide l'antériorité de la découverte et de la possession françaises en proposant d'appeler cette île du nom de Kerguelen, alors qu'il avait aussi pensé au terme, approprié à ses yeux, d'« île de la Désolation ».
Hope Cottage de John Nunn à Pointe Charlotte.
Le marin britannique John Nunn fit naufrage sur l'archipel en août 1825. Nunn et ses trois équipiers restèrent bloqués sur l'île jusqu'à leur sauvetage en février 1827.
Confirmation de la possession française et tentative d'exploitation Port-Christmas 2 janvier 1893.
En 1908-1909 (à bord du J.B Charcot) puis en 1913-1914 (avec la Curieuse), le navigateur-écrivain Raymond Rallier du Baty et son frère Henri explorent les rivages, les baies et les terres de l'archipel pour établir la première toponymie officielle de ces terres. Le géologue Edgar Aubert de la Rüe, assisté par son épouse Andrée, entreprend l'étude géologique et géographique de l'archipel lors de quatre campagnes (1928-1929, 1931, 1949-1950, 1952) et poursuit les travaux de dénomination.
Zone de passage des courses autour du monde
Deux bateaux du Vendée Globe 2008 au mouillage pour réparation au Port-aux-Français : Temenos du Dominique Wavre et Cheminées Poujoulat de Bernard Stamm, ce dernier y échouera son bateau. Les Kerguelen sont situées dans la zone de passage des courses à la voile autour du monde et certains skippers sont obligés d'y faire escale pour réparer. Ainsi en 1994, dans le BOC Challenge, Isabelle Autissier, après avoir démâté, remonte avec l'aide des hivernants un mât laissé à Kerguelen par un bateau de plaisance (mais elle fera naufrage quelques jours plus tard). Fin 2008, lors du Vendée Globe, Dominique Wavre sur Temenos et Bernard Stamm font escale devant Port-aux-Francais pour réparer, mais ce dernier y échoue son bateau, Cheminées Poujoulat après que son mouillage a lâché (il sera ramené par le Marion Dufresne).
Les îles Kerguelen.
Comme il n’y a absolument rien sur ces îles sinon quelques pingouins manchots,
et quelques Français pas manchots ( une amie a vécu là-bas durant tout un hiver), la grande particularité de ces îles est d’avoir été découvertes non pas par un Bourguignon ou par un Alsacien, mais, surprise, par un navigateur breton ! Le sieur Kerguelen évidemment, né tout près de Quimper, soit en langage Grand Large entre chez Nino 29 et Mathieu 19an204. Bravo à eux ! Allez, amenez donc maintenant le cidre pour fêtez cela !
( Évidemment, quelques abrutis trouveront du charme aux espaces infinis, au chant de la nature, à l’âme de la Terre, ou d’autres conneries de ce genre...)
Le trésor des Kerguelen : en fait c'est un très vieux feuilleton radiophonique raconté par Rémo Forlani.Je devais avoir 5 ans, et j'ai cherché longtemps ces îles sur la mappemonde de l'école , sur laquelle elles s'appelaient encore îles de la Désolation.
Y passer virtuellement est fabuleux .....
1959 |Édition spéciale - "Voyage aux Îles Kerguelen", reportage en immersion en trois parties : "Port aux Français", "L'Archipel, théâtre animalier" et "En route vers la nouvelle Amsterdam" (1ère diffusion : 05,16 et 22/06/1959 France II Régionale).
Des sons, des images, des odeurs, des langues, des accents, la chaleur ou le froid, le mystérieux ou le familier pour un double voyage, dans l'espace et dans le temps. Des documentaires de tous les temps qui font voyager en noir et blanc, en sépia, en couleurs passées mais toujours vives et brillantes
Nous sommes aujourd'hui en France, du moins sur un sol français, mais plus souvent en bateau, cela dit : ne cherchez pas, ou alors cherchez dans un Atlas : les Îles Kerguelen, certes, sont françaises, mais où sont-elles donc situées ? Au sud de l'océan indien.
Le 12 février 1772 le chevalier Yves de Kerguelen découvrait l’archipel Kerguelen auquel il a laissé son nom. A peu près grandes comme la Corse, les Kerguelen sont comprises entre le 48ème et le 50ème degré de latitude sud et débordent le 70ème degré de longitude est. Elles appartiennent aux terres australes et antarctiques françaises. Port aux Français, la capitale des îles Kerguelen est un centre scientifique situé à 12540 km de Paris. Les équipe de l’émission "Édition spéciale" étaient partie en reportage sur ces îles lointaines, diffusion des trois premiers volets intitulés : "Port aux Français", "l'Archipel, théâtre animalier" et "En route vers la nouvelle Amsterdam".
Par Jacques Carion
Edition spéciale - Voyage aux Iles Kerguelen : 1- Port aux Français, 2- l'Archipel, théâtre animalier, 3- en route vers la nouvelle Amsterdam (1ère diffusion : 05,16 et 22/06/1959 France II Régionale)
Indexation web : Documentation sonore de Radio France
Archive Ina-Radio France
https://www.kerguelen-islands.fr/
Les îles de Kerguelen en vue ! Trop d’la balle. Encore un rêve ravivé par VR.
Un pote y a fait sa thèse. Emmanuel Lepage y a rejoint avec le Marion Dufresne les scientifiques qui y séjournent et en a produit un livre merveilleux, “Voyage aux îles de la désolation” (tiens, bonne idée de cadeau...).
Je vois déjà le gorfou m’accueillant de son œil bizarre (dedicace à Francois Adoue ;-)
Et nous ? Nous y allons à la queue leu leu comme une troupe de manchot qui rentrent à la maison ;-)
L'archipel Crozet, également appelé archipel de Crozet, archipel des Crozet ou encore îles Crozet, forme un archipel du Sud-Ouest de l’océan Indien intégralement situé sur la plaque antarctique. Il constitue l'un des cinq districts des Terres australes et antarctiques françaises et ne compte aucun habitant permanent.Wikipédia
L'île Marion est une île australe sud-africaine de l'océan Indien, à 1 756 km au sud-est de Port Elizabeth. Depuis 1995, c'est une réserve naturelle. Avec l'île du Prince-Édouard, elles constituent les îles du Prince-Édouard.Wikipédia
Parfois l’aridité et la froideur d’un paysage sauvage ne fait que laver notre âme de toute futilité de ce monde que l’on veut nous faire sembler en être sorti ...
Ce qui côté en fait c’est la profondeur de notre cœur vis à vis de l’inconnu .. quel qu’il soit .
Nous sommes beaucoup à l’avoir franchie de façon maladroite … moins peut-être à savoir qu’elle a été modifiée depuis le départ de la Course, c’est dire à quel point le réchauffement climatique est rapide !
D’après ce que l’on m’a dit la ZEA est une couronne imaginaire tracée par à 72 points GPS, séparés de 5° chacun.
Elle est dessinée autour du continent Antarctique. Elle est interdite aux skippers réels pour leur sécurité en leur évitant de percuter les blocs de glace qui se détachent de la banquise en raison de ce maudit réchauffement climatique.
Pour nous, « Voileux 2.0 » assis au sec sur nos canapés il faut avouer que le risque est bien moindre même si certains d’entre nous attendent chaque soir avec impatience de voir les glaçons se télescoper au fond de leurs verres...
Si en 2020, il a été indispensable moins de 5 semaines après le départ de remonter cette ZEA pour la sécurité des concurrents, je vous laisse imaginer les difficultés que vont rencontrer les concurrents du VG 2024 lorsque la ZEA aura été remontée au niveau de l’Uruguay, de la Namibie, de Madagascar et au Nord de l’Australie !
Sauf à imaginer des transferts terrestres l’épreuve ne pourra certainement pas avoir lieu !
D’ici 2024 , les JO de Tokyo 2020 version 2021 et la Coupe du Monde de Rugby 2023 se seront certainement bien déroulés, mais à huis-clos, grâce à un confinement mondial rigoureux qui aura été mis en place suite à la 22° vague du COVID.
Vendée Globe. Pour éviter au maximum les icebergs : la zone d’exclusion des glaces redéfinie
La Direction de course du Vendée Globe a modifié le positionnement de la Zone d’Exclusion Antarctique, cette zone proche de l’Antarctique où les skippers du tour du monde en solitaire n’auront pas droit de naviguer, afin d’éviter au maximum le risque de croiser des icebergs, mais aussi pour être (un peu) moins loin des sauveteurs australiens. Explications avec le directeur de course, Jacques Caraës.
Voiles et Voiliers.Publié le
La direction de course a communiqué le positionnement des 72 points GPS, séparés de 5° et qui tracent la Zone d’Exclusion Antarctique (ZEA), une couronne virtuelle dessinée autour du continent éponyme, sous laquelle les 33 skippers du Vendée Globe ont interdiction de descendre, pour leur sécurité.
Pour des raisons de sécurité, ces points dessinent donc une zone d’interdiction à la navigation que la flotte va aborder un peu avant de franchir la longitude du cap de Bonne-Espérance (Afrique du Sud), et qui se dessinera dans leur sud sur la route vers le cap Leeuwin (Australie), puis vers le cap Horn (Chili), ces trois grands caps, jalons du parcours, étant à laisser à bâbord.
Nous avons affiné nos positionnements et communiqué sur la ZEA version Départ remise aux coureurs le 30 octobre
Jacques Caraës, le directeur de course, explique comment ça marche :
« Depuis plusieurs mois, nous travaillons avec CLS (Collecte Localisation Satellites) pour surveiller le déplacement des glaces dans la zone antarctique, dans l’océan Indien comme dans l’océan Pacifique. Ces images satellites se commandent à l’avance et elles sont traitées chez CLS Brest, avec l’analyste radar CLS Jimmy Viard. Nous avons établi une première zone, communiquée le 1er octobre et, mercredi dernier, nous avons affiné nos positionnements et communiqué sur la ZEA version Départ remise aux coureurs le 30 octobre. »
L’observation des positions des glaces a permis de descendre globalement la Zone d’Exclusion Antarctique d’environ 1°. À l’inverse, la direction de course a sensiblement remonté des marques GPS à l’Ouest de la Géorgie. La route faisait 24 385 milles nautiques le 1er octobre, elle n’en fait plus que 24 296. C’est toujours ça de gagné, de la même manière que faire le tour d’un stade depuis le couloir 8 est plus rapide que depuis le couloir 1.
Aussi à la demande des sauveteurs du MRCC australien
Les positions des glaces ne sont pas les seuls éléments pris en compte pour établir la ZEA. À la demande du MRCC (Maritime Rescue Coordination Center) australien et de l’AMSA (Australian Maritime Safety Authority), quatre points délimitent la frontière de la zone dans laquelle les secours australiens ont la capacité de déployer des forces aériennes pour le repérage des bateaux en difficulté, soit à 1 000 milles des dernières côtes. Un accord entre les autorités australiennes et l’organisation du Vendée Globe a été établi en ce sens.
Ces quatre points sont situés à la latitude 46°00 Sud et courent de 105 à 120° de longitude Est.
Le départ du Vendée Globe ne met pas un terme à l’observation des glaces, qui se prolonge d’ailleurs après le passage des premiers aux abords de la ZEA, puisque l’écart entre les premiers et le peloton de derrière risque d’être très conséquent.
« On réactualise pendant la course pour les retardataires avec de nouvelles prises d’images. Et, si CLS détecte un iceberg ou en suspecte la présence sur la route, nous émettons un « Ice Report » à destination de la flotte. Et nous pouvons bouger les points GPS de la ZEA dans un cadre défini, calé sur la position du leader, afin de respecter la stratégie de navigation de tous*… » poursuit Jacques Caraës.
Sur la route de la flotte vont se présenter des zones de fort trafic maritime (cargos, porte containers etc.) qui, au plus fort de la densité, respectent les règles de dispositif de séparation du trafic, dans lequel peuvent circuler les voiliers, sous certaines conditions. Pour favoriser la sécurité, la Direction de course fait de ces DST des zones interdites à la navigation pour les Imoca en course. Ainsi, les instructions de course ont déterminé les points GPS des zones interdites du cap Finisterre, du Cape Roca (le point le plus Ouest du Portugal), de Cape St Vincente (pointe méridionale du Portugal), de Mauritanie, et des Canaries, Est et Ouest.
Pour cette édition 2020-2021, la Direction de course a aussi établi deux DST complémentaires, qui jusqu’à présent n’étaient pas naturellement sur la route des concurrents du Vendée Globe. Mais la trajectoire finale d’Armel Le Cléac'h, lors de sa victoire en 2016-2017, a fait apparaître que, avec les foilers et sous certaines conditions de vent et de mer, il devenait intéressant de monter très au Nord de la France avant de redescendre vers les Sables. Ainsi, le DST d’Ouessant et celui de Scilly Ouest sont devenus des zones interdites.
Afin de définir la lecture d’un classement au plus juste, la DC fera courir un « point glissant » à l’avant de la flotte. C’est en référence à ce point glissant, sur la descente Atlantique, que seront établis les classements.
* Pour des raisons de sécurité, lors du contournement de l’Antarctique, voici les conditions de modification des points de la ZEA : Les instructions de course autorisent la DC à modifier le parcours ainsi : «… avant que le premier bateau n’atteigne la longitude de 30° à l’Ouest du premier point concerné ; et/ou avant que le premier bateau n’atteigne la latitude de 15° au Nord de la latitude du point concerné ». (source service presse)
Marre du sapin traditionnel avec guirlandes et boules rouges ? Las de ramasser les épines tous les quatre matins ? Ou ras-le-bol du sapin synthétique tout tristounet ? Alors inspirez-vous de ces dix idées pour un sapin rigolo qui épatera, à coup sûr, vos invités pour le réveillon…
Après “The Crown”, les Stones… Ou quand l’Angleterre fait la loi des séries
Depuis 2016, la planète, accro aux vicissitudes de la famille royale britannique, est totalement The Crown. Cette série à succès a vu, lentement mais sûrement, se ternir l’aura de la première des institutions outre-Manche, au point qu’elle pourrait désormais s’intituler « Splendeur et décadence des Windsor ». Dans un avenir prochain, le monde sera-t-il Stones ? Possible. Probable, même. Car les producteurs du programme royal, flairant le bon filon, s’attaquent à une nouvelle saga pour la Fox, consacrée cette fois à une autre institution anglaise : le groupe de Mick Jagger et Keith Richards. Si les destins des deux joyaux de la Couronne britannique se sont parfois croisés (d’abord par le biais de la sœur « rebelle » d’Élisabeth, la princesse Margaret, puis par l’anoblissement du chanteur), il est d’ailleurs amusant de constater que c’est en sens inverse. Par les scandales qui ont accompagné son succès fulgurant, le groupe londonien mal peigné – qui fit passer les Beatles pour des gendres idéaux – a incarné, dans les années 1960, la révolution en marche auprès d’une jeunesse qui n’attendait que lui pour voir exploser les carcans du conservatisme. Et mettre au jour, dans son sillon sulfureux (insolence, drogue, provocation et dépravation), l’hypocrisie morale de l’« establishment ». La première saison de la série devrait s’arrêter en 1972, l’année où les Stones étaient au sommet de leur rayonnement artistique (avec Exile on Main St.), mais aussi de leur règne de brigands sans foi ni loi. Confié à l’écrivain Nick Hornby, amoureux et grand connaisseur de la cause pop et rock, le scénario des deux premiers opus pourrait, espérons-le, éviter l’écueil du storytelling hagiographique qui a nourri les biopics consacrés à la « Queen » ou Elton John. Et creuser la complexité d’un groupe considéré comme le symbole ultime de l’émancipation par le rock, doublée d’une réussite économique sans précédent, devenu, comme Jagger le chantera plus tard (en 1976), « respectable ».