La fête celtique de Samain, dont les origines remontent à plus de 2 500 ans, est considérée comme l'ancêtre d'Halloween. ... La fête de Samain, célébrée en Irlande et en Écosse, a progressivement été supplantée par la Toussaint introduite le 1er novembre par l'Église catholique aux environs du VIIIe siècle.
Halloween est une fête qui se célèbre le 31 octobre, veille de la Toussaint. Fête très importante dans la plupart des pays anglophones, Halloween est moins connue en France mais commence à être célébrée. Découvrez l'origine d'Halloween, sa définition et ses traditions ancestrales.
D'ù vient la fête d'Halloween
L'origine d'Halloween : une fête celte, la nuit de Samhain
Halloween est au départ une fête celtique d'origine irlandaise. Le Nouvel An Celtique ! Il y a environ 3000 ans, le calendrier Celte ne se terminait pas le 31 décembre, mais le 31 octobre. Et cette dernière nuit de l'année était la nuit du dieu de la mort (Samain ou Samhain). En octobre, les nuits se rallongent et la légende raconte que les fantômes en profitaient pour rendre visite aux vivants. Alors pour éviter que les fantômes ne viennent les hanter, les celtes avaient quelques rituels dont celui de s'habiller avec des costumes terrifiants pour faire peur aux fantômes et de se réunir pour faire la fête le soir du 31 octobre. Ce sont les immigrés irlandais qui ont apporté avec eux la tradition d'Halloween aux Etats-Unis !
D'où vient le mot "Halloween" et que veut dire "Halloween" ?
Avec l'arrivée du christianisme, les catholiques décidèrent à partir du IXème siècle de fêter la Toussaint ("tous les saints"), le 1er novembre. Et si on regarde de plus près le mot anglais Halloween, c'est une sorte de raccourci de l'expression "All Hallows Eve", qui signifie "le soir de tous les saints", c'est-à-dire la veille de la Toussaint, le 31 octobre !
Avec les années, le navet a progressivement été remplacé par une citrouille plus large et plus facile à sculpter.
En France, la fête d’Halloween n’apparaît qu’à la fin des années 1990, mais elle ne parvient pas à s’implanter comme outre-Atlantique, notamment parce qu’elle est jugée trop commerciale par ses détracteurs.
Halloween approche à grands pas… Nous avons fouillé dans nos archives pour vous dégoter des histoires étonnantes où il est question de fantômes, de vampires, et autres monstres… mais qui, contrairement aux apparences, se basent sur des faits, des dates, des lieux et des personnages authentiques !
À Veauce, un château hanté
En 1984, une équipe de France Inter a fait une étonnante rencontre dans un château hanté… l'a photographiée et l'a enregistrée ! Au micro de Fabrice Drouelle, Jean-Yves Casgha se souvient et raconte.
Ici, à la fin des années 1970, la sorcellerie engendre encore des tas d’histoires (aussi étranges qu’incroyables)… notamment celle du docteur Henri Lavaronnière, dont la vie a basculé le jour où quelqu'un "lui a jeté un sort".
Des documents secrets du FBI déclassifiés montrent que, depuis 40 ans, le service de renseignement le plus prestigieux au monde enquête sur l'abominable homme des neiges - mais pas la version de Tintin.
Dans les années 1960, des personnes affirment avoir été attaquées en pleine nuit par une mystérieuse créature dans le cimetière de Highgate… Une jeune fille est même retrouvée avec une large morsure au niveau du cou !
Durant l'hiver 1959, neuf étudiants sont retrouvés morts dans d’étranges et atroces circonstances : éparpillés à plus d’un kilomètre de leur bivouac et, pour certains, nus, les mains brûlées ou le thorax fracturé.
Pompéi mais aussi Hajima, Rhyolite, Centralia, Fatehpur Sikri… Les villes abandonnées sont plus nombreuses qu'on ne le pense ! Et leurs histoires, souvent passionnantes. Embarquez pour un tour d’horizon, avec Aude de Tocqueville.
Comment ce mythe, qui a fait son nid au fond d’un lac écossais, a-t-il grandi au point d’attirer des curieux du monde entier ? Qui sont les chasseurs qui consacrent leur vie à traquer la bête lacustre ? Après quoi courent-ils vraiment ?
👻 Les histoires de Nessie, le monstre du Loch Ness, ou encore celle de Lucie, le fantôme du château de Veauce, sont aussi déclinées pour les enfants dans notre podcast original "Les Odyssées". Découvrez également dans la même série le destin de Jeanne de Brigue, cette incroyable sorcière du Moyen-Âge
🎃 Halloween, c'est aussi l'occasion bien sûr de revoir le chef d'oeuvre de Tim Burton et Henry Selick mettant en scène l'épouvantail Jack Skellington, le maire d' "Halloween Town". Thomas Croisière a regardé "L'étrange noël de Mr Jack" avec ses deux fils, il raconte la séance et les premières impressions enfantines ici.
📺 Un autre film familial et "de saison", si l'on peut dire : "SOS Fantômes" ! Frédérick Sigrist et ses invités évoquent la génèse du blockbuster, son succès, ses acteurs…
la sirène de Laurent Valère, sculpteur martiniquais qui installe sa Manman Dlo en 2004 ,dans la baie de Saint Pierre en appel au respect de la mer et de la vie qui s’y crée.
La sirène Manman Dlo, baie de Saint Pierre Martinique
Scènes oniriques, voire fantomatiques pour ceux qui connaissent le cimetière d’épaves de Saint Pierre en Martinique, l’art sous marin a un écho très particulier...
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Adresse : | Bay of St. Pierre, Martinique
Manman dlo : La sculpture au fond de la mer à Saint-Pierre
Créée par le même artiste que le mémorial Cap 110 au Diamant, l’œuvre sous-marine Manman dlo est une sculpture située au fond de l'eau, au large de Saint-Pierre. Louez une voiture et partez à sa découverte.
Au large de la ville de Saint-Pierre, au fond de la mer, se trouve l'une des œuvres d'art les plus spéciales des Antilles. Il s'agit de Manman dlo, imaginée par l'artiste martiniquais Laurent Valère.
Mise en place en 2004, Manman dlo est une sculpture monumentale (de plus de 20 tonnes) représentant une sirène (une "manman dlo", version créole de la sirène qui selon les mythes fait chavirer les navires). Elle est un hommage à la mer et une invitation à sa protection.
L’œuvre Manman dlo se compose d'un visage et d'une nageoire (placée à quelques mètres) – comme si la "sirène" était enfouie dans le sable, regardant les bateaux passer à la surface. Submergée à seulement 30 mètres du rivage, en face de l'entrée du bourg de Saint-Pierre, Manman dlo est facilement accessible. Il suffit d'un masque et d'un tuba pour l'admirer depuis la surface. Les adeptes de l'apnée ou de la plongée pourront même descendre jusqu'à elle.
Le petit conseil Jumbo Car Martinique : louez un break pour vous rendre en famille à la plage de Saint-Pierre et découvrir l'impressionnante sculpture sous-marine Manman dlo.
Donc histoire de marquer le coup, je me déguise en une créature surnaturelle « locale » : la MANMAN DLO (littéralement La mère des Eaux) qui est… une sirène. Ben oui, c’est notre sirène locale et elle peuple les contes antillais.
On trouve d’ailleurs une sculpture de Manman Dlo de plus de vingt tonnes immergée dans la baie de Saint-Pierre en Martinique en hommage à la mer et en invitation à sa protection.
Accessible à la nage avec juste un masque, un tuba et des palmes, à 50m du rivage, notre fille de 8 ans a suivit sans probleme. Superbe site !
samedi 23 octobre 2021
Billet
Tir mortel impliquant Alec Baldwin : Hollywood rattrapé par sa fiction
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Jeudi, l’acteur Alec Baldwin a tué la directrice photo et blessé le réalisateur de «Rust» avec une arme censée être chargée à blanc. Un drame qui prolonge la lignée des accidents engendrés par l’industrie, malgré les garde-fous.
Jeudi, sur le tournage du western américain Rust, au Nouveau-Mexique, une arme à feu présumée chargée à blanc tue la directrice de la photographie, Halyna Hutchins, et blesse grièvement le cinéaste Joel Souza. L’accessoire n’en était finalement pas un : l’enquête, en cours, révèle qu’il renfermait une munition réelle selon la revue américaine IndieWire. Le syndicat qui rassemble notamment les accessoiristes de Hollywood, Local 44, a déclaré qu’aucun de ses membres n’était impliqué, la production ayant employé un staff local au Nouveau-Mexique.Que l’arme ait été actionnée par un acteur à forte notoriété, l’Américain Alec Baldwin, rend le drame étrangement plus déconcertant. Le film en question relate justement l’histoire d’une mort accidentelle : Rust suit la cavale d’un adolescent, condamné à la pendaison après avoir accidentellement tué un propriétaire de ranch.
Tuer et mourir pour de faux, s’effondrer et se relever : cette chorégraphie du cinéma a fusionné avec l’idée qu’on se fait de la fiction, au point de croire l’illusion immunisée contre tous les aléas. On en oublierait qu’un tournage n’est fait que d’aléas, que son principe consiste à composer avec une somme d’accidents et de contingences à l’intérieur desquels faire surgir un film. Surtout, le cinéma génère ses propres désastres, actionne de l’accident en rafales – carambolages, chutes, noyades, incendies, éboulements. En quelques heures, Rust a rejoint la liste des films historiquement associés au récit d’un tournage létal, enveloppés d’un supplément de fiction et de légende funèbre. La nouvelle tend un miroir à l’incident survenu sur le tournage de The Crow en 1993, où un coup de feu mortel tuait Brandon Lee, fils de Bruce Lee, à 28 ans. La sœur de l’acteur décédé a d’ailleurs tweeté en réaction à la tragédie de Rust : «Nos pensées vont à la famille de Halyna Hutchins et de Joel Souza et de tous ceux liés à l’accident de Rust. Personne ne devrait jamais être tué par arme à feu sur un plateau de tournage.»
Contrôler le réel
On meurt, donc, en tournant des films – ça n’a rien d’un scoop et pourtant, on tend à l’oublier. Si l’incident survenu sur le plateau de Rust laisse sonné, c’est sans doute qu’on croyait ce genre de catastrophes réservées à une époque révolue, plus faillible, dominée par le low-cost, moins experte que la nôtre dans l’art de négocier avec la catastrophe et de contrôler le réel à coups de protocoles très stricts. A tort, comme le prouvent les secrets plus ou moins gardés des morts qui continuent de jalonner les tournages de superproductions – encore en 2017, avec le tournage de Blade Runner 2049 de Denis Villeneuve et la pré-production de Silence de Scorsese, deux films respectivement marqués par le décès d’un ouvrier après l’effondrement d’un élément de décor.
En engendrant des pertes humaines, certains films ont entraîné une rupture dans la législation des tournages et l’encadrement des risques. Encore de nos jours, peu de scènes d’hélicoptère doivent se tourner à Hollywood sans une pensée pour le procès en négligence intenté au cinéaste John Landis en 1982. Lors du tournage de The Twilight Zone, coproduit avec Spielberg, explosions sporadiques et perte de contrôle de l’hélico avaient entraîné la mort tragique de l’acteur Vic Morrow et de deux enfants de 7 ans, décapités par l’hélice de l’appareil. Acquitté au bout de neuf mois, Landis n’en est pas moins entré dans l’histoire comme le premier cinéaste à avoir fait l’objet de poursuites judiciaires pour homicide involontaire sur un tournage (en sus d’une violation des droits du travail sur mineurs), dans le sillage duquel les accidents de plateaux ont chuté de près de 70 % entre 1982 et 1986.
Pyrotechnies
Pour Rust, il aura suffi de la défaillance du flingue censé faire «pan», gadget le plus fétichisé du cinéma, gloire du western et talisman du cinéma d’action. Surtout, dysfonctionnement de l’arme que l’on croyait chargée à blanc, «effet spécial» primitif, ruse qu’on s’imagine presque trop rudimentaire pour faire défaut. Rien de comparable aux pyrotechnies de plateau et appareillages sophistiqués autour desquels l’industrie a forgé son savoir-faire à haute valeur ajoutée, avec le concours d’une foultitude de petites mains et gros cerveaux rompus à la gestion du risque (ingénieurs, régisseurs, conseillers techniques, coordinateurs de cascades…)
Une tragédie comme celle survenue en 1924 sur le tournage de The Warrens of Virginia, où la jeune actrice de 24 ans Martha Mansfield finissait brûlée vive à cause d’une allumette mal éteinte, ne semblerait pas réplicable aujourd’hui. Pas plus que l’exploitation promotionnelle d’un accident aussi sanglant que celui survenu en 1969 sur le tournage de Shark! de Samuel Fuller : une photo sur le vif de l’attaque du cascadeur José Marco, dévoré sous l’œil de la caméra par un requin auquel on aurait oublié d’administrer un sédatif, finissait alors en Une du magazine Life. Régulièrement, les blockbusters se révèlent le théâtre d’accidents mortels pour les cascadeurs : décès du responsable des effets spéciaux Conway Wickliffe sur The Dark Knight de Christopher Nolan en 2007 après un crash de Batmobile ; accident de parapente de la doublure de Vin Diesel Harry L. O’Connor dans XXX en 2002 (scène intégrée au film en guise d’hommage) ; pilote-cascadeur disparu dans le Pacifique et jamais retrouvé sur le tournage de Top Gun en 1985… Plus inconcevable semble le drame de Rust, les professions des victimes n’étant pas considérées comme des métiers à risques.
C’est une décision d’une ampleur inédite dans l’histoire de la course au large : 80 skippers se voient attribuer une bonification qui réduit de 24 heures leur temps de course à l’issue de la première étape de la Mini Transat. Une journée de mer !
Mais il y avait surtout eu aussi cette longue escale de presque toute la flotte dans des ports espagnols pour s’abriter d’un coup de vent, sur conseils de la direction de course, qui faisait polémique. Parce que tout le monde ne s’était pas arrêté, à l’image du jeune skipper allemand de 19 ans, totalement inconnu du grand public, Melwin Fink, qui avait gagné en bateaux de Série cette première étape à La Palma avec une énorme avance, comprise entre un et quatre jours sur tous ses concurrents.
> POUR RELIRE TOUS LES ÉPISODES PRÉCÉDENTS, tous plus spectaculaires les uns que les autres, cliquez ici, sur ce lien qui rassemble tous nos articles et vidéos : L’incroyable Mini Transat 2021
Reprenons. Pour faire simple, il y avait polémique sur les termes employés dans les messages de la direction de course au moment du coup de vent, notamment sur les expressions « on vous demande »et « on vous conseille »de vous abriter. Dix-neuf skippers avaient porté réclamation. Le vainqueur Melwin Fink, lui, avait expliqué pourquoi il n’avait pas jugé nécessaire de s’arrêter.
La décision officielle et sa motivation
Réuni depuis trois jours, le Jury International (qui, rappelons-le, est totalement indépendant de la Direction de course) a tranché. Voici sa décision officielle retranscrite par le service presse de la course :
Mercredi 20 octobre, le Jury international en charge de l’instruction des réclamations de 19 coureurs de la 23e édition de la Mini Transat EuroChef déposées à l’issue de la première étape a rendu son verdict. Celui-ci a estimé que les recommandations, les informations ou les conseils de s’abriter dans le port le plus proche donnés par la Direction de Course le 1er octobre dernier, après l’émission d’un BMS (bulletin météo spécial) concernant les zones Finisterre Sud et Finisterre Nord, avaient été vagues et imprécis, et donc pas clairement compréhensibles pour les concurrents. Par voie de conséquence, le Jury a jugé que cela constituait une action inadéquate. La décision a ainsi été prise d’octroyer réparation à l’ensemble des 80 skippers concernés. En l’occurrence, 24 heures vont être déduites de leurs temps de course.
Cette bonification ne concerne pas les quatre premiers du classement Proto (qui ne s’étaient pas arrêtés car déjà échappés très au Sud loin du mauvais temps, ndr). Elle ne touche pas non plus les marins qui ne se sont pas arrêtés à la suite du message météo transmis par la DC, c’est-à-dire Piers Copham (n° 719 – Voiles des Anges), Melwin Fink (n° 920 – SingForCom) et Christian Kargl (n° 980 – All Hands On Deck), ce dernier ayant seulement réalisé une escale technique à la suite d’un black-out.
Podium Série modifié : Melwin Fink conserve sa victoire, Hugo Dhallenne passe à la 2e place et devient favori
Dans ce contexte, l’ordre du podium de la première étape de l’épreuve se trouve modifié. Le jeune navigateur Allemand conserve sa victoire et son leadership mais il n’a plus que 1 heure et 52 minutes sur Hugo Dhallenne (979 – YC Saint-Lunaire), qui grimpe à la deuxième place. Chez les Proto, il n’y a pas de modification du podium dans la hiérarchie actuelle, mais évidemment un resserrement très spectaculaire des écarts. Il y a aussi une très bonne nouvelle pour Camille Bertel (900 – Cap Ingelec) : la skipper qui était arrivée hors temps se voit en effet reclassée, sa première étape validée. A l’heure où nous écrivons ces lignes, le classement officiel après Jury n’a pas encore été modifié et publié mais ce n’est probablement qu’une question d’heures.
Des pénalités pour quatre skippers
Par ailleurs et pour d’autres motifs, quatre skippers ont reçu des pénalités. Le jury international a ainsi infligé une pénalité de 2 heures à Luca Del Zozzo (998 – Race = Care) et Pilar Pasanau (240 – Gemese Peter Punk) pour ne pas avoir respecté la porte virtuelle positionnée à 80 milles au nord de l’archipel des Canaries. Il a également appliqué une sanction de 10 % de leurs temps de course respectifs à Julie Simon (963 – Dynamips) et Arno Biston (551 – Bahia Express) suite à leur passage dans le DST du cap Finisterre.
La course relancée : il n’y a plus d’écarts énormes
Voilà pour les faits à une semaine du départ de la grande deuxième étape entre Santa Cruz de La Palma et La Guadeloupe, prévu le 29 octobre. Une deuxième et dernière étape de 2 700 milles – deux fois plus longue que la première – qui promet encore d’innombrables aventures.
Surtout, la course est totalement relancée par cette bonification de 24 heures accordée à 80 skippers. Un exemple pour s’en rendre compte : Hugo Dhallenne en Série avait presque un jour et deux heures de retard sur le vainqueur Melwin Fink. C’était énorme. Il n’a plus que deux heures (1h52 pour être précis). C’est très peu. On peut appliquer le même calcul à la quasi-totalité de la flotte, donc. Et penser ce que l’on veut de la décision du Jury. Les faits sont là : 80 skippers ont « récupéré » une journée de mer. Forcément cela change énormément la donne. Et pas seulement parce Que Melwin Fink n’est plus le grand favori pour la victoire finale après cette décision. Cela change pour tout le monde. Chacun reprend espoir en un classement flatteur en Guadeloupe. Les grands écarts n’existent plus.