dimanche 31 mars 2024

KATIA

 

Dilmanche 31 mars 2024 à 21h, Arte diffuse Katia, un film dans lequel Romy Schneider incarne Catherine Dolgorouki. L'occasion pour Télé-Loisirs de vous raconter l'histoire vraie de celle qui ne connut qu'un seul amour dans sa vie : le tsar Alexandre II.

Qui est Catherine Dolgorouki qui a inspiré le film Katia ?

Si Catherine Dolgorouki a marqué l'Histoire, c'est parce qu'elle a vécu une incroyable histoire d'amour avec le tsar Alexandre II, qui a été le seul et unique homme de sa vie. Fille du prince Michel Dolgorouki, elle a suivi une éducation de qualité, fréquentant notamment l'Institut Smolny, un école pour jeune filles de bonne famille située à Saint-Pétersbourg. C'est dans le cadre d'une visite officielle de Nicolas II que Catherine Dolgorouki fait la connaissance du souverain. Le tsar tombe immédiatement sous le charme de la jeune de femme de 17 ans. Et qu'importe s'il est déjà marié et qu'il a 29 ans de plus qu'elle, il lui déclare sa flamme avec fougue. Bien qu'elle aussi sous le charme, Catherine Dolgorouki résiste pendant deux ans avant de céder aux avances de Alexandre II. Elle devient alors la maîtresse du tsar. Fous d'amour, ils entament une liaison passionnée. De cette relation adultérine naissent quatre enfants : Georges en 1872, Olga en 1873, Boris en 1876 et Ekaterina en 1878.

Catherine Dolgorouki, veuve huit mois après son mariage

Lorsque l'impératrice Maria Alexandrovna meurt le 3 juin 1880, Alexandre II voit là l'occasion de donner à Catherine Dolgorouki toute la place qu'elle mérite à ses yeux. Il l'épouse donc le 18 juillet 1880. "C'est un particulier et non un empereur qui répare une faute commise par lui et répare la réputation d'une jeune fille", déclare le tsar. Il n'empêche que ce mariage, moins de deux mois après le décès de sa première épouse, passe très mal. Épouse morganatique d'Alexandre II, Catherine Dolgorouki n'a pas le titre d'impératrice et la Cour le lui fait bien ressentir. Elle est la cible d'humiliations permanentes. Pour mettre fin à cette situation intenable, Alexandre II envisage même de la faire couronner impératrice, mais il n'en aura pas le temps. En effet, le 13 mars 1881, le tsar est victime d'un attentat qui lui est fatal. Son fils Alexandre III lui succède et exile immédiatement sa belle-mère. Catherine Dolgorouki s'installe alors à Nice avec ses enfants, où elle finit paisiblement ses jours le 15 juillet 1922, à l'âge de 74 ans



CHRISTOS ANESTI

  


Il y a peut-être quelques fans de James Bond parmi vous.
Des personnes qui, comme moi, n’ont aucun souci à regarder un film de la série pour la troisième ou quatrième fois... Dans Skyfall, un des méchants demande à James Bond quel est son passe-temps.
Et ce dernier répond de manière surprenante : la résurrection.
« What’s your hobby, James ? » « Resurrection ».




Ce que nous fêtons aujourd’hui dépasse tout ce que nous pouvons imaginer. Les mots sont toujours trop étroits pour exprimer l’indicible de Pâques. Pour tenter de mettre des mots sur leur foi en la résurrection, les premiers chrétiens ont d’ailleurs emprunté une multitude d’expressions variées : gloire, relèvement, exaltation, réveil... En effet, n’avons-nous pas déjà vu des personnes se relever, se réveiller à la vie, alors que tout semblait perdu ? Elles ne sont plus là où nous les enfermons. Oser parler de la résurrection, n’est- ce pas d’abord croire en la nôtre, et la voir peut-être au quotidien autour de nous ? Comment me direz-vous ?

Comprenons le bien : il ne s’agit pas retrouver ce qui était perdu. La joie de Pâques est plus qu’un passé heureux qui referait surface dans notre vie, ou un retour à la vie de choses anciennes comme dans cette culture vintage qui donner une seconde vie à des choses passées... Pour parler de la résurrection de Jésus, jamais les évangiles n’utilisent le terme de seconde vie. Au contraire, la résurrection est la traversée de la mort, c’est-à-dire l’arrivée de quelque chose de radicalement neuf et inespéré ! Vivre la résurrection, c’est faire un deuil fécond.

Pour vivre cela, nous sommes appelés à regarder d’abord ce qui nous enferme, nos tombeaux et nos peurs. En grec, il s’agit du même mot ! Et voir paradoxalement dans ceux-ci des lieux d’annonce et de promesse... Il s’agit ensuite d’accepter certaines ruptures afin de ne plus s’accrocher à sa propre vie... Pâques, le grand passage, nous invite ainsi à ne pas voir le temps qui passe comme une menace, mais comme le chemin que prend l’éternité de Dieu pour nous rejoindre.

Car la résurrection n’est pas l’immortalité. C’est au contraire l’échec traversé, la vie transfigurée dans notre existence mortelle. Pour vivre une telle transformation, il faut oser se rendre dans ses propres lieux de fragilité. Faire l’expérience du manque et se rendre au tombeau pour voir qu’il est vide. Et en même temps, comme le disciple bien aimé, croire que ce tombeau ouvre un avenir. Qu’il peut devenir la crèche d’un monde nouveau. « Il vit et il crut » !

N’est-ce pas davantage qu’un clin d’œil, que de voir que ce sont les femmes qui, dans les évangiles, sont les premières à porter, même imparfaitement, l’annonce de Pâques ? N’est-ce pas précisément parce qu’elles portent la vie et la mette au monde ? Vivre la grande traversée pascale, n’est-ce pas accueillir en nous, comme elles, une douce transformation intérieure, qui conduit à un enfantement ? Alors, nos deuils seront féconds. Et la résurrection se vivra au quotidien, dans nos gestes maternants, et maternels. Voilà pourquoi la résurrection n’est pas tant un fait historique qu’une question posée à notre histoire, à la vôtre : quels sont ces tombeaux qui vous enferment, mais qui peuvent finalement être lieux d’une promesse, d’un paradoxal enfantement ? Est-ce un échec à surmonter ? Un deuil qui reste à faire ? Une culpabilité mal placée ? Une dépression à traverser ? Une limite qu’il nous faut encore accepter ?

A celles et ceux qui voient dans leurs vies des impasses, mais qui croient aussi en un relèvement possible, la folle espérance de Pâques leur dit : « Circule, il n’y a plus rien à voir dans ta vie à cet endroit-là ». Ta vie te précède en Galilée. Meurs à ce que tu n’es plus, afin de renaître à ce que tu es vraiment. Quitte ce projet qui ne te fait pas grandir. Quitte ce lieu-là qui te retient. Ne te définis pas par ce que tu as été, mais accueille ce que tu deviens. Quel que soit ton âge, ton avenir est plus réel que ton passé.

Frères et sœurs,

Dans la vie, il y a ceux qui croient savoir, et qui pensent détenir des preuves et la vérité. Mais il y a aussi ceux qui savent croire, comme le disciple bien aimé... Ceux pour qui, en face du tombeau, l’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence... Ceux qui voient le tombeau vide non comme la fin, mais comme un lieu d’annonce.

Pour le vrai croyant, ce n’est donc pas parce qu’il voit qu’il croit. Mais c’est parce qu’il croit, qu’il peut tout voir tout autrement. Qu’est-ce à dire, concrètement ? N’y a-t-il pas des moments dans nos vies où nous sommes comme morts, à bout de souffle ? Où nous vivotons par devoir, peur ou par survie ? Ce que nous voyons ne nous donne pas la joie de croire et nous sommes comme enfermés dans les tombeaux de nos rêves ou de nos espoirs déçus... Mais la joie inouïe de Pâques nous invite, comme le disciple bien aimé, à voir et à croire : voir lucidement notre vie telle qu’elle est, sans l’idéaliser. Et croire qu’elle peut être vraiment transformée, et rester féconde...

Que cette joie, cette extraordinaire promesse de Pâques nous accompagne, et mette davantage de vie dans nos existences mortelles. Qu’elle nous relève, nous réveille, nous recrée, nous enfante ! Amen.

 




mercredi 27 mars 2024

CHEZ POL

 

On termine avec notre jeu du jour. «Je me faisais klaxonner par tout le monde.» Mais qu'a fait le maire LR de Vienne (Isère) Thierry Kovacs pour récolter pareil accueil ?

• Il a mis des fanions de l'ASSE sur sa voiture
• Il a distribué des bons d'achat pour de l'essence
• Il a organisé une opération péage gratuit sur l'A7
• Il a couru le long du Rhône pour une association
• Il a défilé dans la rue en soutien à Natasha St-Pier
• Il a tenté de rouler à 50km/h sur une portion d'autoroute


Bravo !

En effet, une portion de 8km de l’A7 entre Ternay et Feyzin, au sud de Lyon, est désormais limitée à 50km/h, la semaine, entre 7h et 9h30. Le maire de Vienne a tenté l'expérience. Auprès de BFM Lyon, il a admis ne pas arriver à rouler «à moins de 60 km/h sur la voie de droite».

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mardi 26 mars 2024

CHEZ POL

 

#Souffle #Flambeau #Yacht  #Astuce #Tétine
Chez Pol n°1243

Bonjour, nous sommes le 26 mars et c'est le bon jour pour casser les pieds.

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Mais qu'est-ce que c'est que ces portes au milieu du passage ? 



la visite express du Président


On termine avec notre jeu du jour. À quelle émission culte de la radio Rachida Dati va-t-elle bientôt participer ?  

• Lovin' Fun

• Planète Rap

Mais oui !

Fred Musa, l'animateur de Planète Rap sur Skyrock, l'a annoncé hier, confirmant une info du Parisien

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• Radio Libre

• Les Grosses têtes

Pas du tout.

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• Hondelatte Raconte
• Le jeu des 1000 euros

LES NEWS 🙈🙉🙊

 

lundi 25 mars 2024

Chez POL

 

#Colère #Fracture #Toupie #Rillettes #Vélo
Chez Pol n°1242

Bonjour, nous sommes le 25 mars et c'est le bon jour pour prendre le large.

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Mieux vaut à contre-jour qu'à contre-courant.


Hey, what did you expect ? 


À quoi sert François Bayrou ? Non, on ne parle ni du maire de Pau, ni du président du MoDem triomphalement réélu [Voir Chiffre ⤵️], ni du secrétaire général du Conseil national de la Refondation, ni même du citoyen. Les écolos veulent savoir à quoi sert le Haut-commissaire au Plan.


On termine avec notre jeu du jour. Qui a ouvert à Gabriel Attal et Valérie Hayer lors d'un porte-à-porte samedi, à Issy-les-Moulineaux ? 

• Mickey
• Casimir
• Gandalf
• Dark Vador
• Le Père Fouras


Tout à fait !

En faisant du porte-à-porte samedi à Issy-Les-Moulineaux, le Premier ministre s'est retrouvé face à un homme déguisé en Père Fouras, de Fort Boyard, pour un anniversaire d'enfant.

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• Le grand schtroumpf